Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Aliments transformés L’industrie des aliments transformés comprend les entreprises qui traitent et emballent les aliments comme le pain, les aliments congelés, les collations, les aliments pour animaux domestiques et les condiments pour la consommation des consommateurs de détail. De manière générale, ces produits sont prêts à consommer, commercialisés pour les consommateurs de détail et se trouvent sur les étagères des détaillants de produits alimentaires. L’industrie est caractérisée par des chaînes d’approvisionnement des ingrédients larges et complexes, car de nombreuses entreprises se fournissent en ingrédients dans le monde entier. Les grandes entreprises fonctionnent mondialement et ce sont les opportunités à l’étranger qui guident leur croissance.
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  • Croisiéristes L’industrie des croisiéristes se compose d’entreprises qui assurent le transport de passagers et des activités de divertissement, notamment des croisières en pleine mer et fluviales. L’industrie est dominée par quelques grandes entreprises. L’objectif des croisières est de faire vivre l’expérience d’un établissement de luxe à des milliers de passagers à la fois. L’industrie des croisiéristes a souvent été le segment de l’industrie du voyage qui s’est développé le plus rapidement, mais de manière très cyclique.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (14 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Aliments transformés Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie L’industrie des aliments transformés dépend largement de l’énergie et du carburant comme intrants primaires pour la création de valeur dans la fabrication des produits alimentaires. L’énergie est nécessaire pour faire fonctionner les grandes installations de fabrication pour la cuisson, la réfrigération et l’emballage. La production et la consommation d’énergie contribuent aux répercussions environnementales significatives, y compris le changement climatique et la pollution, qui ont le potentiel d’impacter indirectement, mais de manière significative, les résultats des activités des entreprises d’aliments transformés. L’efficacité énergétique dans la production et la distribution peuvent réduire l’exposition à des coûts énergétiques volatiles et limiter la contribution d’une entreprise aux émissions de gaz à effet de serre (GES) directes et indirectes. Les producteurs peuvent réduire davantage le risque posé par les coûts énergétiques volatiles des combustibles fossiles, en particulier le gaz naturel, très utilisé dans l’industrie, en diversifiant leurs portefeuilles énergétiques par un éventail de sources. Les décisions relatives à l’utilisation de carburants de substitution, d’énergie renouvelable et d’électricité produite sur site par rapport à l’achat d’énergie de réseau, peuvent jouer un rôle important en influençant à la fois les coûts et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau Les entreprises d’aliments transformés dépendent d’un approvisionnement conséquent en eau pour la cuisson, le traitement et le nettoyage des produits finis. En outre, les sociétés de l’industrie produisent et doivent gérer le rejet de leurs eaux usées provenant des activités de traitement. La rareté de l’eau devenant une question d’importance grandissante, les entreprises d’aliments transformés (en particulier celles fonctionnant dans des régions à stress hydrique) peuvent faire face à des risques opérationnels croissants. Les entreprises de l’industrie sont susceptibles de faire face à une augmentation des coûts opérationnels à travers les investissements de capital et l’évaluation de l’emplacement des installations en fonction des risques de pénurie d’eau, des améliorations de l’efficacité opérationnelle et des partenariats avec les organismes de réglementation et des communautés sur des questions relatives à l’accès à l’eau et à l’effluent.
    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
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    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité alimentaire La sécurité alimentaire, qui concerne la qualité de la production, le gaspillage, la contamination, la traçabilité de la chaîne d’approvisionnement et l’étiquetage allergène, peut affecter de manière importante les entreprises d’aliments formés. Les rappels de sécurité alimentaire peuvent survenir pour de nombreuses raisons, y compris des emballages défectueux, une contamination des aliments, du gaspillage et un mauvais étiquetage. Les questions de sécurité alimentaire soulevées au sein de la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise résultent généralement de rappels de produits finaux et peuvent également influencer la réputation de la marque, les activités et les recettes des entreprises d’aliments transformés. La traçabilité de la chaîne d’approvisionnement est une grande préoccupation pour les entreprises de l’industrie, en particulier vis-à-vis des nouvelles réglementations. Une mauvaise gestion de la qualité et de la sécurité alimentaires peut nuire à la valeur de la marque, causer une diminution des revenus et une augmentation des coûts associés aux rappels, aux amendes, à une perte d’inventaire et/ou aux litiges. Obtenir les certifications de sécurité alimentaire ou s’assurer que les fournisseurs respectent les directives de sécurité alimentaire peut aider les entreprises de l’industrie à protéger la sécurité des produits et à communiquer la qualité de leurs produits aux détaillants et aux consommateurs.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Santé et nutrition Les principales préoccupations relatives à la nutrition et la santé telles que l’obésité, la sécurité des ingrédients et la valeur nutritionnelle déterminent le paysage concurrentiel de l’industrie des aliments transformés. Les caractéristiques de nutrition et de santé des produits et ingrédients de l’industrie suscitent une inquiétude croissante chez les consommateurs et les organismes de réglementation, rendant possible l’impact de ces questions sur la réputation d’une entreprise d’aliments transformés et son permis d’exploitation. De nouvelles réglementations, comme des taxes imposées sur les aliments transformés, peuvent avoir des conséquences sur la rentabilité de l’industrie et poser des risques à long terme sous la forme d’une diminution de la demande pour les produits de l’industrie. Les entreprises qui s’adaptent à l’évolution des préférences des consommateurs pour promouvoir des offres plus saines et plus nutritives peuvent être mieux positionnées pour obtenir des parts de marché dans un segment en croissance, tout en évitant les risques associés à la possible réglementation et aux changements de la demande.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Étiquetage des produits et commercialisation La communication avec les consommateurs par le biais du marketing et de l’étiquetage des produits est un aspect important des entreprises d’aliments transformés. La précision et la richesse des informations présentées sur l’étiquetage des aliments revêtent de l’importance pour les consommateurs comme pour les organismes de réglementation. Les réglementations d’étiquetage requièrent des informations de produit précises et détaillées pour assurer la sécurité alimentaire et informer les consommateurs sur la valeur nutritionnelle. En outre, pour éclairer leurs décisions d’achat, les clients sont de plus en plus intéressés par les informations supplémentaires sur les ingrédients utilisés dans les produits transformés, comme la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM) et les méthodes de production utilisées. Les pratiques de marketing des entreprises d’aliments transformés constituent un autre sujet de préoccupation publique, en particulier celles ciblant les enfants ou les allégations concernant la valeur nutritive, ainsi que la possibilité qu’elles présentent des informations fausses ou trompeuses. Les questions de marketing et d’étiquetage des produits peuvent influencer l’environnement concurrentiel de l’industrie, car les entreprises peuvent faire l’objet de litiges ou de critiques pour des déclarations trompeuses ou si elles ne s’adaptent pas aux demandes des consommateurs pour plus de transparence et d’étiquetage. Par ailleurs, les réglementations sur le marketing et l’étiquetage des produits introduisent les coûts à court terme pour adhérer et présenter le risque de sanctions ou de litiges. Tous ces facteurs peuvent avoir un impact sur la valeur de la marque d’une entreprise, ses coûts d’exploitation et la croissance du chiffre d’affaires.
    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Gestion du cycle de vie de l’emballage Les matériaux d’emballage représentent un coût commercial majeur et contribuent à l’empreinte environnementale des entreprises d’aliments transformés. Chaque étape du cycle de vie d’un emballage, y compris la conception, le transport et l’élimination, présente ses propres défis et occasions environnementaux uniques. Les entreprises peuvent être impactées par les réglementations sur les matériaux d’emballage autorisé ou sur la gestion de la fin de vie des emballages. Les entreprises d’aliments transformés peuvent travailler avec les fabricants d’emballages sur la conception des emballages pour réaliser des économies sur les coûts, améliorer la réputation de la marque et réduire leur impact environnemental. Les innovations telles que les matériaux légers peuvent également engendrer des avantages financiers dans le transport de biens. D’autres innovations peuvent améliorer la gestion de la fin de vie des produits, comme l’utilisation de matériaux recyclables ou compostables, pouvant ainsi réduire les risques possibles liés aux coûts et à la conformité.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement des composants Les entreprises de l’industrie des aliments transformés gèrent des chaînes d’approvisionnement mondiales pour acquérir une large gamme d’ingrédients. La manière dont les entreprises présentent, suivent et s’engagent avec les fournisseurs sur les sujets sociaux et environnementaux affecte la capacité des entreprises à maintenir un approvisionnement constant et à gérer les fluctuations de prix. Les problèmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement associés aux pratiques de travail et environnementales, à l’éthique ou à la corruption peuvent également entraîner des amendes réglementaires et/ou une augmentation des coûts opérationnels à long terme pour les entreprises. La nature grand public de l’industrie augmente les risques d’atteinte à la réputation associés à la performance des fournisseurs. Les entreprises peuvent s’engager avec les fournisseurs importants pour gérer les risques environnementaux et sociaux afin d’améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement, de limiter les risques d’atteinte à la réputation et d’augmenter potentiellement la demande des consommateurs ou de saisir de nouvelles occasions sur le marché.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en composants Les entreprises de l’industrie des aliments transformés acquièrent une large gamme d’ingrédients, notamment des intrants agricoles, en provenance de fournisseurs internationaux. La capacité de l’industrie à s’approvisionner en ingrédients et à un certain niveau de prix fluctue selon la disponibilité d’approvisionnement, qui peut être affectée par le changement climatique, la rareté de l’eau, la gestion des terres et d’autres risques de pénurie de ressources. Cette exposition peut entraîner la volatilité des prix, ce qui peut affecter la rentabilité de l’entreprise. Le changement climatique, la rareté de l’eau et les restrictions d’utilisation des terres présentent des risques sur la capacité à long terme d’une entreprise à s’approvisionner en matériaux et ingrédients importants. Les entreprises qui s’approvisionnent en ingrédients moins productifs et moins exigeants en ressources, ou qui collaborent étroitement avec les fournisseurs pour augmenter leur adaptabilité au changement climatique et pour gérer l’exposition à d’autres risques de pénurie des ressources seront mieux protégées contre la volatilité des prix et/ou les ruptures d’approvisionnement.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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  • Croisiéristes Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre Les entreprises croisiéristes produisent principalement des émissions provenant de la combustion de diesel dans les moteurs de navires. La dépendance de l’industrie au fioul lourd (« combustible de soute ») est préoccupante en raison de la hausse des coûts du carburant et de l’intensification de la réglementation sur les gaz à effet de serre (GES). Les règlements environnementaux en constante évolution favorisent l’adoption de moteurs plus écoénergétiques, la modernisation des moteurs et l’utilisation de carburants plus propres. Le carburant représente une dépense importante pour les acteurs de l’industrie, offrant une incitation supplémentaire pour investir dans des mises à niveau ou des rénovations pour améliorer le rendement énergétique. En outre, la violation des réglementations sur les GES peut entraîner des sanctions et des coûts de conformité.
    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Qualité de l’air L’utilisation de carburant par les croisiéristes génère des polluants atmosphériques comme l’oxyde de soufre (SOx), l’oxyde d’azote (NOx) et des particules en suspension (PM10). Ces polluants ont tendance à avoir des effets localisés sur l’environnement et la santé et sont particulièrement préoccupants dans les villes portuaires et les autres zones restreintes où les entreprises peuvent être sanctionnées lorsqu’elles dépassent les limites d’émissions. Les entreprises gèrent ces risques en commandant davantage de navires écoénergétiques, en modernisant les flottes existantes et en utilisant l’énergie onshore lorsqu’elle est disponible dans les ports.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
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    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Gestion des rejets et répercussions écologiques Les croisières proposent un accès unique à l’eau pure des océans et des destinations où les écosystèmes sont délicats. Ces écosystèmes fragiles peuvent être menacés par la taille des bateaux, l’afflux de touristes, l’ampleur des ressources consommées et les déchets générés à bord. Les bateaux de croisière rejettent de nombreux types d’eaux usées traitées et non traitées dans la mer, et des déchets solides non dégradables sur la terre. La gestion consciencieuse des rejets du bateau et l’atténuation des répercussions écologiques des activités de croisière assureront l’accès ininterrompu aux ports principaux et aideront à préserver la beauté naturelle que les visiteurs souhaitent connaître, essentiels pour que l’entreprise conserve ses parts de marché et attire de nouveaux clients.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Santé et sécurité des clients Les croisiéristes offrent de nombreuses expériences et activités de luxe à leurs clients, notamment des spectacles perfectionnés, des casinos, des repas gastronomiques, du parachutisme intérieur, des cures thermales, de la natation et des installations de mise en forme. Chaque activité comporte ses responsabilités et ses défis de sécurité et de risque pour la santé que les entreprises de croisière doivent gérer. Les attentes des consommateurs en matière de sécurité et de confort sont élevées, il est alors particulièrement important d’éviter les problèmes relatifs aux risques pour la santé pour la sécurité physique. Les crimes, blessures et maladies très médiatisés sur des bateaux de croisière peuvent avoir des répercussions graves sur la valeur de la marque et la vente de tickets. Des coûts élevés peuvent également être liés à des plaintes de clients. Les taux de crime sont faibles par rapport aux statistiques sur la criminalité de la plupart des pays développés, mais l’application de la loi est plus délicate et les affaires ne sont pas si simples à résoudre. En effet, les bateaux amènent couramment les passagers dans les eaux internationales et battent pavillon étranger. Cela crée de l’incertitude à propos des juridictions compétentes en matière d’application de la loi. Les entreprises peuvent protéger la santé et la sécurité des clients en appliquant un système de gestion de la sécurité solide.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
      • Pratiques de travail Les croisiéristes emploient des milliers de travailleurs sur chaque navire. La plupart des navires sont immatriculés dans des pays où le droit du travail autorise une certaine souplesse dans de nombreux domaines, notamment en matière de rémunération, d'horaires, de traitement équitable et de licenciement. L’équipage des navires est multinational et est engagé sur une base contractuelle. Les travailleurs effectuent de longues heures de travail d’affilée et séjournent dans des logements partagés, ce qui peut rendre la récupération difficile. Certaines entreprises proposent une structure salariale basée sur les pourboires pour réduire les coûts des salaires. En raison des barrières de la langue et de la complexité du droit des États du pavillon et du droit des pays des travailleurs, il peut être difficile pour les travailleurs de déposer plainte au titre de la violation du droit du travail. Un moral bas peut affecter la capacité des travailleurs à répondre aux attentes du service client, réduire les revenus de l’entreprise et les parts de marché.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des employés Les entreprises de croisière exploitent un service transitoire unique qui exige qu’elles contrôlent la sécurité d’une petite ville, notamment la réponse à tous les besoins médicaux et de sécurité. La volonté de fournir d’un environnement propre et sain à bord est importante pour la protection de la santé de l’équipage pouvant affecter la santé des clients, et donc la réputation et les parts de marché d’une entreprise. En outre, il peut exister plusieurs organes directeurs, notamment l’État pavillon, l’État du port et le pays d’un membre de l’équipage, impliqués dans la fourniture et l’application de réglementations sur la sécurité pour l’industrie. Ces réglementations peuvent être source de confusion en ce qui concerne les protections accordées aux membres de l’équipage. Les entreprises qui ne parviennent pas à protéger la santé et la sécurité des équipages peuvent également être confrontées à un taux de rotation du personnel plus élevé et à des difficultés de recrutement et de fidélisation des employés.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
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    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Gestion des accidents Bien que, statistiquement, les croisières soient une des formes de déplacement les plus sûres pour les vacances, l’industrie fait face à la concurrence en matière d’expérience et de satisfaction des clients et donne la priorité à la gestion de la sécurité. Étant donné la dimension des navires de croisière et la vulnérabilité des passagers en mer, un seul accident mal géré peut ébranler la confiance des consommateurs dans une entreprise. Si les accidents importants sont rares, ils sont susceptibles d’affecter non seulement les revenus et la réputation d’une entreprise, mais également ceux de l’industrie des croisiéristes dans son ensemble. La gestion correcte de l’équipement, la formation des employés et l’utilisation des dernières technologies et pratiques de sécurité dans l’ensemble de la flotte peuvent protéger le bilan de sécurité d’une entreprise et garantir une satisfaction élevée des clients tout en réduisant son profil de risque et son coût du capital.

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