Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Gestion intégrée des soins de santé Le secteur de la gestion intégrée des soins de santé offre des produits d’assurance santé pour les particuliers, les entreprises, les membres Medicare et Medicaid. Les entreprises fournissent également des services administratifs et un accès au réseau pour les régimes d’assurance autofinancés et gèrent les prestations pharmaceutiques. L’inscription à la gestion intégrée des soins de santé est traditionnellement corrélée aux taux d’emploi, tandis que les revenus sont déterminés par l’inflation des coûts médicaux. Le Patient Protection and Affordable Care Act (Loi des États-Unis sur la protection des patients et les soins abordables) a réduit le pourcentage d’adultes non assurés et a créé une demande supplémentaire pour les programmes du secteur. Toutefois, l’incertitude législative et l’accent mis sur la réduction des coûts des soins de santé peuvent créer une pression à la baisse sur les prix et continuer de favoriser le regroupement au sein de l’industrie. De plus, la priorité accordée aux résultats pour les patients et le rendement des régimes continuent de peser les risques et les opportunités liés au développement durable du secteur.
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  • Banques commerciales Les banques commerciales acceptent des dépôts et accordent des prêts à des particuliers et des entreprises, et effectuent également des prêts pour des projets d’infrastructure, immobiliers et autres. En offrant ces services, l’industrie joue un rôle essentiel dans le fonctionnement des économies mondiales et la simplification du transfert de ressources financières pour une capacité de production optimale. L’industrie est tributaire du volume des dépôts, de la qualité des prêts accordés, de l’environnement économique et des taux d’intérêt. Elle est également caractérisée par le risque de déséquilibre entre actifs et passifs. Le paysage réglementaire qui régit l’industrie des services bancaires commerciaux a été témoin d’importants changements à la suite de la crise financière de 2008, et poursuit son évolution. Ces facteurs ainsi que les tendances réglementaires sont susceptibles d’influencer la valeur actionnariale et les performances en matière de durabilité. Les banques commerciales qui exercent des activités à l’échelle internationale doivent gérer les nouvelles réglementations de plusieurs juridictions qui créent une incertitude réglementaire, plus particulièrement en ce qui concerne l’application de nouvelles réglementations.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (8 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Gestion intégrée des soins de santé Remove
    Access Standard
    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
      • Normes relatives à la vie privée des clients et à la technologie Les règlements, comme la U.S Health Insurance Portability and Accountability Act (HIPAA, ou loi sur la portabilité et la responsabilité en matière d’assurance maladie) peuvent exiger que les plans d’assurance se conforment à diverses exigences relatives à l’utilisation, à la communication, au stockage et à la transmission des renseignements sur la santé des patients. Les entreprises de cette industrie sont tenues d’élaborer des politiques et des mesures de protection techniques pour protéger les renseignements sur la santé des patients. Le non-respect de ces normes en évolution, qui aux États-Unis comprennent des dispositions établies en vertu de la Health Information Technology for Economic and Clinical Health Act (HITECH, ou loi sur les technologies de l’information de santé pour la santé économique et clinique), peut entraîner d’importantes sanctions civiles et pénales. Ces risques sont intensifiés par une augmentation des cyberattaques ciblant les entreprises de gestion intégrée des soins de santé.
    • Accès et caractère abordable La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications.
      • Accès aux prestations Bien que la Patient Protection and Affordable Care Act (Loi sur la protection des patients et les soins abordables) des États-Unis ait réduit le nombre de personnes non assurées, plus de 10 % des adultes aux États-Unis ne sont toujours pas assurés. Le pourcentage de personnes non assurées est beaucoup plus élevé pour les personnes proches ou au niveau fédéral de la pauvreté. Les sociétés de gestion intégrée des soins de santé peuvent jouer un rôle en fournissant un accès supplémentaire tout en limitant les coûts du plan et les augmentations de tarifs. Les entreprises doivent également se conformer à la réglementation visant à contrôler les coûts du plan, y compris les rations pour perte médicale, tout en assurant la couverture de tous les demandeurs, peu importe leur état de santé, leur sexe ou leur état préexistant. L’accent accru mis par la réglementation sur les coûts des soins de santé et la nécessité de se conformer à l’évolution de la réglementation continuent de présenter des défis pour l’industrie.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Rendement du plan Les sociétés de gestion intégrée des soins de santé gèrent le rendement dans des domaines comme la réactivité, les plaintes, le désengagement volontaire et le service à la clientèle afin de maintenir la compétitivité. Dans le cadre du Système d’évaluation de la qualité cinq étoiles pour les plans Avantage Medicare aux États-Unis, le rendement des principaux indicateurs est pris en compte dans les taux de remboursement fédéraux et les primes versées aux transporteurs de Medicare Advantage. La communication des indicateurs clés liés au rendement du plan peut permettre aux actionnaires de comprendre comment les sociétés de gestion intégrée des soins de santé sont en mesure de protéger la valeur de l’entreprise.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Meilleurs résultats Les entreprises de gestion intégrée des soins de santé peuvent jouer un rôle essentiel dans le maintien et l’amélioration de la santé des inscrits. De plus, la loi continue de mettre l’accent sur l’amélioration des résultats grâce à des dispositions, y compris celles qui exigent que les plans de santé couvrent les services de prévention sans frais pour les membres. Aux États-Unis, par exemple, l’élaboration du Système d’évaluation de la qualité cinq étoiles pour les programmes Medicare Advantage renforce la relation entre la santé et la valeur des inscrits en établissant un lien entre les taux de remboursement et les paiements de primes et le rendement dans cinq domaines, y compris des mesures axées sur les résultats. Les entreprises qui sont en mesure d’améliorer la santé des inscrits peuvent être mieux placées pour protéger la valeur pour les actionnaires.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Impacts physiques du changement climatique La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
      • Incidence du changement climatique sur la santé Une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes associés au changement climatique pourrait avoir d’importantes répercussions sur la santé. Ces événements, conjugués à la propagation potentielle de maladies infectieuses et à la rareté des aliments et de l’eau, sont susceptibles de présenter des répercussions importantes pour l’industrie de la gestion intégrée des soins de santé en raison d’une augmentation des contacts avec le système de gestion intégrée des soins de santé. Les entreprises qui sont en mesure de faire face aux risques posés par les phénomènes météorologiques extrêmes et les changements potentiels dans l’incidence, la morbidité et la mortalité des maladies pourraient être mieux placées pour protéger la valeur pour les actionnaires.
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
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    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
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  • Banques commerciales Remove
    Access Standard
    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
      • Sécurité des données Garantir la confidentialité et la sécurité des données financières personnelles est un devoir essentiel de l’industrie des banques commerciales. Les entreprises qui ne parviennent pas à obtenir de bonnes performances dans ce domaine s’exposent à une réduction de leurs revenus et à une baisse de la confiance des consommateurs. Alors que les services de banque mobile et le stockage Cloud gagnent du terrain, et que de plus en plus d’opérations bancaires s’appuient sur Internet et le numérique, la sécurité des données est amenée à devenir une problématique de plus en plus importante à gérer. L’utilisation d’une technologie sophistiquée et la formation continue du personnel sont primordiales dans un monde où les menaces de cybersécurité sont en pleine croissance. Les mesures de ce sujet de divulgation sont axées sur le fait de transmettre plus de détails concernant les efforts relatifs à la protection des données contre les menaces et les technologies émergentes et en constante évolution de cybersécurité, ainsi que sur les violations de sécurité qui ont effectivement lieu et qui compromettent les informations nominatives (PII) des clients. La divulgation approfondie des stratégies de gestion de ces risques permettra aux actionnaires de comprendre comment les banques commerciales protègent la valeur actionnariale.
    • Accès et caractère abordable La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications.
      • Inclusion financière et renforcement des capacités Les banques commerciales, dans le cadre de leur activité principale, doivent en permanence équilibrer leurs efforts de renforcement de leurs capacités et les risques et occasions associés à l’octroi de prêts aux clients non bancarisés, sous-bancarisés et défavorisés. Les modèles et technologies de financement émergents offrent aux banques l’opportunité de proposer des produits et des services dans des marchés jusqu’alors défavorisés, et d’obtenir ainsi des sources supplémentaires de revenu. Les sociétés capables de répondre au besoin d’octroi de crédits et de services financiers à des populations à faible revenu et aux petites entreprises tout en évitant les pratiques de prêt agressives et irresponsables sont susceptibles de créer de la valeur à long terme et d’augmenter leur capital social. Ces services devraient également être accompagnés d’efforts visant à améliorer la culture financière, permettant aux clients de prendre des décisions éclairées. La récente crise financière a souligné l’importance de posséder des sources de financement diversifiées et solides, que ces communautés peuvent apporter. En divulguant leur approche en matière d’inclusion financière et de renforcement des capacités, les banques commerciales peuvent fournir aux investisseurs des informations déterminantes à la prise de décision en ce qui concerne l’évaluation de la capacité des banques à garantir une création de valeur à long terme et durable.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Intégration des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance à l’analyse de crédit En tant qu’intermédiaires financiers, les banques commerciales contribuent, à travers leurs pratiques de prêt, aux externalités sociales et environnementales positives comme négatives. Ainsi, les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) peuvent avoir une réelle influence sur les entreprises, les actifs et les projets de nombreux secteurs pour lesquels les banques commerciales accordent des prêts. Il est donc de plus en plus nécessaire pour les entreprises d’évaluer les facteurs ESG lorsqu’elles établissent la qualité du nantissement. Les banques commerciales ont également le pouvoir d’avoir un impact environnemental et social positif et de générer d’importants flux de revenus par le biais de leurs pratiques de prêt. Les banques commerciales qui ne parviennent pas à traiter ces risques et ces occasions s’exposent à une diminution de leurs revenus et de la valeur actionnariale. Elles ont par conséquent tout intérêt à divulguer la manière dont les facteurs ESG sont intégrés aux processus de prêt ainsi que le niveau de risque de portefeuille actuel associé aux tendances spécifiques en matière de durabilité. Plus particulièrement, la pression des investisseurs et des organismes réglementaires concernant la divulgation des pratiques de gestion des risques associés au changement climatique augmente auprès des banques.
      • Émissions financées Les entités participant aux activités bancaires commerciales sont confrontées à des risques et opportunités liés aux émissions de gaz à effet de serre associées à ces activités. Les contreparties, les emprunteurs ou les entreprises émettrices les plus élevées pourraient être plus sensibles aux risques associés aux changements technologiques, aux changements de l'offre et de la demande et aux changements de politique qui, à leur tour, peuvent avoir une incidence sur les perspectives d'une institution financière qui fournit des services financiers à ces entités. Ces risques et opportunités peuvent prendre la forme d'un risque de crédit, d'un risque de marché, d'un risque de réputation et d'autres risques financiers et opérationnels. Par exemple, un risque de crédit peut survenir en relation avec le financement de clients touchés par des taxes sur le carbone, des réglementations en matière d'efficacité énergétique ou d'autres politiques de plus en plus strictes ; le risque de crédit peut également découler de changements technologiques connexes. Le risque de réputation pourrait découler du financement de projets de combustibles fossiles. Les entités participant aux activités bancaires commerciales surveillent et gèrent de plus en plus ces risques en mesurant leurs émissions financées. Cette mesure sert d'indicateur de l'exposition d'une entité aux risques et opportunités liés au climat et de la manière dont elle pourrait devoir adapter ses activités financières au fil du temps.
    • Impacts physiques du changement climatique La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
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    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Éthique des affaires L’environnement réglementaire entourant l’industrie des banques commerciales continue d’évoluer dans de nombreuses juridictions du monde. Il est attendu des banques commerciales qu’elles se conforment à un ensemble de règles complexes et parfois incohérentes relatives à la performance et qu’elles procèdent et fournissent une divulgation sur des questions comme le délit d’initié, l’antitrust, l’entente sur les prix et la manipulation de marché. En outre, les banques commerciales sont sujettes à des règles contre des pratiques telles que l’évasion fiscale, la fraude, le blanchiment d’argent et la corruption. Enfin, dans certaines juridictions, des récompenses renforcées pour les dénonciateurs peuvent conduire à une augmentation du nombre de plaintes déposées auprès des régulateurs. Les sociétés capables d’assurer une conformité réglementaire par le biais de contrôles internes robustes seront mieux positionnées pour établir une relation de confiance avec les clients, conduisant à une augmentation des revenus et pour protéger la valeur actionnariale en minimisant les pertes subies à la suite de procédures judiciaires.
    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
      • Gestion des risques systémiques La crise financière de 2008 a démontré l’importance de la gestion des risques pour le capital dans l’industrie des banques commerciales. En particulier, les entreprises ayant eu une mauvaise gestion de ces risques, ont souffert de perte significative de la valeur de leurs actifs financiers tout en augmentant la quantité de passifs comptables, ce qui, en raison de l’interconnectivité du système financier, a contribué à une perturbation significative du marché. La nature systémique du risque résultant de l’interconnectivité des établissements financiers est devenue une préoccupation centrale des régulateurs nationaux et internationaux. En conséquence, de nombreuses banques doivent passer des stress-tests de contrôle pour évaluer la capacité de l’entreprise à absorber les pertes avec le capital et la liquidité, à poursuivre ses opérations et à respecter ses obligations dans l’éventualité de conditions économiques et financières défavorables. L’incapacité à satisfaire les exigences réglementaires pourrait augmenter de manière importante le coût de conformité future et conduire à des sanctions financières. Dans un effort pour démontrer la manière dont ces risques, associés à la taille, la complexité, l’interconnectivité, la substituabilité et l’activité interjuridictionnelle, sont gérés, les banques commerciales devraient renforcer la divulgation des mesures quantitatives et qualitatives utilisées pour déterminer leur position favorable ou non pour absorber les chocs provenant d’un stress financier et économique et respecter des exigences réglementaires plus strictes.

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