Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Crédit à la consommation
L’industrie du crédit à la consommation accorde des prêts aux consommateurs. Le plus gros segment de l’industrie est composé de crédits renouvelables par l’intermédiaire de cartes de crédit. Les services de prêts supplémentaires comprennent les prêts automobiles, les microprêts et les prêts étudiants. Certaines entreprises de l’industrie proposent également des transferts de fonds interconsommateurs, des mandats, des cartes de débit prépayées et des services de paiement de factures. Les résultats de l’industrie sont déterminés par les dépenses des consommateurs, le taux de chômage, le PIB par habitant, les revenus et la croissance de la population. Les évolutions récentes au profit de la protection des consommateurs et de la transparence ont mis en adéquation les intérêts de la société et ceux des investisseurs à long terme, et continueront de le faire. Les entreprises qui gèrent efficacement leur capital social seront alors mieux placées pour maximiser leur capital financier. -
Services de distribution d’eau
Les entreprises de l’industrie de distribution d’eau détiennent et exploitent des systèmes d’alimentation en eau et de traitement des eaux usées (généralement structurés en tant que services publics réglementés), ou fournissent des services d’eau spécialisés opérationnels ou autres pour les propriétaires du système (généralement des activités basées sur le marché). Les systèmes d’alimentation en eau incluent l’approvisionnement, le traitement et la distribution en eau des résidences, commerces et autres entités telles que les gouvernements. Les systèmes d’eaux usées collectent et traitent les eaux usées, y compris les eaux d’égout, les eaux grises, les liquides industriels résiduels et le ruissellement des eaux pluviales, avant de déverser à nouveau les effluents correspondants dans l’environnement.
Questions pertinentes pour les deux Industries (10 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
- Émissions de GES
- Qualité de l’air
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques. - Gestion des déchets et des matières dangereuses
- Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
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Vie privée des clients
La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte. -
Sécurité des données
La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur. -
Accès et caractère abordable
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications. -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. - Bien-être des clients
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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Capital humain
- Pratiques de travail
- Santé et sécurité des employés
- Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
- Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Résilience du modèle économique
La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques. - Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte. -
Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
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Direction et gouvernance
- Éthique des affaires
- Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
- Gestion des risques systémiques
Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.None -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.None -
Vie privée des clients
La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.-
Vie privée des clients
Les entreprises de crédit à la consommation sont confrontées aux risques et possibilités associées à leur utilisation interne des données fournies par les clients pour les activités qui ne relèvent pas de l’objectif principal pour lequel les données ont été collectées (par ex., pour les utiliser dans la publicité ciblée et/ou les transférer à des tiers). La garantie de la confidentialité des informations nominatives (PII) et des autres données des titulaires du compte est une responsabilité essentielle des entreprises de l’industrie du crédit à la consommation. Pour évaluer les résultats sur cette question, les investisseurs pourraient bénéficier de la divulgation de la part des entreprises du nombre de titulaires du compte dont les informations utilisées pour des objectifs secondaires, ainsi que leurs politiques et procédures relatives à l’utilisation de ces informations, notamment la nature de leurs politiques « opt-in » (consentement explicite). Couplée à des informations sur les actions légales ou réglementaires prises à l’encontre des entreprises et liées à la protection et à la vie privée des clients, une telle divulgation serait utile aux fins des décisions des investisseurs. Les entreprises de crédit à la consommation qui échouent à gérer leurs performances dans ce domaine sont susceptibles de voir leurs revenus baisser à la suite d’une perte de confiance des consommateurs et de désaffections, ainsi que de connaître des répercussions financières provenant d’expositions judiciaires.
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Sécurité des données
La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.-
Sécurité des données
Les entreprises de l’industrie du crédit à la consommation font face à des risques et à des possibilités associées à la manière dont elles gèrent la sécurité des données qui leur sont fournies par les clients, dans le contexte des menaces externes. La garantie de la sécurité des PII des clients est une responsabilité essentielle des entreprises de l’industrie du crédit à la consommation. En vue d’évaluer les résultats sur cette question, les analystes pourraient tirer parti de la divulgation sur les efforts liés à la protection des données contre les menaces de sécurité et les technologies émergentes et en constante évolution, les violations de sécurité réelles qui compromettent les informations nominatives (PII) des clients, et la fraude par carte de crédit et de débit. Les entreprises qui échouent à gérer leurs performances dans ce domaine sont susceptibles de voir leurs revenus baisser à la suite d’une perte de confiance des consommateurs et de désaffections. En outre, les cas de violations de données pourraient exposer les entreprises à des contentieux longs et coûteux, et à de potentielles pertes financières.
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Accès et caractère abordable
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications.None -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.None -
Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.-
Méthodes de vente
Trois éléments sont essentiels à propos du thème Méthodes de vente, dont les résultats peuvent sensiblement affecter les opérations et la situation financière des entreprises. Tout d’abord, les politiques de l’entreprise liées à la structure de rémunération et/ou d’autres incitations peuvent, involontairement, entraîner le risque de vendre des produits et services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients. Deuxièmement, le défaut de fourniture d’informations transparentes aux clients à propos des produits principaux et supplémentaires peut accroître le risque d’être accusé d’utiliser des pratiques trompeuses. Enfin, en fonction des caractéristiques du portefeuille de produits vendus, si les deux premiers éléments ne sont pas correctement réalisés, la concentration de produits risqués détenus par les clients pourrait être élevée. Les entreprises de crédit à la consommation vont probablement continuer à faire face un examen attentif provoqué par des accidents qui attirent l’attention, les organismes de réglementation s’efforçant de garantir la transparence et une divulgation renforcée. La divulgation des caractéristiques essentielles d’un portefeuille de prêts, notamment les frais moyens des produits supplémentaires, l’âge moyen des comptes, le TAEG moyen, le nombre moyen de lignes commerciales et les frais annuels moyens correspondant aux produits de transaction prépayés, permettront aux actionnaires de déterminer les entreprises de crédit à la consommation les mieux placées pour protéger la valeur à long terme qui n’ont pas recours à des pratiques de génération de revenus à court terme. La capacité à fournir des produits de crédit à la consommation dans l’intérêt des clients peut aider les entreprises de l’industrie à réduire l’exposition aux risques des portefeuilles de produits existants, à établir un lien de confiance avec des clients nouveaux et existants, et à étendre leur part de marché en garantissant une croissance durable du chiffre d’affaires.
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Résilience du modèle économique
La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques.None -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.None -
Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).None
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Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
Les entreprises de l’industrie des services de distribution d’eau nécessitent des intrants énergétiques conséquents pour le retrait, le transport, le traitement et la distribution ou le déversement de l’eau potable et d’eaux usées. Les coûts opérationnels du service sont directement liés à l’utilisation énergétique, qui est généralement le coût opérationnel le plus élevé de l’entreprise après l’approvisionnement en eau, en produits chimiques et en main-d’œuvre. L’électricité du réseau approvisionnée est l’intrant énergétique le plus commun. Dans des lieux plus isolés, la production sur site est utilisée pour alimenter les équipements. Une utilisation inefficace de l’électricité du réseau approvisionnée crée des effets externes sur l’environnement, tels que des émissions de gaz à effet de serre de Champ d’application 2. Les réglementations qui répondent aux préoccupations environnementales sont susceptibles d’affecter le futur bouquet énergétique du réseau, entraînant des augmentations de prix. En outre, le changement climatique devrait également affecter la fiabilité du réseau, et la disponibilité des ressources en eau. En conséquence, l’intensité énergétique des services d’eau est susceptible d’augmenter dans le futur alors que les sources d’eau deviennent de plus en plus difficiles d’accès. Un traitement alternatif de l’eau, tel que le recyclage ou le dessalement, peut également nécessiter plus d’énergie. Avec les décisions prises à propos de l’utilisation de carburants de substitution, de l’énergie renouvelable et de la production d’électricité sur site, l’efficacité énergétique peut jouer un rôle important dans l’influence sur les coûts comme sur la fiabilité des approvisionnements en énergie.
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Efficacité du réseau de distribution
Les services d’eau développent, conservent et exploitent des réseaux d’infrastructures complexes interconnectés qui incluent des conduites, canaux, réservoirs et stations de pompage coûteux. Des volumes conséquents d’eau sont perdus dans le réseau de distribution (appelés « les eaux non comptabilisées », car il s’agit d’un volume d’eau distribué qui n’est pas comptabilisé dans les factures du client). Cette eau est principalement perdue en raison de défaillances et inefficacités de l’infrastructure, telles que des fuites dans les conduites et les connexions de service. Les pertes d’eau non comptabilisée peuvent affecter négativement les performances financières, augmenter les tarifs du client et gaspiller de l’eau et autres ressources telles que l’énergie et les produits chimiques de traitement. Réciproquement, des améliorations des infrastructures et des processus opérationnels peuvent limiter les pertes non comptabilisées, affecter positivement les revenus et potentiellement réduire les coûts. Des dépenses de maintenance et opérationnelles ou des dépenses en capital gérées de manière efficace pour les systèmes de distribution, principalement la réparation, la rénovation ou le remplacement des conduites et des connexions de services, peuvent améliorer la valeur de l’entreprise et fournir des rendements accrus sur les investissements. -
Gestion de la qualité de l’effluent
Les installations de traitement de l’eau et des eaux usées produisent des effluents qui engendrent de potentiels risques environnementaux et pour la santé humaine. Les effluents incluent des résidus et solides qui sont formés à partir des produits chimiques utilisés dans le processus de traitement et des contaminants retirés des intrants d’eau brute ou d’eaux usées. Les effluents traités sont déversés depuis les installations dans les eaux de surface ou pompés dans les eaux souterraines. Les répercussions environnementales potentielles varient selon le processus de traitement et de mise au rebut. En outre, les consommateurs et régulateurs sont de plus en plus préoccupés par les substances comprenant des produits chimiques qui perturbent le système endocrinien (EDC), qui ne sont généralement pas pris en compte par les installations de traitement des eaux usées. En conséquence aux risques environnementaux associés aux effluents, les installations de traitement sont soumises à des réglementations environnementales étendues prévues pour contrôler et surveiller leurs répercussions. Alors que la surveillance du public et réglementaire de la qualité des effluents augmente en même temps que les préoccupations concernant les substances d’intérêt nouveau, les entreprises devront innover et garantir que les effluents ne sont pas nocifs pour l’environnement ou la santé humaine. Les déversements d’effluents qui dépassent les limites maximales peuvent entraîner des sanctions réglementaires conséquentes et des épisodes fréquents peuvent mettre en péril le permis d’exploitation social d’une entreprise. Les entreprises peuvent activement gérer les répercussions financières par le biais de la planification, de l’entretien et de l’exploitation de l’infrastructure et de l’équipement, ainsi que par le déploiement d’une main-d’œuvre formée de manière adéquate et expérimentée.
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Vie privée des clients
La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.None -
Sécurité des données
La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.None -
Accès et caractère abordable
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications.-
Accessibilité et accès à l’eau
Un accès fiable à une eau propre est généralement perçu comme un droit de l’homme fondamental. Des prix raisonnables et abordables sont une composante de ce droit. Ainsi, la structuration des tarifs de l’eau d’une manière que la communauté considère comme juste est importante pour la valeur des entreprises de services de distribution d’eau. Les entreprises qui sont en mesure de travailler avec les régulateurs afin de mettre en place des structures tarifaires qui augmentent les niveaux d’acceptation de la communauté sont susceptibles de créer une stabilité financière accrue et de réaliser potentiellement des occasions de croissance, notamment compte tenu de la nature insuffisante des infrastructures d’eau dans la plupart des régions du monde. Les services d’eau qui utilisent des mécanismes de tarification qui inhibe l’accès à l’eau, ou qui sont trop coûteux pour les populations à faibles revenus, peuvent connaître l’opposition de la communauté. Les entreprises doivent garantir des prix et un accès justes, ainsi que des tarifs qui peuvent financer de manière adéquate les infrastructures sur le long terme, fournir une eau potable sécurisée et un traitement des eaux usées adéquat, et collecter un rendement approprié sur le capital.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Qualité de l’eau potable
Les entreprises de l’industrie doivent s’assurer que l’eau est conforme aux réglementations, s’aligne aux attentes du client et est délivrée de manière fiable. Afin de protéger la santé humaine et de sauvegarder la valeur de l’entreprise, les entreprises doivent protéger les sources d’eau contre la contamination, qui peut réduire les processus de traitement et les coûts. Des processus de traitement complets sont conçus, développés et entretenus pour se conformer aux standards de qualité des eaux, alors que l’eau finale est surveillée régulièrement pour sa conformité et sa sécurité. Les événements naturels, tels que les incendies forestiers et les inondations, peuvent également affecter la qualité des sources d’eau. Dans l’ensemble, les entreprises investissent des ressources importantes afin de délivrer de manière constante une eau potable sécurisée aux clients. Une incapacité à fournir une eau de qualité adéquate peut entraîner des amendes réglementaires, de litiges, une augmentation des coûts opérationnels ou des dépenses en capital, des risques pour la réputation et une saisie des actifs ou du commerce.
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.None -
Résilience du modèle économique
La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques.-
Efficacité dans les utilisations finales
L’efficacité et la conservation de l’eau au niveau du client, que ce soit le produit d’un mandat gouvernemental, de la conscience environnementale ou de tendances démographiques, sont de plus en plus importantes pour la disponibilité des ressources à long terme et la performance financière du secteur de l’approvisionnement en eau de l’industrie. Le sujet de l’efficacité dans les utilisations finales répond à la manière dont les services travaillent avec les régulateurs pour limiter les déclins de revenus dans le contexte d’une augmentation du besoin en efficacité des ressources. Les mécanismes d’efficacité hydrique, y compris le découplage des taux, peuvent garantir que les revenus d’un service peuvent couvrir de manière adéquate ses coûts fixes et fournir les niveaux souhaités de rendements indépendamment du volume des ventes, tout en sensibilisant simultanément les clients pour la conservation de l’eau. Les mécanismes d’efficacité peuvent mieux aligner les incitations économiques de l’entité avec les intérêts environnementaux et sociaux, y compris l’efficacité des ressources, des taux plus bas et une augmentation des investissements en capital dans les infrastructures. Les services d’eau sont en mesure de gérer leur exposition aux répercussions des mécanismes de tarification par le biais des relations réglementaires positives, des cas de taux à long terme qui intègrent l’efficacité, et l’exécution de manière forte des stratégies d’efficacité.
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.-
Résistance de l’approvisionnement en eau
Les systèmes d’approvisionnement en eau obtiennent de l’eau à partir de sources souterraines et des eaux de surface. Les sources en eau peuvent soit être accessibles directement ou achetées chez un tiers, la plupart du temps une entité gouvernementale. La pénurie en eau, la contamination des sources d’eau, les défaillances d’infrastructures, la concurrence des utilisateurs et une surconsommation par les clients sont tous des facteurs qui peuvent mettre en péril l’accès suffisant à des sources d’eau. Ces problèmes, combinés avec un risque accru de conditions extrêmes et de sécheresses fréquentes en raison du changement climatique, peuvent entraîner des approvisionnements inadéquats ou des limitations mandatées en eau. Les répercussions financières associées peuvent se manifester de différentes façons, selon la structure tarifaire, mais sont plus susceptibles d’affecter la valeur de l’entreprise avec une diminution des revenus. Les défis liés à l’approvisionnement en eau peuvent également entraîner une augmentation du prix d’achat de l’eau, qui pourrait contribuer à des coûts opérationnels plus élevés. Des défaillances d’infrastructures critiques telles que les aqueducs et les canaux, qui pourraient provenir d’événements comme les tremblements de terre, sont capables de présenter des risques catastrophiques pour les clients des systèmes d’approvisionnement en eau et pourraient infliger des conséquences financières sans précédent. Les entreprises sont en mesure de limiter les risques liés à l’approvisionnement en eau (et les risques financiers qui en découlent) par la diversification des sources d’eau, les niveaux de retrait durables, les améliorations technologiques et des infrastructures, la planification des éventualités, les relations positives avec les régulateurs et autres utilisateurs majeurs, ainsi que les structures tarifaires.
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Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).-
Résistance du réseau et répercussions du changement climatique
Le changement climatique est susceptible de créer des incertitudes commerciales pour les systèmes d’approvisionnement en eau et les systèmes d’eaux usées en raison des répercussions potentielles sur les infrastructures et les opérations. Le changement climatique peut entraîner une augmentation du stress hydrique, des événements météorologiques graves plus fréquents, une réduction de la qualité de l’eau et une augmentation des niveaux de la mer qui pourraient nuire aux actifs du service et à sa capacité d’exploitation. L’approvisionnement en eau et la mise au rebut des eaux usées sont des services de base pour lesquels il est important de maintenir une continuité. L’augmentation de la fréquence et de la gravité des tempêtes met en péril les installations de traitement des eaux et eaux usées, et peut affecter la continuité des services. Des précipitations intenses peuvent entraîner des volumes d’égout qui dépassent la capacité des installations de traitement, contribuant à la libération d’effluents non traités. La minimisation actuelle et future des risques de perturbations du service et la qualité inadéquate du service peuvent nécessiter des dépenses en capital supplémentaires et des dépenses opérationnelles. Alors que le changement climatique entraîne une probabilité plus élevée d’événements météorologiques extrêmes, les entreprises qui répondent à ces risques par le biais de redondances et d’une planification stratégique seront plus en mesure de servir les clients et de protéger la valeur de l’actionnaire.
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Catégorie des problématiques générales
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Crédit à la consommation
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Services de distribution d’eau
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Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie
Les entreprises de l’industrie des services de distribution d’eau nécessitent des intrants énergétiques conséquents pour le retrait, le transport, le traitement et la distribution ou le déversement de l’eau potable et d’eaux usées. Les coûts opérationnels du service sont directement liés à l’utilisation énergétique, qui est généralement le coût opérationnel le plus élevé de l’entreprise après l’approvisionnement en eau, en produits chimiques et en main-d’œuvre. L’électricité du réseau approvisionnée est l’intrant énergétique le plus commun. Dans des lieux plus isolés, la production sur site est utilisée pour alimenter les équipements. Une utilisation inefficace de l’électricité du réseau approvisionnée crée des effets externes sur l’environnement, tels que des émissions de gaz à effet de serre de Champ d’application 2. Les réglementations qui répondent aux préoccupations environnementales sont susceptibles d’affecter le futur bouquet énergétique du réseau, entraînant des augmentations de prix. En outre, le changement climatique devrait également affecter la fiabilité du réseau, et la disponibilité des ressources en eau. En conséquence, l’intensité énergétique des services d’eau est susceptible d’augmenter dans le futur alors que les sources d’eau deviennent de plus en plus difficiles d’accès. Un traitement alternatif de l’eau, tel que le recyclage ou le dessalement, peut également nécessiter plus d’énergie. Avec les décisions prises à propos de l’utilisation de carburants de substitution, de l’énergie renouvelable et de la production d’électricité sur site, l’efficacité énergétique peut jouer un rôle important dans l’influence sur les coûts comme sur la fiabilité des approvisionnements en énergie.
Gestion de l’eau et des eaux usées
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Efficacité du réseau de distribution
Les services d’eau développent, conservent et exploitent des réseaux d’infrastructures complexes interconnectés qui incluent des conduites, canaux, réservoirs et stations de pompage coûteux. Des volumes conséquents d’eau sont perdus dans le réseau de distribution (appelés « les eaux non comptabilisées », car il s’agit d’un volume d’eau distribué qui n’est pas comptabilisé dans les factures du client). Cette eau est principalement perdue en raison de défaillances et inefficacités de l’infrastructure, telles que des fuites dans les conduites et les connexions de service. Les pertes d’eau non comptabilisée peuvent affecter négativement les performances financières, augmenter les tarifs du client et gaspiller de l’eau et autres ressources telles que l’énergie et les produits chimiques de traitement. Réciproquement, des améliorations des infrastructures et des processus opérationnels peuvent limiter les pertes non comptabilisées, affecter positivement les revenus et potentiellement réduire les coûts. Des dépenses de maintenance et opérationnelles ou des dépenses en capital gérées de manière efficace pour les systèmes de distribution, principalement la réparation, la rénovation ou le remplacement des conduites et des connexions de services, peuvent améliorer la valeur de l’entreprise et fournir des rendements accrus sur les investissements. -
Gestion de la qualité de l’effluent
Les installations de traitement de l’eau et des eaux usées produisent des effluents qui engendrent de potentiels risques environnementaux et pour la santé humaine. Les effluents incluent des résidus et solides qui sont formés à partir des produits chimiques utilisés dans le processus de traitement et des contaminants retirés des intrants d’eau brute ou d’eaux usées. Les effluents traités sont déversés depuis les installations dans les eaux de surface ou pompés dans les eaux souterraines. Les répercussions environnementales potentielles varient selon le processus de traitement et de mise au rebut. En outre, les consommateurs et régulateurs sont de plus en plus préoccupés par les substances comprenant des produits chimiques qui perturbent le système endocrinien (EDC), qui ne sont généralement pas pris en compte par les installations de traitement des eaux usées. En conséquence aux risques environnementaux associés aux effluents, les installations de traitement sont soumises à des réglementations environnementales étendues prévues pour contrôler et surveiller leurs répercussions. Alors que la surveillance du public et réglementaire de la qualité des effluents augmente en même temps que les préoccupations concernant les substances d’intérêt nouveau, les entreprises devront innover et garantir que les effluents ne sont pas nocifs pour l’environnement ou la santé humaine. Les déversements d’effluents qui dépassent les limites maximales peuvent entraîner des sanctions réglementaires conséquentes et des épisodes fréquents peuvent mettre en péril le permis d’exploitation social d’une entreprise. Les entreprises peuvent activement gérer les répercussions financières par le biais de la planification, de l’entretien et de l’exploitation de l’infrastructure et de l’équipement, ainsi que par le déploiement d’une main-d’œuvre formée de manière adéquate et expérimentée.
Vie privée des clients
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Vie privée des clients
Les entreprises de crédit à la consommation sont confrontées aux risques et possibilités associées à leur utilisation interne des données fournies par les clients pour les activités qui ne relèvent pas de l’objectif principal pour lequel les données ont été collectées (par ex., pour les utiliser dans la publicité ciblée et/ou les transférer à des tiers). La garantie de la confidentialité des informations nominatives (PII) et des autres données des titulaires du compte est une responsabilité essentielle des entreprises de l’industrie du crédit à la consommation. Pour évaluer les résultats sur cette question, les investisseurs pourraient bénéficier de la divulgation de la part des entreprises du nombre de titulaires du compte dont les informations utilisées pour des objectifs secondaires, ainsi que leurs politiques et procédures relatives à l’utilisation de ces informations, notamment la nature de leurs politiques « opt-in » (consentement explicite). Couplée à des informations sur les actions légales ou réglementaires prises à l’encontre des entreprises et liées à la protection et à la vie privée des clients, une telle divulgation serait utile aux fins des décisions des investisseurs. Les entreprises de crédit à la consommation qui échouent à gérer leurs performances dans ce domaine sont susceptibles de voir leurs revenus baisser à la suite d’une perte de confiance des consommateurs et de désaffections, ainsi que de connaître des répercussions financières provenant d’expositions judiciaires.
Sécurité des données
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Sécurité des données
Les entreprises de l’industrie du crédit à la consommation font face à des risques et à des possibilités associées à la manière dont elles gèrent la sécurité des données qui leur sont fournies par les clients, dans le contexte des menaces externes. La garantie de la sécurité des PII des clients est une responsabilité essentielle des entreprises de l’industrie du crédit à la consommation. En vue d’évaluer les résultats sur cette question, les analystes pourraient tirer parti de la divulgation sur les efforts liés à la protection des données contre les menaces de sécurité et les technologies émergentes et en constante évolution, les violations de sécurité réelles qui compromettent les informations nominatives (PII) des clients, et la fraude par carte de crédit et de débit. Les entreprises qui échouent à gérer leurs performances dans ce domaine sont susceptibles de voir leurs revenus baisser à la suite d’une perte de confiance des consommateurs et de désaffections. En outre, les cas de violations de données pourraient exposer les entreprises à des contentieux longs et coûteux, et à de potentielles pertes financières.
Accès et caractère abordable
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Accessibilité et accès à l’eau
Un accès fiable à une eau propre est généralement perçu comme un droit de l’homme fondamental. Des prix raisonnables et abordables sont une composante de ce droit. Ainsi, la structuration des tarifs de l’eau d’une manière que la communauté considère comme juste est importante pour la valeur des entreprises de services de distribution d’eau. Les entreprises qui sont en mesure de travailler avec les régulateurs afin de mettre en place des structures tarifaires qui augmentent les niveaux d’acceptation de la communauté sont susceptibles de créer une stabilité financière accrue et de réaliser potentiellement des occasions de croissance, notamment compte tenu de la nature insuffisante des infrastructures d’eau dans la plupart des régions du monde. Les services d’eau qui utilisent des mécanismes de tarification qui inhibe l’accès à l’eau, ou qui sont trop coûteux pour les populations à faibles revenus, peuvent connaître l’opposition de la communauté. Les entreprises doivent garantir des prix et un accès justes, ainsi que des tarifs qui peuvent financer de manière adéquate les infrastructures sur le long terme, fournir une eau potable sécurisée et un traitement des eaux usées adéquat, et collecter un rendement approprié sur le capital.
Qualité et sécurité des produits
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Qualité de l’eau potable
Les entreprises de l’industrie doivent s’assurer que l’eau est conforme aux réglementations, s’aligne aux attentes du client et est délivrée de manière fiable. Afin de protéger la santé humaine et de sauvegarder la valeur de l’entreprise, les entreprises doivent protéger les sources d’eau contre la contamination, qui peut réduire les processus de traitement et les coûts. Des processus de traitement complets sont conçus, développés et entretenus pour se conformer aux standards de qualité des eaux, alors que l’eau finale est surveillée régulièrement pour sa conformité et sa sécurité. Les événements naturels, tels que les incendies forestiers et les inondations, peuvent également affecter la qualité des sources d’eau. Dans l’ensemble, les entreprises investissent des ressources importantes afin de délivrer de manière constante une eau potable sécurisée aux clients. Une incapacité à fournir une eau de qualité adéquate peut entraîner des amendes réglementaires, de litiges, une augmentation des coûts opérationnels ou des dépenses en capital, des risques pour la réputation et une saisie des actifs ou du commerce.
Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Méthodes de vente
Trois éléments sont essentiels à propos du thème Méthodes de vente, dont les résultats peuvent sensiblement affecter les opérations et la situation financière des entreprises. Tout d’abord, les politiques de l’entreprise liées à la structure de rémunération et/ou d’autres incitations peuvent, involontairement, entraîner le risque de vendre des produits et services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients. Deuxièmement, le défaut de fourniture d’informations transparentes aux clients à propos des produits principaux et supplémentaires peut accroître le risque d’être accusé d’utiliser des pratiques trompeuses. Enfin, en fonction des caractéristiques du portefeuille de produits vendus, si les deux premiers éléments ne sont pas correctement réalisés, la concentration de produits risqués détenus par les clients pourrait être élevée. Les entreprises de crédit à la consommation vont probablement continuer à faire face un examen attentif provoqué par des accidents qui attirent l’attention, les organismes de réglementation s’efforçant de garantir la transparence et une divulgation renforcée. La divulgation des caractéristiques essentielles d’un portefeuille de prêts, notamment les frais moyens des produits supplémentaires, l’âge moyen des comptes, le TAEG moyen, le nombre moyen de lignes commerciales et les frais annuels moyens correspondant aux produits de transaction prépayés, permettront aux actionnaires de déterminer les entreprises de crédit à la consommation les mieux placées pour protéger la valeur à long terme qui n’ont pas recours à des pratiques de génération de revenus à court terme. La capacité à fournir des produits de crédit à la consommation dans l’intérêt des clients peut aider les entreprises de l’industrie à réduire l’exposition aux risques des portefeuilles de produits existants, à établir un lien de confiance avec des clients nouveaux et existants, et à étendre leur part de marché en garantissant une croissance durable du chiffre d’affaires.
Résilience du modèle économique
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Efficacité dans les utilisations finales
L’efficacité et la conservation de l’eau au niveau du client, que ce soit le produit d’un mandat gouvernemental, de la conscience environnementale ou de tendances démographiques, sont de plus en plus importantes pour la disponibilité des ressources à long terme et la performance financière du secteur de l’approvisionnement en eau de l’industrie. Le sujet de l’efficacité dans les utilisations finales répond à la manière dont les services travaillent avec les régulateurs pour limiter les déclins de revenus dans le contexte d’une augmentation du besoin en efficacité des ressources. Les mécanismes d’efficacité hydrique, y compris le découplage des taux, peuvent garantir que les revenus d’un service peuvent couvrir de manière adéquate ses coûts fixes et fournir les niveaux souhaités de rendements indépendamment du volume des ventes, tout en sensibilisant simultanément les clients pour la conservation de l’eau. Les mécanismes d’efficacité peuvent mieux aligner les incitations économiques de l’entité avec les intérêts environnementaux et sociaux, y compris l’efficacité des ressources, des taux plus bas et une augmentation des investissements en capital dans les infrastructures. Les services d’eau sont en mesure de gérer leur exposition aux répercussions des mécanismes de tarification par le biais des relations réglementaires positives, des cas de taux à long terme qui intègrent l’efficacité, et l’exécution de manière forte des stratégies d’efficacité.
Approvisionnement en matériaux et efficacité
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Résistance de l’approvisionnement en eau
Les systèmes d’approvisionnement en eau obtiennent de l’eau à partir de sources souterraines et des eaux de surface. Les sources en eau peuvent soit être accessibles directement ou achetées chez un tiers, la plupart du temps une entité gouvernementale. La pénurie en eau, la contamination des sources d’eau, les défaillances d’infrastructures, la concurrence des utilisateurs et une surconsommation par les clients sont tous des facteurs qui peuvent mettre en péril l’accès suffisant à des sources d’eau. Ces problèmes, combinés avec un risque accru de conditions extrêmes et de sécheresses fréquentes en raison du changement climatique, peuvent entraîner des approvisionnements inadéquats ou des limitations mandatées en eau. Les répercussions financières associées peuvent se manifester de différentes façons, selon la structure tarifaire, mais sont plus susceptibles d’affecter la valeur de l’entreprise avec une diminution des revenus. Les défis liés à l’approvisionnement en eau peuvent également entraîner une augmentation du prix d’achat de l’eau, qui pourrait contribuer à des coûts opérationnels plus élevés. Des défaillances d’infrastructures critiques telles que les aqueducs et les canaux, qui pourraient provenir d’événements comme les tremblements de terre, sont capables de présenter des risques catastrophiques pour les clients des systèmes d’approvisionnement en eau et pourraient infliger des conséquences financières sans précédent. Les entreprises sont en mesure de limiter les risques liés à l’approvisionnement en eau (et les risques financiers qui en découlent) par la diversification des sources d’eau, les niveaux de retrait durables, les améliorations technologiques et des infrastructures, la planification des éventualités, les relations positives avec les régulateurs et autres utilisateurs majeurs, ainsi que les structures tarifaires.
Impacts physiques du changement climatique
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Résistance du réseau et répercussions du changement climatique
Le changement climatique est susceptible de créer des incertitudes commerciales pour les systèmes d’approvisionnement en eau et les systèmes d’eaux usées en raison des répercussions potentielles sur les infrastructures et les opérations. Le changement climatique peut entraîner une augmentation du stress hydrique, des événements météorologiques graves plus fréquents, une réduction de la qualité de l’eau et une augmentation des niveaux de la mer qui pourraient nuire aux actifs du service et à sa capacité d’exploitation. L’approvisionnement en eau et la mise au rebut des eaux usées sont des services de base pour lesquels il est important de maintenir une continuité. L’augmentation de la fréquence et de la gravité des tempêtes met en péril les installations de traitement des eaux et eaux usées, et peut affecter la continuité des services. Des précipitations intenses peuvent entraîner des volumes d’égout qui dépassent la capacité des installations de traitement, contribuant à la libération d’effluents non traités. La minimisation actuelle et future des risques de perturbations du service et la qualité inadéquate du service peuvent nécessiter des dépenses en capital supplémentaires et des dépenses opérationnelles. Alors que le changement climatique entraîne une probabilité plus élevée d’événements météorologiques extrêmes, les entreprises qui répondent à ces risques par le biais de redondances et d’une planification stratégique seront plus en mesure de servir les clients et de protéger la valeur de l’actionnaire.