Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Distributeurs de soins de santé Les distributeurs de soins de santé achètent, stockent et vendent des produits pharmaceutiques et des équipements médicaux aux hôpitaux, pharmacies et aux médecins. La demande de service du secteur dépend en grande partie des taux d’assurance, des dépenses pharmaceutiques, des maladies et des données démographiques. Le nombre croissant d’inscriptions aux programmes d’assurance gouvernementaux dans le cadre de la loi américaine sur la Protection des Patients et les Soins Abordables, les dossiers de santé électroniques et la consolidation du secteur de la santé continueront probablement de façonner l’industrie à l’avenir. Le secteur des soins de santé continue de mettre l’accent sur la réduction des frais et l’amélioration de l’efficacité, ce qui aura un impact sur le secteur de la distribution des soins de santé. Les entreprises du secteur sont confrontées à des défis liés à la consolidation et aux partenariats entre les pharmacies, les payeurs et les fabricants.
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  • Vêtements, accessoires et chaussures L’industrie des Vêtements, accessoires et chaussures est composée d’entreprises engagées dans des activités de conception, de fabrication, de vente en gros et au détail de divers produits, y compris des vêtements pour hommes, femmes et enfants, des sacs à main, des bijoux, des montres et des chaussures. Les produits en question sont en majorité fabriqués par des fournisseurs des marchés émergents, ce qui permet aux entreprises de l’industrie de se concentrer principalement sur les activités de conception, de vente en gros, de commercialisation, de gestion de la chaîne d’approvisionnement et de vente au détail.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (7 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Distributeurs de soins de santé Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Gestion du carburant de la flotte La distribution de produits et d’approvisionnements de soin de santé exige d’importants réseaux de transport. L’inquiétude relative au changement climatique et à l’amoindrissement des ressources naturelles peut avoir des répercussions sur le prix du carburant et exposer les distributeurs de soins de santé à des fluctuations des coûts. Les sociétés capables d’améliorer leurs efficiences de transport ont la possibilité d’augmenter leur valeur actionnariale.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité des produits Les distributeurs de soins de santé jouent un rôle primordial dans l’approvisionnement de produits de soin de santé pour les consommateurs. L’industrie partage donc avec les fabricants la responsabilité de garantir la sécurité des produits et de prendre en compte les inquiétudes liées à la toxicité. Par ailleurs, les distributeurs de soins de santé sont confrontés à des risques concernant les substances réglementées et la potentielle falsification des produits. Les entreprises qui limitent les répercussions liées à la sécurité des produits ou à d’autres risques peuvent mieux se positionner afin de protéger leur valeur actionnariale.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Médicaments contrefaits L’Organisation mondiale de la santé estime que les médicaments contrefaits représentent plus de 10 pour cent de la chaîne d’approvisionnement au sein des pays à revenu faible et à revenu intermédiaire. La question des médicaments de contrefaçon ou de qualité inférieure représente également un risque important dans les pays développés. Les distributeurs de soins de santé peuvent être confrontés à des coûts supplémentaires, alors que les gouvernements et les agences nationales de réglementation cherchent à mettre en place des réglementations pour la chaîne d’approvisionnement afin d’empêcher les médicaments contrefaits ou de qualité inférieure de pénétrer le système de distribution pharmaceutique.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Gestion du cycle de vie des produits Il incombe aux distributeurs de soins de santé de réduire les répercussions environnementales des produits dont ils assurent la distribution. L’emballage des produits ainsi que les programmes de reprise représentent de réelles occasions de réduire ces impacts. Les entreprises capables de répondre à ces problèmes bénéficient d’un meilleur positionnement pour satisfaire la demande des clients et réduire les coûts associés.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      None
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      None
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Éthique des affaires Les distributeurs de soins de santé sont soumis à diverses lois nationales, internationales et des États. Aux États-Unis, ces lois incluent le False Claims Act (loi américaine sur les fausses déclarations) et le Foreign Corrupt Practices Act (loi américaine contre les pratiques de corruption à l’étranger). Les entreprises capables de garantir leur conformité aux réglementations applicables peuvent éviter les litiges pouvant entraîner des amendes ou des accords coûteux.
  • Vêtements, accessoires et chaussures Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Gestion des substances chimiques contenues dans les produits L’introduction du Consumer Product Safety Improvement Act (ou loi sur l’amélioration des produits de consommation) des États-Unis et de la législation européenne sur l’enregistrement, l’évaluation, l’autorisation et la restriction des produits chimiques traduit un intérêt réglementaire et de la part des parties prenantes croissant quant à l’utilisation de substances chimiques dangereuses ou potentiellement dangereuses dans les produits de consommation, y compris les vêtements, les accessoires et les chaussures. Des traces de produits chimiques interdits ou réglementés ont été trouvées dans des produits finis vestimentaires et chaussants. Selon le produit chimique, la quantité présente dans un produit, ainsi que le type d’exposition auquel est confronté le consommateur, les substances spécifiques peuvent être cancérigènes et perturber l’activité hormonale chez les êtres humains et autres organismes. L’incapacité à gérer ce problème peut générer une surveillance réglementaire accrue et avoir des répercussions sur la réputation de l’entreprise. De plus, la présence de substances chimiques dangereuses dans des produits peut conduire à des rappels de produits, des litiges et des atteintes à la réputation. Les entreprises de cette industrie peuvent travailler sur la conception et la fabrication pour gérer l’utilisation de produits chimiques préoccupants, développer des alternatives sécurisées et éliminer les produits interdits. Au regard de la dépendance de l’industrie vis-à-vis de l’externalisation des services de fabrication, des partenariats proactifs avec les fournisseurs sont nécessaires. Pour gérer cette problématique, les entreprises doivent contrebalancer le danger que représentent certains produits chimiques pour les consommateurs grâce à des produits de qualité, et à leurs coûts de production.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Répercussions environnementales dans la chaîne d’approvisionnement La chaîne d’approvisionnement mondiale de l’industrie des Vêtements, accessoires et chaussures contribue de manière significative aux externalités négatives environnementales, à travers la consommation et la pollution de l’eau ainsi que la pollution atmosphérique. La pollution de l’eau est due aux rejets de produits chimiques qui ont lieu lors des processus de teinture et de tannage, très gourmands en eau, alors que la pollution atmosphérique est provoquée par l’énergie utilisée par l’industrie. Ces effets négatifs sont susceptibles de nuire à l’image de l’entreprise et d’influencer les structures des coûts à long terme. L’étendue de cette problématique a augmenté au fil du temps en raison de la dépendance de l’industrie envers leurs partenaires de fabrication situés dans les marchés émergents, où les réglementations environnementales et les contrôles sont limités. Cependant, la surveillance renforcée des parties prenantes et des consommateurs, associée au développement d’une réglementation plus stricte dans certaines régions, a conduit les entreprises de l’industrie à collaborer avec des fournisseurs afin de réduire leurs répercussions environnementales. Les entreprises de vêtements, d’accessoires et de chaussures qui mettent à profit leur pouvoir de marché pour travailler aux côtés de fournisseurs avec pour objectif d’améliorer leur efficacité opérationnelle, leur consommation de ressources et limiter la pollution, pourront atténuer les coûts associés à l’aggravation de la pénurie des ressources et le renforcement des réglementations. De surcroît, les entreprises qui s’engagent auprès de fournisseurs à travers la surveillance, l’audit et l’application de normes strictes bénéficieront d’un meilleur positionnement pour protéger la valeur actionnariale sur le long terme.
      • Conditions de travail dans la chaîne d’approvisionnement Le traitement et la protection des droits des travailleurs au sein de la chaîne d’approvisionnement de l’industrie des Vêtements, accessoires et chaussures constituent une inquiétude croissante parmi les consommateurs, les régulateurs et les entreprises dominantes. Les aspects critiques de cette problématique comprennent la santé et la sécurité des employés, la rémunération équitable, le travail des enfants et le travail forcé. Bien que certaines entreprises continuent d’améliorer leur performance à ce sujet, la dépendance de l’industrie envers un système à niveaux multiples de fournisseurs, les sous-traitants, les entreprises de recrutements et les employés à temps partiel entraîne des difficultés de gestion. Du fait que les entreprises de l’industrie collaborent généralement avec des fournisseurs de pays présentant les coûts d’exploitation directs les plus bas, leurs produits sont souvent fabriqués dans des régions où les réglementations et la législation en matière de protection des travailleurs sont limitées. Cette dynamique peut augmenter l’exposition de l’entreprise aux risques liés à l’image, et avoir une incidence sur les coûts et les ventes sur le court et long terme. De telles répercussions peuvent provenir de l’augmentation et du renforcement de la réglementation en réponse à des problèmes de sécurité inacceptables et des incidents liés au travail, à des perturbations de la production pour cause de grèves et autres arrêts de travail liés à l’activité, ou encore un détournement de la demande pour les entreprises associées à ce type d’incidents. Les entreprises appliquant des normes et une surveillance strictes à leur chaîne d’approvisionnement, et qui s’engagent aux côtés de fournisseurs avec pour objectif de prendre à bras le corps ces problématiques, sont susceptibles de bénéficier d’un meilleur positionnement pour protéger leur valeur actionnariale sur le long terme.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en matières premières L’industrie des Vêtements, des accessoires et des chaussures s’appuie sur de nombreuses matières premières en tant qu’intrants majeurs pour les produits finis, dont le coton, le cuir, la laine, le caoutchouc et les minerais et métaux précieux. Les répercussions sur l’environnement liées au changement climatique, à l’utilisation des sols, à la pénurie des ressources et aux conflits sévissant dans certaines régions où la chaîne d’approvisionnement opère influencent de plus en plus la capacité de l’industrie à s’approvisionner. L’aptitude des entreprises à gérer de potentielles pénuries de matériaux, les perturbations de la demande, la volatilité des prix et les risques liés à l’image est davantage mise à l’épreuve, car leurs sources d’approvisionnement se trouvent dans diverses régions géographiques, où les chaîne d’approvisionnement manquent souvent de transparence. L’incapacité à gérer de manière efficace cette problématique peut conduire à une réduction des marges, à une limitation de la croissance du chiffre d’affaires et/ou à une augmentation des coûts ou du capital. Les types de risques associés à l’approvisionnement de matériaux différents peuvent exiger plusieurs solutions, notamment l’implication auprès des fournisseurs, le renforcement de la transparence, l’utilisation de normes de certification et/ou de matériaux de substitution innovants. Les entreprises les plus proactives sont susceptibles de réduire leur exposition à la volatilité des prix et à de potentielles perturbations de la demande ; tout en améliorant leur image de marque et en développant de nouvelles opportunités de marché.
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
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Secteur de la technologie et des communications
Secteur du transport