Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Financement hypothécaire
L’industrie du financement hypothécaire fournit un bien public essentiel pour permettre aux consommateurs d’acheter une maison et contribue au taux global d’accession à la propriété. Les entreprises de l’industrie prêtent du capital à des clients individuels et commerciaux avec des biens en garantie. Les principaux produits sont les prêts hypothécaires résidentiels et commerciaux, tandis que les autres services offerts comprennent les services hypothécaires, l’assurance titres, les services de clôture et de règlement et l’évaluation. De plus, les sociétés de financement hypothécaire possèdent, gèrent et financent des placements liés à l’immobilier, comme des certificats hypothécaires de transfert et des obligations hypothécaires garanties. Les tendances récentes en matière de réglementation indiquent un virage important vers la protection des consommateurs, la divulgation et la responsabilisation. La législation adoptée en réponse à la crise hypothécaire de 2008 démontre la possibilité d’une meilleure harmonisation entre les intérêts de la société et ceux des investisseurs à long terme. -
Constructeurs d’habitations
L’industrie des constructeurs d’habitations est composée d’entreprises chargées du développement de nouvelles habitations et communautés résidentielles. Les travaux de développement incluent généralement l’acquisition de terrain, la préparation des sites, la construction et la vente d’habitations. Une majeure partie de l’activité de l’industrie est dédiée au développement et à la vente d’habitations unifamiliales, habituellement intégrées à des communautés résidentielles conçues par des entreprises. L’industrie se concentre à moindre mesure sur les maisons de ville, les habitations en copropriété, les habitations multifamiliales et le développement polyvalent. De nombreuses entreprises de l’industrie proposent des services financiers aux acheteurs particuliers. L’industrie est fragmentée du fait du grand nombre de développeurs de toutes les envergures, dont la structure et la zone de concentration géographique varient. Les entreprises cotées en Bourse sont en règle générale beaucoup plus grandes et mieux intégrées que les nombreux constructeurs d’habitations privés.
Questions pertinentes pour les deux Industries (6 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
- Émissions de GES
- Qualité de l’air
- Gestion de l’énergie
- Gestion de l’eau et des eaux usées
- Gestion des déchets et des matières dangereuses
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Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
- Accès et caractère abordable
- Qualité et sécurité des produits
- Bien-être des clients
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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Capital humain
- Pratiques de travail
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle. - Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories. -
Résilience du modèle économique
La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques. - Gestion de la chaîne d’approvisionnement
- Approvisionnement en matériaux et efficacité
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Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
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Direction et gouvernance
- Éthique des affaires
- Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
- Gestion des risques systémiques
Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.None -
Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.-
Pratiques de prêt
L’approche adoptée par les sociétés de financement hypothécaire pour encourager les employés et la façon dont ils communiquent avec les clients sont importantes pour de multiples raisons. Premièrement, les structures d’incitation et les politiques de rémunération des initiateurs de prêts peuvent involontairement les encourager à promouvoir des produits et services de prêt qui ne sont pas dans le meilleur intérêt de leurs clients. Deuxièmement, le manque de transparence à l’égard des produits primaires et des produits complémentaires peut avoir une incidence sur la réputation d’une entreprise et inciter à un examen réglementaire et à des litiges coûteux. Enfin, une mauvaise performance sur les deux premiers éléments pourrait affecter les caractéristiques du portefeuille de produits, entraînant une forte concentration de produits risqués vendus. Les organismes de réglementation de l’industrie du financement hypothécaire ont adopté d’importantes lois sur la protection des consommateurs à la suite de la crise financière de 2008 qui visent à limiter les pratiques de prêts abusives qui ont encouragé les emprunteurs qualifiés et non qualifiés à prendre des prêts subprime. De plus, ces lois interdisent aux préparateurs de prêts hypothécaires de recevoir une indemnisation liée à la valeur du prêt et exigent que des renseignements supplémentaires soient fournis aux emprunteurs. Les sociétés de financement hypothécaire qui sont en mesure de fournir des renseignements transparents et des conseils équitables sont plus susceptibles de protéger la valeur pour les actionnaires. Une meilleure divulgation des principaux éléments des pratiques de prêt permettra aux actionnaires de déterminer quelles entreprises sont les mieux placées pour protéger la valeur. -
Prêts discriminatoires
L’industrie du financement hypothécaire regroupe les données individuelles pour déterminer les modalités des prêts, y compris les dispositions clés comme la taille du prêt, le taux d’intérêt, les points initiaux ou d’autres frais. Toutefois, le processus complexe peut entraîner des pratiques de prêt discriminatoires intentionnelles ou non par le préparateur de prêt hypothécaire. Les prêts discriminatoires présentent des risques importants sous la forme d’amendes ou de règlements pour des infractions à des règlements comme la U.S. Equal Credit Opportunity Act (ECOA, ou loi américaine sur l’égalité des chances en matière de crédit) ou la U.S. Fair Housing Act (FHA, ou loi américaine sur le logement équitable), le risque de réputation et le rendement financier négatif en raison d’une mauvaise tarification des prêts. Les processus de divulgation en place pour garantir des prêts non discriminatoires, en divulguant le montant des prêts hypothécaires ventilé par statut minoritaire ainsi que les caractéristiques financières pertinentes, et la divulgation du montant des pertes financières résultant de procédures judiciaires liées à des violations des lois et règlements applicables aidera les investisseurs à évaluer le rendement de l’entreprise. Les sociétés de financement hypothécaire peuvent réduire le risque de prêts discriminatoires intentionnels ou involontaires grâce à la mise en œuvre de processus solides, de contrôles internes et de suivi du portefeuille de prêts, entre autres techniques. Les entreprises proactives qui mettent au point de solides techniques de prévention de la discrimination peuvent atténuer efficacement les risques associés aux prêts discriminatoires.
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.None -
Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.None -
Résilience du modèle économique
La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques.None -
Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).-
Risque environnemental pour les propriétés hypothéquées
Une augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes associés au changement climatique peut avoir un impact négatif sur l’industrie du financement hypothécaire. Plus précisément, les ouragans, les inondations et d’autres événements liés au changement climatique peuvent entraîner des paiements manqués et des défauts de paiement, tout en diminuant la valeur des actifs sous-jacents. La divulgation de l’exposition globale, des programmes de remise de prêts et de l’intégration des changements climatiques dans l’analyse des prêts permettra aux actionnaires de déterminer quelles sociétés de financement hypothécaire sont les mieux placées pour protéger la valeur à la lumière des risques environnementaux.
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Access Standard
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Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.-
Utilisation des sols et répercussions écologiques
Les constructeurs d’habitations sont confrontés à des défis directement liés aux répercussions écologiques des activités de développement. Les développements sont souvent réalisés sur des terres n’ayant pas encore été exploitées, et les entreprises doivent gérer la perturbation de l’écosystème engendrée par les activités de construction ainsi que les réglementations et les processus d’octroi de permis accompagnant les développements de terres « vierges ». Indépendamment des décisions relatives au site prises par les entreprises, les activités de développement de l’industrie comportent généralement des risques concernant la contamination des terres ou des eaux, la mauvaise gestion des déchets et la pression excessive sur les ressources en eaux au cours des phases de construction et d’utilisation. La violation des réglementations peut se traduire par des amendes élevées et des retards qui réduisent les rendements financiers tout en portant possiblement atteinte à la réputation des entreprises. Les entreprises ayant violé les réglementations à plusieurs reprises, ou qui présentent des antécédents d’activités à trop fortes répercussions écologiques peuvent se heurter à des difficultés pour obtenir l’approbation des communautés locales pour réaliser de nouveaux développements, ce qui réduit leurs bénéfices futurs et leur part de marché. Les entreprises qui concentrent leurs activités dans des régions de stress hydrique sont susceptibles de devoir affronter des défis supplémentaires pour l’obtention de permis. Elles sont également soumises aux risques liés à la dépréciation des terres et des habitations due aux inquiétudes par rapport à la pénurie d’eau. Les procédures de contrôle de qualité de l’environnement, les stratégies de « croissance intelligente » (y compris celles orientées sur les sites de rénovation) et les stratégies de conservation peuvent permettre d’assurer la conformité avec les lois environnementales, et d’atténuer ainsi les risques financiers tout en améliorant les futures opportunités de croissance.
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.None -
Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.-
Santé et sécurité des collaborateurs
La construction d’habitations requiert une quantité importante de travail manuel de la part des employés et des sous-traitants de l’entreprise. Les activités de chantier et de construction d’habitations sont exigeantes physiquement, et exposent les travailleurs aux risques de chute et aux équipements lourds, ce qui se traduit par un taux de mortalité et de blessure relativement élevé. Les blessures et les décès ont des conséquences internes et externes qui peuvent toucher de façon significative les résultats des opérations ainsi que le permis social d’exploitation des entreprises. Parmi les répercussions figurent les amendes, les sanctions, les coûts d’indemnisation des travailleurs touchés, les coûts de mise en conformité réglementaire dus à une surveillance plus stricte, les primes d’assurance plus élevées et les retards et temps d’arrêt des projets. Pour éviter ces frais, les entreprises peuvent encourager une culture de la sécurité en mettant en place des plans de gestion de la sécurité, des formations pour les employés et les sous-traitants et des audits réguliers.
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Conception éco-efficace
Les bâtiments résidentiels consomment d’importantes quantités d’énergie et d’eau lorsqu’ils sont occupés. Les entreprises de l’industrie de la construction d’habitations peuvent améliorer l’éco-efficacité des habitations tout au long de leur cycle de vie par le biais de pratiques de conception durables et du choix des matériaux. Les produits et techniques permettant des économies d’énergie, comme le fait de concevoir des habitations avec des systèmes de chauffage et de refroidissement durables peuvent aider à réduire la dépendance énergétique, qu’elle soit liée au réseau électrique ou à la combustion d’énergies fossiles sur site. Ces mesures, dont l’objectif est d’améliorer l’éco-efficacité des habitations, peuvent réduire les coûts liés à la propriété à travers des factures d’électricité et de chauffage plus basses. Les systèmes d’économie d’eau, tels que les robinets à débit réduit, atténuent la pression sur les communautés locales et permettent probablement de réduire les coûts. La conscience de l’acquéreur à propos de l’importance du rendement énergétique et de la consommation d’eau crée une opportunité pour les entreprises d’augmenter la demande au sein de leur marché cible, ce qui permettrait d’augmenter leurs revenus et/ou leurs marges. L’application efficace et rentable de principes de conception durables peut constituer un avantage concurrentiel, notamment lorsque les entreprises parviennent à sensibiliser systématiquement les clients aux avantages à long terme de ce type d’habitations. -
Répercussions des nouveaux développements sur les communautés
La planification communautaire et urbaine offre aux constructeurs d’habitations la possibilité de concevoir de manière réfléchie des constructions résidentielles offrant des avantages à leurs clients ainsi qu’à la communauté voisine existante. Le développement de nouvelles habitations peut se traduire par une croissance économique et des opportunités pour les collaborateurs, tout en limitant les augmentations du coût de la vie et en garantissant des quartiers sécurisés et dynamiques aux communautés. Les entreprises peuvent chercher à améliorer l’impact environnemental et social des communautés par l’accès aux services de transport public et/ou en n’accablant pas les transports existants ou les infrastructures publiques, par l’accès à des espaces verts, par le développement d’espaces polyvalents et par la création de communautés plus piétonnes. Ces stratégies peuvent aider à augmenter la demande globale et les prix des habitations, et permettent également de réduire les risques liés à l’obtention de permis et à l’opposition communautaire ou des parties prenantes concernant les projets en cours ou à venir. Lorsque les entreprises ont recours à des stratégies de développement qui intègrent de façon inadéquate leurs nouvelles communautés au sein des communautés voisines existantes, elles risquent des prix de vente trop bas, des coûts excessifs liés aux besoins et aux évaluations en matière d’infrastructure et s’exposent à des retards et des refus de permis et/ou de soutien de la communauté pour les futurs développements.
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Résilience du modèle économique
La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques.-
Adaptation au changement climatique
Les répercussions du changement climatique, y compris les phénomènes météorologiques extrêmes et les modifications du climat, peuvent avoir une influence sur les marchés sélectionnés par les entreprises pour développer des habitations et des communautés résidentielles. Les entreprises qui possèdent des modèles commerciaux qui intègrent les évaluations actuelles des risques liés au changement climatique, et qui s’adaptent à ces risques, voient leurs chances d’augmenter leur valeur à long terme renforcées, en partie à travers la réduction des risques. Plus précisément, les stratégies orientées sur les activités de développement d’habitation dans des régions côtières et de plaines inondables exposées à des phénomènes météorologiques extrêmes, des inondations notamment, exigent que leurs modèles commerciaux soient adaptés au changement climatique. Cette adaptation est d’autant plus importante concernant les défis à long terme, comme les tarifs d’assurance contre les inondations, la stabilité des programmes d’assurance contre les inondations subventionnés par le gouvernement, les octrois de permis et les dispositions relatives au financement. Les risques climatiques croissants ainsi que l’augmentation des coûts de propriété au sein des régions instables peuvent conduire à une baisse de la demande sur le long terme, à la dépréciation des terres, et à des inquiétudes vis-à-vis de la sous-évaluation des coûts liés à la propriété. De plus, les entreprises opérant dans des régions soumises au stress hydrique se confrontent à une possible baisse de la valeur foncière ainsi qu’à des difficultés d’obtention de permis. L’évaluation active des risques liés au changement climatique et une vision globale de la demande d’achat d’habitations sur le long terme constituent des mesures qui permettent aux entreprises de s’adapter auxdits risques.
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Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).None
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Catégorie des problématiques générales
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Financement hypothécaire
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Constructeurs d’habitations
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Répercussions écologiques
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Utilisation des sols et répercussions écologiques
Les constructeurs d’habitations sont confrontés à des défis directement liés aux répercussions écologiques des activités de développement. Les développements sont souvent réalisés sur des terres n’ayant pas encore été exploitées, et les entreprises doivent gérer la perturbation de l’écosystème engendrée par les activités de construction ainsi que les réglementations et les processus d’octroi de permis accompagnant les développements de terres « vierges ». Indépendamment des décisions relatives au site prises par les entreprises, les activités de développement de l’industrie comportent généralement des risques concernant la contamination des terres ou des eaux, la mauvaise gestion des déchets et la pression excessive sur les ressources en eaux au cours des phases de construction et d’utilisation. La violation des réglementations peut se traduire par des amendes élevées et des retards qui réduisent les rendements financiers tout en portant possiblement atteinte à la réputation des entreprises. Les entreprises ayant violé les réglementations à plusieurs reprises, ou qui présentent des antécédents d’activités à trop fortes répercussions écologiques peuvent se heurter à des difficultés pour obtenir l’approbation des communautés locales pour réaliser de nouveaux développements, ce qui réduit leurs bénéfices futurs et leur part de marché. Les entreprises qui concentrent leurs activités dans des régions de stress hydrique sont susceptibles de devoir affronter des défis supplémentaires pour l’obtention de permis. Elles sont également soumises aux risques liés à la dépréciation des terres et des habitations due aux inquiétudes par rapport à la pénurie d’eau. Les procédures de contrôle de qualité de l’environnement, les stratégies de « croissance intelligente » (y compris celles orientées sur les sites de rénovation) et les stratégies de conservation peuvent permettre d’assurer la conformité avec les lois environnementales, et d’atténuer ainsi les risques financiers tout en améliorant les futures opportunités de croissance.
Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Pratiques de prêt
L’approche adoptée par les sociétés de financement hypothécaire pour encourager les employés et la façon dont ils communiquent avec les clients sont importantes pour de multiples raisons. Premièrement, les structures d’incitation et les politiques de rémunération des initiateurs de prêts peuvent involontairement les encourager à promouvoir des produits et services de prêt qui ne sont pas dans le meilleur intérêt de leurs clients. Deuxièmement, le manque de transparence à l’égard des produits primaires et des produits complémentaires peut avoir une incidence sur la réputation d’une entreprise et inciter à un examen réglementaire et à des litiges coûteux. Enfin, une mauvaise performance sur les deux premiers éléments pourrait affecter les caractéristiques du portefeuille de produits, entraînant une forte concentration de produits risqués vendus. Les organismes de réglementation de l’industrie du financement hypothécaire ont adopté d’importantes lois sur la protection des consommateurs à la suite de la crise financière de 2008 qui visent à limiter les pratiques de prêts abusives qui ont encouragé les emprunteurs qualifiés et non qualifiés à prendre des prêts subprime. De plus, ces lois interdisent aux préparateurs de prêts hypothécaires de recevoir une indemnisation liée à la valeur du prêt et exigent que des renseignements supplémentaires soient fournis aux emprunteurs. Les sociétés de financement hypothécaire qui sont en mesure de fournir des renseignements transparents et des conseils équitables sont plus susceptibles de protéger la valeur pour les actionnaires. Une meilleure divulgation des principaux éléments des pratiques de prêt permettra aux actionnaires de déterminer quelles entreprises sont les mieux placées pour protéger la valeur. -
Prêts discriminatoires
L’industrie du financement hypothécaire regroupe les données individuelles pour déterminer les modalités des prêts, y compris les dispositions clés comme la taille du prêt, le taux d’intérêt, les points initiaux ou d’autres frais. Toutefois, le processus complexe peut entraîner des pratiques de prêt discriminatoires intentionnelles ou non par le préparateur de prêt hypothécaire. Les prêts discriminatoires présentent des risques importants sous la forme d’amendes ou de règlements pour des infractions à des règlements comme la U.S. Equal Credit Opportunity Act (ECOA, ou loi américaine sur l’égalité des chances en matière de crédit) ou la U.S. Fair Housing Act (FHA, ou loi américaine sur le logement équitable), le risque de réputation et le rendement financier négatif en raison d’une mauvaise tarification des prêts. Les processus de divulgation en place pour garantir des prêts non discriminatoires, en divulguant le montant des prêts hypothécaires ventilé par statut minoritaire ainsi que les caractéristiques financières pertinentes, et la divulgation du montant des pertes financières résultant de procédures judiciaires liées à des violations des lois et règlements applicables aidera les investisseurs à évaluer le rendement de l’entreprise. Les sociétés de financement hypothécaire peuvent réduire le risque de prêts discriminatoires intentionnels ou involontaires grâce à la mise en œuvre de processus solides, de contrôles internes et de suivi du portefeuille de prêts, entre autres techniques. Les entreprises proactives qui mettent au point de solides techniques de prévention de la discrimination peuvent atténuer efficacement les risques associés aux prêts discriminatoires.
Santé et sécurité des employés
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Santé et sécurité des collaborateurs
La construction d’habitations requiert une quantité importante de travail manuel de la part des employés et des sous-traitants de l’entreprise. Les activités de chantier et de construction d’habitations sont exigeantes physiquement, et exposent les travailleurs aux risques de chute et aux équipements lourds, ce qui se traduit par un taux de mortalité et de blessure relativement élevé. Les blessures et les décès ont des conséquences internes et externes qui peuvent toucher de façon significative les résultats des opérations ainsi que le permis social d’exploitation des entreprises. Parmi les répercussions figurent les amendes, les sanctions, les coûts d’indemnisation des travailleurs touchés, les coûts de mise en conformité réglementaire dus à une surveillance plus stricte, les primes d’assurance plus élevées et les retards et temps d’arrêt des projets. Pour éviter ces frais, les entreprises peuvent encourager une culture de la sécurité en mettant en place des plans de gestion de la sécurité, des formations pour les employés et les sous-traitants et des audits réguliers.
Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Conception éco-efficace
Les bâtiments résidentiels consomment d’importantes quantités d’énergie et d’eau lorsqu’ils sont occupés. Les entreprises de l’industrie de la construction d’habitations peuvent améliorer l’éco-efficacité des habitations tout au long de leur cycle de vie par le biais de pratiques de conception durables et du choix des matériaux. Les produits et techniques permettant des économies d’énergie, comme le fait de concevoir des habitations avec des systèmes de chauffage et de refroidissement durables peuvent aider à réduire la dépendance énergétique, qu’elle soit liée au réseau électrique ou à la combustion d’énergies fossiles sur site. Ces mesures, dont l’objectif est d’améliorer l’éco-efficacité des habitations, peuvent réduire les coûts liés à la propriété à travers des factures d’électricité et de chauffage plus basses. Les systèmes d’économie d’eau, tels que les robinets à débit réduit, atténuent la pression sur les communautés locales et permettent probablement de réduire les coûts. La conscience de l’acquéreur à propos de l’importance du rendement énergétique et de la consommation d’eau crée une opportunité pour les entreprises d’augmenter la demande au sein de leur marché cible, ce qui permettrait d’augmenter leurs revenus et/ou leurs marges. L’application efficace et rentable de principes de conception durables peut constituer un avantage concurrentiel, notamment lorsque les entreprises parviennent à sensibiliser systématiquement les clients aux avantages à long terme de ce type d’habitations. -
Répercussions des nouveaux développements sur les communautés
La planification communautaire et urbaine offre aux constructeurs d’habitations la possibilité de concevoir de manière réfléchie des constructions résidentielles offrant des avantages à leurs clients ainsi qu’à la communauté voisine existante. Le développement de nouvelles habitations peut se traduire par une croissance économique et des opportunités pour les collaborateurs, tout en limitant les augmentations du coût de la vie et en garantissant des quartiers sécurisés et dynamiques aux communautés. Les entreprises peuvent chercher à améliorer l’impact environnemental et social des communautés par l’accès aux services de transport public et/ou en n’accablant pas les transports existants ou les infrastructures publiques, par l’accès à des espaces verts, par le développement d’espaces polyvalents et par la création de communautés plus piétonnes. Ces stratégies peuvent aider à augmenter la demande globale et les prix des habitations, et permettent également de réduire les risques liés à l’obtention de permis et à l’opposition communautaire ou des parties prenantes concernant les projets en cours ou à venir. Lorsque les entreprises ont recours à des stratégies de développement qui intègrent de façon inadéquate leurs nouvelles communautés au sein des communautés voisines existantes, elles risquent des prix de vente trop bas, des coûts excessifs liés aux besoins et aux évaluations en matière d’infrastructure et s’exposent à des retards et des refus de permis et/ou de soutien de la communauté pour les futurs développements.
Résilience du modèle économique
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Adaptation au changement climatique
Les répercussions du changement climatique, y compris les phénomènes météorologiques extrêmes et les modifications du climat, peuvent avoir une influence sur les marchés sélectionnés par les entreprises pour développer des habitations et des communautés résidentielles. Les entreprises qui possèdent des modèles commerciaux qui intègrent les évaluations actuelles des risques liés au changement climatique, et qui s’adaptent à ces risques, voient leurs chances d’augmenter leur valeur à long terme renforcées, en partie à travers la réduction des risques. Plus précisément, les stratégies orientées sur les activités de développement d’habitation dans des régions côtières et de plaines inondables exposées à des phénomènes météorologiques extrêmes, des inondations notamment, exigent que leurs modèles commerciaux soient adaptés au changement climatique. Cette adaptation est d’autant plus importante concernant les défis à long terme, comme les tarifs d’assurance contre les inondations, la stabilité des programmes d’assurance contre les inondations subventionnés par le gouvernement, les octrois de permis et les dispositions relatives au financement. Les risques climatiques croissants ainsi que l’augmentation des coûts de propriété au sein des régions instables peuvent conduire à une baisse de la demande sur le long terme, à la dépréciation des terres, et à des inquiétudes vis-à-vis de la sous-évaluation des coûts liés à la propriété. De plus, les entreprises opérant dans des régions soumises au stress hydrique se confrontent à une possible baisse de la valeur foncière ainsi qu’à des difficultés d’obtention de permis. L’évaluation active des risques liés au changement climatique et une vision globale de la demande d’achat d’habitations sur le long terme constituent des mesures qui permettent aux entreprises de s’adapter auxdits risques.
Impacts physiques du changement climatique
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Risque environnemental pour les propriétés hypothéquées
Une augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes associés au changement climatique peut avoir un impact négatif sur l’industrie du financement hypothécaire. Plus précisément, les ouragans, les inondations et d’autres événements liés au changement climatique peuvent entraîner des paiements manqués et des défauts de paiement, tout en diminuant la valeur des actifs sous-jacents. La divulgation de l’exposition globale, des programmes de remise de prêts et de l’intégration des changements climatiques dans l’analyse des prêts permettra aux actionnaires de déterminer quelles sociétés de financement hypothécaire sont les mieux placées pour protéger la valeur à la lumière des risques environnementaux.