Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Boissons non alcoolisées
L’industrie des boissons non alcoolisées produit une vaste gamme de boissons, y compris diverses boissons gazeuses, des sirop concentrés, des jus, des boissons énergisantes et dédiées à la pratique sportive, des thés, du café et de l’eau. L’industrie est dominée par de grandes entreprises internationales. Les entreprises participent à la fabrication, à la commercialisation, à l’embouteillage et à la distribution de sirop, et les grandes entreprises sont généralement plus intégrées verticalement aux activités qui mettent en bouteille, vendent et distribuent les produits finis. -
Producteurs de fer et d’acier
L’industrie des producteurs de fer et d’acier se compose de producteurs d’acier qui ont des usines sidérurgiques et des aciéries et des fonderies de fer et d’acier. Le segment des producteurs d’acier comprend les entreprises qui produisent des produits sidérurgiques à partir de leurs propres usines. Ces produits comprennent des feuilles laminées à plat, des plaques d’étain, des tuyaux, des tubes et des produits en acier inoxydable, en titane et en acier fortement allié. Les fonderies de fer et d’acier, qui fondent divers produits, achètent généralement du fer et de l’acier à d’autres entreprises. L’industrie comprend également des centres de service en métal et d’autres grossistes en métaux qui distribuent, importent ou exportent des produits ferreux. La production d’acier passe par deux méthodes principales : le convertisseur basique à oxygène (CBO), qui utilise du minerai de fer comme entrée, et le four à arc électrique (FAE), qui utilise de la ferraille d’acier. De nombreuses entreprises de l’industrie exercent leurs activités à l’échelle internationale. Remarque : à quelques exceptions près, la plupart des entreprises n’exploitent pas leur propre minerai pour fabriquer des produits en acier et en fer. Il existe des normes SASB distinctes pour l’industrie Métaux et exploitation minière (EM-MM).
Questions pertinentes pour les deux Industries (11 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3). -
Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte. -
Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques. -
Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes. - Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
- Accès et caractère abordable
- Qualité et sécurité des produits
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Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits. -
Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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Capital humain
- Pratiques de travail
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle. - Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories. - Résilience du modèle économique
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte. -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte. - Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
- Éthique des affaires
- Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
- Gestion des risques systémiques
Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).-
Gestion du carburant de la flotte
Les entreprises de boissons non alcoolisées produisent directement des émissions de gaz à effet de serre (GES) de Champ d’application 1 provenant des grandes flottes automobiles pour la distribution et des installations de fabrication. Plus précisément, la réfrigération utilisée dans les installations de fabrication et dans les véhicules de transport contribue à une grande partie des émissions globales de l’industrie. Les gains d’efficacité dans l’utilisation des combustibles peuvent réduire les coûts, atténuer l’exposition à la volatilité des prix des combustibles fossiles et limiter les émissions provenant de la production, du stockage et du transport des produits. Les dépenses en immobilisations à court terme des parcs de véhicules écoénergétiques et des technologies plus écoénergétiques peuvent être compensées par des économies opérationnelles à long terme et l’atténuation des risques réglementaires.
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Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.None -
Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
Les entreprises de l’industrie des boissons non alcoolisées utilisent beaucoup d’énergie pour exploiter des installations de fabrication, des centres de distribution et des entrepôts. Les entreprises de l’industrie achètent généralement de l’électricité sur le réseau. La production d’énergie contribue aux impacts environnementaux, y compris le changement climatique et la pollution, qui peuvent avoir des répercussions indirectes, mais importantes, sur les activités des entreprises de boissons non alcoolisées. Les entreprises peuvent réduire la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre (GES) associées à leurs activités en mettant en œuvre des technologies et des processus plus efficaces. Les décisions relatives à l’utilisation de carburants alternatifs, d’énergies renouvelables et d’électricité produite sur site par rapport à son achat sur le réseau, peuvent jouer un rôle important en influençant à la fois les coûts et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique.
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Gestion de l’eau
La gestion de l’eau est liée à l’usage direct de l’eau par une entreprise, l’exposition de ses activités dans des régions soumises à un stress hydrique et sa gestion des eaux usées. Les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées utilisent une grande qualité d’eau pour leurs activités, car l’eau est un composant clé des produits finaux. Étant donné que les entreprises de boissons non alcoolisées dépendent largement de gros volumes d’eau potable et que le stress hydrique augmente dans plusieurs régions du monde, les entreprises peuvent être exposées à des ruptures d’approvisionnement qui pourraient avoir des répercussions importantes sur les activités et sur les prix. Les entreprises qui opèrent dans les régions exposées au stress hydrique qui échoue à répondre aux préoccupations locales concernant l’eau peuvent faire face au risque de perdre leur permis d’exploitation. De plus, un traitement adéquat des eaux usées est un élément important de la gestion des problèmes d’eau dans les opérations, car les usines d’embouteillage rejettent de grandes quantités d’effluents. L’amélioration de la gestion de l’eau par le biais d’une efficacité améliorée, du recyclage et de l’élimination appropriée notamment dans les régions avec un stress hydrique de référence, peut entraîner une baisse des coûts opérationnels, une réduction des risques et une augmentation de la valeur des actifs intangibles.
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.None -
Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.-
Santé et nutrition
Les principales préoccupations en matière de nutrition et de santé, comme l’obésité, la sécurité des ingrédients, le contenu nutritionnel et les effets aigus sur la santé découlant de la consommation de boissons non alcoolisées, façonnent le paysage concurrentiel de l’industrie. Des études indiquent que la consommation de boissons riches en calories et sucrées peut avoir des conséquences néfastes sur la santé, notamment des niveaux plus élevés de cholestérol, un risque accru de maladies cardiaques et l’obésité. De telles constatations peuvent modifier les perceptions des consommateurs à l’égard des produits de l’industrie, ce qui entraîne des changements à long terme dans les décisions d’achat. De plus, les efforts visant à réduire l’obésité, sous la forme de nouveaux règlements ou de nouvelles taxes sur les boissons sucrées, peuvent influencer la rentabilité de l’industrie et la demande future. La possibilité d’effets nocifs sur la santé d’autres ingrédients couramment utilisés, comme les édulcorants artificiels, peut poser d’autres problèmes, et les entreprises peuvent faire face à des litiges ou à des règlements connexes. Des possibilités existent dans de nouveaux segments du marché des boissons pour répondre à la demande des consommateurs pour une meilleure valeur nutritionnelle. Les entreprises qui s’adaptent aux préférences changeantes des consommateurs et à un environnement réglementaire en évolution en offrant des solutions de rechange plus saines peuvent obtenir une part de marché supplémentaire et limiter leur exposition à la réglementation et aux litiges.
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.-
Étiquetage des produits et commercialisation
La communication avec les consommateurs par le biais du marketing et de l’étiquetage des produits est un aspect important des entreprises de boissons non alcoolisées. La précision et la richesse des informations présentées sur l’étiquetage des produits revêtent de l’importance pour les consommateurs comme pour les organismes de réglementation. Les réglementations d’étiquetage requièrent des informations de produit précises et détaillées pour assurer la sécurité alimentaire et informer les consommateurs sur la valeur nutritionnelle. En outre, pour éclairer leurs décisions d’achat, les clients sont de plus en plus intéressés par les informations supplémentaires sur les ingrédients, comme la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM), ou d’autres effets sur la santé et la nutrition. Les pratiques de marché des entreprises de boissons non alcoolisées constituent un autre sujet de préoccupation publique, en particulier celles ciblant les enfants ou les allégations concernant la valeur nutritive, ainsi que la possibilité qu’elles présentent des informations fausses ou trompeuses. Les questions de marketing et d’étiquetage des produits peuvent influencer l’environnement concurrentiel de l’industrie, car les entreprises peuvent faire l’objet de litiges ou de critiques pour des déclarations trompeuses ou si elles ne s’adaptent pas aux demandes des consommateurs pour plus de transparence et d’étiquetage. Ces facteurs peuvent avoir une incidence sur la valeur de la marque et la croissance du chiffre d’affaires des entreprises. Par ailleurs, les réglementations sur le marketing et l’étiquetage des produits présentent un risque de pénalités ou de litiges.
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.None -
Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Gestion du cycle de vie de l’emballage
Les matériaux d’emballage représentent un coût significatif pour les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées. Bien que la plupart des entreprises de boissons non alcoolisées ne fabriquent pas leurs propres bouteilles et emballages, elles font face à des risques d’atteinte à la réputation associés aux effets externes négatifs que les contenants de leurs produits peuvent créer sur leur cycle de vie. Les entreprises sont également directement affectées par la loi concernant la gestion en fin de vie des contenants de boissons. Les entreprises de boissons non alcoolisées peuvent travailler avec des fabricants d’emballage sur la conception des emballages afin de générer des économies sur les coûts, d’améliorer la réputation de la marque et de réduire les répercussions environnementales. Les efforts pour réduire la quantité de matériaux utilisés dans les emballages peuvent aider à réduire les coûts de transport, l’exposition à l’approvisionnement et la volatilité des prix des principaux matériaux, ainsi que la quantité de matériaux vierges extraits. Dans la phase de fin de vie, des programmes et partenariats de reprise et de recyclage peuvent anticiper la réglementation, aider à faire des économies sur les coûts et à réduire les répercussions environnementales. Les entreprises qui parviennent à gérer cette question peuvent améliorer leur rentabilité et réduire le coût du capital.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.-
Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement des composants
Les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées gèrent des chaînes d’approvisionnement mondiales pour acquérir une large gamme d’ingrédients. La manière dont les entreprises présentent, suivent et s’engagent avec les fournisseurs sur les sujets sociaux et environnementaux affecte la capacité des entreprises à sécuriser l’approvisionnement et à gérer les fluctuations de prix. Une interruption de la chaîne d’approvisionnement peut entraîner une perte de revenus et une répercussion négative sur la part de marché si les entreprises ne sont pas capables de trouver des alternatives aux fournisseurs importants ou si elles doivent acquérir des ingrédients à un prix plus élevé. Les problèmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement associés aux pratiques de travail, à la responsabilité environnementale, à l’éthique ou à la corruption peuvent également entraîner des amendes réglementaires et/ou une augmentation des coûts opérationnels à long terme pour les entreprises. La nature grand public de l’industrie augmente les risques d’atteinte à la réputation associés aux actions des fournisseurs. La gestion de l’exposition des entreprises à des risques environnementaux et sociaux peut entraîner une amélioration de la résilience de la chaîne d’approvisionnement et une réputation améliorée, ce qui procure de la valeur aux actionnaires. Les entreprises peuvent s’engager avec les fournisseurs importants pour gérer les risques environnementaux et sociaux afin d’améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement, de limiter les risques d’atteinte à la réputation et d’augmenter potentiellement la demande des consommateurs ou de saisir de nouvelles occasions sur le marché.
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.-
Approvisionnement en composants
Les entreprises de l’industrie des boissons non alcoolisées acquièrent une large gamme d’ingrédients chez des fournisseurs du monde entier. La capacité de l’industrie à s’approvisionner en ingrédients et à un certain niveau de prix fluctue selon la disponibilité d’approvisionnement, qui peut être affectée par le changement climatique, la rareté de l’eau, la gestion des terres et d’autres risques de pénurie de ressources. Cette exposition peut entraîner la volatilité des prix, ce qui peut affecter la rentabilité de l’entreprise. Le changement climatique, la rareté de l’eau et les restrictions d’utilisation des terres présentent des risques sur la capacité à long terme d’une entreprise à s’approvisionner en matériaux et ingrédients importants. Les entreprises qui s’approvisionnent en ingrédients moins productifs et moins exigeants en ressources, ou qui collaborent étroitement avec les fournisseurs pour augmenter leur adaptabilité au changement climatique et pour gérer l’exposition à d’autres risques de pénurie des ressources seront mieux protégées contre la volatilité des prix et/ou les ruptures d’approvisionnement.
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Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).-
Émissions de gaz à effet de serre
La production de fer et d’acier génère d’importantes émissions directes de gaz à effet de serre (GES), principalement de dioxyde de carbone et de méthane, provenant des procédés de production et de la combustion de combustible sur place. Bien que les améliorations technologiques aient permis de réduire les émissions de GES par tonne d’acier produit, la production d’acier demeure à forte intensité carbonique par rapport à d’autres industries. Les efforts de réglementation visant à réduire les émissions de GES pour répondre aux risques présentés par le changement climatique peuvent entraîner des coûts et des risques de conformité réglementaires supplémentaires pour les entreprises sidérurgiques en raison des politiques d’atténuation du changement climatique. Des économies opérationnelles peuvent être réalisées par le biais d’une réduction rentable des émissions de GES. Ces économies peuvent atténuer l’impact financier potentiel de l’augmentation des coûts de carburant due aux réglementations visant à limiter ou imposer un prix sur les émissions de GES.
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Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.-
Émissions atmosphériques
La production de fer et d’acier génère habituellement des polluants atmosphériques importants, des composés organiques volatils (COV) et des polluants atmosphériques dangereux, qui peuvent avoir des répercussions localisées importantes sur la santé publique. Les oxydes de soufre, le dioxyde d’azote, le plomb, le monoxyde de carbone et le manganèse, ainsi que des particules comme la suie et la poussière, qui sont libérés pendant le processus de production, sont particulièrement préoccupants. Partout en Amérique du Nord, en Europe de l’Ouest et au Japon, l’innovation technologique et l’amélioration continue des procédés de fabrication de l’acier ont permis de réduire considérablement les polluants atmosphériques provenant de l’industrie des producteurs de fer et d’acier. Toutefois, les polluants atmosphériques demeurent une source de préoccupation en raison de l’inquiétude accrue de la réglementation et du public à l’égard de la pollution atmosphérique, ainsi que de l’expansion de la production d’acier dans les marchés émergents. La production de fer et d’acier dans les marchés émergents pourrait être touchée par les efforts de réglementation visant à réduire la pollution atmosphérique. La gestion active des émissions des installations par la mise en œuvre de pratiques exemplaires de l’industrie dans l’ensemble des opérations mondiales peut faciliter la transition vers une production d’acier durable, réduire les coûts et potentiellement améliorer l’efficacité opérationnelle.
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
La production d’acier nécessite des quantités importantes d’énergie, provenant principalement de la combustion directe de combustibles fossiles ainsi que de l’énergie achetée sur le réseau. La production à forte intensité énergétique a des répercussions sur le changement climatique et les achats d’électricité sur le réseau peuvent entraîner des émissions indirectes de scope 2. Le choix entre les différents processus de production, les fours à arc électrique et les fours à oxygène de base intégrés, peut influencer le choix d’une entreprise à utiliser des combustibles fossiles ou achète de l’électricité. Cette décision, conjuguée au choix entre l’utilisation du charbon, du gaz naturel ou de l’électricité provenant du réseau, peut jouer un rôle important dans l’influence des coûts et de la fiabilité de l’approvisionnement énergétique. Une énergie abordable, facilement accessible et fiable est un facteur concurrentiel important dans cette industrie, les coûts énergétiques représentant une part importante des coûts de fabrication. La façon dont une entreprise sidérurgique gère son efficacité énergétique globale, sa dépendance à l’égard de différents types d’énergie et des risques associés en matière de durabilité, et sa capacité à accéder à d’autres sources d’énergie peuvent influer sur sa rentabilité.
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Gestion de l’eau
La production d’acier nécessite une quantité importante d’eau. Les entreprises font face à des risques opérationnels, réglementaires et de réputation en raison de la rareté de l’eau, des coûts d’acquisition de l’eau, des règlements sur les effluents ou la quantité d’eau utilisée et de la concurrence avec les collectivités locales et d’autres industries pour des ressources en eau limitées. C’est le cas notamment dans les régions où l’eau se fait rare, en raison des contraintes potentielles de disponibilité de l’eau et de la volatilité des prix. Les entreprises qui ne sont pas en mesure d’assurer un approvisionnement stable en eau pourraient faire face à des perturbations de la production, tandis que la hausse des prix de l’eau pourrait directement augmenter les coûts de production. Par conséquent, l’adoption de technologies et de processus qui réduisent la consommation d’eau pourrait réduire les risques et les coûts d’exploitation pour les entreprises en minimisant l’incidence de la réglementation, des pénuries d’eau et des perturbations liées aux collectivités sur les activités des entreprises.
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.-
Gestion des déchets
Bien que les taux de valorisation des déchets dans la production d’acier soient élevés, l’industrie génère d’importantes quantités de déchets dangereux. Il y a trois principaux types de déchets dans l’industrie : les scories, les poussières et les boues. Ces sous-produits sont souvent recyclés en interne ou vendus à d’autres industries. Toutefois, les déchets de procédé tels que la poussière de four à arc électrique, qui est réglementée comme une matière dangereuse aux États-Unis en raison de sa teneur en métaux lourds, peuvent avoir d’importantes répercussions sur l’environnement et la santé humaine, présentent un risque réglementaire et entraînent des coûts d’exploitation supplémentaires pour les entreprises. Les risques liés aux répercussions à long terme de l’élimination des déchets peuvent entraîner des coûts importants, y compris ceux associés aux propriétés d’élimination hors site contaminées, pour lesquelles les producteurs de fer et d’acier peuvent être tenus responsables des activités d’assainissement et de restauration. Les entreprises qui réduisent les flux de déchets et les flux de déchets dangereux en particulier, et recyclent ou vendent des sous-produits non dangereux, pourraient donc réduire les risques et les coûts réglementaires tout en augmentant les revenus.
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Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.None -
Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.None -
Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.-
Santé et sécurité des collaborateurs
Les procédés industriels utilisés dans la production de fer et d’acier peuvent présenter des risques importants pour les employés et les entrepreneurs travaillant dans les usines sidérurgiques. Compte tenu des températures élevées et de la machinerie lourde en cause, les blessures et les décès des travailleurs préoccupent les producteurs de fer et d’acier. L’industrie présente un taux de mortalité relativement élevé, ce qui signifie que l’environnement de travail est dangereux et exige une solide culture de sécurité et de solides politiques en matière de santé et de sécurité. Alors que les taux d’accidents dans l’industrie sont en baisse sur le long terme, les blessures et les décès des travailleurs peuvent entraîner des sanctions réglementaires, une publicité négative, une baisse de moral et de la productivité des travailleurs, ainsi qu’une augmentation des coûts des soins de santé et de l’indemnisation.
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.None -
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.-
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
Le minerai de fer et le charbon sont des matières premières essentielles au processus de production de l’acier. L’extraction du minerai de fer et la production de charbon exigent beaucoup de ressources. L’extraction de ces matériaux a souvent des effets environnementaux et sociaux importants sur les communautés locales, les travailleurs et les écosystèmes. De telles répercussions peuvent entraîner des perturbations dans les activités minières en raison de protestations communautaires, de mesures juridiques ou réglementaires, ou une augmentation des coûts d’extraction en raison des coûts de conformité à la réglementation ou des pénalités. Les entreprises sidérurgiques pourraient faire face à des perturbations en conséquence, ou dans certains cas, pourraient également être assujetties à des sanctions réglementaires associées à l’impact environnemental ou social du fournisseur de l’entreprise minière. Afin de réduire au minimum ces risques, les producteurs de fer et d’acier peuvent gérer de façon proactive leurs fournisseurs directs de matières premières critiques pour s’assurer qu’ils ne se livrent pas à des pratiques illégales ou autrement dommageables pour l’environnement ou la société, au moyen d’un examen approprié des fournisseurs, la surveillance et l’engagement.
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.None
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Catégorie des problématiques générales
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Boissons non alcoolisées
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Producteurs de fer et d’acier
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Émissions de GES
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Gestion du carburant de la flotte
Les entreprises de boissons non alcoolisées produisent directement des émissions de gaz à effet de serre (GES) de Champ d’application 1 provenant des grandes flottes automobiles pour la distribution et des installations de fabrication. Plus précisément, la réfrigération utilisée dans les installations de fabrication et dans les véhicules de transport contribue à une grande partie des émissions globales de l’industrie. Les gains d’efficacité dans l’utilisation des combustibles peuvent réduire les coûts, atténuer l’exposition à la volatilité des prix des combustibles fossiles et limiter les émissions provenant de la production, du stockage et du transport des produits. Les dépenses en immobilisations à court terme des parcs de véhicules écoénergétiques et des technologies plus écoénergétiques peuvent être compensées par des économies opérationnelles à long terme et l’atténuation des risques réglementaires.
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Émissions de gaz à effet de serre
La production de fer et d’acier génère d’importantes émissions directes de gaz à effet de serre (GES), principalement de dioxyde de carbone et de méthane, provenant des procédés de production et de la combustion de combustible sur place. Bien que les améliorations technologiques aient permis de réduire les émissions de GES par tonne d’acier produit, la production d’acier demeure à forte intensité carbonique par rapport à d’autres industries. Les efforts de réglementation visant à réduire les émissions de GES pour répondre aux risques présentés par le changement climatique peuvent entraîner des coûts et des risques de conformité réglementaires supplémentaires pour les entreprises sidérurgiques en raison des politiques d’atténuation du changement climatique. Des économies opérationnelles peuvent être réalisées par le biais d’une réduction rentable des émissions de GES. Ces économies peuvent atténuer l’impact financier potentiel de l’augmentation des coûts de carburant due aux réglementations visant à limiter ou imposer un prix sur les émissions de GES.
Qualité de l’air
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Émissions atmosphériques
La production de fer et d’acier génère habituellement des polluants atmosphériques importants, des composés organiques volatils (COV) et des polluants atmosphériques dangereux, qui peuvent avoir des répercussions localisées importantes sur la santé publique. Les oxydes de soufre, le dioxyde d’azote, le plomb, le monoxyde de carbone et le manganèse, ainsi que des particules comme la suie et la poussière, qui sont libérés pendant le processus de production, sont particulièrement préoccupants. Partout en Amérique du Nord, en Europe de l’Ouest et au Japon, l’innovation technologique et l’amélioration continue des procédés de fabrication de l’acier ont permis de réduire considérablement les polluants atmosphériques provenant de l’industrie des producteurs de fer et d’acier. Toutefois, les polluants atmosphériques demeurent une source de préoccupation en raison de l’inquiétude accrue de la réglementation et du public à l’égard de la pollution atmosphérique, ainsi que de l’expansion de la production d’acier dans les marchés émergents. La production de fer et d’acier dans les marchés émergents pourrait être touchée par les efforts de réglementation visant à réduire la pollution atmosphérique. La gestion active des émissions des installations par la mise en œuvre de pratiques exemplaires de l’industrie dans l’ensemble des opérations mondiales peut faciliter la transition vers une production d’acier durable, réduire les coûts et potentiellement améliorer l’efficacité opérationnelle.
Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie
Les entreprises de l’industrie des boissons non alcoolisées utilisent beaucoup d’énergie pour exploiter des installations de fabrication, des centres de distribution et des entrepôts. Les entreprises de l’industrie achètent généralement de l’électricité sur le réseau. La production d’énergie contribue aux impacts environnementaux, y compris le changement climatique et la pollution, qui peuvent avoir des répercussions indirectes, mais importantes, sur les activités des entreprises de boissons non alcoolisées. Les entreprises peuvent réduire la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre (GES) associées à leurs activités en mettant en œuvre des technologies et des processus plus efficaces. Les décisions relatives à l’utilisation de carburants alternatifs, d’énergies renouvelables et d’électricité produite sur site par rapport à son achat sur le réseau, peuvent jouer un rôle important en influençant à la fois les coûts et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique.
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Gestion de l’énergie
La production d’acier nécessite des quantités importantes d’énergie, provenant principalement de la combustion directe de combustibles fossiles ainsi que de l’énergie achetée sur le réseau. La production à forte intensité énergétique a des répercussions sur le changement climatique et les achats d’électricité sur le réseau peuvent entraîner des émissions indirectes de scope 2. Le choix entre les différents processus de production, les fours à arc électrique et les fours à oxygène de base intégrés, peut influencer le choix d’une entreprise à utiliser des combustibles fossiles ou achète de l’électricité. Cette décision, conjuguée au choix entre l’utilisation du charbon, du gaz naturel ou de l’électricité provenant du réseau, peut jouer un rôle important dans l’influence des coûts et de la fiabilité de l’approvisionnement énergétique. Une énergie abordable, facilement accessible et fiable est un facteur concurrentiel important dans cette industrie, les coûts énergétiques représentant une part importante des coûts de fabrication. La façon dont une entreprise sidérurgique gère son efficacité énergétique globale, sa dépendance à l’égard de différents types d’énergie et des risques associés en matière de durabilité, et sa capacité à accéder à d’autres sources d’énergie peuvent influer sur sa rentabilité.
Gestion de l’eau et des eaux usées
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Gestion de l’eau
La gestion de l’eau est liée à l’usage direct de l’eau par une entreprise, l’exposition de ses activités dans des régions soumises à un stress hydrique et sa gestion des eaux usées. Les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées utilisent une grande qualité d’eau pour leurs activités, car l’eau est un composant clé des produits finaux. Étant donné que les entreprises de boissons non alcoolisées dépendent largement de gros volumes d’eau potable et que le stress hydrique augmente dans plusieurs régions du monde, les entreprises peuvent être exposées à des ruptures d’approvisionnement qui pourraient avoir des répercussions importantes sur les activités et sur les prix. Les entreprises qui opèrent dans les régions exposées au stress hydrique qui échoue à répondre aux préoccupations locales concernant l’eau peuvent faire face au risque de perdre leur permis d’exploitation. De plus, un traitement adéquat des eaux usées est un élément important de la gestion des problèmes d’eau dans les opérations, car les usines d’embouteillage rejettent de grandes quantités d’effluents. L’amélioration de la gestion de l’eau par le biais d’une efficacité améliorée, du recyclage et de l’élimination appropriée notamment dans les régions avec un stress hydrique de référence, peut entraîner une baisse des coûts opérationnels, une réduction des risques et une augmentation de la valeur des actifs intangibles.
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Gestion de l’eau
La production d’acier nécessite une quantité importante d’eau. Les entreprises font face à des risques opérationnels, réglementaires et de réputation en raison de la rareté de l’eau, des coûts d’acquisition de l’eau, des règlements sur les effluents ou la quantité d’eau utilisée et de la concurrence avec les collectivités locales et d’autres industries pour des ressources en eau limitées. C’est le cas notamment dans les régions où l’eau se fait rare, en raison des contraintes potentielles de disponibilité de l’eau et de la volatilité des prix. Les entreprises qui ne sont pas en mesure d’assurer un approvisionnement stable en eau pourraient faire face à des perturbations de la production, tandis que la hausse des prix de l’eau pourrait directement augmenter les coûts de production. Par conséquent, l’adoption de technologies et de processus qui réduisent la consommation d’eau pourrait réduire les risques et les coûts d’exploitation pour les entreprises en minimisant l’incidence de la réglementation, des pénuries d’eau et des perturbations liées aux collectivités sur les activités des entreprises.
Gestion des déchets et des matières dangereuses
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Gestion des déchets
Bien que les taux de valorisation des déchets dans la production d’acier soient élevés, l’industrie génère d’importantes quantités de déchets dangereux. Il y a trois principaux types de déchets dans l’industrie : les scories, les poussières et les boues. Ces sous-produits sont souvent recyclés en interne ou vendus à d’autres industries. Toutefois, les déchets de procédé tels que la poussière de four à arc électrique, qui est réglementée comme une matière dangereuse aux États-Unis en raison de sa teneur en métaux lourds, peuvent avoir d’importantes répercussions sur l’environnement et la santé humaine, présentent un risque réglementaire et entraînent des coûts d’exploitation supplémentaires pour les entreprises. Les risques liés aux répercussions à long terme de l’élimination des déchets peuvent entraîner des coûts importants, y compris ceux associés aux propriétés d’élimination hors site contaminées, pour lesquelles les producteurs de fer et d’acier peuvent être tenus responsables des activités d’assainissement et de restauration. Les entreprises qui réduisent les flux de déchets et les flux de déchets dangereux en particulier, et recyclent ou vendent des sous-produits non dangereux, pourraient donc réduire les risques et les coûts réglementaires tout en augmentant les revenus.
Bien-être des clients
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Santé et nutrition
Les principales préoccupations en matière de nutrition et de santé, comme l’obésité, la sécurité des ingrédients, le contenu nutritionnel et les effets aigus sur la santé découlant de la consommation de boissons non alcoolisées, façonnent le paysage concurrentiel de l’industrie. Des études indiquent que la consommation de boissons riches en calories et sucrées peut avoir des conséquences néfastes sur la santé, notamment des niveaux plus élevés de cholestérol, un risque accru de maladies cardiaques et l’obésité. De telles constatations peuvent modifier les perceptions des consommateurs à l’égard des produits de l’industrie, ce qui entraîne des changements à long terme dans les décisions d’achat. De plus, les efforts visant à réduire l’obésité, sous la forme de nouveaux règlements ou de nouvelles taxes sur les boissons sucrées, peuvent influencer la rentabilité de l’industrie et la demande future. La possibilité d’effets nocifs sur la santé d’autres ingrédients couramment utilisés, comme les édulcorants artificiels, peut poser d’autres problèmes, et les entreprises peuvent faire face à des litiges ou à des règlements connexes. Des possibilités existent dans de nouveaux segments du marché des boissons pour répondre à la demande des consommateurs pour une meilleure valeur nutritionnelle. Les entreprises qui s’adaptent aux préférences changeantes des consommateurs et à un environnement réglementaire en évolution en offrant des solutions de rechange plus saines peuvent obtenir une part de marché supplémentaire et limiter leur exposition à la réglementation et aux litiges.
Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Étiquetage des produits et commercialisation
La communication avec les consommateurs par le biais du marketing et de l’étiquetage des produits est un aspect important des entreprises de boissons non alcoolisées. La précision et la richesse des informations présentées sur l’étiquetage des produits revêtent de l’importance pour les consommateurs comme pour les organismes de réglementation. Les réglementations d’étiquetage requièrent des informations de produit précises et détaillées pour assurer la sécurité alimentaire et informer les consommateurs sur la valeur nutritionnelle. En outre, pour éclairer leurs décisions d’achat, les clients sont de plus en plus intéressés par les informations supplémentaires sur les ingrédients, comme la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM), ou d’autres effets sur la santé et la nutrition. Les pratiques de marché des entreprises de boissons non alcoolisées constituent un autre sujet de préoccupation publique, en particulier celles ciblant les enfants ou les allégations concernant la valeur nutritive, ainsi que la possibilité qu’elles présentent des informations fausses ou trompeuses. Les questions de marketing et d’étiquetage des produits peuvent influencer l’environnement concurrentiel de l’industrie, car les entreprises peuvent faire l’objet de litiges ou de critiques pour des déclarations trompeuses ou si elles ne s’adaptent pas aux demandes des consommateurs pour plus de transparence et d’étiquetage. Ces facteurs peuvent avoir une incidence sur la valeur de la marque et la croissance du chiffre d’affaires des entreprises. Par ailleurs, les réglementations sur le marketing et l’étiquetage des produits présentent un risque de pénalités ou de litiges.
Santé et sécurité des employés
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Santé et sécurité des collaborateurs
Les procédés industriels utilisés dans la production de fer et d’acier peuvent présenter des risques importants pour les employés et les entrepreneurs travaillant dans les usines sidérurgiques. Compte tenu des températures élevées et de la machinerie lourde en cause, les blessures et les décès des travailleurs préoccupent les producteurs de fer et d’acier. L’industrie présente un taux de mortalité relativement élevé, ce qui signifie que l’environnement de travail est dangereux et exige une solide culture de sécurité et de solides politiques en matière de santé et de sécurité. Alors que les taux d’accidents dans l’industrie sont en baisse sur le long terme, les blessures et les décès des travailleurs peuvent entraîner des sanctions réglementaires, une publicité négative, une baisse de moral et de la productivité des travailleurs, ainsi qu’une augmentation des coûts des soins de santé et de l’indemnisation.
Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Gestion du cycle de vie de l’emballage
Les matériaux d’emballage représentent un coût significatif pour les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées. Bien que la plupart des entreprises de boissons non alcoolisées ne fabriquent pas leurs propres bouteilles et emballages, elles font face à des risques d’atteinte à la réputation associés aux effets externes négatifs que les contenants de leurs produits peuvent créer sur leur cycle de vie. Les entreprises sont également directement affectées par la loi concernant la gestion en fin de vie des contenants de boissons. Les entreprises de boissons non alcoolisées peuvent travailler avec des fabricants d’emballage sur la conception des emballages afin de générer des économies sur les coûts, d’améliorer la réputation de la marque et de réduire les répercussions environnementales. Les efforts pour réduire la quantité de matériaux utilisés dans les emballages peuvent aider à réduire les coûts de transport, l’exposition à l’approvisionnement et la volatilité des prix des principaux matériaux, ainsi que la quantité de matériaux vierges extraits. Dans la phase de fin de vie, des programmes et partenariats de reprise et de recyclage peuvent anticiper la réglementation, aider à faire des économies sur les coûts et à réduire les répercussions environnementales. Les entreprises qui parviennent à gérer cette question peuvent améliorer leur rentabilité et réduire le coût du capital.
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement des composants
Les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées gèrent des chaînes d’approvisionnement mondiales pour acquérir une large gamme d’ingrédients. La manière dont les entreprises présentent, suivent et s’engagent avec les fournisseurs sur les sujets sociaux et environnementaux affecte la capacité des entreprises à sécuriser l’approvisionnement et à gérer les fluctuations de prix. Une interruption de la chaîne d’approvisionnement peut entraîner une perte de revenus et une répercussion négative sur la part de marché si les entreprises ne sont pas capables de trouver des alternatives aux fournisseurs importants ou si elles doivent acquérir des ingrédients à un prix plus élevé. Les problèmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement associés aux pratiques de travail, à la responsabilité environnementale, à l’éthique ou à la corruption peuvent également entraîner des amendes réglementaires et/ou une augmentation des coûts opérationnels à long terme pour les entreprises. La nature grand public de l’industrie augmente les risques d’atteinte à la réputation associés aux actions des fournisseurs. La gestion de l’exposition des entreprises à des risques environnementaux et sociaux peut entraîner une amélioration de la résilience de la chaîne d’approvisionnement et une réputation améliorée, ce qui procure de la valeur aux actionnaires. Les entreprises peuvent s’engager avec les fournisseurs importants pour gérer les risques environnementaux et sociaux afin d’améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement, de limiter les risques d’atteinte à la réputation et d’augmenter potentiellement la demande des consommateurs ou de saisir de nouvelles occasions sur le marché.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
Le minerai de fer et le charbon sont des matières premières essentielles au processus de production de l’acier. L’extraction du minerai de fer et la production de charbon exigent beaucoup de ressources. L’extraction de ces matériaux a souvent des effets environnementaux et sociaux importants sur les communautés locales, les travailleurs et les écosystèmes. De telles répercussions peuvent entraîner des perturbations dans les activités minières en raison de protestations communautaires, de mesures juridiques ou réglementaires, ou une augmentation des coûts d’extraction en raison des coûts de conformité à la réglementation ou des pénalités. Les entreprises sidérurgiques pourraient faire face à des perturbations en conséquence, ou dans certains cas, pourraient également être assujetties à des sanctions réglementaires associées à l’impact environnemental ou social du fournisseur de l’entreprise minière. Afin de réduire au minimum ces risques, les producteurs de fer et d’acier peuvent gérer de façon proactive leurs fournisseurs directs de matières premières critiques pour s’assurer qu’ils ne se livrent pas à des pratiques illégales ou autrement dommageables pour l’environnement ou la société, au moyen d’un examen approprié des fournisseurs, la surveillance et l’engagement.
Approvisionnement en matériaux et efficacité
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Approvisionnement en composants
Les entreprises de l’industrie des boissons non alcoolisées acquièrent une large gamme d’ingrédients chez des fournisseurs du monde entier. La capacité de l’industrie à s’approvisionner en ingrédients et à un certain niveau de prix fluctue selon la disponibilité d’approvisionnement, qui peut être affectée par le changement climatique, la rareté de l’eau, la gestion des terres et d’autres risques de pénurie de ressources. Cette exposition peut entraîner la volatilité des prix, ce qui peut affecter la rentabilité de l’entreprise. Le changement climatique, la rareté de l’eau et les restrictions d’utilisation des terres présentent des risques sur la capacité à long terme d’une entreprise à s’approvisionner en matériaux et ingrédients importants. Les entreprises qui s’approvisionnent en ingrédients moins productifs et moins exigeants en ressources, ou qui collaborent étroitement avec les fournisseurs pour augmenter leur adaptabilité au changement climatique et pour gérer l’exposition à d’autres risques de pénurie des ressources seront mieux protégées contre la volatilité des prix et/ou les ruptures d’approvisionnement.