Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Bourses de valeurs mobilières et de marchandises Les bourses de valeurs mobilières et de marchandises opèrent sur les marchés sous forme de salles des marchés physiques ou de plateformes électroniques pour les valeurs mobilières, les marchandises et autres instruments financiers. Les entreprises de l’industrie génèrent principalement leurs revenus à partir des frais sur les transactions et pour la compensation des transactions ainsi que des frais de référencement. La concurrence pour ces frais continue d’augmenter avec l’émergence des plateformes d’échanges alternatives qui proposent des transactions moins coûteuses et fournissent des services de référencement. Les tendances récentes au sein de l’environnement réglementaire suggèrent un intérêt accru pour la transparence, la gestion des risques et la stabilité du marché. Alors que de nouvelles politiques et transformations sur le marché encouragent une gestion plus responsable du capital social et une gouvernance forte, les entreprises qui répondent à toutes les formes de capitaux, pas uniquement financiers, seront mieux positionnées pour protéger la valeur des actionnaires dans le futur.
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  • Biocarburants L’industrie des biocarburants est composée d’entreprises qui produisent des biocarburants et transforment des matières premières pour la production. Les biocarburants sont fabriqués à partir de matières premières organiques et sont principalement utilisés comme carburants pour le transport. Les entreprises s’approvisionnent généralement en matières premières, qui comprennent des denrées alimentaires, des oléagineux et des produits animaux, auprès des distributeurs de produits agricoles. L’éthanol et le biodiesel sont les biocarburants les plus largement produits, mais il existe d’autres types de biocarburants comme le biogaz, le biohydrogène et les biocarburants synthétiques, produits à partir de diverses matières premières organiques. Les clients des entreprises de biocarburants sont principalement des entreprises de mélange et d’approvisionnement en carburant, y compris de grandes sociétés pétrolières intégrées. Bien que les biocarburants soient produits dans le monde entier, les sociétés cotées en bourse de l’industrie des biocarburants opèrent principalement aux États-Unis, bien que certaines aient des activités mineures à l’étranger, notamment en Inde, au Brésil et en Corée du Sud. La réglementation gouvernementale relative à l’utilisation de carburants renouvelables est un important moteur de la demande dans l’industrie.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (8 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Bourses de valeurs mobilières et de marchandises Remove
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
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    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Promotion de marchés financiers efficaces et transparents Les bourses de valeurs mobilières et de marchandises ont la responsabilité d’assurer un accès équitable aux marchés de capitaux pour tous les investisseurs. Comme les marchés publics, ces entreprises jouent un rôle critique dans l’attribution efficace du capital et l’application équitable des règles pour tous les participants. En outre, les entreprises doivent gérer la diffusion d’informations publiques pour éviter les asymétries. De plus, avec l’émergence des transactions à haute fréquence, il existe une préoccupation grandissante concernant la technologie, qui peut entraîner des avantages pour certains négociants aux dépens des autres. Des asymétries informationnelles qui entraînent un arbitrage déloyal pourraient entraîner des litiges et, potentiellement, des sanctions réglementaires, une supervision réglementaire renforcée et des coûts de conformité, ainsi qu’une atteinte à la réputation qui peut affecter les volumes de transactions et donc les revenus. La communication de politiques liées à la diffusion des informations, aux arrêts des échanges et aux risques et occasions associés aux transactions algorithmiques ou à haute fréquence permettra aux investisseurs de mieux comprendre comment la bourse de valeurs mobilières et de marchandises protège la valeur de l’actionnaire.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Gestion des conflits d’intérêts Les bourses de valeurs mobilières et de marchandises sont responsables de la supervision des entreprises membres. Plus spécifiquement, les entreprises de cette industrie surveillent les informations d’adhésion et la conformité réglementaire afin de garantir l’intégrité du marché et sa transparence. Par exemple, aux États-Unis, elles enquêtent sur et sanctionnent les entreprises membres qui violent la Securities and Exchange Act (loi sur les valeurs mobilières). De récentes controverses liées à la manipulation de marché, à la fraude fiscale, aux règles de protection des investisseurs et aux comportements antitrust ont soulevé des préoccupations concernant les conflits d’intérêts qui surviennent en raison de la position des bourses de valeurs mobilières et de marchandises en tant qu’organismes d’autorégulation (SRO). Les innovations rapides sur les marchés financiers fournissent des occasions importantes de renforcer la rentabilité. Cependant, les bourses doivent continuer de s’acquitter de leurs responsabilités en tant que SRO afin de garantir un accès ouvert et équitable à tous les investisseurs, de publier des règles et des coûts et de superviser les transactions. Les entreprises qui évitent les activités frauduleuses et contraires à l’éthique maintiendront l’intégrité du marché, limiteront les atteintes à la réputation et assureront leur croissance durable à long terme.
    • Gestion de l’environnement juridique et réglementaire La catégorie aborde l’approche d’une entreprise de la coopération avec des organismes de réglementation dans les cas où des intérêts commerciaux et publics peuvent potentiellement avoir des impacts négatifs directs ou indirects sur le plan environnemental et social, sur le long terme. La catégorie aborde le niveau de dépendance d’une entreprise vis-à-vis des politiques réglementaires ou des incitations financières (comme les subventions et les taxes), ses actions pour influencer la politique industrielle (par exemple à travers le lobbying), sa dépendance générale vis-à-vis d’un environnement réglementaire favorable pour la compétitivité des entreprises, et sa capacité à respecter les réglementations pertinentes. Elle peut avoir trait à l’alignement des perspectives de la direction et des investisseurs de l’engagement réglementaire et de la conformité en général.
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    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
      • Gestion de la continuité des opérations et des risques technologiques Les bourses de valeurs mobilières et de marchandises sont confrontées à des risques et occasions associés à la technologie informatique. La position centrale de l’industrie dans le fonctionnement correct des marchés financiers nécessite que les questions concernant les violations de sécurité et les erreurs technologiques soient gérées afin de prévenir les interruptions du marché. À l’heure où les bourses de valeurs mobilières et de marchandises sont confrontées à des volumes de transactions associés à la compensation et à l’exécution de transactions dérivées et à une fréquence accrue des cyberattaques, l’industrie est exposée aux nouveaux risques et nouvelles occasions associés à sa dépendance aux technologies informatiques. Une incapacité à garantir la continuité des échanges peut saper la confiance des consommateurs et entraîner des volumes de transaction moins élevés, et donc une perte de revenus. Une communication accrue des efforts mis en place pour prévenir ces risques, en plus des performances actuelles, permettra aux actionnaires d’évaluer précisément leur valeur.
  • Biocarburants Remove
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Qualité de l’air Les raffineries de biocarburants produisent des émissions atmosphériques qui peuvent comprendre des polluants atmosphériques dangereux, des polluants atmosphériques courants et des composés organiques volatils. Les émissions sont générées par le matériel de manutention des grains, les chaudières, le traitement des eaux usées et les unités de refroidissement, de séchage, de distillation et de fermentation. Dans la plupart des régions, ces émissions sont généralement assujetties à des règlements régionaux et fédéraux qui visent à limiter les émissions en deçà de seuils précis. Par conséquent, les émissions atmosphériques sont souvent assujetties à des permis d’émissions et la réduction des émissions peut entraîner des coûts d’exploitation ou des dépenses en immobilisations. Les entreprises peuvent également faire face à des coûts et à des pénalités de conformité réglementaire, ainsi qu’à des restrictions ou des retards de permis de la part des agences étatiques et locales, si les installations ne sont pas conformes à la réglementation.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau dans la fabrication Le raffinage des biocarburants exige généralement beaucoup d’eau. Les bioraffineries ont besoin d’eau pour le traitement des matières premières, la fermentation, la distillation et le refroidissement. Bien que l’utilisation de l’eau dans les bioraffineries soit modeste par rapport aux quantités consommées pendant la production des cultures de matières premières, elle est concentrée et peut donc avoir des répercussions sur les ressources en eau locales. Les installations peuvent également produire des eaux usées contenant des sels, des composés organiques, des solides dissous, du phosphore et d’autres substances qui nécessitent un traitement des eaux usées. Les raffineries de biocarburants peuvent également être exposées au risque de réduction de la disponibilité de l’eau et d’augmentation des coûts connexes ou d’interruption des activités. L’extraction de l’eau de certaines zones à des fins de raffinage, ainsi que la contamination des ressources en eau due aux opérations de raffinage, pourraient également créer des risques réglementaires et des tensions avec les communautés locales. L’efficacité de l’eau dans les opérations et le traitement approprié des effluents sont donc des facteurs importants pour la performance des entreprises de biocarburants.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Bilan des émissions calculées sur le cycle de vie La croissance rapide de la production mondiale de biocarburants est en grande partie attribuable aux politiques énergétiques gouvernementales qui visent à réduire les émissions nettes de GES provenant des carburants de transport et à réduire la dépendance aux combustibles fossiles. La plupart des grandes politiques sur les carburants renouvelables dans le monde exigent que les biocarburants permettent de réduire les émissions de GES tout au long de leur cycle de vie par rapport à une base de référence pour les combustibles fossiles afin d’être admissibles aux seuils du mandat sur les carburants renouvelables. Le calcul des émissions du cycle de vie des biocarburants peut inclure les émissions indirectes et directes provenant de la production de cultures de matières premières et de l’utilisation des sols, du raffinage du carburant, du transport du carburant et des matières premières et des émissions d’échappement des véhicules. Les producteurs de biocarburants peuvent influer directement sur les émissions nettes pendant le processus de raffinage grâce à la gestion de l’énergie (utilisation de carburant), aux innovations de processus et à l’utilisation de matières premières ayant des profils d’émissions moins élevés. Les carburants qui permettent de réduire les émissions nettes peuvent être considérés comme des biocarburants avancés qui, selon les mandats existants en matière de biocarburants aux États-Unis et en Europe, pourraient faire l’objet d’une demande accrue à l’avenir. Les entreprises de biocarburants qui réduisent de façon rentable les émissions nettes de carbone de leurs produits peuvent obtenir un avantage concurrentiel, ce qui entraîne une croissance du chiffre d’affaires et une augmentation de la part de marché.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement et impacts environnementaux de la production de matières premières L’industrie des biocarburants utilise une variété de matières premières végétales comme matières premières pour la production. La plupart des entreprises achètent des matières premières aux producteurs et aux distributeurs agricoles. Une proportion croissante des terres arables du monde est maintenant occupée par des cultures de biocarburants. Les pratiques de culture non durables peuvent avoir des effets négatifs sur l’environnement, notamment la déforestation et la perte de biodiversité, la dégradation des sols et la pollution de l’eau. Ces facteurs pourraient nuire au rendement des cultures de matières premières à court et à long terme. Cela pourrait à son tour influer sur le prix et la disponibilité des matières premières pour les producteurs de biocarburants. Par conséquent, le contrôle de la durabilité des chaînes d’approvisionnement, notamment au moyen de certifications ou d’un engagement avec les fournisseurs, est une considération importante pour les producteurs de biocarburants.
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
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    • Gestion de l’environnement juridique et réglementaire La catégorie aborde l’approche d’une entreprise de la coopération avec des organismes de réglementation dans les cas où des intérêts commerciaux et publics peuvent potentiellement avoir des impacts négatifs directs ou indirects sur le plan environnemental et social, sur le long terme. La catégorie aborde le niveau de dépendance d’une entreprise vis-à-vis des politiques réglementaires ou des incitations financières (comme les subventions et les taxes), ses actions pour influencer la politique industrielle (par exemple à travers le lobbying), sa dépendance générale vis-à-vis d’un environnement réglementaire favorable pour la compétitivité des entreprises, et sa capacité à respecter les réglementations pertinentes. Elle peut avoir trait à l’alignement des perspectives de la direction et des investisseurs de l’engagement réglementaire et de la conformité en général.
      • Gestion de l’environnement juridique et réglementaire L’industrie des biocarburants dépend beaucoup des politiques et des règlements gouvernementaux, qui créent une demande sur le marché et encouragent l’offre grâce à des allégements fiscaux et à d’autres mesures de soutien pour la production de matières premières. L’industrie des biocarburants appuie donc certains règlements et politiques liés à la politique sur les carburants renouvelables, aux crédits d’impôt à la production et à la production de matières premières. Bien que le soutien réglementaire puisse entraîner des gains positifs à court terme en soutenant le marché des biocarburants, les impacts environnementaux négatifs potentiels à long terme de la production de matières premières et de biocarburants peuvent entraîner un renversement des politiques bénéfiques, menant à un environnement réglementaire plus incertain. Par conséquent, les entreprises de biocarburants pourraient tirer profit de l’élaboration d’une stratégie claire pour mobiliser les organismes de réglementation qui s’harmonise avec les résultats commerciaux durables à long terme et qui tient compte des externalités environnementales.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Sécurité opérationnelle, préparation et réponse aux situations d’urgence La production de biocarburants présente des dangers pour la sécurité opérationnelle en raison de la présence de substances inflammables et explosives, de températures élevées et d’équipement sous pression. Les incidents liés à la sécurité des procédés peuvent endommager les installations, blesser des travailleurs et affecter l’environnement et les collectivités locales. Bien que la fréquence des accidents dans l’industrie soit relativement faible, lorsqu’ils se produisent, les résultats peuvent être graves et avoir des répercussions importantes sur le rendement financier. Les installations endommagées peuvent être inutilisables pendant de longues périodes, entraînant des pertes de revenus et d’importantes dépenses en immobilisations pour les réparations. Les entreprises perçues comme étant plus à risque de connaître des incidents liés à la sécurité des processus peuvent avoir un coût du capital plus élevé, tandis que les accidents du travail pourraient entraîner des pénalités réglementaires et des litiges. À l’inverse, les entreprises ayant une solide culture de sécurité et une surveillance de la sécurité opérationnelle peuvent détecter et réagir plus efficacement à de tels incidents, atténuer les risques financiers potentiels et améliorer l’efficacité opérationnelle.
    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
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