Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Activités de gestion et de garde d’actifs Le secteur des activités de gestion et de garde d’actifs est composée d’entreprises qui gèrent des portefeuilles de placements sur la base d’une commission ou contre rémunération pour les investisseurs institutionnels, de détail et très fortunés. En outre, les entreprises de ce secteur proposent des services de gestion de patrimoine, de gestion de banque privée, de planification financière, de conseils en investissement et de courtage de titres destinés à des investisseurs de détail. Les portefeuilles et stratégies de placements peuvent être diversifiés dans de nombreuses catégories d’actifs, notamment, sans toutefois s’y limiter, les capitaux, les revenus fixes et les fonds spéculatifs. Des entreprises spécifiques participent à des investissements dans le capital-risque et des capitaux privés. Le secteur fournit un service essentiel d’assistance à un ensemble de clients, des investisseurs de détail individuels aux grands propriétaires d’actifs institutionnels, pour répondre aux objectifs d’investissement précisés. Les entreprises du secteur vont des grands gestionnaires d’actifs multinationaux dotés d’une panoplie de produits pouvant faire l’objet d’un placement, de stratégies et de catégories d’actifs aux petites entreprises qui proposent des services à un créneau très spécifique. Les grandes entreprises sont généralement en concurrence sur la base des frais de gestion qu’elles facturent pour leurs services et la possibilité de générer des résultats d’investissement supérieurs. Les petites entreprises, quant à elles, sont généralement en concurrence par rapport à leur capacité d’offrir des produits et services tournés vers les clients individuels en vue de satisfaire leurs besoins de diversification. La crise financière de 2008 et les évolutions réglementaires ultérieures soulignent l’impact social du secteur en matière de fourniture de conseils justes aux clients et de gestion des risques au niveau de l’entité, du portefeuille et de l’économie. En outre, l’impact collectif du secteur sur la distribution de capital crée la responsabilité d’intégrer des facteurs de durabilité dans les décisions et la gestion d’investissements.
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  • Produits agricoles L’industrie des produits agricoles participe au traitement, au commerce et à la distribution de fruits et légumes, et à la production et à la mouture de produits agricoles comme le grain, le sucre, les huiles consommables, le maïs, le soja et les aliments pour animaux. Les produits agricoles sont directement vendus aux consommateurs et aux entreprises pour être utilisés dans des produits de consommation et industriels. Les entreprises de l’industrie achètent généralement des produits agricoles à des entités qui cultivent ces produits (directement ou indirectement) puis exercent des activités créatrices de valeur ajoutée (par ex., transformation, commerce, distribution et mouture). Les entreprises de produits agricoles sont également impliquées dans le commerce de gros et la distribution. Les entreprises de l’industrie peuvent acheter une partie significative de produits agricoles à des producteurs tiers dans divers pays. Par conséquent, la gestion des risques de durabilité au sein de la chaîne d’approvisionnement est essentielle pour garantir l’approvisionnement fiable de matières premières et pour réduire le risque d’augmentation et de volatilité des prix sur le long terme.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (11 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Activités de gestion et de garde d’actifs Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
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    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
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    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Informations transparentes et conseils justes pour les clients Les gestionnaires d’actifs ont des obligations légales et des devoirs fiduciaires relatifs à la tenue de registres, aux exigences d’exploitation, de commercialisation et de divulgation, et à l’interdiction d’activités frauduleuses. Les réglementations concernant le secteur des activités de gestion et de garde d’actifs ont pour objectif d’harmoniser les intérêts des entreprises et ceux de leurs clients, et de limiter les conflits d’intérêts. Cette harmonisation, associée au fait que la plupart des gestionnaires d’actifs touchent des commissions basées sur la quantité d’actifs sous gestion, constitue une incitation importante pour les entreprises qui apportent à leurs clients des stratégies correspondant à des profils risques/rendement. En dépit des divulgations requises, les entreprises font tout de même face à des défis : elles doivent s’assurer que les clients comprennent la nature des risques pris dans les stratégies de placement. Si les services fournis ne correspondent pas aux attentes des clients, il peut s’en suivre des litiges longs et coûteux, une réduction de la confiance avec les clients et une baisse des ventes. Une divulgation renforcée sur les procédures et programmes en vue de fournir des informations adéquates, claires et transparentes à propos des produits et services, les registres de violations réglementaires commises par les employés et la quantité d’amendes et de règlements associés à l’intégrité professionnelle permet aux investisseurs de mieux comprendre l’efficacité de la gestion des risques par l’entreprise associée à cette question. Ils leur permettent également de savoir si l’entreprise est en mesure de préserver la valeur à long terme pour les actionnaires.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
      • Inclusion et diversité des employés Les entreprises qui réalisent des activités de gestion et de garde d’actifs font face à un degré élevé de concurrence en ce qui concerne les employés qualifiés. Parallèlement, l’industrie présente un faible niveau de diversité, en particulier concernant les postes supérieurs. Ces dernières années, une attention considérable des médias s’est portée sur des cas de discrimination sexuelle impliquant des entreprises de l’industrie cotées en Bourse. Alors que l’industrie est transformée par des innovations rapides comme l’introduction de produits financiers plus complexes et un commerce informatisé, algorithmique et de haute fréquence, la capacité des sociétés à attirer et à retenir les employés qualifiés va probablement prendre de plus en plus d’importance. En garantissant la diversité des genres et des origines dans l’ensemble de l’entreprise, les sociétés verront probablement les groupes de leurs candidats s’élargir, ce qui pourrait diminuer le coût à l’embauche et améliorer l’efficacité opérationnelle. En outre, les preuves suggèrent que des groupes diversifiés d’employés dans des entreprises de gestion d’actifs sont susceptibles d’accroître les profils rendement/risque des portefeuilles de placements. Une divulgation renforcée concernant la diversité des genres et des origines des employés, en particulier lorsqu’elle est fournie par catégorie d’employés, permettra aux actionnaires d’évaluer la manière dont les sociétés de cette industrie gèrent ces risques et ces opportunités associés.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Intégration des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance à la gestion et au conseil en investissement Les entreprises qui exercent des activités de gestion et de garde d’actif ont une responsabilité fiduciaire à l’égard de leurs clients. Ces entreprises doivent par conséquent envisager et incorporer une analyse de l’ensemble des informations importantes dans leurs décisions d’investissement, notamment les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Le processus d’incorporation ESG porte sur la considération des facteurs ESG lors de l’évaluation, de la modélisation, de la construction de portefeuille, du vote par procuration et de la collaboration avec les bénéficiaires d’investissements et, par conséquent, sur le processus décisionnel en matière d’investissement par les gestionnaires d’actifs et de patrimoine. La gestion et l’utilisation de formes de capitaux non financières contribuent de plus en plus à la valeur marchande, mais l’incorporation des facteurs ESG dans l’analyse des bénéficiaires d’investissements est devenue plus pertinente. La recherche a déterminé que la gestion de certains facteurs ESG par une entreprise peut avoir des répercussions importantes sur sa comptabilité et les rendements sur les marchés. Par conséquent, une compréhension approfondie de la performance des bénéficiaires d’investissements en matière d’ESG, l’intégration des facteurs ESG dans l’évaluation et la modélisation, et la communication avec les bénéficiaires d’investissement sur des questions de durabilité permet aux gestionnaires d’actifs de produire des rendements supérieurs. D’un autre côté, les entreprises qui exercent des activités de gestion et garde d’actifs et qui n’envisagent pas ces risques et opportunités dans le cadre de leurs activités de gestion d’investissement pourraient voir les rendements de leurs investissements diminuer dans leurs portefeuilles, ce qui entraînerait une baisse des commissions de performance. À long terme, cela entraînerait une sortie des actifs sous gestion, puis la perte de parts de marchés et la baisse des frais de gestion.
      • Émissions financées Les entités participant aux activités de gestion d'actifs sont confrontées à des risques et opportunités liés aux émissions de gaz à effet de serre associées à ces activités. Les contreparties, les emprunteurs ou les entreprises émettrices les plus élevées pourraient être plus sensibles aux risques associés aux changements technologiques, aux changements de l'offre et de la demande et aux changements de politique qui, à leur tour, peuvent avoir une incidence sur les perspectives d'une institution financière qui fournit des services financiers à ces entités. Ces risques et opportunités peuvent prendre la forme d'un risque de crédit, d'un risque de marché, d'un risque de réputation et d'autres risques financiers et opérationnels. Par exemple, un risque de crédit peut survenir en relation avec le financement de clients touchés par des taxes sur le carbone, des réglementations en matière d'efficacité énergétique ou d'autres politiques de plus en plus strictes ; le risque de crédit peut également découler de changements technologiques connexes. Le risque de réputation pourrait découler du financement de projets de combustibles fossiles. Les entités participant aux activités de gestion d'actifs surveillent et gèrent de plus en plus ces risques en mesurant leurs émissions financées. Cette mesure sert d'indicateur de l'exposition d'une entité aux risques et opportunités liés au climat et de la manière dont elle pourrait devoir adapter ses stratégies d'investissement au fil du temps.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
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    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Éthique des affaires L’environnement réglementaire entourant le secteur des activités de gestion et de garde d’actifs continue d’évoluer à la fois sur le plan national et international. Il est attendu des sociétés qu’elles se conforment à un ensemble de règles complexes et parfois incohérentes relatives à la performance, et qu’elles réalisent et fournissent une divulgation sur ces questions comme le délit d’initié, la dispense d’exigences en matière de marchés dérivés de gré à gré et l’évasion fiscale. Les entreprises qui réalisent des activités de gestion et de garde d’actifs sont également soumises à des exigences légales strictes en tant que fiduciaires ou gardiennes de leurs clients. Enfin, dans certaines juridictions, des récompenses renforcées pour les lanceurs d’alerte peuvent conduire à une augmentation du nombre de plaintes déposées auprès des régulateurs. Les sociétés capables d’assurer une conformité réglementaire par le biais de contrôles internes robustes seront mieux positionnées pour établir une relation de confiance avec les clients, conduisant à une augmentation des revenus, et pour protéger la valeur actionnariale en minimisant les pertes subies en résultat de procédures judiciaires.
  • Produits agricoles Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre Les entreprises de l’industrie des produits agricoles génèrent des émissions de gaz à effet de serre (GES) directes découlant du traitement et du transport de marchandises à l’occasion des opérations de fret terrestres et marines. Les réglementations sur les émissions peuvent augmenter le coût du capital, les coûts opérationnels et toucher l’efficacité opérationnelle des entreprises qui ne disposent pas de stratégies permettant de gérer les émissions de GES. L’emploi de technologies innovantes qui utilisent des carburants et entrants énergétiques alternatifs (notamment les déchets de la biomasse générés par les procédés internes) et l’amélioration du rendement énergétique permettent aux entreprises de limiter l’exposition à l’instabilité des prix du carburant, à des perturbations de l’approvisionnement, à des coûts réglementaires futurs et à d’autres conséquences éventuelles des émissions de GES.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie Le traitement et la mouture de produits agricoles nécessitent un apport énergétique important. Certaines entreprises de produits agricoles génèrent de l’énergie sur site à l’aide de la combustion directe de combustibles fossiles et/ou de biomasse, mais la majorité de l’énergie provient du réseau électrique. La consommation d’énergie contribue aux répercussions énergétiques, notamment le changement climatique et la pollution. La gestion de l’énergie affecte les coûts actuels et futurs des opérations. La réglementation sur le climat et d’autres facteurs de durabilité pourraient entraîner la hausse et/ou une volatilité accrue des prix de l’électricité et du carburant, et l’augmentation des coûts opérationnels pour les entreprises de produits agricoles. Par conséquent, le rendement énergétique obtenu à l’aide de l’amélioration des procédés peut réduire les coûts opérationnels. Le compromis entre l’électricité sur site et en provenance du réseau ainsi que l’utilisation d’énergie alternative peuvent jouer un rôle important sur l’influence des coûts à long terme, la fiabilité de l’approvisionnement en énergie d’une entreprise et la mesure de l’impact réglementaire des émissions directes et indirectes.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau L’industrie des produits agricoles a recours à l’eau pour les activités de traitement et les entreprises de l’industrie génèrent en général des eaux usées ou des effluents. En raison de la disponibilité physique et/ou de l’accès réglementaire, la disponibilité de l’eau touche directement la capacité de l’industrie à gérer efficacement les installations de traitement. Les entreprises de l’industrie sont de plus en plus exposées aux risques et réglementations liés à l’eau, ce qui peut augmenter les coûts de dépenses en capital, les coûts opérationnels, les coûts de remédiation et/ou les potentielles amendes. Les entreprises peuvent gérer les risques et les occasions liés à l’eau et réduire les coûts à long terme par le biais d’investissements de capital et d’une évaluation de la localisation des installations en rapport avec les risques de pénurie en eau, les améliorations de l’efficacité opérationnelle et les partenariats avec les organismes de réglementation et les communautés sur des questions comme l’accès à l’eau ou aux effluents. Les risques liés à la production de cultures entraînés par la disponibilité de l’eau et son accès sont traités dans un résumé distinct axé sur la chaîne d’approvisionnement, Approvisionnement en composants.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité alimentaire Les produits agricoles sont soit vendus directement aux consommateurs sous forme brute, soit transformés davantage avant de parvenir aux consommateurs. Le maintien de la qualité et de la sécurité des produits est essentiel, car la contamination par des pathogènes, des produits chimiques, ou des déchets présente de graves risques pour la santé humaine et animale. La contamination peut découler de mauvaises pratiques en matière d’agriculture, de stockage ou de manipulation. Les questions de qualité et de sécurité alimentaires peuvent entraîner des modifications des demandes des consommateurs et des actions réglementaires. Les rappels de produits peuvent nuire à la réputation d’une marque, réduire les revenus et entraîner des amendes élevées. Obtenir des certificats de sécurité alimentaire ou s’assurer du respect par les fournisseurs des directives de sécurité alimentaire pourrait aider les entreprises dans l’industrie à protéger contre les risques pour la sécurité des produits et à communiquer la qualité de leurs produits aux acheteurs.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des collaborateurs Les procédés industriels utilisés dans l’industrie de produits agricoles constituent des dangers professionnels importants. Les employés exercent de nombreuses activités à forte intensité de main-d’œuvre. Les dangers courants comprennent des chutes, des accidents de transport, des accidents liés à l’équipement, et des maladies ou des blessures liées à la chaleur, entre autres. Les violations de normes de santé et de sécurité pourraient entraîner des sanctions monétaires et des frais pour les mesures correctives. Les taux de blessure élevés, notamment les taux de mortalité, peuvent être le signe d’une structure de gouvernance fragile et d’une faible culture de sécurité sur le lieu de travail, et entraîner une atteinte importante à la réputation. Les bons résultats de la gestion de la santé et de la sécurité des collaborateurs peuvent aider à construire une image de marque tout en promouvant la moralité des collaborateurs, ce qui peut entraîner une productivité accrue, un faible roulement des collaborateurs et des relations communautaires renforcées.
    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement des composants Les entreprises de produits agricoles acquièrent les entrants agricoles auprès d’un grand nombre de fournisseurs. La façon dont les entreprises de l’industrie examinent et contrôlent les fournisseurs, et nouent le dialogue avec eux, sur des sujets environnementaux et sociaux peut influer sur la demande des consommateurs, les risques pour la réputation et la capacité des entreprises à gérer efficacement leur approvisionnement en culture et à répondre à la fluctuation des prix. Les questions de la gestion de la chaîne d’approvisionnement liées au travail, aux pratiques environnementales, à l’éthique ou à la corruption peuvent entraîner des sanctions réglementaires et/ou des frais opérationnels accrus à long terme pour les entreprises. De même, les entreprises de produits agricoles peuvent être confrontées à une atteinte à la réputation si les résultats de leurs fournisseurs quant aux questions environnementales et sociales sont mauvais. Les entreprises peuvent atténuer ces risques et augmenter éventuellement la demande des consommateurs ou obtenir de nouveaux débouchés commerciaux en nouant le dialogue avec les fournisseurs clés afin de mettre en œuvre les pratiques agricoles durables ou de s’approvisionner auprès de fournisseurs certifiés.
      • Gestion des OGM Les produits agricoles développés à l’aide de la technologie des organismes génétiquement modifiés (OGM) ont de plus en plus suscité l’intérêt des consommateurs. La technologie OGM a, dans de nombreux cas, permis des améliorations en matière de rendement des cultures par le développement de traits résistants aux maladies ou à la sécheresse chez les plantes, mais les consommateurs s’inquiètent plus en plus des impacts perçus sur la santé, l’environnement et/ou sociaux liés à la culture et à la consommation d’OGM. Certains pays et certaines régions géographiques ont adopté des réglementations qui interdisent l’utilisation ou la culture d’OGM. Les entreprises d’aliments et de boissons de la chaîne d’approvisionnement d’aliments, y compris les entreprises de cette industrie, sont à la recherche de moyens efficaces d’analyser les risques et occasions liés aux OGM, et communiquent à ce sujet avec les consommateurs. Les entreprises de produits agricoles en mesure de répondre aux tendances des consommateurs en constante évolution et aux modifications réglementaires par leur portefeuille de produits ou des communications effectives peuvent réduire les risques pour la réputation, la perte de revenue et saisir des occasions d’obtenir de nouvelles parts de marché.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en composants Les entreprises de produits agricoles acquièrent une série de marchandises et d’ingrédients auprès d’agriculteurs et/ou de distributeurs intermédiaires. La capacité de l’industrie à s’approvisionner de manière fiable en ingrédients au niveau de prix souhaité fluctue avec le rendement des cultures. Elle peut être affectée par le changement climatique, la pénurie en eau, la gestion des terres et toute autre considération de pénurie des ressources. Les entreprises qui acquièrent des cultures plus productives et qui consomment moins de ressources, ou celles qui collaborent étroitement avec les fournisseurs pour accroître leur flexibilité face au changement climatique et aux autres risques de pénurie des ressources seront mieux protégées d’une potentielle volatilité des prix et des perturbations de l’approvisionnement en cultures. En outre, les entreprises peuvent améliorer la réputation de leur marque et développer de nouveaux débouchés commerciaux. La mauvaise gestion des risques d’approvisionnement peut conduire à une augmentation des coûts du capital, à une réduction des marges et à une croissance restreinte du chiffre d’affaires.
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
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