Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Aliments transformés L’industrie des aliments transformés comprend les entreprises qui traitent et emballent les aliments comme le pain, les aliments congelés, les collations, les aliments pour animaux domestiques et les condiments pour la consommation des consommateurs de détail. De manière générale, ces produits sont prêts à consommer, commercialisés pour les consommateurs de détail et se trouvent sur les étagères des détaillants de produits alimentaires. L’industrie est caractérisée par des chaînes d’approvisionnement des ingrédients larges et complexes, car de nombreuses entreprises se fournissent en ingrédients dans le monde entier. Les grandes entreprises fonctionnent mondialement et ce sont les opportunités à l’étranger qui guident leur croissance.
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  • Éducation Le secteur de l’éducation inclut les établissements éducatifs à but lucratif qui génèrent leurs revenus des frais étudiants. Aux niveaux primaire et secondaire, ceci inclut essentiellement les organismes de gestion de l’enseignement (EMO) et quelques entreprises. Au niveau tertiaire (ou supérieur), les services sont fournis à temps plein, à temps partiel, à distance et ponctuellement dans des établissements de types collèges pré-universitaires, écoles de commerce ou de secrétariat, facultés, universités et écoles professorales comprenant des programmes d’enseignement dans les domaines médical, pharmaceutique et vétérinaire. Un nombre croissant d’étudiants dans les universités à but lucratif assistent aux cours en ligne.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (9 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie L’industrie des aliments transformés dépend largement de l’énergie et du carburant comme intrants primaires pour la création de valeur dans la fabrication des produits alimentaires. L’énergie est nécessaire pour faire fonctionner les grandes installations de fabrication pour la cuisson, la réfrigération et l’emballage. La production et la consommation d’énergie contribuent aux répercussions environnementales significatives, y compris le changement climatique et la pollution, qui ont le potentiel d’impacter indirectement, mais de manière significative, les résultats des activités des entreprises d’aliments transformés. L’efficacité énergétique dans la production et la distribution peuvent réduire l’exposition à des coûts énergétiques volatiles et limiter la contribution d’une entreprise aux émissions de gaz à effet de serre (GES) directes et indirectes. Les producteurs peuvent réduire davantage le risque posé par les coûts énergétiques volatiles des combustibles fossiles, en particulier le gaz naturel, très utilisé dans l’industrie, en diversifiant leurs portefeuilles énergétiques par un éventail de sources. Les décisions relatives à l’utilisation de carburants de substitution, d’énergie renouvelable et d’électricité produite sur site par rapport à l’achat d’énergie de réseau, peuvent jouer un rôle important en influençant à la fois les coûts et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau Les entreprises d’aliments transformés dépendent d’un approvisionnement conséquent en eau pour la cuisson, le traitement et le nettoyage des produits finis. En outre, les sociétés de l’industrie produisent et doivent gérer le rejet de leurs eaux usées provenant des activités de traitement. La rareté de l’eau devenant une question d’importance grandissante, les entreprises d’aliments transformés (en particulier celles fonctionnant dans des régions à stress hydrique) peuvent faire face à des risques opérationnels croissants. Les entreprises de l’industrie sont susceptibles de faire face à une augmentation des coûts opérationnels à travers les investissements de capital et l’évaluation de l’emplacement des installations en fonction des risques de pénurie d’eau, des améliorations de l’efficacité opérationnelle et des partenariats avec les organismes de réglementation et des communautés sur des questions relatives à l’accès à l’eau et à l’effluent.
    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
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    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité alimentaire La sécurité alimentaire, qui concerne la qualité de la production, le gaspillage, la contamination, la traçabilité de la chaîne d’approvisionnement et l’étiquetage allergène, peut affecter de manière importante les entreprises d’aliments formés. Les rappels de sécurité alimentaire peuvent survenir pour de nombreuses raisons, y compris des emballages défectueux, une contamination des aliments, du gaspillage et un mauvais étiquetage. Les questions de sécurité alimentaire soulevées au sein de la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise résultent généralement de rappels de produits finaux et peuvent également influencer la réputation de la marque, les activités et les recettes des entreprises d’aliments transformés. La traçabilité de la chaîne d’approvisionnement est une grande préoccupation pour les entreprises de l’industrie, en particulier vis-à-vis des nouvelles réglementations. Une mauvaise gestion de la qualité et de la sécurité alimentaires peut nuire à la valeur de la marque, causer une diminution des revenus et une augmentation des coûts associés aux rappels, aux amendes, à une perte d’inventaire et/ou aux litiges. Obtenir les certifications de sécurité alimentaire ou s’assurer que les fournisseurs respectent les directives de sécurité alimentaire peut aider les entreprises de l’industrie à protéger la sécurité des produits et à communiquer la qualité de leurs produits aux détaillants et aux consommateurs.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Santé et nutrition Les principales préoccupations relatives à la nutrition et la santé telles que l’obésité, la sécurité des ingrédients et la valeur nutritionnelle déterminent le paysage concurrentiel de l’industrie des aliments transformés. Les caractéristiques de nutrition et de santé des produits et ingrédients de l’industrie suscitent une inquiétude croissante chez les consommateurs et les organismes de réglementation, rendant possible l’impact de ces questions sur la réputation d’une entreprise d’aliments transformés et son permis d’exploitation. De nouvelles réglementations, comme des taxes imposées sur les aliments transformés, peuvent avoir des conséquences sur la rentabilité de l’industrie et poser des risques à long terme sous la forme d’une diminution de la demande pour les produits de l’industrie. Les entreprises qui s’adaptent à l’évolution des préférences des consommateurs pour promouvoir des offres plus saines et plus nutritives peuvent être mieux positionnées pour obtenir des parts de marché dans un segment en croissance, tout en évitant les risques associés à la possible réglementation et aux changements de la demande.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Étiquetage des produits et commercialisation La communication avec les consommateurs par le biais du marketing et de l’étiquetage des produits est un aspect important des entreprises d’aliments transformés. La précision et la richesse des informations présentées sur l’étiquetage des aliments revêtent de l’importance pour les consommateurs comme pour les organismes de réglementation. Les réglementations d’étiquetage requièrent des informations de produit précises et détaillées pour assurer la sécurité alimentaire et informer les consommateurs sur la valeur nutritionnelle. En outre, pour éclairer leurs décisions d’achat, les clients sont de plus en plus intéressés par les informations supplémentaires sur les ingrédients utilisés dans les produits transformés, comme la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM) et les méthodes de production utilisées. Les pratiques de marketing des entreprises d’aliments transformés constituent un autre sujet de préoccupation publique, en particulier celles ciblant les enfants ou les allégations concernant la valeur nutritive, ainsi que la possibilité qu’elles présentent des informations fausses ou trompeuses. Les questions de marketing et d’étiquetage des produits peuvent influencer l’environnement concurrentiel de l’industrie, car les entreprises peuvent faire l’objet de litiges ou de critiques pour des déclarations trompeuses ou si elles ne s’adaptent pas aux demandes des consommateurs pour plus de transparence et d’étiquetage. Par ailleurs, les réglementations sur le marketing et l’étiquetage des produits introduisent les coûts à court terme pour adhérer et présenter le risque de sanctions ou de litiges. Tous ces facteurs peuvent avoir un impact sur la valeur de la marque d’une entreprise, ses coûts d’exploitation et la croissance du chiffre d’affaires.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Gestion du cycle de vie de l’emballage Les matériaux d’emballage représentent un coût commercial majeur et contribuent à l’empreinte environnementale des entreprises d’aliments transformés. Chaque étape du cycle de vie d’un emballage, y compris la conception, le transport et l’élimination, présente ses propres défis et occasions environnementaux uniques. Les entreprises peuvent être impactées par les réglementations sur les matériaux d’emballage autorisé ou sur la gestion de la fin de vie des emballages. Les entreprises d’aliments transformés peuvent travailler avec les fabricants d’emballages sur la conception des emballages pour réaliser des économies sur les coûts, améliorer la réputation de la marque et réduire leur impact environnemental. Les innovations telles que les matériaux légers peuvent également engendrer des avantages financiers dans le transport de biens. D’autres innovations peuvent améliorer la gestion de la fin de vie des produits, comme l’utilisation de matériaux recyclables ou compostables, pouvant ainsi réduire les risques possibles liés aux coûts et à la conformité.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement des composants Les entreprises de l’industrie des aliments transformés gèrent des chaînes d’approvisionnement mondiales pour acquérir une large gamme d’ingrédients. La manière dont les entreprises présentent, suivent et s’engagent avec les fournisseurs sur les sujets sociaux et environnementaux affecte la capacité des entreprises à maintenir un approvisionnement constant et à gérer les fluctuations de prix. Les problèmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement associés aux pratiques de travail et environnementales, à l’éthique ou à la corruption peuvent également entraîner des amendes réglementaires et/ou une augmentation des coûts opérationnels à long terme pour les entreprises. La nature grand public de l’industrie augmente les risques d’atteinte à la réputation associés à la performance des fournisseurs. Les entreprises peuvent s’engager avec les fournisseurs importants pour gérer les risques environnementaux et sociaux afin d’améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement, de limiter les risques d’atteinte à la réputation et d’augmenter potentiellement la demande des consommateurs ou de saisir de nouvelles occasions sur le marché.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en composants Les entreprises de l’industrie des aliments transformés acquièrent une large gamme d’ingrédients, notamment des intrants agricoles, en provenance de fournisseurs internationaux. La capacité de l’industrie à s’approvisionner en ingrédients et à un certain niveau de prix fluctue selon la disponibilité d’approvisionnement, qui peut être affectée par le changement climatique, la rareté de l’eau, la gestion des terres et d’autres risques de pénurie de ressources. Cette exposition peut entraîner la volatilité des prix, ce qui peut affecter la rentabilité de l’entreprise. Le changement climatique, la rareté de l’eau et les restrictions d’utilisation des terres présentent des risques sur la capacité à long terme d’une entreprise à s’approvisionner en matériaux et ingrédients importants. Les entreprises qui s’approvisionnent en ingrédients moins productifs et moins exigeants en ressources, ou qui collaborent étroitement avec les fournisseurs pour augmenter leur adaptabilité au changement climatique et pour gérer l’exposition à d’autres risques de pénurie des ressources seront mieux protégées contre la volatilité des prix et/ou les ruptures d’approvisionnement.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
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    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
      • Sécurité des données Les facultés et universités sont des cibles fréquentes et incontestables pour les cybercriminels. L’industrie peut faire face à des risques de sécurité des données en raison du grand nombre de données personnelles enregistrées, traitées et conservées, de la combinaison de la propriété intellectuelle et des données personnelles identifiables détenues (par ex., les numéros de sécurité sociale, les registres de vaccination et autres informations nécessaires à l’admission), et de l’environnement ouvert et collaboratif de la plupart des campus. L’exposition des informations sensibles par le biais de violations de la cybersécurité, d’autres activités malveillantes ou de négligence d’un étudiant peut entraîner des conséquences externes sociales importantes telles que l’usurpation et le vol d’identité. Les violations de données peuvent compromettre le point de vue du public quant à l’efficacité des mesures de sécurité de l’établissement, ce qui pourrait causer une atteinte à la réputation et des difficultés à attirer et garder de nouveaux étudiants, ainsi que des frais pour résoudre les conséquences d’une violation et prévenir les violations futures. Une divulgation renforcée sur le nombre et la nature des violations de sécurité, sur les stratégies de gestion pour répondre à ces risques et sur les politiques et procédures pour protéger les informations concernant les étudiants permettra aux actionnaires de comprendre l’efficacité des stratégies de gestion que l’établissement emploie pour répondre à ces problèmes.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Qualité de l’enseignement et emploi rémunéré L’augmentation des frais de scolarité pousse de plus en plus d’étudiants à contracter un prêt gouvernemental ou privé pour financer leurs études. Une croissance rapide de la dette étudiante crée des conséquences externes sociales et économiques importantes si le prêt étudiant subit un défaut de paiement. De nombreux programmes dans les facultés à but lucratif préparent les étudiants à des emplois rémunérés à des postes reconnus. Ainsi, les facultés qui fournissent un enseignement de grande qualité et permettent l’achèvement des programmes augmentent les chances pour les diplômés d’obtenir un emploi et de rembourser leurs prêts. En l’absence d’un soutien pour la gestion de l’enseignement et de carrière, les diplômés pourraient finir par contracter des dettes élevées et obtenir des compétences de moindre utilité à l’emploi. Des performances médiocres concernant les mesures de responsabilité telles que le taux d’obtention de diplôme, le taux de défaut de paiement et le taux d’insertion professionnelle peuvent compromettre l’éligibilité pour le financement Title IV en vertu de l’U.S. Higher Education Act (loi américaine sur l’enseignement supérieur) et ainsi compromettre les recettes principales de l’établissement. Dans le même temps, la divulgation transparente de ces mesures aux futurs étudiants est directement liée à la capacité de l’établissement à attirer et garder les étudiants.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Pratiques de marketing et recrutement Les entreprises d’enseignement à but lucratif qui admettent et inscrivent plus d’étudiants génèrent plus de revenus. Ainsi, les entreprises peuvent se tourner vers des stratégies de recrutement agressives, par exemple la dépense de montants conséquents dans le marketing plutôt que dans l’enseignement et les services aux étudiants. De telles pratiques de recrutement agressives ont entraîné un contrôle réglementaire et public supplémentaire des entreprises d’enseignement à but lucratif. L’utilisation de publicités mensongères ou trompeuses pour recruter de futurs étudiants peut entraîner des amendes importantes pour les entreprises et une perte d’éligibilité aux prêts étudiants financés par le gouvernement. La perte de ces sources de financement peut créer des incitations pour les entreprises à tromper les étudiants afin qu’ils se tournent vers des prêts privés qu’ils ne seront pas en mesure de rembourser, présentant une atteinte importante à la réputation des entreprises de l’industrie. Une divulgation renforcée permettra aux actionnaires de mieux comprendre les politiques et pratiques de l’entreprise concernant le marketing et le recrutement pour attirer les étudiants.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
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