Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Financement hypothécaire
L’industrie du financement hypothécaire fournit un bien public essentiel pour permettre aux consommateurs d’acheter une maison et contribue au taux global d’accession à la propriété. Les entreprises de l’industrie prêtent du capital à des clients individuels et commerciaux avec des biens en garantie. Les principaux produits sont les prêts hypothécaires résidentiels et commerciaux, tandis que les autres services offerts comprennent les services hypothécaires, l’assurance titres, les services de clôture et de règlement et l’évaluation. De plus, les sociétés de financement hypothécaire possèdent, gèrent et financent des placements liés à l’immobilier, comme des certificats hypothécaires de transfert et des obligations hypothécaires garanties. Les tendances récentes en matière de réglementation indiquent un virage important vers la protection des consommateurs, la divulgation et la responsabilisation. La législation adoptée en réponse à la crise hypothécaire de 2008 démontre la possibilité d’une meilleure harmonisation entre les intérêts de la société et ceux des investisseurs à long terme. -
Vêtements, accessoires et chaussures
L’industrie des Vêtements, accessoires et chaussures est composée d’entreprises engagées dans des activités de conception, de fabrication, de vente en gros et au détail de divers produits, y compris des vêtements pour hommes, femmes et enfants, des sacs à main, des bijoux, des montres et des chaussures. Les produits en question sont en majorité fabriqués par des fournisseurs des marchés émergents, ce qui permet aux entreprises de l’industrie de se concentrer principalement sur les activités de conception, de vente en gros, de commercialisation, de gestion de la chaîne d’approvisionnement et de vente au détail.
Questions pertinentes pour les deux Industries (5 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
- Émissions de GES
- Qualité de l’air
- Gestion de l’énergie
- Gestion de l’eau et des eaux usées
- Gestion des déchets et des matières dangereuses
- Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
- Accès et caractère abordable
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. - Bien-être des clients
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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Capital humain
- Pratiques de travail
- Santé et sécurité des employés
- Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
- Conception de produit et gestion du cycle de vie
- Résilience du modèle économique
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte. -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte. -
Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
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Direction et gouvernance
- Éthique des affaires
- Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
- Gestion des risques systémiques
Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.None -
Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.-
Pratiques de prêt
L’approche adoptée par les sociétés de financement hypothécaire pour encourager les employés et la façon dont ils communiquent avec les clients sont importantes pour de multiples raisons. Premièrement, les structures d’incitation et les politiques de rémunération des initiateurs de prêts peuvent involontairement les encourager à promouvoir des produits et services de prêt qui ne sont pas dans le meilleur intérêt de leurs clients. Deuxièmement, le manque de transparence à l’égard des produits primaires et des produits complémentaires peut avoir une incidence sur la réputation d’une entreprise et inciter à un examen réglementaire et à des litiges coûteux. Enfin, une mauvaise performance sur les deux premiers éléments pourrait affecter les caractéristiques du portefeuille de produits, entraînant une forte concentration de produits risqués vendus. Les organismes de réglementation de l’industrie du financement hypothécaire ont adopté d’importantes lois sur la protection des consommateurs à la suite de la crise financière de 2008 qui visent à limiter les pratiques de prêts abusives qui ont encouragé les emprunteurs qualifiés et non qualifiés à prendre des prêts subprime. De plus, ces lois interdisent aux préparateurs de prêts hypothécaires de recevoir une indemnisation liée à la valeur du prêt et exigent que des renseignements supplémentaires soient fournis aux emprunteurs. Les sociétés de financement hypothécaire qui sont en mesure de fournir des renseignements transparents et des conseils équitables sont plus susceptibles de protéger la valeur pour les actionnaires. Une meilleure divulgation des principaux éléments des pratiques de prêt permettra aux actionnaires de déterminer quelles entreprises sont les mieux placées pour protéger la valeur. -
Prêts discriminatoires
L’industrie du financement hypothécaire regroupe les données individuelles pour déterminer les modalités des prêts, y compris les dispositions clés comme la taille du prêt, le taux d’intérêt, les points initiaux ou d’autres frais. Toutefois, le processus complexe peut entraîner des pratiques de prêt discriminatoires intentionnelles ou non par le préparateur de prêt hypothécaire. Les prêts discriminatoires présentent des risques importants sous la forme d’amendes ou de règlements pour des infractions à des règlements comme la U.S. Equal Credit Opportunity Act (ECOA, ou loi américaine sur l’égalité des chances en matière de crédit) ou la U.S. Fair Housing Act (FHA, ou loi américaine sur le logement équitable), le risque de réputation et le rendement financier négatif en raison d’une mauvaise tarification des prêts. Les processus de divulgation en place pour garantir des prêts non discriminatoires, en divulguant le montant des prêts hypothécaires ventilé par statut minoritaire ainsi que les caractéristiques financières pertinentes, et la divulgation du montant des pertes financières résultant de procédures judiciaires liées à des violations des lois et règlements applicables aidera les investisseurs à évaluer le rendement de l’entreprise. Les sociétés de financement hypothécaire peuvent réduire le risque de prêts discriminatoires intentionnels ou involontaires grâce à la mise en œuvre de processus solides, de contrôles internes et de suivi du portefeuille de prêts, entre autres techniques. Les entreprises proactives qui mettent au point de solides techniques de prévention de la discrimination peuvent atténuer efficacement les risques associés aux prêts discriminatoires.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.None -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.None -
Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).-
Risque environnemental pour les propriétés hypothéquées
Une augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes associés au changement climatique peut avoir un impact négatif sur l’industrie du financement hypothécaire. Plus précisément, les ouragans, les inondations et d’autres événements liés au changement climatique peuvent entraîner des paiements manqués et des défauts de paiement, tout en diminuant la valeur des actifs sous-jacents. La divulgation de l’exposition globale, des programmes de remise de prêts et de l’intégration des changements climatiques dans l’analyse des prêts permettra aux actionnaires de déterminer quelles sociétés de financement hypothécaire sont les mieux placées pour protéger la valeur à la lumière des risques environnementaux.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Gestion des substances chimiques contenues dans les produits
L’introduction du Consumer Product Safety Improvement Act (ou loi sur l’amélioration des produits de consommation) des États-Unis et de la législation européenne sur l’enregistrement, l’évaluation, l’autorisation et la restriction des produits chimiques traduit un intérêt réglementaire et de la part des parties prenantes croissant quant à l’utilisation de substances chimiques dangereuses ou potentiellement dangereuses dans les produits de consommation, y compris les vêtements, les accessoires et les chaussures. Des traces de produits chimiques interdits ou réglementés ont été trouvées dans des produits finis vestimentaires et chaussants. Selon le produit chimique, la quantité présente dans un produit, ainsi que le type d’exposition auquel est confronté le consommateur, les substances spécifiques peuvent être cancérigènes et perturber l’activité hormonale chez les êtres humains et autres organismes. L’incapacité à gérer ce problème peut générer une surveillance réglementaire accrue et avoir des répercussions sur la réputation de l’entreprise. De plus, la présence de substances chimiques dangereuses dans des produits peut conduire à des rappels de produits, des litiges et des atteintes à la réputation. Les entreprises de cette industrie peuvent travailler sur la conception et la fabrication pour gérer l’utilisation de produits chimiques préoccupants, développer des alternatives sécurisées et éliminer les produits interdits. Au regard de la dépendance de l’industrie vis-à-vis de l’externalisation des services de fabrication, des partenariats proactifs avec les fournisseurs sont nécessaires. Pour gérer cette problématique, les entreprises doivent contrebalancer le danger que représentent certains produits chimiques pour les consommateurs grâce à des produits de qualité, et à leurs coûts de production.
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.None -
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.-
Répercussions environnementales dans la chaîne d’approvisionnement
La chaîne d’approvisionnement mondiale de l’industrie des Vêtements, accessoires et chaussures contribue de manière significative aux externalités négatives environnementales, à travers la consommation et la pollution de l’eau ainsi que la pollution atmosphérique. La pollution de l’eau est due aux rejets de produits chimiques qui ont lieu lors des processus de teinture et de tannage, très gourmands en eau, alors que la pollution atmosphérique est provoquée par l’énergie utilisée par l’industrie. Ces effets négatifs sont susceptibles de nuire à l’image de l’entreprise et d’influencer les structures des coûts à long terme. L’étendue de cette problématique a augmenté au fil du temps en raison de la dépendance de l’industrie envers leurs partenaires de fabrication situés dans les marchés émergents, où les réglementations environnementales et les contrôles sont limités. Cependant, la surveillance renforcée des parties prenantes et des consommateurs, associée au développement d’une réglementation plus stricte dans certaines régions, a conduit les entreprises de l’industrie à collaborer avec des fournisseurs afin de réduire leurs répercussions environnementales. Les entreprises de vêtements, d’accessoires et de chaussures qui mettent à profit leur pouvoir de marché pour travailler aux côtés de fournisseurs avec pour objectif d’améliorer leur efficacité opérationnelle, leur consommation de ressources et limiter la pollution, pourront atténuer les coûts associés à l’aggravation de la pénurie des ressources et le renforcement des réglementations. De surcroît, les entreprises qui s’engagent auprès de fournisseurs à travers la surveillance, l’audit et l’application de normes strictes bénéficieront d’un meilleur positionnement pour protéger la valeur actionnariale sur le long terme. -
Conditions de travail dans la chaîne d’approvisionnement
Le traitement et la protection des droits des travailleurs au sein de la chaîne d’approvisionnement de l’industrie des Vêtements, accessoires et chaussures constituent une inquiétude croissante parmi les consommateurs, les régulateurs et les entreprises dominantes. Les aspects critiques de cette problématique comprennent la santé et la sécurité des employés, la rémunération équitable, le travail des enfants et le travail forcé. Bien que certaines entreprises continuent d’améliorer leur performance à ce sujet, la dépendance de l’industrie envers un système à niveaux multiples de fournisseurs, les sous-traitants, les entreprises de recrutements et les employés à temps partiel entraîne des difficultés de gestion. Du fait que les entreprises de l’industrie collaborent généralement avec des fournisseurs de pays présentant les coûts d’exploitation directs les plus bas, leurs produits sont souvent fabriqués dans des régions où les réglementations et la législation en matière de protection des travailleurs sont limitées. Cette dynamique peut augmenter l’exposition de l’entreprise aux risques liés à l’image, et avoir une incidence sur les coûts et les ventes sur le court et long terme. De telles répercussions peuvent provenir de l’augmentation et du renforcement de la réglementation en réponse à des problèmes de sécurité inacceptables et des incidents liés au travail, à des perturbations de la production pour cause de grèves et autres arrêts de travail liés à l’activité, ou encore un détournement de la demande pour les entreprises associées à ce type d’incidents. Les entreprises appliquant des normes et une surveillance strictes à leur chaîne d’approvisionnement, et qui s’engagent aux côtés de fournisseurs avec pour objectif de prendre à bras le corps ces problématiques, sont susceptibles de bénéficier d’un meilleur positionnement pour protéger leur valeur actionnariale sur le long terme.
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.-
Approvisionnement en matières premières
L’industrie des Vêtements, des accessoires et des chaussures s’appuie sur de nombreuses matières premières en tant qu’intrants majeurs pour les produits finis, dont le coton, le cuir, la laine, le caoutchouc et les minerais et métaux précieux. Les répercussions sur l’environnement liées au changement climatique, à l’utilisation des sols, à la pénurie des ressources et aux conflits sévissant dans certaines régions où la chaîne d’approvisionnement opère influencent de plus en plus la capacité de l’industrie à s’approvisionner. L’aptitude des entreprises à gérer de potentielles pénuries de matériaux, les perturbations de la demande, la volatilité des prix et les risques liés à l’image est davantage mise à l’épreuve, car leurs sources d’approvisionnement se trouvent dans diverses régions géographiques, où les chaîne d’approvisionnement manquent souvent de transparence. L’incapacité à gérer de manière efficace cette problématique peut conduire à une réduction des marges, à une limitation de la croissance du chiffre d’affaires et/ou à une augmentation des coûts ou du capital. Les types de risques associés à l’approvisionnement de matériaux différents peuvent exiger plusieurs solutions, notamment l’implication auprès des fournisseurs, le renforcement de la transparence, l’utilisation de normes de certification et/ou de matériaux de substitution innovants. Les entreprises les plus proactives sont susceptibles de réduire leur exposition à la volatilité des prix et à de potentielles perturbations de la demande ; tout en améliorant leur image de marque et en développant de nouvelles opportunités de marché.
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Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).None
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Catégorie des problématiques générales
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Financement hypothécaire
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Vêtements, accessoires et chaussures
Access Standard
Qualité et sécurité des produits
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Gestion des substances chimiques contenues dans les produits
L’introduction du Consumer Product Safety Improvement Act (ou loi sur l’amélioration des produits de consommation) des États-Unis et de la législation européenne sur l’enregistrement, l’évaluation, l’autorisation et la restriction des produits chimiques traduit un intérêt réglementaire et de la part des parties prenantes croissant quant à l’utilisation de substances chimiques dangereuses ou potentiellement dangereuses dans les produits de consommation, y compris les vêtements, les accessoires et les chaussures. Des traces de produits chimiques interdits ou réglementés ont été trouvées dans des produits finis vestimentaires et chaussants. Selon le produit chimique, la quantité présente dans un produit, ainsi que le type d’exposition auquel est confronté le consommateur, les substances spécifiques peuvent être cancérigènes et perturber l’activité hormonale chez les êtres humains et autres organismes. L’incapacité à gérer ce problème peut générer une surveillance réglementaire accrue et avoir des répercussions sur la réputation de l’entreprise. De plus, la présence de substances chimiques dangereuses dans des produits peut conduire à des rappels de produits, des litiges et des atteintes à la réputation. Les entreprises de cette industrie peuvent travailler sur la conception et la fabrication pour gérer l’utilisation de produits chimiques préoccupants, développer des alternatives sécurisées et éliminer les produits interdits. Au regard de la dépendance de l’industrie vis-à-vis de l’externalisation des services de fabrication, des partenariats proactifs avec les fournisseurs sont nécessaires. Pour gérer cette problématique, les entreprises doivent contrebalancer le danger que représentent certains produits chimiques pour les consommateurs grâce à des produits de qualité, et à leurs coûts de production.
Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Pratiques de prêt
L’approche adoptée par les sociétés de financement hypothécaire pour encourager les employés et la façon dont ils communiquent avec les clients sont importantes pour de multiples raisons. Premièrement, les structures d’incitation et les politiques de rémunération des initiateurs de prêts peuvent involontairement les encourager à promouvoir des produits et services de prêt qui ne sont pas dans le meilleur intérêt de leurs clients. Deuxièmement, le manque de transparence à l’égard des produits primaires et des produits complémentaires peut avoir une incidence sur la réputation d’une entreprise et inciter à un examen réglementaire et à des litiges coûteux. Enfin, une mauvaise performance sur les deux premiers éléments pourrait affecter les caractéristiques du portefeuille de produits, entraînant une forte concentration de produits risqués vendus. Les organismes de réglementation de l’industrie du financement hypothécaire ont adopté d’importantes lois sur la protection des consommateurs à la suite de la crise financière de 2008 qui visent à limiter les pratiques de prêts abusives qui ont encouragé les emprunteurs qualifiés et non qualifiés à prendre des prêts subprime. De plus, ces lois interdisent aux préparateurs de prêts hypothécaires de recevoir une indemnisation liée à la valeur du prêt et exigent que des renseignements supplémentaires soient fournis aux emprunteurs. Les sociétés de financement hypothécaire qui sont en mesure de fournir des renseignements transparents et des conseils équitables sont plus susceptibles de protéger la valeur pour les actionnaires. Une meilleure divulgation des principaux éléments des pratiques de prêt permettra aux actionnaires de déterminer quelles entreprises sont les mieux placées pour protéger la valeur. -
Prêts discriminatoires
L’industrie du financement hypothécaire regroupe les données individuelles pour déterminer les modalités des prêts, y compris les dispositions clés comme la taille du prêt, le taux d’intérêt, les points initiaux ou d’autres frais. Toutefois, le processus complexe peut entraîner des pratiques de prêt discriminatoires intentionnelles ou non par le préparateur de prêt hypothécaire. Les prêts discriminatoires présentent des risques importants sous la forme d’amendes ou de règlements pour des infractions à des règlements comme la U.S. Equal Credit Opportunity Act (ECOA, ou loi américaine sur l’égalité des chances en matière de crédit) ou la U.S. Fair Housing Act (FHA, ou loi américaine sur le logement équitable), le risque de réputation et le rendement financier négatif en raison d’une mauvaise tarification des prêts. Les processus de divulgation en place pour garantir des prêts non discriminatoires, en divulguant le montant des prêts hypothécaires ventilé par statut minoritaire ainsi que les caractéristiques financières pertinentes, et la divulgation du montant des pertes financières résultant de procédures judiciaires liées à des violations des lois et règlements applicables aidera les investisseurs à évaluer le rendement de l’entreprise. Les sociétés de financement hypothécaire peuvent réduire le risque de prêts discriminatoires intentionnels ou involontaires grâce à la mise en œuvre de processus solides, de contrôles internes et de suivi du portefeuille de prêts, entre autres techniques. Les entreprises proactives qui mettent au point de solides techniques de prévention de la discrimination peuvent atténuer efficacement les risques associés aux prêts discriminatoires.
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Répercussions environnementales dans la chaîne d’approvisionnement
La chaîne d’approvisionnement mondiale de l’industrie des Vêtements, accessoires et chaussures contribue de manière significative aux externalités négatives environnementales, à travers la consommation et la pollution de l’eau ainsi que la pollution atmosphérique. La pollution de l’eau est due aux rejets de produits chimiques qui ont lieu lors des processus de teinture et de tannage, très gourmands en eau, alors que la pollution atmosphérique est provoquée par l’énergie utilisée par l’industrie. Ces effets négatifs sont susceptibles de nuire à l’image de l’entreprise et d’influencer les structures des coûts à long terme. L’étendue de cette problématique a augmenté au fil du temps en raison de la dépendance de l’industrie envers leurs partenaires de fabrication situés dans les marchés émergents, où les réglementations environnementales et les contrôles sont limités. Cependant, la surveillance renforcée des parties prenantes et des consommateurs, associée au développement d’une réglementation plus stricte dans certaines régions, a conduit les entreprises de l’industrie à collaborer avec des fournisseurs afin de réduire leurs répercussions environnementales. Les entreprises de vêtements, d’accessoires et de chaussures qui mettent à profit leur pouvoir de marché pour travailler aux côtés de fournisseurs avec pour objectif d’améliorer leur efficacité opérationnelle, leur consommation de ressources et limiter la pollution, pourront atténuer les coûts associés à l’aggravation de la pénurie des ressources et le renforcement des réglementations. De surcroît, les entreprises qui s’engagent auprès de fournisseurs à travers la surveillance, l’audit et l’application de normes strictes bénéficieront d’un meilleur positionnement pour protéger la valeur actionnariale sur le long terme. -
Conditions de travail dans la chaîne d’approvisionnement
Le traitement et la protection des droits des travailleurs au sein de la chaîne d’approvisionnement de l’industrie des Vêtements, accessoires et chaussures constituent une inquiétude croissante parmi les consommateurs, les régulateurs et les entreprises dominantes. Les aspects critiques de cette problématique comprennent la santé et la sécurité des employés, la rémunération équitable, le travail des enfants et le travail forcé. Bien que certaines entreprises continuent d’améliorer leur performance à ce sujet, la dépendance de l’industrie envers un système à niveaux multiples de fournisseurs, les sous-traitants, les entreprises de recrutements et les employés à temps partiel entraîne des difficultés de gestion. Du fait que les entreprises de l’industrie collaborent généralement avec des fournisseurs de pays présentant les coûts d’exploitation directs les plus bas, leurs produits sont souvent fabriqués dans des régions où les réglementations et la législation en matière de protection des travailleurs sont limitées. Cette dynamique peut augmenter l’exposition de l’entreprise aux risques liés à l’image, et avoir une incidence sur les coûts et les ventes sur le court et long terme. De telles répercussions peuvent provenir de l’augmentation et du renforcement de la réglementation en réponse à des problèmes de sécurité inacceptables et des incidents liés au travail, à des perturbations de la production pour cause de grèves et autres arrêts de travail liés à l’activité, ou encore un détournement de la demande pour les entreprises associées à ce type d’incidents. Les entreprises appliquant des normes et une surveillance strictes à leur chaîne d’approvisionnement, et qui s’engagent aux côtés de fournisseurs avec pour objectif de prendre à bras le corps ces problématiques, sont susceptibles de bénéficier d’un meilleur positionnement pour protéger leur valeur actionnariale sur le long terme.
Approvisionnement en matériaux et efficacité
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Approvisionnement en matières premières
L’industrie des Vêtements, des accessoires et des chaussures s’appuie sur de nombreuses matières premières en tant qu’intrants majeurs pour les produits finis, dont le coton, le cuir, la laine, le caoutchouc et les minerais et métaux précieux. Les répercussions sur l’environnement liées au changement climatique, à l’utilisation des sols, à la pénurie des ressources et aux conflits sévissant dans certaines régions où la chaîne d’approvisionnement opère influencent de plus en plus la capacité de l’industrie à s’approvisionner. L’aptitude des entreprises à gérer de potentielles pénuries de matériaux, les perturbations de la demande, la volatilité des prix et les risques liés à l’image est davantage mise à l’épreuve, car leurs sources d’approvisionnement se trouvent dans diverses régions géographiques, où les chaîne d’approvisionnement manquent souvent de transparence. L’incapacité à gérer de manière efficace cette problématique peut conduire à une réduction des marges, à une limitation de la croissance du chiffre d’affaires et/ou à une augmentation des coûts ou du capital. Les types de risques associés à l’approvisionnement de matériaux différents peuvent exiger plusieurs solutions, notamment l’implication auprès des fournisseurs, le renforcement de la transparence, l’utilisation de normes de certification et/ou de matériaux de substitution innovants. Les entreprises les plus proactives sont susceptibles de réduire leur exposition à la volatilité des prix et à de potentielles perturbations de la demande ; tout en améliorant leur image de marque et en développant de nouvelles opportunités de marché.
Impacts physiques du changement climatique
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Risque environnemental pour les propriétés hypothéquées
Une augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes associés au changement climatique peut avoir un impact négatif sur l’industrie du financement hypothécaire. Plus précisément, les ouragans, les inondations et d’autres événements liés au changement climatique peuvent entraîner des paiements manqués et des défauts de paiement, tout en diminuant la valeur des actifs sous-jacents. La divulgation de l’exposition globale, des programmes de remise de prêts et de l’intégration des changements climatiques dans l’analyse des prêts permettra aux actionnaires de déterminer quelles sociétés de financement hypothécaire sont les mieux placées pour protéger la valeur à la lumière des risques environnementaux.