Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Fournitures et équipements médicaux
L’industrie des fournitures et équipements médicaux recherche, développe et produit des instruments et des dispositifs médicaux, chirurgicaux, dentaires, ophtalmiques et vétérinaires. Les produits sont utilisés dans des établissements tels que les hôpitaux, les cliniques et les laboratoires, et vont des articles jetables à l’équipement hautement spécialisé. La fréquence accrue des maladies associées à des modes de vie malsains et au vieillissement de la population sont des facteurs importants qui peuvent avoir un impact sur la croissance dans cette industrie. Les marchés émergents et l’expansion de l’assurance-maladie aux États-Unis contribueront à cette croissance. Toutefois, l’extension des programmes d’assurance gouvernementale, la concentration des fournisseurs et des payeurs et l’accent mis sur la réglementation pour réduire les coûts dans tous les marchés peuvent entraîner une pression à la baisse sur les prix. -
Transport maritime
L’industrie du transport maritime est composée d’entreprises qui fournissent des services de transport de marchandises en haute mer, sur la côte et/ou sur les rivières. Il revêt une importance stratégique pour le commerce international et ses revenus sont liés aux cycles macroéconomiques. Les principales activités comprennent le transport de marchandises conteneurisées et de marchandises en vrac, y compris de biens de consommation et une vaste gamme de marchandises, ainsi que le transport de produits chimiques et de produits pétroliers dans des pétroliers. En raison de la portée mondiale de l’industrie, les entreprises opèrent dans de nombreux pays et sous divers cadres juridiques et réglementaires.
Questions pertinentes pour les deux Industries (11 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3). -
Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte. - Gestion de l’énergie
- Gestion de l’eau et des eaux usées
- Gestion des déchets et des matières dangereuses
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Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
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Accès et caractère abordable
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications. -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. - Bien-être des clients
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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Capital humain
- Pratiques de travail
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle. - Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories. - Résilience du modèle économique
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte. - Approvisionnement en matériaux et efficacité
- Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs. - Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
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Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient. - Gestion des risques systémiques
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Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).None -
Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.None -
Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.None -
Accès et caractère abordable
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications.-
Accessibilité et tarification
L’accent mis par la loi sur la limitation des coûts des soins de santé et l’accès accru continueront probablement d’exercer des pressions à la baisse sur les prix sur l’industrie des fournitures et équipements médicaux. Cette pression pourrait être renforcée par le regroupement des prestataires de santé et le rôle des programmes d’assurance financés par le gouvernement. Aux États-Unis, par exemple, les entreprises qui ont eu recours à des avantages contractuels pour protéger leurs profits peuvent être mises au défi d’accroître la valeur alors que le gouvernement cherche à réduire ses dépenses d’assurance-maladie et d’assurance-maladie. Les entreprises qui sont en mesure d’assurer des prix équitables sont susceptibles de limiter l’incidence négative de la limitation des coûts tout en reconnaissant les possibilités de revenus associées à un accès élargi.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Sécurité des produits
L’information sur la sécurité des produits et les effets secondaires peuvent faire surface après des essais cliniques contrôlés et l’approbation. Par la suite, les entreprises sont exposées aux répercussions financières des rappels et d’autres événements indésirables. Les problèmes liés à la sécurité des produits, comme les défaillances de l’équipement, les défauts de fabrication, les défauts de conception ou la divulgation inadéquate des risques liés aux produits, peuvent entraîner des réclamations importantes en matière de responsabilité du fait des produits. Les entreprises qui limitent l’incidence des rappels, les préoccupations en matière de sécurité et les mesures d’application de la loi pour les préoccupations liées à la fabrication pourraient être mieux placées pour protéger la valeur pour les actionnaires.
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.-
Marketing éthique
Les entreprises de fournitures et d’équipements médicaux font face à des défis liés à la commercialisation de produits spécifiques. La publicité directe aux consommateurs pour les dispositifs médicaux et la sensibilisation des médecins offrent des occasions d’accroître la part de marché. Toutefois, des défis découlent de la possibilité de commercialiser des utilisations non indiquées sur l’étiquette, ce qui peut entraîner des amendes et des règlements importants. La divulgation des amendes légales et réglementaires et des codes de déontologie qui régissent les activités de marketing permettra aux actionnaires de mieux comprendre le rendement dans ce domaine.
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.None -
Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Conception de produit et gestion du cycle de vie
Les entreprises de fournitures et d’équipements médicaux sont confrontées à des défis croissants liés à l’impact humain et environnemental des produits de l’industrie. Les entreprises peuvent faire face à des pressions des consommateurs et de la réglementation pour limiter l’utilisation des intrants de matières qui sont associés à des préoccupations pour la santé, tout en abordant des questions comme l’efficacité énergétique et l’élimination en fin de vie de certains produits. Les entreprises qui sont en mesure de répondre à ces préoccupations tout en s’engageant dans des efforts visant à améliorer la reprise des produits pourraient être mieux placées pour répondre à la demande des consommateurs et réduire le passif futur.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.-
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La qualité de la chaîne d’approvisionnement est essentielle à la protection de la santé des consommateurs et de la valeur des entreprises. Les entreprises de fournitures et d’équipements médicaux qui n’assurent pas la qualité et la traçabilité dans l’ensemble de leurs chaînes d’approvisionnement sont susceptibles de subir des amendes, des pertes de revenus et des atteintes à leur réputation. De plus, les entreprises peuvent avoir besoin de gérer l’utilisation de matières qui sont considérées comme rares. La divulgation des programmes de vérification de la chaîne d’approvisionnement, des stratégies visant à assurer la traçabilité et de la gestion des matériaux critiques peut permettre aux actionnaires de comprendre comment les entreprises de cette industrie protègent la valeur pour les actionnaires.
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.-
Éthique des affaires
Les entreprises de fournitures et d’équipements médicaux sont assujetties à diverses lois internationales, nationales et étatiques relatives à la fraude et à l’abus en matière de soins de santé. Par exemple, aux États-Unis, les lois anti-pots-de-vin et la Foreign Corrupt Practices Act (Loi sur les pratiques de corruption étrangères) interdisent généralement aux entreprises d’effectuer des paiements dans le but d’obtenir ou de conserver des affaires. La capacité des entreprises à assurer la conformité dans l’ensemble de leur empreinte opérationnelle mondiale et nationale peut avoir des répercussions importantes. La divulgation par la société des amendes légales et réglementaires et des codes de déontologie qui régissent les interactions avec les professionnels de la santé peut permettre aux actionnaires de surveiller le rendement dans ce domaine.
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Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.None
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Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).-
Émissions de gaz à effet de serre
Les entreprises de transport maritime produisent principalement des émissions provenant de la combustion de diesel dans les moteurs de navires. La dépendance de l’industrie au fioul lourd (« combustible de soute ») est préoccupante en raison de la hausse des coûts du carburant et de l’intensification de la réglementation sur les gaz à effet de serre (GES). L’industrie est l’un des principaux modes de transport qui consomme le moins de carburant par tonne expédiée. Toutefois, en raison de la taille de l’industrie, sa contribution à l’inventaire mondial des GES demeure importante. Les règlements environnementaux récents favorisent l’adoption de moteurs plus écoénergétiques et l’utilisation de carburants plus propres. Le carburant représente une dépense importante pour les acteurs de l’industrie, offrant une incitation supplémentaire pour investir dans des mises à niveau ou des rénovations pour améliorer le rendement énergétique.
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Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.-
Qualité de l’air
Les polluants atmosphériques comme les oxydes de soufre (SOx), les oxydes d’azote (NOx) et les particules en suspension (PM10) sont des externalités environnementales importantes découlant de l’utilisation de carburant par les sociétés de transport maritime. Ces polluants ont tendance à avoir des effets localisés sur l’environnement et la santé et sont particulièrement préoccupants dans les villes portuaires. Les règlements sur la pollution atmosphérique favorisent l’adoption de moteurs plus écoénergétiques et l’utilisation de carburants plus propres, alors que les entreprises cherchent à réduire l’exposition aux amendes et aux coûts d’assainissement de l’environnement. Une autre incitation pour le rendement énergétique est que le carburant constitue une dépense importante pour les acteurs de l’industrie, de sorte que les dépenses en immobilisations pour moderniser les navires peuvent être compensées à long terme par des économies de carburant.
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Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.-
Répercussions écologiques
Les opérations et les pratiques d’élimination des déchets des entreprises de transport maritime peuvent créer des externalités environnementales importantes, comme la pollution de l’eau et les dommages à la vie marine. Les navires de mer déversent régulièrement des eaux de ballast, de l’eau de cale et des eaux usées non traitées. La conformité aux règlements internationaux visant à gérer les répercussions écologiques de l’exploitation peut exiger des dépenses en immobilisations importantes pour la mise à niveau ou l’installation de systèmes de gestion des déchets. Le déversement illégal d’eau de cale et d’autres rejets non réglementés peut entraîner de lourdes amendes, ce qui a une incidence négative sur le profil de risque d’une entreprise. Le fait de travailler dans des zones de conservation protégées, comme les zones de contrôle des émissions (ZCE) et les zones marines particulièrement sensibles (PSSA), peut accroître le risque d’impact écologique ainsi que le risque d’enfreindre la réglementation environnementale.
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Accès et caractère abordable
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications.None -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.None -
Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.None -
Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.-
Santé et sécurité des employés
Les travailleurs du transport maritime sont exposés à des dangers comme les conditions météorologiques dangereuses et l’exposition à de grandes machines et à des cargaisons lourdes. Les plus grands risques pour la santé et la sécurité proviennent du chargement et du déchargement de marchandises dans les ports. Les navires doivent être chargés et déchargés rapidement et dans les délais prévus, ce qui augmente le risque de blessures, la fatigue et le stress. La santé et le bien-être des travailleurs de l’industrie sont également inextricablement liés aux performances de sécurité de l’entreprise, car un équipage en bonne santé est nécessaire pour des voyages en toute sécurité. Les entreprises dont les systèmes de gestion de la sécurité sont inadéquats et qui n’assurent pas la santé et la sécurité des travailleurs peuvent faire face à un roulement de personnel plus élevé et à des dépenses plus élevées liées aux travailleurs, y compris des frais médicaux comme les primes d’assurance et les indemnités versées aux travailleurs.
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.None -
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.None -
Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.-
Éthique des affaires
Les paiements de facilitation dans les ports sont considérés comme une pratique commerciale courante dans certains pays pour l’obtention de permis, le dédouanement des marchandises et les postes d’amarrage portuaires. Toutefois, les lois anticorruption exercent des pressions sur les entreprises de transport maritime pour qu’elles modifient cette pratique. L’application de ces lois pourrait entraîner des coûts ponctuels importants, des coûts de conformité permanents plus élevés ou avoir une incidence sur le permis social d’exploitation d’une entreprise, ce qui aurait une incidence sur le coût du capital. Les entreprises subissent de plus en plus de pressions pour s’assurer que leurs structures et pratiques de gouvernance peuvent s’attaquer à la corruption et à la participation, intentionnelle ou non, à des paiements illégaux ou contraires à l’éthique ou à l’exercice d’une influence injuste. Le fait d’opérer dans des pays sujets à la corruption peut exacerber ces risques.
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Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.-
Gestion des accidents et de la sécurité
Les accidents ou les fuites impliquant de gros navires peuvent entraîner des coûts importants pour la vie, les biens et l’environnement. L’attention négative des médias et les coûts de nettoyage massifs peuvent nuire gravement aux finances d’une entreprise. Afin de réduire le risque d’accident, les entreprises ont mis en place des mesures de sécurité importantes, comme des programmes de formation des employés, des périodes d’entretien périodiques en cale sèche et des enquêtes annuelles sur le renouvellement des classes menées par les sociétés de classification. La dépendance du marché mondial à l’égard de l’industrie du transport maritime signifie que les voyages doivent être effectués dans des délais précis, ce qui incite davantage à prévenir les accidents.
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Catégorie des problématiques générales
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Fournitures et équipements médicaux
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Transport maritime
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Émissions de GES
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Émissions de gaz à effet de serre
Les entreprises de transport maritime produisent principalement des émissions provenant de la combustion de diesel dans les moteurs de navires. La dépendance de l’industrie au fioul lourd (« combustible de soute ») est préoccupante en raison de la hausse des coûts du carburant et de l’intensification de la réglementation sur les gaz à effet de serre (GES). L’industrie est l’un des principaux modes de transport qui consomme le moins de carburant par tonne expédiée. Toutefois, en raison de la taille de l’industrie, sa contribution à l’inventaire mondial des GES demeure importante. Les règlements environnementaux récents favorisent l’adoption de moteurs plus écoénergétiques et l’utilisation de carburants plus propres. Le carburant représente une dépense importante pour les acteurs de l’industrie, offrant une incitation supplémentaire pour investir dans des mises à niveau ou des rénovations pour améliorer le rendement énergétique.
Qualité de l’air
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Qualité de l’air
Les polluants atmosphériques comme les oxydes de soufre (SOx), les oxydes d’azote (NOx) et les particules en suspension (PM10) sont des externalités environnementales importantes découlant de l’utilisation de carburant par les sociétés de transport maritime. Ces polluants ont tendance à avoir des effets localisés sur l’environnement et la santé et sont particulièrement préoccupants dans les villes portuaires. Les règlements sur la pollution atmosphérique favorisent l’adoption de moteurs plus écoénergétiques et l’utilisation de carburants plus propres, alors que les entreprises cherchent à réduire l’exposition aux amendes et aux coûts d’assainissement de l’environnement. Une autre incitation pour le rendement énergétique est que le carburant constitue une dépense importante pour les acteurs de l’industrie, de sorte que les dépenses en immobilisations pour moderniser les navires peuvent être compensées à long terme par des économies de carburant.
Répercussions écologiques
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Répercussions écologiques
Les opérations et les pratiques d’élimination des déchets des entreprises de transport maritime peuvent créer des externalités environnementales importantes, comme la pollution de l’eau et les dommages à la vie marine. Les navires de mer déversent régulièrement des eaux de ballast, de l’eau de cale et des eaux usées non traitées. La conformité aux règlements internationaux visant à gérer les répercussions écologiques de l’exploitation peut exiger des dépenses en immobilisations importantes pour la mise à niveau ou l’installation de systèmes de gestion des déchets. Le déversement illégal d’eau de cale et d’autres rejets non réglementés peut entraîner de lourdes amendes, ce qui a une incidence négative sur le profil de risque d’une entreprise. Le fait de travailler dans des zones de conservation protégées, comme les zones de contrôle des émissions (ZCE) et les zones marines particulièrement sensibles (PSSA), peut accroître le risque d’impact écologique ainsi que le risque d’enfreindre la réglementation environnementale.
Accès et caractère abordable
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Accessibilité et tarification
L’accent mis par la loi sur la limitation des coûts des soins de santé et l’accès accru continueront probablement d’exercer des pressions à la baisse sur les prix sur l’industrie des fournitures et équipements médicaux. Cette pression pourrait être renforcée par le regroupement des prestataires de santé et le rôle des programmes d’assurance financés par le gouvernement. Aux États-Unis, par exemple, les entreprises qui ont eu recours à des avantages contractuels pour protéger leurs profits peuvent être mises au défi d’accroître la valeur alors que le gouvernement cherche à réduire ses dépenses d’assurance-maladie et d’assurance-maladie. Les entreprises qui sont en mesure d’assurer des prix équitables sont susceptibles de limiter l’incidence négative de la limitation des coûts tout en reconnaissant les possibilités de revenus associées à un accès élargi.
Qualité et sécurité des produits
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Sécurité des produits
L’information sur la sécurité des produits et les effets secondaires peuvent faire surface après des essais cliniques contrôlés et l’approbation. Par la suite, les entreprises sont exposées aux répercussions financières des rappels et d’autres événements indésirables. Les problèmes liés à la sécurité des produits, comme les défaillances de l’équipement, les défauts de fabrication, les défauts de conception ou la divulgation inadéquate des risques liés aux produits, peuvent entraîner des réclamations importantes en matière de responsabilité du fait des produits. Les entreprises qui limitent l’incidence des rappels, les préoccupations en matière de sécurité et les mesures d’application de la loi pour les préoccupations liées à la fabrication pourraient être mieux placées pour protéger la valeur pour les actionnaires.
Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Marketing éthique
Les entreprises de fournitures et d’équipements médicaux font face à des défis liés à la commercialisation de produits spécifiques. La publicité directe aux consommateurs pour les dispositifs médicaux et la sensibilisation des médecins offrent des occasions d’accroître la part de marché. Toutefois, des défis découlent de la possibilité de commercialiser des utilisations non indiquées sur l’étiquette, ce qui peut entraîner des amendes et des règlements importants. La divulgation des amendes légales et réglementaires et des codes de déontologie qui régissent les activités de marketing permettra aux actionnaires de mieux comprendre le rendement dans ce domaine.
Santé et sécurité des employés
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Santé et sécurité des employés
Les travailleurs du transport maritime sont exposés à des dangers comme les conditions météorologiques dangereuses et l’exposition à de grandes machines et à des cargaisons lourdes. Les plus grands risques pour la santé et la sécurité proviennent du chargement et du déchargement de marchandises dans les ports. Les navires doivent être chargés et déchargés rapidement et dans les délais prévus, ce qui augmente le risque de blessures, la fatigue et le stress. La santé et le bien-être des travailleurs de l’industrie sont également inextricablement liés aux performances de sécurité de l’entreprise, car un équipage en bonne santé est nécessaire pour des voyages en toute sécurité. Les entreprises dont les systèmes de gestion de la sécurité sont inadéquats et qui n’assurent pas la santé et la sécurité des travailleurs peuvent faire face à un roulement de personnel plus élevé et à des dépenses plus élevées liées aux travailleurs, y compris des frais médicaux comme les primes d’assurance et les indemnités versées aux travailleurs.
Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
Les entreprises de fournitures et d’équipements médicaux sont confrontées à des défis croissants liés à l’impact humain et environnemental des produits de l’industrie. Les entreprises peuvent faire face à des pressions des consommateurs et de la réglementation pour limiter l’utilisation des intrants de matières qui sont associés à des préoccupations pour la santé, tout en abordant des questions comme l’efficacité énergétique et l’élimination en fin de vie de certains produits. Les entreprises qui sont en mesure de répondre à ces préoccupations tout en s’engageant dans des efforts visant à améliorer la reprise des produits pourraient être mieux placées pour répondre à la demande des consommateurs et réduire le passif futur.
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La qualité de la chaîne d’approvisionnement est essentielle à la protection de la santé des consommateurs et de la valeur des entreprises. Les entreprises de fournitures et d’équipements médicaux qui n’assurent pas la qualité et la traçabilité dans l’ensemble de leurs chaînes d’approvisionnement sont susceptibles de subir des amendes, des pertes de revenus et des atteintes à leur réputation. De plus, les entreprises peuvent avoir besoin de gérer l’utilisation de matières qui sont considérées comme rares. La divulgation des programmes de vérification de la chaîne d’approvisionnement, des stratégies visant à assurer la traçabilité et de la gestion des matériaux critiques peut permettre aux actionnaires de comprendre comment les entreprises de cette industrie protègent la valeur pour les actionnaires.
Éthique des affaires
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Éthique des affaires
Les entreprises de fournitures et d’équipements médicaux sont assujetties à diverses lois internationales, nationales et étatiques relatives à la fraude et à l’abus en matière de soins de santé. Par exemple, aux États-Unis, les lois anti-pots-de-vin et la Foreign Corrupt Practices Act (Loi sur les pratiques de corruption étrangères) interdisent généralement aux entreprises d’effectuer des paiements dans le but d’obtenir ou de conserver des affaires. La capacité des entreprises à assurer la conformité dans l’ensemble de leur empreinte opérationnelle mondiale et nationale peut avoir des répercussions importantes. La divulgation par la société des amendes légales et réglementaires et des codes de déontologie qui régissent les interactions avec les professionnels de la santé peut permettre aux actionnaires de surveiller le rendement dans ce domaine.
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Éthique des affaires
Les paiements de facilitation dans les ports sont considérés comme une pratique commerciale courante dans certains pays pour l’obtention de permis, le dédouanement des marchandises et les postes d’amarrage portuaires. Toutefois, les lois anticorruption exercent des pressions sur les entreprises de transport maritime pour qu’elles modifient cette pratique. L’application de ces lois pourrait entraîner des coûts ponctuels importants, des coûts de conformité permanents plus élevés ou avoir une incidence sur le permis social d’exploitation d’une entreprise, ce qui aurait une incidence sur le coût du capital. Les entreprises subissent de plus en plus de pressions pour s’assurer que leurs structures et pratiques de gouvernance peuvent s’attaquer à la corruption et à la participation, intentionnelle ou non, à des paiements illégaux ou contraires à l’éthique ou à l’exercice d’une influence injuste. Le fait d’opérer dans des pays sujets à la corruption peut exacerber ces risques.
Gestion des risques d’incidents critiques
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Gestion des accidents et de la sécurité
Les accidents ou les fuites impliquant de gros navires peuvent entraîner des coûts importants pour la vie, les biens et l’environnement. L’attention négative des médias et les coûts de nettoyage massifs peuvent nuire gravement aux finances d’une entreprise. Afin de réduire le risque d’accident, les entreprises ont mis en place des mesures de sécurité importantes, comme des programmes de formation des employés, des périodes d’entretien périodiques en cale sèche et des enquêtes annuelles sur le renouvellement des classes menées par les sociétés de classification. La dépendance du marché mondial à l’égard de l’industrie du transport maritime signifie que les voyages doivent être effectués dans des délais précis, ce qui incite davantage à prévenir les accidents.