Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Industrie pétrolière et gazière – services Les entreprises de services pétroliers et gaziers proposent des services de soutien, fabriquent des équipements ou sont des foreurs sous contrat pour les entreprises de prospection et de production pétrolière et gazière (E&P). Le segment du forage ou d’aide au forage comprend des entreprises qui exploitent sous contrat du pétrole et du gaz naturel, sur terre et en mer. Les entreprises actives dans cette industrie peuvent également fabriquer des plateformes de forage auto-élévatrices, des plateformes de forage semi-submersibles et des navires de forage. Les entreprises de l’industrie des services pétroliers fabriquent également des équipements utilisés lors de l’extraction, du stockage et du transport de pétrole et de gaz naturel. Elles proposent également des services de soutien comme les levés sismiques, la location d’équipement, la cimentation de puits et la surveillance de puits. Ces produits sont généralement proposés sur une base contractuelle, et le client achète ou loue le matériel et l’équipement au prestataire de service. Les entreprises de service peuvent également proposer une expertise personnelle ou sur le contenu dans le cadre de leurs services. La relation contractuelle entre les entreprises de services pétroliers et gaziers et leurs clients joue un rôle important dans la détermination des impacts matériels de leurs performances en matière de durabilité. Outre les tarifs facturés, les entreprises sont en concurrence en ce qui concerne leurs performances opérationnelles et en matière de sécurité, leur offre technologique et en matière de processus, et leur réputation.
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  • Technologie éolienne et développeurs de projets éoliens L’industrie de la technologie éolienne et des développeurs de projets éoliens se compose d’entreprises qui fabriquent des turbines, pales, tours et autres composants des systèmes éoliens. Les entreprises qui développent, construisent et gèrent les projets d’énergie éolienne sont également incluses dans le champ d’application de cette industrie. Les fabricants peuvent également offrir des services d’entretien et d’assistance après-vente. Les éoliennes peuvent être installées sur terre ou en mer, ce qui peut entraîner des différences de capacité en production d’énergie éolienne et créer des difficultés dans le développement de projets pour chaque type d'installation. La plupart des plus grandes entreprises de technologie éolienne opèrent au niveau mondial.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (10 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Industrie pétrolière et gazière – services Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Services de réduction des émissions et gestion du carburant Bien que les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes et que les risques réglementaires associés soient relativement faibles pour les prestataires de services pétroliers et gaziers par rapport aux autres industries, les émissions des activités de leurs clients (les entreprises de prospection et de production pétrolière et gazière [E&P]) peuvent être importantes. Les émissions incluent les GES susceptibles de contribuer au changement climatique et d’autres polluants atmosphériques pouvant avoir des répercussions importantes et localisées sur la santé humaine et l’environnement. La réglementation croissante et les coûts élevés des carburants associés à ces émissions présentent des risques importants pour les entreprises E&P. Cela conduit les entreprises à chercher des moyens de réduire leurs émissions, notamment la conversion des pompes et des moteurs en vue d’utiliser du gaz naturel au lieu du diesel. Les entreprises de services pétroliers et gaziers sont en concurrence avec les entreprises E&P pour obtenir des contrats, en partie sur la base de la fourniture de technologies de pointe et efficaces susceptibles d’aider les clients à réduire les coûts et à améliorer l’efficacité des processus. Les entreprises peuvent gagner un avantage concurrentiel et protéger leurs recettes et parts de marché en proposant aux clients des services et des équipements qui réduisent les émissions et la consommation de carburant dues aux activités E&P, et en capturant le gaz commercialisable qui, autrement, serait torché ou se serait écoulé par des fuites.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Services de la gestion de l’eau Le développement pétrolier et gazier nécessite souvent de grandes quantités d’eau, exposant les producteurs au risque de réduction des ressources en eau disponibles, aux réglementations limitant son usage ou aux augmentations de coûts liées, notamment dans les régions à stress hydrique. Les producteurs sont également confrontés aux risques et aux coûts associés à l’élimination des eaux usées. En tant que telles, les entreprises qui fournissent des services aux producteurs pétroliers et gaziers ont développé des technologies et des processus tels que les systèmes de recyclage de l’eau en circuit fermé visant à réduire la consommation d’eau et les coûts d’élimination des clients. Ces offres donnent aux entreprises de service la possibilité de gagner des parts de marché et d’augmenter les recettes puisque le forage et les eaux usées peuvent être un facteur concurrentiel pour leurs clients.
    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Gestion des produits chimiques Pétrole et gaz - Les entreprises de services produisent des produits chimiques pétroliers et des fluides de fracturation de forage et hydraulique en fonction de la demande des entreprises de exploration et de production (E&P). Si le risque de fuites d’un puits correctement foré et achevé est faible, la contamination des ressources hydriques locales peut découler, d’une part, du contact entre les fluides de fracturation hydrauliques et l’eau produite, d’autre part, des problèmes liés à l’intégrité du puits. Des inquiétudes relatives à certains produits chimiques utilisés dans les fluides de fracturations hydrauliques ont entraîné des interdictions defracturation, des réglementations et des propositions législatives visant à rendre obligatoire la communication des produits chimiques utilisés dans certaines régions, aux États-Unis et à l’étranger. La composition chimique exacte des fluides de fracturation hydraulique est souvent confidentielle et les entreprises sont en concurrence dans la création de la formule la plus efficace. Aux États-Unis, certaines entreprises communiquent volontairement des informations à propos des produits chimiques de fracturation hydraulique qu’elles utilisent à l’aide d’un registre de l’industrie, FracFocus. En raison de l’attention portée aux dangers potentiels des fluides de forage par le public et le pouvoir réglementaire, les entreprises en mesure de gérer les problèmes liés au développement et à l’intégrité des puits, à la production et à l’utilisation de fluides de fracturation non dangereux, et à la réduction du volume de fluides de forage utilisés par puits, peuvent augmenter leurs parts de marché et leurs recettes ainsi que réduire le risque que des réglementations affectent la demande de leurs produits.
    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Gestion des répercussions écologiques Les activités d’exploration et de développement pétrolières et gazières, les services associés et les activités de soutien peuvent avoir des répercussions importantes sur la biodiversité et les écosystèmes, notamment lorsque les entreprises exercent leurs activités dans des zones écologiquement fragiles ou sont caractérisées par des activités nécessitant des ressources considérables. Ces répercussions peuvent découler de l’élimination des déchets liés au forage et associés, à la mise hors service de puits, à l’utilisation des sols et au déversement d’hydrocarbures. Les producteurs sont confrontés à des risques réglementaires liés à la législation et à l’octroi de permis en vue de protéger les écosystèmes aux États-Unis et à l’étranger, et liés à des réglementations qui concernent spécifiquement la mise hors service des puits ou l’injection de déchets souterraine. Les entreprises de services pétroliers et gaziers en mesure de proposer une production rentable et efficace ainsi que des technologies de mise hors service permettant d’atténuer les répercussions sur la biodiversité en réduisant l’utilisation des sols, les déchets du forage et les déversements peuvent réduire les risques associés pour leurs clients et gagner un avantage concurrentiel.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des collaborateurs Les travailleurs de l’industrie sont confrontés à des risques importants pour la santé et la sécurité en raison des environnements de travail difficiles et des dangers liés à la manipulation de pétrole et de gaz. Outre les répercussions graves découlant d’accidents, les travailleurs peuvent développer des problèmes de santé chroniques, notamment ceux causés par l’inhalation de silice et de poussières, et des problèmes de santé mentale. Les travailleurs et les intérimaires des entreprises de services pétroliers et gaziers constituent une part importante des collaborateurs sur les sites de forage pétroliers et gaziers. Les répercussions sanitaires pour ces travailleurs et leur performance en matière de sécurité peuvent directement affecter les entreprises de service en influençant la productivité et les coûts des travailleurs. Les entreprises de service sont en concurrence sur la base de leur réputation et de leur capacité à toujours exercer des activités en toute sécurité. Les clients évaluent les cas d’accident, de déversement, de blessure et d’accident mortel lorsqu’ils envisagent d’accorder des contrats aux entreprises de services.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
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    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Éthique des affaires et transparence des paiements Avec des opérations dans le monde entier, les entreprises de services pétroliers et gaziers communiquent avec des gouvernements et des représentants locaux, directement ou par des agents, pour gagner des contrats avec des entreprises pétrolières détenues par l’État ou des entreprises multinationales. La corruption est courante dans certaines régions, et dans d’autres, la transparence des paiements au gouvernement peut être un problème majeur. L’émergence de plusieurs lois et d’initiatives de lutte contre la corruption et relatives à la transparence des paiements crée des mécanismes réglementaires permettant de réduire certains risques. La violation de ces lois peut entraîner des coûts ponctuels ou des coûts de conformité continus plus élevés, tandis que la conformité à ces réglementations peut permettre de réduire les risques et d’éviter des conséquences indésirables. Les entreprises de services pétroliers et gaziers subissent des pressions pour garantir que leurs structures et pratiques de gouvernance peuvent lutter contre la corruption, contre la participation délibérée ou involontaire à des paiements et cadeaux illégaux, ou contraires à l’éthique, à des fonctionnaires ou à des personnes privées, ou contre le risque d’influencer autrement et injustement ces personnes, notamment dans des zones présentant un risque accru.
    • Gestion de l’environnement juridique et réglementaire La catégorie aborde l’approche d’une entreprise de la coopération avec des organismes de réglementation dans les cas où des intérêts commerciaux et publics peuvent potentiellement avoir des impacts négatifs directs ou indirects sur le plan environnemental et social, sur le long terme. La catégorie aborde le niveau de dépendance d’une entreprise vis-à-vis des politiques réglementaires ou des incitations financières (comme les subventions et les taxes), ses actions pour influencer la politique industrielle (par exemple à travers le lobbying), sa dépendance générale vis-à-vis d’un environnement réglementaire favorable pour la compétitivité des entreprises, et sa capacité à respecter les réglementations pertinentes. Elle peut avoir trait à l’alignement des perspectives de la direction et des investisseurs de l’engagement réglementaire et de la conformité en général.
      • Gestion de l’environnement juridique et réglementaire L’industrie est soumise à des réglementations relatives à la durabilité et à un environnement réglementaire en constante évolution. Les modifications apportées à l’environnement juridique et réglementaire peuvent entraîner des répercussions importantes sur la valeur actionnariale. Les entreprises de l’industrie participent régulièrement au processus réglementaire et législatif sur de nombreuses questions environnementales et sociétales, directement ou en étant représentées par une association industrielle. Cet engagement peut découler du fait que les entreprises cherchent à garantir la représentation du point de vue de l’industrie dans l’évolution des réglementations affectant l’industrie et la représentation des intérêts des actionnaires. Dans le même temps, cet engagement visant à influencer les lois et réglementations environnementales peut avoir des conséquences néfastes sur la réputation des entreprises auprès des parties prenantes et peut, à terme, impacter l’acceptabilité sociale de l’entreprise. Les entreprises capables d’équilibrer ces points de vue pourraient être mieux à même de répondre à l’évolution du cadre réglementaire à moyen et long terme.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Gestion des risques d’incidents critiques Des risques importants pèsent sur les entreprises de services ; ils sont associés à des événements peu probables dont les conséquences sont importantes ainsi qu’à des activités d’exploration, de développement et de production pétrolières et gazières. Ces événements peuvent entraîner de nombreux accidents mortels, des dommages matériels importants et des répercussions indésirables majeures sur l’environnement. Les entreprises de services peuvent être indirectement touchées en raison des répercussions que les incidents ou les urgences de sécurité peuvent avoir sur leurs clients de prospection et de production (E&P). De plus, les incidents majeurs peuvent avoir un large éventail de conséquences sociales et environnementales négatives dont les entreprises E&P et de services peuvent être tenues responsables. Les entreprises de service sont en concurrence sur la base de leur réputation et de leur capacité à toujours exercer des activités en toute sécurité. Outre l’application de pratiques effectives de gestion de la sécurité des processus, les entreprises mettent souvent la priorité sur le développement d’une culture de la sécurité solide en vue de réduire la probabilité de survenance des accidents et des autres incidents liés à la santé et à la sécurité. Si des accidents et d’autres urgences surviennent malgré tout, les entreprises dotées d’une culture de la sécurité solide sont souvent à même de détecter plus efficacement ces incidents et d’y réagir. Une culture qui mobilise les employés et les sous-traitants, et leur permet de collaborer avec des entreprises de gestion et E&P en vue de garantir leurs propres santé, sécurité et bien-être, et de prévenir les accidents, est susceptible d’aider les entreprises de services à réduire les risques pesant sur la valeur financière.
  • Technologie éolienne et développeurs de projets éoliens Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
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    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des collaborateurs De nombreux fabricants d’éoliennes offrent des services de fonctionnement et d’entretien (O&M) pour les propriétaires ou opérateurs de parc éolien avec la vente de leurs produits. Ces activités peuvent inclure l’installation, l’entretien, la surveillance et la réparation des installations éoliennes. Le secteur de l’O&M pour les parcs éoliens est tenu de respecter une norme de sécurité élevée car le travail est naturellement dangereux. Les risques incluent des dangers physiques tels que les chutes de hauteurs et le déplacement de pièces mécaniques, ainsi que des dangers électriques. La qualité des services O&M est donc critique pour la sécurité lors du fonctionnement de parcs éoliens, avec le potentiel d’affecter la réputation des entreprises et la demande pour des produits et services. L’arrêt d’exploitation et les répercussions sur les coûts d’assurance des parcs éoliens à la suite d’accidents peuvent potentiellement être ajoutés aux coûts opérationnels des parcs éoliens. Les propriétaires ou développeurs de parcs éoliens peuvent ainsi prendre en compte la fiche de sécurité des fournisseurs d’éoliennes et de services dans leurs appels d’offres. Les entreprises qui peuvent améliorer la sécurité des éoliennes et des services O&M peuvent potentiellement réduire les coûts opérationnels et les dépenses extraordinaires.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Répercussions écologiques de l’élaboration de projets Le développement des parcs éoliens implique l’acquisition de sols et de sites, de permis, et l’engagement des acteurs locaux afin de répondre aux préoccupations concernant de potentielles répercussions sur l’environnement et la communauté. Les développements extracôtiers peuvent affecter l’écosystème marin, et les parcs éoliens côtiers comme extracôtiers peuvent avoir des effets néfastes sur les populations animales locales, dont certaines peuvent être menacées. L’obtention de permis environnementaux et de construction pour les projets peut être ralentie ou empêchée si des régulateurs ou des membres de la communauté soulèvent des préoccupations concernant les répercussions écologiques du développement. L’approbation de projets d’éoliennes affecte directement les fabricants d’équipements par la demande en éoliennes. Alors que les fabricants ne contrôlent généralement pas le processus d’approbation du projet, les investissements en recherche et développement peuvent minimiser les répercussions écologiques pour des avantages à long terme. Ces mesures peuvent faciliter les approbations de projet et donner aux fabricants de technologies éoliennes un avantage concurrentiel, augmentant potentiellement leur part de marché dans le même temps.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en matériaux Les entreprises de technologie éolienne s’approvisionnent en matériaux depuis des chaînes d’approvisionnement mondiales pour une utilisation dans les éoliennes, y compris des matériaux critiques, tels que le néodyme et le dysprosium, et des minéraux critiques dont le tantale et le tungstène. Les risques d’approvisionnement en matériaux proviennent d’un taux de substitution bas, de la concentration des dépôts dans certains pays, des considérations géopolitiques et de la concurrence des autres industries. Les éoliennes à entraînement direct, qui sont de plus en plus utilisées pour leur fiabilité, peuvent nécessiter plus de matériaux critiques que les éoliennes traditionnelles. Les entreprises peuvent minimiser les effets externes négatifs et se protéger de la volatilité des coûts associée et des contraintes d’approvisionnement en créant des chaînes d’approvisionnement transparentes, en travaillant activement à s’approvisionner en matériaux chez des fournisseurs ou dans des régions fiables avec des risques environnementaux et sociaux minimes, en soutenant la recherche pour des intrants de substitution et en réduisant leur dépendance envers ces matériaux.
      • Efficacité des matériaux Le succès à long terme de l’industrie de la technologie éolienne et des initiateurs de projets dépend de sa capacité à produire de l’énergie à un coût relativement plus bas que les autres sources d’énergie. L’acquisition de l’acier et autres matériaux est un des composants les plus coûteux des éoliennes et les intrants tels que l’acier ont démontré une volatilité des prix par le passé. Ces dernières années, les éoliennes se sont développées en taille, que ce soit au niveau de la hauteur de la tour ou de la superficie balayée par le rotor, afin d’améliorer le rendement énergétique et d’augmenter le potentiel de production d’énergie éolienne dans plus de régions. Pour parvenir à cette croissance de manière rentable, les entreprises peuvent employer des méthodes innovantes afin d’augmenter le rendement énergétique des éoliennes tout en utilisant des matériaux plus efficaces. Ceci pourrait influencer la compétitivité et la part de marché des entreprises, leurs coûts de production et leurs risques opérationnels liés à l’approvisionnement et à la volatilité des prix des matières premières, ainsi que la capacité de l’industrie à se développer.
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
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    • Gestion de l’environnement juridique et réglementaire La catégorie aborde l’approche d’une entreprise de la coopération avec des organismes de réglementation dans les cas où des intérêts commerciaux et publics peuvent potentiellement avoir des impacts négatifs directs ou indirects sur le plan environnemental et social, sur le long terme. La catégorie aborde le niveau de dépendance d’une entreprise vis-à-vis des politiques réglementaires ou des incitations financières (comme les subventions et les taxes), ses actions pour influencer la politique industrielle (par exemple à travers le lobbying), sa dépendance générale vis-à-vis d’un environnement réglementaire favorable pour la compétitivité des entreprises, et sa capacité à respecter les réglementations pertinentes. Elle peut avoir trait à l’alignement des perspectives de la direction et des investisseurs de l’engagement réglementaire et de la conformité en général.
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    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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