Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Producteurs de fer et d’acier L’industrie des producteurs de fer et d’acier se compose de producteurs d’acier qui ont des usines sidérurgiques et des aciéries et des fonderies de fer et d’acier. Le segment des producteurs d’acier comprend les entreprises qui produisent des produits sidérurgiques à partir de leurs propres usines. Ces produits comprennent des feuilles laminées à plat, des plaques d’étain, des tuyaux, des tubes et des produits en acier inoxydable, en titane et en acier fortement allié. Les fonderies de fer et d’acier, qui fondent divers produits, achètent généralement du fer et de l’acier à d’autres entreprises. L’industrie comprend également des centres de service en métal et d’autres grossistes en métaux qui distribuent, importent ou exportent des produits ferreux. La production d’acier passe par deux méthodes principales : le convertisseur basique à oxygène (CBO), qui utilise du minerai de fer comme entrée, et le four à arc électrique (FAE), qui utilise de la ferraille d’acier. De nombreuses entreprises de l’industrie exercent leurs activités à l’échelle internationale. Remarque : à quelques exceptions près, la plupart des entreprises n’exploitent pas leur propre minerai pour fabriquer des produits en acier et en fer. Il existe des normes SASB distinctes pour l’industrie Métaux et exploitation minière (EM-MM).
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  • Services bancaires aux entreprises et courtage L’industrie des services bancaires aux entreprises et courtage est constituée de sociétés remplissant un large éventail de fonctions dans les marchés de capitaux, comme l’assistance au processus de levée et d’allocation de capitaux et la fourniture de services de tenue des marchés et de conseil pour les entreprises, les établissements financiers, les gouvernements et les particuliers très fortunés. Les activités spécifiques comprennent des services de conseil financier et de souscription à des titres fournis contre rémunération ; des activités de courtage de titres et de produits, qui incluent l’achat et la vente de contrats de titres ou de produits et d’options fournis contre commission ou rémunération pour les investisseurs ; et des activités de transactions et d’investissement principal, qui comprennent l’achat et la vente de capitaux, de revenus fixes, de devises, de produits et autres titres pour les transactions axées sur le client et pour compte propre. Les banques d’investissement produisent et titrisent des prêts pour des projets d’infrastructure et autre. Les sociétés de l’industrie génèrent leurs revenus des marchés internationaux et, ainsi, sont exposées à divers environnements réglementaires. L’industrie continue d’affronter la pression réglementaire pour réformer et divulguer des aspects des opérations présentant des risques systémiques. Précisément, les entreprises font face à de nouvelles exigences de fonds propres, à des stress-tests, à des limites aux transactions pour compte propre et à une surveillance accrue des pratiques en matière de rémunération.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (11 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre La production de fer et d’acier génère d’importantes émissions directes de gaz à effet de serre (GES), principalement de dioxyde de carbone et de méthane, provenant des procédés de production et de la combustion de combustible sur place. Bien que les améliorations technologiques aient permis de réduire les émissions de GES par tonne d’acier produit, la production d’acier demeure à forte intensité carbonique par rapport à d’autres industries. Les efforts de réglementation visant à réduire les émissions de GES pour répondre aux risques présentés par le changement climatique peuvent entraîner des coûts et des risques de conformité réglementaires supplémentaires pour les entreprises sidérurgiques en raison des politiques d’atténuation du changement climatique. Des économies opérationnelles peuvent être réalisées par le biais d’une réduction rentable des émissions de GES. Ces économies peuvent atténuer l’impact financier potentiel de l’augmentation des coûts de carburant due aux réglementations visant à limiter ou imposer un prix sur les émissions de GES.
    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Émissions atmosphériques La production de fer et d’acier génère habituellement des polluants atmosphériques importants, des composés organiques volatils (COV) et des polluants atmosphériques dangereux, qui peuvent avoir des répercussions localisées importantes sur la santé publique. Les oxydes de soufre, le dioxyde d’azote, le plomb, le monoxyde de carbone et le manganèse, ainsi que des particules comme la suie et la poussière, qui sont libérés pendant le processus de production, sont particulièrement préoccupants. Partout en Amérique du Nord, en Europe de l’Ouest et au Japon, l’innovation technologique et l’amélioration continue des procédés de fabrication de l’acier ont permis de réduire considérablement les polluants atmosphériques provenant de l’industrie des producteurs de fer et d’acier. Toutefois, les polluants atmosphériques demeurent une source de préoccupation en raison de l’inquiétude accrue de la réglementation et du public à l’égard de la pollution atmosphérique, ainsi que de l’expansion de la production d’acier dans les marchés émergents. La production de fer et d’acier dans les marchés émergents pourrait être touchée par les efforts de réglementation visant à réduire la pollution atmosphérique. La gestion active des émissions des installations par la mise en œuvre de pratiques exemplaires de l’industrie dans l’ensemble des opérations mondiales peut faciliter la transition vers une production d’acier durable, réduire les coûts et potentiellement améliorer l’efficacité opérationnelle.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie La production d’acier nécessite des quantités importantes d’énergie, provenant principalement de la combustion directe de combustibles fossiles ainsi que de l’énergie achetée sur le réseau. La production à forte intensité énergétique a des répercussions sur le changement climatique et les achats d’électricité sur le réseau peuvent entraîner des émissions indirectes de scope 2. Le choix entre les différents processus de production, les fours à arc électrique et les fours à oxygène de base intégrés, peut influencer le choix d’une entreprise à utiliser des combustibles fossiles ou achète de l’électricité. Cette décision, conjuguée au choix entre l’utilisation du charbon, du gaz naturel ou de l’électricité provenant du réseau, peut jouer un rôle important dans l’influence des coûts et de la fiabilité de l’approvisionnement énergétique. Une énergie abordable, facilement accessible et fiable est un facteur concurrentiel important dans cette industrie, les coûts énergétiques représentant une part importante des coûts de fabrication. La façon dont une entreprise sidérurgique gère son efficacité énergétique globale, sa dépendance à l’égard de différents types d’énergie et des risques associés en matière de durabilité, et sa capacité à accéder à d’autres sources d’énergie peuvent influer sur sa rentabilité.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau La production d’acier nécessite une quantité importante d’eau. Les entreprises font face à des risques opérationnels, réglementaires et de réputation en raison de la rareté de l’eau, des coûts d’acquisition de l’eau, des règlements sur les effluents ou la quantité d’eau utilisée et de la concurrence avec les collectivités locales et d’autres industries pour des ressources en eau limitées. C’est le cas notamment dans les régions où l’eau se fait rare, en raison des contraintes potentielles de disponibilité de l’eau et de la volatilité des prix. Les entreprises qui ne sont pas en mesure d’assurer un approvisionnement stable en eau pourraient faire face à des perturbations de la production, tandis que la hausse des prix de l’eau pourrait directement augmenter les coûts de production. Par conséquent, l’adoption de technologies et de processus qui réduisent la consommation d’eau pourrait réduire les risques et les coûts d’exploitation pour les entreprises en minimisant l’incidence de la réglementation, des pénuries d’eau et des perturbations liées aux collectivités sur les activités des entreprises.
    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Gestion des déchets Bien que les taux de valorisation des déchets dans la production d’acier soient élevés, l’industrie génère d’importantes quantités de déchets dangereux. Il y a trois principaux types de déchets dans l’industrie : les scories, les poussières et les boues. Ces sous-produits sont souvent recyclés en interne ou vendus à d’autres industries. Toutefois, les déchets de procédé tels que la poussière de four à arc électrique, qui est réglementée comme une matière dangereuse aux États-Unis en raison de sa teneur en métaux lourds, peuvent avoir d’importantes répercussions sur l’environnement et la santé humaine, présentent un risque réglementaire et entraînent des coûts d’exploitation supplémentaires pour les entreprises. Les risques liés aux répercussions à long terme de l’élimination des déchets peuvent entraîner des coûts importants, y compris ceux associés aux propriétés d’élimination hors site contaminées, pour lesquelles les producteurs de fer et d’acier peuvent être tenus responsables des activités d’assainissement et de restauration. Les entreprises qui réduisent les flux de déchets et les flux de déchets dangereux en particulier, et recyclent ou vendent des sous-produits non dangereux, pourraient donc réduire les risques et les coûts réglementaires tout en augmentant les revenus.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des collaborateurs Les procédés industriels utilisés dans la production de fer et d’acier peuvent présenter des risques importants pour les employés et les entrepreneurs travaillant dans les usines sidérurgiques. Compte tenu des températures élevées et de la machinerie lourde en cause, les blessures et les décès des travailleurs préoccupent les producteurs de fer et d’acier. L’industrie présente un taux de mortalité relativement élevé, ce qui signifie que l’environnement de travail est dangereux et exige une solide culture de sécurité et de solides politiques en matière de santé et de sécurité. Alors que les taux d’accidents dans l’industrie sont en baisse sur le long terme, les blessures et les décès des travailleurs peuvent entraîner des sanctions réglementaires, une publicité négative, une baisse de moral et de la productivité des travailleurs, ainsi qu’une augmentation des coûts des soins de santé et de l’indemnisation.
    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Gestion de la chaîne d’approvisionnement Le minerai de fer et le charbon sont des matières premières essentielles au processus de production de l’acier. L’extraction du minerai de fer et la production de charbon exigent beaucoup de ressources. L’extraction de ces matériaux a souvent des effets environnementaux et sociaux importants sur les communautés locales, les travailleurs et les écosystèmes. De telles répercussions peuvent entraîner des perturbations dans les activités minières en raison de protestations communautaires, de mesures juridiques ou réglementaires, ou une augmentation des coûts d’extraction en raison des coûts de conformité à la réglementation ou des pénalités. Les entreprises sidérurgiques pourraient faire face à des perturbations en conséquence, ou dans certains cas, pourraient également être assujetties à des sanctions réglementaires associées à l’impact environnemental ou social du fournisseur de l’entreprise minière. Afin de réduire au minimum ces risques, les producteurs de fer et d’acier peuvent gérer de façon proactive leurs fournisseurs directs de matières premières critiques pour s’assurer qu’ils ne se livrent pas à des pratiques illégales ou autrement dommageables pour l’environnement ou la société, au moyen d’un examen approprié des fournisseurs, la surveillance et l’engagement.
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
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    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
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  • Services bancaires aux entreprises et courtage Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
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    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
      • Inclusion et diversité des employés Les entreprises de services bancaires aux entreprises et courtage font face à un degré élevé de concurrence en ce qui concerne les employés qualifiés. Parallèlement, l’industrie présente un faible niveau de diversité, en particulier concernant les postes supérieurs. Ces dernières années, une attention considérable des médias s’est portée sur des cas de discrimination sexuelle impliquant des entreprises de l’industrie cotées en Bourse. Alors que l’industrie est transformée par des innovations rapides comme l’introduction de produits financiers plus complexes et un commerce informatisé, algorithmique et de haute fréquence, la capacité des sociétés à attirer et à retenir les employés qualifiés prendra probablement de plus en plus d’importance. En garantissant la diversité des genres et des origines dans l’ensemble de l’entreprise, les sociétés verront probablement le groupe de leurs candidats s’élargir, ce qui pourrait diminuer le coût à l’embauche et améliorer l’efficacité opérationnelle. En outre, les preuves suggèrent que des groupes diversifiés d’employés dans des entreprises de services bancaires d’investissements et courtage sont susceptibles de réduire la prise de risques par des employés impliqués dans des activités commerciales sujettes aux risques (par ex., la spéculation), ce qui pourrait diminuer le risque d’exposition de l’entreprise dans son ensemble. Une divulgation renforcée concernant la diversité des genres et des origines des employés, en particulier lorsqu’elle est fournie par catégorie d’employés, permettra aux actionnaires d’évaluer la manière dont les sociétés de cette industrie gèrent ces risques et ces opportunités.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Intégration des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance aux activités de services bancaires aux entreprises et courtage Les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) peuvent avoir des implications importantes pour les entreprises, les actifs et les projets auxquels les banques d’investissement fournissent des services ou dans lesquels elles investissent à travers un éventail d’industries. Ainsi, en prenant ces facteurs en considération dans leurs activités de souscription, de conseil, d’investissement et de prêt, les banques d’investissement peuvent répondre aux externalités environnementales et sociétales positives et négatives significatives. Le potentiel, à la fois pour la création et pour la perte de valeur associées aux facteurs ESG, suggère que les entreprises bancaires aux entreprises et courtage ont une responsabilité envers leurs actionnaires et leurs clients d’intégrer une prise en considération de ces facteurs dans l’analyse et la valorisation relatives à tous les produits principaux, y compris la recherche sur la vente, les services de conseil, la création, la souscription et les transactions principales. Les entreprises bancaires d’investissement et de courtage qui ne répondent pas à ces risques et opportunités pourraient s’exposer à des risques de réputation et financiers accrus. D’un autre côté, établir une tarification appropriée des risques ESG pourrait réduire l’exposition aux risques financiers des banques d’investissement, contribuer à générer des revenus supplémentaires et/ou ouvrir des opportunités de nouveaux marchés. Pour aider les investisseurs à comprendre si les entreprises de l’industrie gèrent correctement leurs performances sur cette question, les banques d’investissement devraient divulguer la manière dont les facteurs ESG sont intégrés dans leurs principaux produits et services.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Éthique des affaires L’environnement réglementaire entourant les entreprises bancaires aux entreprises et courtage continue d’évoluer à la fois sur le plan national et international. Il est attendu des sociétés qu’elles se conforment à un ensemble de règles complexes et parfois incohérentes relatives à la performance et qu’elles procèdent et fournissent une divulgation sur ces questions comme le délit d’initié, l’antitrust, l’entente sur les prix et la manipulation de marché. En outre, les entreprises bancaires d’investissement et de courtage sont sujettes à des règles contre des pratiques telles que l’évasion fiscale, la fraude, le blanchiment d’argent et la corruption. Enfin, dans certaines juridictions, des récompenses renforcées pour les dénonciateurs peuvent conduire à une augmentation du nombre de plaintes déposées auprès des régulateurs. Les sociétés capables d’assurer une conformité réglementaire par le biais de contrôles internes robustes seront mieux positionnées pour établir une relation de confiance avec les clients, conduisant à une augmentation des revenus et pour protéger la valeur actionnariale en minimisant les pertes subies en résultat de procédures judiciaires.
      • Intégrité professionnelle Le modèle d’entreprise des sociétés bancaires aux entreprises et de courtage dépend du développement de la confiance et de la fidélité du client. Pour garantir des relations sur le long terme mutuellement bénéfiques, les entreprises doivent fournir des services satisfaisant les normes professionnelles les plus élevées de l’industrie, c’est-à-dire prendre des mesures afin d’éviter les conflits d’intérêts, représentations erronées et négligences. L’intégrité professionnelle se rapporte également au respect d’un code éthique en termes de transparence et de divulgation. Ces mesures sont importantes à la fois pour renforcer la licence d’exploitation de l’entreprise et pour attirer et retenir les clients. Le non-respect des normes professionnelles peut non seulement nuire aux clients qui comptent sur les conseils, les données et les services clés fournis par ces sociétés, mais aussi impacter négativement les actionnaires. Les entreprises bancaires d’investissement et de courtage peuvent non seulement faire face à des sanctions juridiques en relation avec de telles actions, mais également souffrir d’impacts négatifs significatifs sur les revenus du fait de l’atteinte à la réputation. Pour maintenir leur intégrité professionnelle, les entreprises bancaires d’investissement et de courtage doivent s’assurer que les employés ont une formation adéquate, savent et respectent les règlements financiers applicables de l’industrie. Pour se conformer aux lois et règlements de l’industrie, les employeurs doivent s’assurer de connaître tout antécédent de violation passé des employés qui sont impliqués dans les communications et le service de conseil aux clients. Ainsi, une description de l’approche de la gestion de la garantie de l’intégrité professionnelle peut aider les investisseurs à comprendre l’exposition au risque ainsi que tout processus en place pour éviter une faute professionnelle. En outre, la divulgation du montant des amendes et des accords juridiques et réglementaires peut fournir un aperçu plus clair de la mesure dans laquelle les établissements financiers se conforment aux normes de régulation.
    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
      • Gestion des risques systémiques La crise financière de 2008 a démontré l’importance de la gestion des risques pour le capital dans l’industrie des services bancaires aux entreprises et courtage. En particulier, les entreprises ayant eu une mauvaise de ces risques, ont souffert de perte significative de la valeur de leurs actifs financiers tout en augmentant la quantité de passifs comptables, ce qui, en raison de l’interconnectivité du système financier, a contribué à une perturbation significative du marché. La nature systémique du risque résultant de l’interconnectivité des établissements financiers est devenue une préoccupation centrale des régulateurs fédéraux et internationaux. En conséquence, de nombreuses banques doivent passer des stress-tests de contrôle pour évaluer la capacité de l’entreprise à absorber les pertes avec le capital et la liquidité, à poursuivre ses opérations et à respecter ses obligations dans l’éventualité de conditions économiques et financières défavorables. Son incapacité à satisfaire les exigences réglementaires pourrait augmenter de manière importante le coût de conformité future et conduire à des sanctions pécuniaires. Dans un effort pour démontrer la manière dont ces risques, associés à la taille, la complexité, l’interconnectivité, la substituabilité et l’activité inter-juridictionnelle, sont gérés, les banques d’investissement devraient renforcer la divulgation des mesures quantitatives et qualitatives utilisées pour déterminer leur position favorable ou non pour absorber les chocs provenant d’un stress systémique financier et économique et respecter des exigences réglementaires plus strictes.
      • Incitations des employés et prise de risques Les structures de rémunération des employés dans l’industrie des services bancaires aux entreprises et courtage peuvent motiver des employés à se concentrer sur la performance de l’entreprise sur le court et le long terme. Des structures se concentrant de manière excessive sur la performance à court terme sont susceptibles d’encourager une prise de risque excessive et d’avoir des conséquences négatives sur la valeur de l’entreprise sur le long terme. Des inquiétudes concernant cette question ont conduit à une surveillance réglementaire et des actionnaires accrue depuis la crise financière de 2008. Une meilleure divulgation de la rémunération des employés, se concentrant sur l’utilisation d’indicateurs de performance et de rémunération variable, des politiques relatives à des dispositions de droit de reprise, la supervision, le contrôle et la validation de la tarification des actifs de niveau 3 par les opérateurs du marché, fournira aux investisseurs une claire compréhension de la manière dont les entreprises bancaires aux entreprises protègent la valeur de l’entreprise.

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