Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Matériaux de construction et ameublement
L’industrie des matériaux de construction et de l’ameublement comprend les entreprises impliquées dans la conception et la fabrication d’équipements de maison, de produits d’ameublement de domiciles ou de bureaux, et de matériaux de construction en bois de charpente. Les produits proposés par le secteur incluent les revêtements de sol et de plafond, le mobiliers et les équipements de maison et de bureaux, les treillis en bois, le contreplaqué, les lambris et le bois de construction. Ces entreprises vendent généralement leurs produits par le biais de canaux de distribution à des magasins de détail, ou par le biais de revendeurs indépendants ou détenus par l’entreprise. -
Services bancaires aux entreprises et courtage
L’industrie des services bancaires aux entreprises et courtage est constituée de sociétés remplissant un large éventail de fonctions dans les marchés de capitaux, comme l’assistance au processus de levée et d’allocation de capitaux et la fourniture de services de tenue des marchés et de conseil pour les entreprises, les établissements financiers, les gouvernements et les particuliers très fortunés. Les activités spécifiques comprennent des services de conseil financier et de souscription à des titres fournis contre rémunération ; des activités de courtage de titres et de produits, qui incluent l’achat et la vente de contrats de titres ou de produits et d’options fournis contre commission ou rémunération pour les investisseurs ; et des activités de transactions et d’investissement principal, qui comprennent l’achat et la vente de capitaux, de revenus fixes, de devises, de produits et autres titres pour les transactions axées sur le client et pour compte propre. Les banques d’investissement produisent et titrisent des prêts pour des projets d’infrastructure et autre. Les sociétés de l’industrie génèrent leurs revenus des marchés internationaux et, ainsi, sont exposées à divers environnements réglementaires. L’industrie continue d’affronter la pression réglementaire pour réformer et divulguer des aspects des opérations présentant des risques systémiques. Précisément, les entreprises font face à de nouvelles exigences de fonds propres, à des stress-tests, à des limites aux transactions pour compte propre et à une surveillance accrue des pratiques en matière de rémunération.
Questions pertinentes pour les deux Industries (7 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
- Émissions de GES
- Qualité de l’air
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. - Gestion de l’eau et des eaux usées
- Gestion des déchets et des matières dangereuses
- Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
- Accès et caractère abordable
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. - Bien-être des clients
- Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Capital humain
- Pratiques de travail
- Santé et sécurité des employés
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Engagement des employés, diversité et inclusion
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
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Modèle économique et innovation
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories. - Résilience du modèle économique
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte. - Approvisionnement en matériaux et efficacité
- Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs. - Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
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Gestion des risques systémiques
La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
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Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie dans la fabrication
L’industrie des matériaux de construction et de l’ameublement crée de la valeur grâce à des processus de fabrication à haute intensité énergétique. L’électricité achetée représente la plus grande part de la consommation d’énergie dans tout ce secteur, et les entreprises peuvent également utiliser l’énergie de combustible fossile sur site. Les prix de l’électricité de réseau conventionnelle et la volatilité des prix des combustibles fossiles pourraient augmenter en raison de l'évolution des réglementations relatives au changement climatique et des nouvelles mesures d'incitation en faveur de l'efficacité énergétique, et des énergies renouvelables, entre autres facteurs, tandis que les sources d'énergie alternatives deviendraient plus compétitives sur le plan des coûts. Les décisions concernant la source et le type d'énergie, ainsi que l'utilisation d'énergies alternatives, peuvent créer des compromis sur les coûts d’approvisionnement en énergie et la fiabilité des opérations. Alors que le secteur opère avec des marges serrées, les réductions en consommation d’énergie pourraient avoir une influence importante sur la performance financière. La manière avec laquelle une entreprise gère son efficacité énergétique, sa dépendance à l’égard de différents types d’énergie et les risques durabilité qui y sont associés, ainsi que sa capacité à accéder à des sources d’énergie alternatives sont susceptible d’avoir un impact sur la performance financière.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Gestion des substances chimiques contenues dans les produits
Les produits de l’industrie des matériaux de construction et d’ameublement peuvent contenir des substances potentiellement nocives pour la santé de l’homme, dont des composés organiques volatils et des toxines à potentiel reproducteur, des substances cancérigènes et des perturbateurs endocriniens. En général, ces substances se trouvent dans les produits à faible concentration, et ne posent donc pas, le cas échéant d’inquiétude pour la santé. Néanmoins, le secteur est exposé à un risque réglementaire et réputationnel potentiellement important en raison de son utilisation de substances préoccupantes. Les risques réels ou présumés pour la santé humaine créent la possibilité de futures réglementations sur la teneur en substances chimiques des produits, et d’éventuelles répercussions sur la réputation des entreprises, ce qui peut grandement affecter la demande de produits. La hausse des préoccupations des consommateurs concernant l’utilisation de produits chimiques est à l’origine des efforts volontaires du secteur pour éliminer ces substances chimiques des produits et les substituer par des matériaux alternatifs. L’adoption continue de normes de certifications des bâtiments telles que la norme LEED fait grimper la demande de produits à teneur réduite en composés chimiques. Les entreprises qui parviennent à gérer efficacement les substances chimiques dangereuses contenues dans leurs produits peuvent profiter d’un avantage concurrentiel sur le long terme grâce à une demande accrue, des risques réglementaires moindres et une meilleure valeur de la marque.
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Engagement des employés, diversité et inclusion
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.None -
Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Impacts environnementaux du cycle de vie des produits
Selon le produit de construction ou le mobilier spécifique, des répercussions environnementales importantes peuvent survenir pendant l’approvisionnement en matière première, le transport, la fabrication, la phase d’utilisation ou la fin de vie. La préférence croissante des consommateurs et des organismes de réglementation pour des produits moins impactant a permis le développement des produits plus durables, généralement appelés les « matériaux de construction verts ». En outre, la certification du cycle de vie des produits est devenue un outil pour les entreprises et leurs clients, afin d’évaluer et d’améliorer l’impact du cycle de vie d’un produit. Les programmes de certification portent généralement sur les caractéristiques spécifiques à la durabilité d’une catégorie de produits et incluent l’utilisation de matériaux en circuit fermé, qui contribue à minimiser les répercussions environnementales d’un produit en fin de vie et à réduire la nécessité d’extraire ou de produire des matériaux vierges. Par le biais de l’innovation et d’une conception de produit facilitant la récupération d’un produit en fin de vie et l’utilisation de matériaux moins impactants, de l’adoption des programmes de certification des produits, et de partenariats avec les clients, les fabricants de produits de construction peuvent obtenir des améliorations dans les impacts du cycle de vie, réduire les risques réglementaires, répondre à la demande croissante des clients et économiser sur les coûts.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.-
Gestion de la chaîne d’approvisionnement en bois
L’industrie des matériaux de construction et d’ameublement utilise de grandes quantités de bois en provenance de forêts du monde entier. La production et la récolte non durables du bois d’oeuvre peuvent causer des répercussions sociales et environnementales défavorables, y compris la perte de la biodiversité et des préjudices portés aux moyens de subsistance des communautés qui dépendent des forêts. Les entreprises sont susceptibles de s’approvisionner par inadvertance en bois provenant de régions qui sont sujettes à des pratiques forestières non durables. Des signalements d’exploitation forestière illégale, de pollution environnementale et de conséquences néfastes sur les communautés peuvent causer des répercussions sur la réputation, pouvant nuire à la valeur de la marque de l’entreprise et affecter la demande pour ses produits. En outre, les réglementations concernant l’importation de bois produit illégalement peuvent engendrer des pénalités et d’autres dommages sur la valeur de la marque. Pour limiter ces risques, les entreprises adoptent de plus en plus des certifications par un tiers, qui attestent que le bois est produit et récolté de manière durable. L’obtention de ces certifications d’approvisionnement en bois peut également offrir aux entreprises des opportunités de croissance, car elles peuvent satisfaire la demande des clients pour des produits certifiés.
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.None -
Gestion des risques systémiques
La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.None
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Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.None -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.None -
Engagement des employés, diversité et inclusion
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.-
Inclusion et diversité des employés
Les entreprises de services bancaires aux entreprises et courtage font face à un degré élevé de concurrence en ce qui concerne les employés qualifiés. Parallèlement, l’industrie présente un faible niveau de diversité, en particulier concernant les postes supérieurs. Ces dernières années, une attention considérable des médias s’est portée sur des cas de discrimination sexuelle impliquant des entreprises de l’industrie cotées en Bourse. Alors que l’industrie est transformée par des innovations rapides comme l’introduction de produits financiers plus complexes et un commerce informatisé, algorithmique et de haute fréquence, la capacité des sociétés à attirer et à retenir les employés qualifiés prendra probablement de plus en plus d’importance. En garantissant la diversité des genres et des origines dans l’ensemble de l’entreprise, les sociétés verront probablement le groupe de leurs candidats s’élargir, ce qui pourrait diminuer le coût à l’embauche et améliorer l’efficacité opérationnelle. En outre, les preuves suggèrent que des groupes diversifiés d’employés dans des entreprises de services bancaires d’investissements et courtage sont susceptibles de réduire la prise de risques par des employés impliqués dans des activités commerciales sujettes aux risques (par ex., la spéculation), ce qui pourrait diminuer le risque d’exposition de l’entreprise dans son ensemble. Une divulgation renforcée concernant la diversité des genres et des origines des employés, en particulier lorsqu’elle est fournie par catégorie d’employés, permettra aux actionnaires d’évaluer la manière dont les sociétés de cette industrie gèrent ces risques et ces opportunités.
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Intégration des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance aux activités de services bancaires aux entreprises et courtage
Les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) peuvent avoir des implications importantes pour les entreprises, les actifs et les projets auxquels les banques d’investissement fournissent des services ou dans lesquels elles investissent à travers un éventail d’industries. Ainsi, en prenant ces facteurs en considération dans leurs activités de souscription, de conseil, d’investissement et de prêt, les banques d’investissement peuvent répondre aux externalités environnementales et sociétales positives et négatives significatives. Le potentiel, à la fois pour la création et pour la perte de valeur associées aux facteurs ESG, suggère que les entreprises bancaires aux entreprises et courtage ont une responsabilité envers leurs actionnaires et leurs clients d’intégrer une prise en considération de ces facteurs dans l’analyse et la valorisation relatives à tous les produits principaux, y compris la recherche sur la vente, les services de conseil, la création, la souscription et les transactions principales. Les entreprises bancaires d’investissement et de courtage qui ne répondent pas à ces risques et opportunités pourraient s’exposer à des risques de réputation et financiers accrus. D’un autre côté, établir une tarification appropriée des risques ESG pourrait réduire l’exposition aux risques financiers des banques d’investissement, contribuer à générer des revenus supplémentaires et/ou ouvrir des opportunités de nouveaux marchés. Pour aider les investisseurs à comprendre si les entreprises de l’industrie gèrent correctement leurs performances sur cette question, les banques d’investissement devraient divulguer la manière dont les facteurs ESG sont intégrés dans leurs principaux produits et services.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.None -
Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.-
Éthique des affaires
L’environnement réglementaire entourant les entreprises bancaires aux entreprises et courtage continue d’évoluer à la fois sur le plan national et international. Il est attendu des sociétés qu’elles se conforment à un ensemble de règles complexes et parfois incohérentes relatives à la performance et qu’elles procèdent et fournissent une divulgation sur ces questions comme le délit d’initié, l’antitrust, l’entente sur les prix et la manipulation de marché. En outre, les entreprises bancaires d’investissement et de courtage sont sujettes à des règles contre des pratiques telles que l’évasion fiscale, la fraude, le blanchiment d’argent et la corruption. Enfin, dans certaines juridictions, des récompenses renforcées pour les dénonciateurs peuvent conduire à une augmentation du nombre de plaintes déposées auprès des régulateurs. Les sociétés capables d’assurer une conformité réglementaire par le biais de contrôles internes robustes seront mieux positionnées pour établir une relation de confiance avec les clients, conduisant à une augmentation des revenus et pour protéger la valeur actionnariale en minimisant les pertes subies en résultat de procédures judiciaires. -
Intégrité professionnelle
Le modèle d’entreprise des sociétés bancaires aux entreprises et de courtage dépend du développement de la confiance et de la fidélité du client. Pour garantir des relations sur le long terme mutuellement bénéfiques, les entreprises doivent fournir des services satisfaisant les normes professionnelles les plus élevées de l’industrie, c’est-à-dire prendre des mesures afin d’éviter les conflits d’intérêts, représentations erronées et négligences. L’intégrité professionnelle se rapporte également au respect d’un code éthique en termes de transparence et de divulgation. Ces mesures sont importantes à la fois pour renforcer la licence d’exploitation de l’entreprise et pour attirer et retenir les clients. Le non-respect des normes professionnelles peut non seulement nuire aux clients qui comptent sur les conseils, les données et les services clés fournis par ces sociétés, mais aussi impacter négativement les actionnaires. Les entreprises bancaires d’investissement et de courtage peuvent non seulement faire face à des sanctions juridiques en relation avec de telles actions, mais également souffrir d’impacts négatifs significatifs sur les revenus du fait de l’atteinte à la réputation. Pour maintenir leur intégrité professionnelle, les entreprises bancaires d’investissement et de courtage doivent s’assurer que les employés ont une formation adéquate, savent et respectent les règlements financiers applicables de l’industrie. Pour se conformer aux lois et règlements de l’industrie, les employeurs doivent s’assurer de connaître tout antécédent de violation passé des employés qui sont impliqués dans les communications et le service de conseil aux clients. Ainsi, une description de l’approche de la gestion de la garantie de l’intégrité professionnelle peut aider les investisseurs à comprendre l’exposition au risque ainsi que tout processus en place pour éviter une faute professionnelle. En outre, la divulgation du montant des amendes et des accords juridiques et réglementaires peut fournir un aperçu plus clair de la mesure dans laquelle les établissements financiers se conforment aux normes de régulation.
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Gestion des risques systémiques
La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.-
Gestion des risques systémiques
La crise financière de 2008 a démontré l’importance de la gestion des risques pour le capital dans l’industrie des services bancaires aux entreprises et courtage. En particulier, les entreprises ayant eu une mauvaise de ces risques, ont souffert de perte significative de la valeur de leurs actifs financiers tout en augmentant la quantité de passifs comptables, ce qui, en raison de l’interconnectivité du système financier, a contribué à une perturbation significative du marché. La nature systémique du risque résultant de l’interconnectivité des établissements financiers est devenue une préoccupation centrale des régulateurs fédéraux et internationaux. En conséquence, de nombreuses banques doivent passer des stress-tests de contrôle pour évaluer la capacité de l’entreprise à absorber les pertes avec le capital et la liquidité, à poursuivre ses opérations et à respecter ses obligations dans l’éventualité de conditions économiques et financières défavorables. Son incapacité à satisfaire les exigences réglementaires pourrait augmenter de manière importante le coût de conformité future et conduire à des sanctions pécuniaires. Dans un effort pour démontrer la manière dont ces risques, associés à la taille, la complexité, l’interconnectivité, la substituabilité et l’activité inter-juridictionnelle, sont gérés, les banques d’investissement devraient renforcer la divulgation des mesures quantitatives et qualitatives utilisées pour déterminer leur position favorable ou non pour absorber les chocs provenant d’un stress systémique financier et économique et respecter des exigences réglementaires plus strictes. -
Incitations des employés et prise de risques
Les structures de rémunération des employés dans l’industrie des services bancaires aux entreprises et courtage peuvent motiver des employés à se concentrer sur la performance de l’entreprise sur le court et le long terme. Des structures se concentrant de manière excessive sur la performance à court terme sont susceptibles d’encourager une prise de risque excessive et d’avoir des conséquences négatives sur la valeur de l’entreprise sur le long terme. Des inquiétudes concernant cette question ont conduit à une surveillance réglementaire et des actionnaires accrue depuis la crise financière de 2008. Une meilleure divulgation de la rémunération des employés, se concentrant sur l’utilisation d’indicateurs de performance et de rémunération variable, des politiques relatives à des dispositions de droit de reprise, la supervision, le contrôle et la validation de la tarification des actifs de niveau 3 par les opérateurs du marché, fournira aux investisseurs une claire compréhension de la manière dont les entreprises bancaires aux entreprises protègent la valeur de l’entreprise.
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Catégorie des problématiques générales
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Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie dans la fabrication
L’industrie des matériaux de construction et de l’ameublement crée de la valeur grâce à des processus de fabrication à haute intensité énergétique. L’électricité achetée représente la plus grande part de la consommation d’énergie dans tout ce secteur, et les entreprises peuvent également utiliser l’énergie de combustible fossile sur site. Les prix de l’électricité de réseau conventionnelle et la volatilité des prix des combustibles fossiles pourraient augmenter en raison de l'évolution des réglementations relatives au changement climatique et des nouvelles mesures d'incitation en faveur de l'efficacité énergétique, et des énergies renouvelables, entre autres facteurs, tandis que les sources d'énergie alternatives deviendraient plus compétitives sur le plan des coûts. Les décisions concernant la source et le type d'énergie, ainsi que l'utilisation d'énergies alternatives, peuvent créer des compromis sur les coûts d’approvisionnement en énergie et la fiabilité des opérations. Alors que le secteur opère avec des marges serrées, les réductions en consommation d’énergie pourraient avoir une influence importante sur la performance financière. La manière avec laquelle une entreprise gère son efficacité énergétique, sa dépendance à l’égard de différents types d’énergie et les risques durabilité qui y sont associés, ainsi que sa capacité à accéder à des sources d’énergie alternatives sont susceptible d’avoir un impact sur la performance financière.
Qualité et sécurité des produits
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Gestion des substances chimiques contenues dans les produits
Les produits de l’industrie des matériaux de construction et d’ameublement peuvent contenir des substances potentiellement nocives pour la santé de l’homme, dont des composés organiques volatils et des toxines à potentiel reproducteur, des substances cancérigènes et des perturbateurs endocriniens. En général, ces substances se trouvent dans les produits à faible concentration, et ne posent donc pas, le cas échéant d’inquiétude pour la santé. Néanmoins, le secteur est exposé à un risque réglementaire et réputationnel potentiellement important en raison de son utilisation de substances préoccupantes. Les risques réels ou présumés pour la santé humaine créent la possibilité de futures réglementations sur la teneur en substances chimiques des produits, et d’éventuelles répercussions sur la réputation des entreprises, ce qui peut grandement affecter la demande de produits. La hausse des préoccupations des consommateurs concernant l’utilisation de produits chimiques est à l’origine des efforts volontaires du secteur pour éliminer ces substances chimiques des produits et les substituer par des matériaux alternatifs. L’adoption continue de normes de certifications des bâtiments telles que la norme LEED fait grimper la demande de produits à teneur réduite en composés chimiques. Les entreprises qui parviennent à gérer efficacement les substances chimiques dangereuses contenues dans leurs produits peuvent profiter d’un avantage concurrentiel sur le long terme grâce à une demande accrue, des risques réglementaires moindres et une meilleure valeur de la marque.
Engagement des employés, diversité et inclusion
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Inclusion et diversité des employés
Les entreprises de services bancaires aux entreprises et courtage font face à un degré élevé de concurrence en ce qui concerne les employés qualifiés. Parallèlement, l’industrie présente un faible niveau de diversité, en particulier concernant les postes supérieurs. Ces dernières années, une attention considérable des médias s’est portée sur des cas de discrimination sexuelle impliquant des entreprises de l’industrie cotées en Bourse. Alors que l’industrie est transformée par des innovations rapides comme l’introduction de produits financiers plus complexes et un commerce informatisé, algorithmique et de haute fréquence, la capacité des sociétés à attirer et à retenir les employés qualifiés prendra probablement de plus en plus d’importance. En garantissant la diversité des genres et des origines dans l’ensemble de l’entreprise, les sociétés verront probablement le groupe de leurs candidats s’élargir, ce qui pourrait diminuer le coût à l’embauche et améliorer l’efficacité opérationnelle. En outre, les preuves suggèrent que des groupes diversifiés d’employés dans des entreprises de services bancaires d’investissements et courtage sont susceptibles de réduire la prise de risques par des employés impliqués dans des activités commerciales sujettes aux risques (par ex., la spéculation), ce qui pourrait diminuer le risque d’exposition de l’entreprise dans son ensemble. Une divulgation renforcée concernant la diversité des genres et des origines des employés, en particulier lorsqu’elle est fournie par catégorie d’employés, permettra aux actionnaires d’évaluer la manière dont les sociétés de cette industrie gèrent ces risques et ces opportunités.
Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Impacts environnementaux du cycle de vie des produits
Selon le produit de construction ou le mobilier spécifique, des répercussions environnementales importantes peuvent survenir pendant l’approvisionnement en matière première, le transport, la fabrication, la phase d’utilisation ou la fin de vie. La préférence croissante des consommateurs et des organismes de réglementation pour des produits moins impactant a permis le développement des produits plus durables, généralement appelés les « matériaux de construction verts ». En outre, la certification du cycle de vie des produits est devenue un outil pour les entreprises et leurs clients, afin d’évaluer et d’améliorer l’impact du cycle de vie d’un produit. Les programmes de certification portent généralement sur les caractéristiques spécifiques à la durabilité d’une catégorie de produits et incluent l’utilisation de matériaux en circuit fermé, qui contribue à minimiser les répercussions environnementales d’un produit en fin de vie et à réduire la nécessité d’extraire ou de produire des matériaux vierges. Par le biais de l’innovation et d’une conception de produit facilitant la récupération d’un produit en fin de vie et l’utilisation de matériaux moins impactants, de l’adoption des programmes de certification des produits, et de partenariats avec les clients, les fabricants de produits de construction peuvent obtenir des améliorations dans les impacts du cycle de vie, réduire les risques réglementaires, répondre à la demande croissante des clients et économiser sur les coûts.
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Intégration des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance aux activités de services bancaires aux entreprises et courtage
Les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) peuvent avoir des implications importantes pour les entreprises, les actifs et les projets auxquels les banques d’investissement fournissent des services ou dans lesquels elles investissent à travers un éventail d’industries. Ainsi, en prenant ces facteurs en considération dans leurs activités de souscription, de conseil, d’investissement et de prêt, les banques d’investissement peuvent répondre aux externalités environnementales et sociétales positives et négatives significatives. Le potentiel, à la fois pour la création et pour la perte de valeur associées aux facteurs ESG, suggère que les entreprises bancaires aux entreprises et courtage ont une responsabilité envers leurs actionnaires et leurs clients d’intégrer une prise en considération de ces facteurs dans l’analyse et la valorisation relatives à tous les produits principaux, y compris la recherche sur la vente, les services de conseil, la création, la souscription et les transactions principales. Les entreprises bancaires d’investissement et de courtage qui ne répondent pas à ces risques et opportunités pourraient s’exposer à des risques de réputation et financiers accrus. D’un autre côté, établir une tarification appropriée des risques ESG pourrait réduire l’exposition aux risques financiers des banques d’investissement, contribuer à générer des revenus supplémentaires et/ou ouvrir des opportunités de nouveaux marchés. Pour aider les investisseurs à comprendre si les entreprises de l’industrie gèrent correctement leurs performances sur cette question, les banques d’investissement devraient divulguer la manière dont les facteurs ESG sont intégrés dans leurs principaux produits et services.
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement en bois
L’industrie des matériaux de construction et d’ameublement utilise de grandes quantités de bois en provenance de forêts du monde entier. La production et la récolte non durables du bois d’oeuvre peuvent causer des répercussions sociales et environnementales défavorables, y compris la perte de la biodiversité et des préjudices portés aux moyens de subsistance des communautés qui dépendent des forêts. Les entreprises sont susceptibles de s’approvisionner par inadvertance en bois provenant de régions qui sont sujettes à des pratiques forestières non durables. Des signalements d’exploitation forestière illégale, de pollution environnementale et de conséquences néfastes sur les communautés peuvent causer des répercussions sur la réputation, pouvant nuire à la valeur de la marque de l’entreprise et affecter la demande pour ses produits. En outre, les réglementations concernant l’importation de bois produit illégalement peuvent engendrer des pénalités et d’autres dommages sur la valeur de la marque. Pour limiter ces risques, les entreprises adoptent de plus en plus des certifications par un tiers, qui attestent que le bois est produit et récolté de manière durable. L’obtention de ces certifications d’approvisionnement en bois peut également offrir aux entreprises des opportunités de croissance, car elles peuvent satisfaire la demande des clients pour des produits certifiés.
Éthique des affaires
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Éthique des affaires
L’environnement réglementaire entourant les entreprises bancaires aux entreprises et courtage continue d’évoluer à la fois sur le plan national et international. Il est attendu des sociétés qu’elles se conforment à un ensemble de règles complexes et parfois incohérentes relatives à la performance et qu’elles procèdent et fournissent une divulgation sur ces questions comme le délit d’initié, l’antitrust, l’entente sur les prix et la manipulation de marché. En outre, les entreprises bancaires d’investissement et de courtage sont sujettes à des règles contre des pratiques telles que l’évasion fiscale, la fraude, le blanchiment d’argent et la corruption. Enfin, dans certaines juridictions, des récompenses renforcées pour les dénonciateurs peuvent conduire à une augmentation du nombre de plaintes déposées auprès des régulateurs. Les sociétés capables d’assurer une conformité réglementaire par le biais de contrôles internes robustes seront mieux positionnées pour établir une relation de confiance avec les clients, conduisant à une augmentation des revenus et pour protéger la valeur actionnariale en minimisant les pertes subies en résultat de procédures judiciaires. -
Intégrité professionnelle
Le modèle d’entreprise des sociétés bancaires aux entreprises et de courtage dépend du développement de la confiance et de la fidélité du client. Pour garantir des relations sur le long terme mutuellement bénéfiques, les entreprises doivent fournir des services satisfaisant les normes professionnelles les plus élevées de l’industrie, c’est-à-dire prendre des mesures afin d’éviter les conflits d’intérêts, représentations erronées et négligences. L’intégrité professionnelle se rapporte également au respect d’un code éthique en termes de transparence et de divulgation. Ces mesures sont importantes à la fois pour renforcer la licence d’exploitation de l’entreprise et pour attirer et retenir les clients. Le non-respect des normes professionnelles peut non seulement nuire aux clients qui comptent sur les conseils, les données et les services clés fournis par ces sociétés, mais aussi impacter négativement les actionnaires. Les entreprises bancaires d’investissement et de courtage peuvent non seulement faire face à des sanctions juridiques en relation avec de telles actions, mais également souffrir d’impacts négatifs significatifs sur les revenus du fait de l’atteinte à la réputation. Pour maintenir leur intégrité professionnelle, les entreprises bancaires d’investissement et de courtage doivent s’assurer que les employés ont une formation adéquate, savent et respectent les règlements financiers applicables de l’industrie. Pour se conformer aux lois et règlements de l’industrie, les employeurs doivent s’assurer de connaître tout antécédent de violation passé des employés qui sont impliqués dans les communications et le service de conseil aux clients. Ainsi, une description de l’approche de la gestion de la garantie de l’intégrité professionnelle peut aider les investisseurs à comprendre l’exposition au risque ainsi que tout processus en place pour éviter une faute professionnelle. En outre, la divulgation du montant des amendes et des accords juridiques et réglementaires peut fournir un aperçu plus clair de la mesure dans laquelle les établissements financiers se conforment aux normes de régulation.
Gestion des risques systémiques
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Gestion des risques systémiques
La crise financière de 2008 a démontré l’importance de la gestion des risques pour le capital dans l’industrie des services bancaires aux entreprises et courtage. En particulier, les entreprises ayant eu une mauvaise de ces risques, ont souffert de perte significative de la valeur de leurs actifs financiers tout en augmentant la quantité de passifs comptables, ce qui, en raison de l’interconnectivité du système financier, a contribué à une perturbation significative du marché. La nature systémique du risque résultant de l’interconnectivité des établissements financiers est devenue une préoccupation centrale des régulateurs fédéraux et internationaux. En conséquence, de nombreuses banques doivent passer des stress-tests de contrôle pour évaluer la capacité de l’entreprise à absorber les pertes avec le capital et la liquidité, à poursuivre ses opérations et à respecter ses obligations dans l’éventualité de conditions économiques et financières défavorables. Son incapacité à satisfaire les exigences réglementaires pourrait augmenter de manière importante le coût de conformité future et conduire à des sanctions pécuniaires. Dans un effort pour démontrer la manière dont ces risques, associés à la taille, la complexité, l’interconnectivité, la substituabilité et l’activité inter-juridictionnelle, sont gérés, les banques d’investissement devraient renforcer la divulgation des mesures quantitatives et qualitatives utilisées pour déterminer leur position favorable ou non pour absorber les chocs provenant d’un stress systémique financier et économique et respecter des exigences réglementaires plus strictes. -
Incitations des employés et prise de risques
Les structures de rémunération des employés dans l’industrie des services bancaires aux entreprises et courtage peuvent motiver des employés à se concentrer sur la performance de l’entreprise sur le court et le long terme. Des structures se concentrant de manière excessive sur la performance à court terme sont susceptibles d’encourager une prise de risque excessive et d’avoir des conséquences négatives sur la valeur de l’entreprise sur le long terme. Des inquiétudes concernant cette question ont conduit à une surveillance réglementaire et des actionnaires accrue depuis la crise financière de 2008. Une meilleure divulgation de la rémunération des employés, se concentrant sur l’utilisation d’indicateurs de performance et de rémunération variable, des politiques relatives à des dispositions de droit de reprise, la supervision, le contrôle et la validation de la tarification des actifs de niveau 3 par les opérateurs du marché, fournira aux investisseurs une claire compréhension de la manière dont les entreprises bancaires aux entreprises protègent la valeur de l’entreprise.