Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Services d’ingénierie et de construction
L’industrie des services d’ingénierie et de construction offre des services d’ingénierie, de construction, de conception, de consultation, contractuels et d’autres services associés qui appuient différents projets de bâtiments et d’infrastructures. L’industrie est principalement composée de quatre secteurs majeurs : les services d’ingénierie, la construction d’infrastructures, la construction de bâtiments non résidentiels et la sous-traitance en construction et autres services professionnels associés à la construction. Le secteur de la construction d’infrastructures inclut les entreprises qui conçoivent et/ou construisent des projets d’infrastructures tels que des usines, barrages, oléoducs et gazoducs, raffineries, autoroutes, ponts, tunnels, voies ferroviaires, ports, aéroports, usines de traitement des déchets, réseaux hydrauliques et stades. Le secteur de la construction de bâtiments non résidentiels inclut les entreprises qui conçoivent et/ou construisent des établissements industriels et commerciaux tels que des ateliers, entrepôts, centres de données, bureaux, hôtels, hôpitaux, universités et espaces commerciaux tels que les centres commerciaux. Le secteur des services d’ingénierie inclut les entreprises qui proposent des services d’ingénierie et d’architecture spécialisés tels que la conception et le développement d’études de faisabilité pour de nombreux types de projets répertoriés ci-dessus. Enfin, le secteur des services de sous-traitance en construction et autres services professionnels associés à la construction inclut les entreprises plus petites qui fournissent des services auxiliaires tels que la menuiserie, l’électricité, la plomberie, la peinture, l’étanchéité, l’aménagement paysager, l’aménagement intérieur et l’inspection des bâtiments. Les consommateurs de l’industrie incluent les propriétaires et promoteurs d’infrastructures dans les secteurs public et privé. Les grandes entreprises de cette industrie opèrent et génèrent des revenus dans le monde entier et se spécialisent généralement dans plusieurs secteurs. -
Boissons non alcoolisées
L’industrie des boissons non alcoolisées produit une vaste gamme de boissons, y compris diverses boissons gazeuses, des sirop concentrés, des jus, des boissons énergisantes et dédiées à la pratique sportive, des thés, du café et de l’eau. L’industrie est dominée par de grandes entreprises internationales. Les entreprises participent à la fabrication, à la commercialisation, à l’embouteillage et à la distribution de sirop, et les grandes entreprises sont généralement plus intégrées verticalement aux activités qui mettent en bouteille, vendent et distribuent les produits finis.
Questions pertinentes pour les deux Industries (12 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3). - Qualité de l’air
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques. - Gestion des déchets et des matières dangereuses
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Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
- Accès et caractère abordable
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. -
Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits. -
Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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Capital humain
- Pratiques de travail
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle. - Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories. - Résilience du modèle économique
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte. -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte. - Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs. - Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
- Gestion des risques systémiques
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Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).None -
Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.None -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.None -
Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.-
Répercussions environnementales de l’élaboration de projets
Les projets de construction d’infrastructures aident à améliorer le développement économique et social ; cependant, ils peuvent aussi impliquer des risques pour l’environnement local et les communautés à proximité. Les activités de l’industrie peuvent perturber les écosystèmes locaux par des répercussions sur la biodiversité, des émissions atmosphériques, des déversements dans l’eau, la consommation des ressources naturelles, la production de déchets et l’utilisation de produits chimiques dangereux. Les entreprises de construction réalisent notamment des activités de défrichage, de nivellement et d’excavation et peuvent générer des déchets nocifs pendant la construction du projet. L’évaluation correcte des répercussions environnementales avant la construction peut aider à limiter les problèmes imprévus qui peuvent générer des coûts opérationnels et de capital. Dans certains cas, les préoccupations environnementales et/ou les oppositions de la part des communautés locales peuvent entraîner des retards dans le projet et, dans les cas extrêmes, des annulations de projets, qui peuvent affecter la rentabilité et les occasions de croissance de l’entreprise. Une incapacité à respecter les réglementations environnementales pendant la construction peut entraîner des amendes coûteuses et des coûts de réparation, et peut porter atteinte à la réputation de l’entreprise. Les évaluations des répercussions environnementales peuvent offrir une compréhension des répercussions potentielles du projet sur l’environnement et la limitation des activités qui peut être nécessaire avant le commencement. De même, une gestion correcte des risques environnementaux pendant la construction du projet peut réduire les surveillances réglementaires et/ou les oppositions de la part des communautés. En évaluant en amont les considérations environnementales, ainsi qu’en continuant de les évaluer pendant le développement du projet, les entreprises de services d’ingénierie et de construction peuvent être mieux préparées à limiter les problèmes environnementaux potentiels et les risques financiers qui peuvent survenir, tout en établissant également un avantage concurrentiel afin d’obtenir de nouveaux contrats avec des clients éventuels.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Sécurité et intégrité des structures
Qu’elles fournissent des services d’ingénierie, de conception, d’architecture, de consultation, d’inspection, de construction ou d’entretien, les entreprises de cette industrie ont pour responsabilité professionnelle de garantir la sécurité et l’intégrité de leur travail. Les erreurs ou une qualité inadéquate dans la phase de conception du projet et de construction des bâtiments et infrastructures peuvent entraîner des blessures personnelles importantes, une perte de la valeur de propriété et des dommages économiques. Les entreprises qui ont de mauvais résultats dans leur intégrité et sécurité structurelles peuvent ainsi être confrontées à des coûts élevés en raison de travaux de reconception et/ou de réparation et de responsabilités juridiques, ainsi qu’à des atteintes à la réputation qui pourraient entraver les perspectives de croissance. En outre, lors de la conception et de la construction des bâtiments et infrastructures, les entreprises de cette industrie doivent de plus en plus prendre en compte les répercussions potentielles sur le changement climatique, qui peuvent affecter l’intégrité structurelle des projets et la sécurité du public en général. La conformité avec un minimum de codes et normes applicables peut ne pas être suffisante pour l’entretien et la croissance de la valeur de réputation (ou même pour limiter les responsabilités juridiques) dans certaines circonstances, notamment si la fréquence et la sévérité des événements liés au changement climatique augmentent comme prévu. La conformité et le dépassement des normes industrielles pour la qualité et l’établissement de procédures de contrôles internes pour répondre aux problèmes de conception potentiels, y compris ceux provenant des risques climatiques, sont des pratiques qui peuvent aider les entreprises à réduire ces risques.
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Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.None -
Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.None -
Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.-
Santé et sécurité des collaborateurs
Les services de construction, d’entretien et de réparation, et autres activités sur site nécessitent une quantité considérable de travailleurs manuels. Les taux de mortalité et de blessures dans l’industrie des services d’ingénierie et de construction sont élevés comparés à ceux d’autres industries, en raison de l’exposition des collaborateurs aux accidents routiers et de machinerie lourde, chutes accidentelles, exposition à des produits chimiques dangereux et autres situations uniques et potentiellement dangereuses. En outre, les travailleurs intérimaires peuvent subir des risques plus élevés en raison de leur manque de formation ou d’expérience dans l’industrie. Une incapacité à protéger la santé et la sécurité des travailleurs peut entraîner des amendes et sanctions ; des incidents graves peuvent entraîner des dépenses ponctuelles extraordinaires et des passifs éventuels d’actions juridiques et/ou réglementaires. De plus, les incidents de santé et de sécurité peuvent entraîner des retards et arrêts du projet qui impliquent des coûts et une rentabilité plus faible. Les entreprises qui cherchent à former correctement les employés permanents comme intérimaires et à bâtir une culture de la sécurité forte pourraient réduire leur profil de risque tout en obtenant potentiellement un avantage concurrentiel sur les nouvelles offres et propositions de projets à la suite d’excellents bilans sur la santé et sécurité des collaborateurs.
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Répercussions sur le cycle de vie des bâtiments et infrastructures
Les projets de bâtiments et infrastructures majeures font partie des plus grands utilisateurs de ressources naturelles de l’économie ; pendant la construction, ces matériaux incluent les produits en fer et acier, le ciment, le béton, les briques, les cloisons sèches, les plaques de plâtre, le verre, l’isolation, les fixations, les portes et l’ébénisterie, parmi beaucoup d’autres. Une fois terminés, et pendant leur utilisation au quotidien, ces projets consomment souvent des quantités importantes de ressources sous forme d’énergie et d’eau (pour une discussion sur les répercussions environnementales directes lors de la construction d’un projet, se rendre à la section Environmental Impacts of Project Development [Répercussions environnementales lors du développement du projet]). Ainsi, l’approvisionnement en matériaux de construction et l’utilisation au quotidien des bâtiments et infrastructures peuvent contribuer à des émissions directes ou indirectes de gaz à effet de serre (GES), à des contraintes de ressources mondiales et/ou locales, à un stress hydrique et à des résultats négatifs sur la santé humaine. Les pressions réglementaires et de la part des clients afin de développer un environnement de construction durable contribuent à la croissance des marchés censés réduire les répercussions sur le cycle de vie des projets de bâtiments et infrastructures. En réponse, des plans de certification pour des bâtiments et infrastructures durables ont été développés pour évaluer, parmi d’autres aspects, le rendement énergétique et l’utilisation rationnelle de l’eau pendant la phase d’utilisation du projet, les répercussions sur la santé humaine et l’utilisation de matériaux de construction durables. Par conséquent, de nombreuses occasions sont créées pour les industries dans la chaîne de valeur, des fournisseurs qui peuvent offrir ces matériaux, aux entreprises de l’industrie des services d’ingénierie et de construction qui peuvent fournir des services de conception, consultation et construction du projet orientés vers la durabilité. Ces services peuvent offrir un avantage concurrentiel et des occasions de croissance du chiffre d’affaires alors que la demande du client pour des projets durables économiquement avantageux augmente et que les réglementations associées évoluent. Les entreprises qui ne sont pas en mesure d’intégrer efficacement ces considérations dans leurs services pourraient perdre leur part de marché à long terme. -
Répercussions climatiques de la combinaison d’activités
L’industrie des services d’ingénierie et de construction collabore avec les clients qui sont exposés aux réglementations climatiques potentiellement perturbatrices ainsi qu’avec ceux qui jouent un rôle dans la réponse au changement climatique. Certains types de projets de construction contribuent grandement au changement climatique en raison des gaz à effet de serre (GES) émis pendant la phase d’utilisation. Les projets qui sont susceptibles de contribuer à des émissions de GES globales incluent ceux des industries pétrolières et gazières et autres industries d’extraction, ainsi que les grands bâtiments. Alors que certains projets d’infrastructures, tels que les projets d’énergie renouvelable, sont conçus pour réduire les émissions de GES, de nombreux types de projets présentent des compromis. Les systèmes de transport en commun, par exemple, peuvent directement contribuer aux émissions de GES tout en diminuant les émissions nettes une fois que les avantages offerts par le système sont pris en considération. Plusieurs entreprises de l’industrie génèrent une part de revenus conséquente et des profits de leurs clients dans les industries à forte teneur en carbone et dont les futures dépenses en capital peuvent être en péril en raison des réglementations climatiques évolutives. Les risques à la baisse peuvent se manifester par le biais de retards, annulations et occasions de croissance du chiffre d’affaires diminuées à long terme pour le projet. D’un autre côté, les entreprises spécialisées dans les projets d’infrastructure qui contribuent à la limitation des GES pourraient développer des avantages concurrentiels alors qu’elles continuent de se concentrer sur ces marchés en croissance. Alors que l’industrie et ses clients continuent d’opérer au sein d’un environnement commercial incertain et d’être confrontés à des exigences environnementales et réglementaires croissantes, l’évaluation et la communication des risques et occasions qui surviennent du changement climatique et qui sont intégrés aux commandes en attente et futures perspectives commerciales de l’entreprise peuvent être utiles pour l’investisseur afin d’évaluer l’ensemble des répercussions du changement climatique sur les affaires.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.None -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.None -
Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.-
Éthique des affaires
Les entreprises de l’industrie sont confrontées aux risques associés à la corruption et aux pratiques anticoncurrentielles. Ceci est dû à plusieurs facteurs, y compris les opérations mondiales de nombreuses entreprises, le besoin de gérer plusieurs agents et sous-traitants locaux, la complexité de financement et d’obtention de permis pour le projet, la magnitude des contrats impliqués dans les projets de construction de grandes infrastructures et le processus concurrentiel nécessaire aux contrats sécurisés avec des entités publiques et privées. Les violations de l’éthique peuvent entraîner des enquêtes par les autorités, ainsi que de fortes amendes, des coûts de règlement et une atteinte à la réputation. Ces violations peuvent inclure des infractions aux lois anticorruption, telles que le paiement d’un fonctionnaire afin de remporter des contrats de projet. Elles peuvent également inclure des pratiques d’offres immorales, telles que les offres complémentaires (par exemple, la soumission d’une offre artificiellement élevée ou autrement inacceptable pour un contrat que l’offrant ne compte pas remporter) et la mise en commun des offres (par exemple, la coordination de contrats fracturés pour assurer que chaque offrant se voit accorder une certaine quantité de travail). En outre, les entreprises avec des mauvais bilans peuvent être empêchées de travailler sur de futurs projets, entraînant une perte de revenus. Le développement d’une culture éthique par le biais de la formation des employés, de structures de gouvernance efficaces et de contrôles internes est critique pour que les entreprises limitent les risques associés à l’éthique des affaires.
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Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).-
Gestion du carburant de la flotte
Les entreprises de boissons non alcoolisées produisent directement des émissions de gaz à effet de serre (GES) de Champ d’application 1 provenant des grandes flottes automobiles pour la distribution et des installations de fabrication. Plus précisément, la réfrigération utilisée dans les installations de fabrication et dans les véhicules de transport contribue à une grande partie des émissions globales de l’industrie. Les gains d’efficacité dans l’utilisation des combustibles peuvent réduire les coûts, atténuer l’exposition à la volatilité des prix des combustibles fossiles et limiter les émissions provenant de la production, du stockage et du transport des produits. Les dépenses en immobilisations à court terme des parcs de véhicules écoénergétiques et des technologies plus écoénergétiques peuvent être compensées par des économies opérationnelles à long terme et l’atténuation des risques réglementaires.
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
Les entreprises de l’industrie des boissons non alcoolisées utilisent beaucoup d’énergie pour exploiter des installations de fabrication, des centres de distribution et des entrepôts. Les entreprises de l’industrie achètent généralement de l’électricité sur le réseau. La production d’énergie contribue aux impacts environnementaux, y compris le changement climatique et la pollution, qui peuvent avoir des répercussions indirectes, mais importantes, sur les activités des entreprises de boissons non alcoolisées. Les entreprises peuvent réduire la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre (GES) associées à leurs activités en mettant en œuvre des technologies et des processus plus efficaces. Les décisions relatives à l’utilisation de carburants alternatifs, d’énergies renouvelables et d’électricité produite sur site par rapport à son achat sur le réseau, peuvent jouer un rôle important en influençant à la fois les coûts et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique.
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Gestion de l’eau
La gestion de l’eau est liée à l’usage direct de l’eau par une entreprise, l’exposition de ses activités dans des régions soumises à un stress hydrique et sa gestion des eaux usées. Les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées utilisent une grande qualité d’eau pour leurs activités, car l’eau est un composant clé des produits finaux. Étant donné que les entreprises de boissons non alcoolisées dépendent largement de gros volumes d’eau potable et que le stress hydrique augmente dans plusieurs régions du monde, les entreprises peuvent être exposées à des ruptures d’approvisionnement qui pourraient avoir des répercussions importantes sur les activités et sur les prix. Les entreprises qui opèrent dans les régions exposées au stress hydrique qui échoue à répondre aux préoccupations locales concernant l’eau peuvent faire face au risque de perdre leur permis d’exploitation. De plus, un traitement adéquat des eaux usées est un élément important de la gestion des problèmes d’eau dans les opérations, car les usines d’embouteillage rejettent de grandes quantités d’effluents. L’amélioration de la gestion de l’eau par le biais d’une efficacité améliorée, du recyclage et de l’élimination appropriée notamment dans les régions avec un stress hydrique de référence, peut entraîner une baisse des coûts opérationnels, une réduction des risques et une augmentation de la valeur des actifs intangibles.
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Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.None -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.None -
Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.-
Santé et nutrition
Les principales préoccupations en matière de nutrition et de santé, comme l’obésité, la sécurité des ingrédients, le contenu nutritionnel et les effets aigus sur la santé découlant de la consommation de boissons non alcoolisées, façonnent le paysage concurrentiel de l’industrie. Des études indiquent que la consommation de boissons riches en calories et sucrées peut avoir des conséquences néfastes sur la santé, notamment des niveaux plus élevés de cholestérol, un risque accru de maladies cardiaques et l’obésité. De telles constatations peuvent modifier les perceptions des consommateurs à l’égard des produits de l’industrie, ce qui entraîne des changements à long terme dans les décisions d’achat. De plus, les efforts visant à réduire l’obésité, sous la forme de nouveaux règlements ou de nouvelles taxes sur les boissons sucrées, peuvent influencer la rentabilité de l’industrie et la demande future. La possibilité d’effets nocifs sur la santé d’autres ingrédients couramment utilisés, comme les édulcorants artificiels, peut poser d’autres problèmes, et les entreprises peuvent faire face à des litiges ou à des règlements connexes. Des possibilités existent dans de nouveaux segments du marché des boissons pour répondre à la demande des consommateurs pour une meilleure valeur nutritionnelle. Les entreprises qui s’adaptent aux préférences changeantes des consommateurs et à un environnement réglementaire en évolution en offrant des solutions de rechange plus saines peuvent obtenir une part de marché supplémentaire et limiter leur exposition à la réglementation et aux litiges.
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.-
Étiquetage des produits et commercialisation
La communication avec les consommateurs par le biais du marketing et de l’étiquetage des produits est un aspect important des entreprises de boissons non alcoolisées. La précision et la richesse des informations présentées sur l’étiquetage des produits revêtent de l’importance pour les consommateurs comme pour les organismes de réglementation. Les réglementations d’étiquetage requièrent des informations de produit précises et détaillées pour assurer la sécurité alimentaire et informer les consommateurs sur la valeur nutritionnelle. En outre, pour éclairer leurs décisions d’achat, les clients sont de plus en plus intéressés par les informations supplémentaires sur les ingrédients, comme la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM), ou d’autres effets sur la santé et la nutrition. Les pratiques de marché des entreprises de boissons non alcoolisées constituent un autre sujet de préoccupation publique, en particulier celles ciblant les enfants ou les allégations concernant la valeur nutritive, ainsi que la possibilité qu’elles présentent des informations fausses ou trompeuses. Les questions de marketing et d’étiquetage des produits peuvent influencer l’environnement concurrentiel de l’industrie, car les entreprises peuvent faire l’objet de litiges ou de critiques pour des déclarations trompeuses ou si elles ne s’adaptent pas aux demandes des consommateurs pour plus de transparence et d’étiquetage. Ces facteurs peuvent avoir une incidence sur la valeur de la marque et la croissance du chiffre d’affaires des entreprises. Par ailleurs, les réglementations sur le marketing et l’étiquetage des produits présentent un risque de pénalités ou de litiges.
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.None -
Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Gestion du cycle de vie de l’emballage
Les matériaux d’emballage représentent un coût significatif pour les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées. Bien que la plupart des entreprises de boissons non alcoolisées ne fabriquent pas leurs propres bouteilles et emballages, elles font face à des risques d’atteinte à la réputation associés aux effets externes négatifs que les contenants de leurs produits peuvent créer sur leur cycle de vie. Les entreprises sont également directement affectées par la loi concernant la gestion en fin de vie des contenants de boissons. Les entreprises de boissons non alcoolisées peuvent travailler avec des fabricants d’emballage sur la conception des emballages afin de générer des économies sur les coûts, d’améliorer la réputation de la marque et de réduire les répercussions environnementales. Les efforts pour réduire la quantité de matériaux utilisés dans les emballages peuvent aider à réduire les coûts de transport, l’exposition à l’approvisionnement et la volatilité des prix des principaux matériaux, ainsi que la quantité de matériaux vierges extraits. Dans la phase de fin de vie, des programmes et partenariats de reprise et de recyclage peuvent anticiper la réglementation, aider à faire des économies sur les coûts et à réduire les répercussions environnementales. Les entreprises qui parviennent à gérer cette question peuvent améliorer leur rentabilité et réduire le coût du capital.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.-
Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement des composants
Les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées gèrent des chaînes d’approvisionnement mondiales pour acquérir une large gamme d’ingrédients. La manière dont les entreprises présentent, suivent et s’engagent avec les fournisseurs sur les sujets sociaux et environnementaux affecte la capacité des entreprises à sécuriser l’approvisionnement et à gérer les fluctuations de prix. Une interruption de la chaîne d’approvisionnement peut entraîner une perte de revenus et une répercussion négative sur la part de marché si les entreprises ne sont pas capables de trouver des alternatives aux fournisseurs importants ou si elles doivent acquérir des ingrédients à un prix plus élevé. Les problèmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement associés aux pratiques de travail, à la responsabilité environnementale, à l’éthique ou à la corruption peuvent également entraîner des amendes réglementaires et/ou une augmentation des coûts opérationnels à long terme pour les entreprises. La nature grand public de l’industrie augmente les risques d’atteinte à la réputation associés aux actions des fournisseurs. La gestion de l’exposition des entreprises à des risques environnementaux et sociaux peut entraîner une amélioration de la résilience de la chaîne d’approvisionnement et une réputation améliorée, ce qui procure de la valeur aux actionnaires. Les entreprises peuvent s’engager avec les fournisseurs importants pour gérer les risques environnementaux et sociaux afin d’améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement, de limiter les risques d’atteinte à la réputation et d’augmenter potentiellement la demande des consommateurs ou de saisir de nouvelles occasions sur le marché.
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.-
Approvisionnement en composants
Les entreprises de l’industrie des boissons non alcoolisées acquièrent une large gamme d’ingrédients chez des fournisseurs du monde entier. La capacité de l’industrie à s’approvisionner en ingrédients et à un certain niveau de prix fluctue selon la disponibilité d’approvisionnement, qui peut être affectée par le changement climatique, la rareté de l’eau, la gestion des terres et d’autres risques de pénurie de ressources. Cette exposition peut entraîner la volatilité des prix, ce qui peut affecter la rentabilité de l’entreprise. Le changement climatique, la rareté de l’eau et les restrictions d’utilisation des terres présentent des risques sur la capacité à long terme d’une entreprise à s’approvisionner en matériaux et ingrédients importants. Les entreprises qui s’approvisionnent en ingrédients moins productifs et moins exigeants en ressources, ou qui collaborent étroitement avec les fournisseurs pour augmenter leur adaptabilité au changement climatique et pour gérer l’exposition à d’autres risques de pénurie des ressources seront mieux protégées contre la volatilité des prix et/ou les ruptures d’approvisionnement.
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.None
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Catégorie des problématiques générales
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Services d’ingénierie et de construction
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Boissons non alcoolisées
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Émissions de GES
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Gestion du carburant de la flotte
Les entreprises de boissons non alcoolisées produisent directement des émissions de gaz à effet de serre (GES) de Champ d’application 1 provenant des grandes flottes automobiles pour la distribution et des installations de fabrication. Plus précisément, la réfrigération utilisée dans les installations de fabrication et dans les véhicules de transport contribue à une grande partie des émissions globales de l’industrie. Les gains d’efficacité dans l’utilisation des combustibles peuvent réduire les coûts, atténuer l’exposition à la volatilité des prix des combustibles fossiles et limiter les émissions provenant de la production, du stockage et du transport des produits. Les dépenses en immobilisations à court terme des parcs de véhicules écoénergétiques et des technologies plus écoénergétiques peuvent être compensées par des économies opérationnelles à long terme et l’atténuation des risques réglementaires.
Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie
Les entreprises de l’industrie des boissons non alcoolisées utilisent beaucoup d’énergie pour exploiter des installations de fabrication, des centres de distribution et des entrepôts. Les entreprises de l’industrie achètent généralement de l’électricité sur le réseau. La production d’énergie contribue aux impacts environnementaux, y compris le changement climatique et la pollution, qui peuvent avoir des répercussions indirectes, mais importantes, sur les activités des entreprises de boissons non alcoolisées. Les entreprises peuvent réduire la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre (GES) associées à leurs activités en mettant en œuvre des technologies et des processus plus efficaces. Les décisions relatives à l’utilisation de carburants alternatifs, d’énergies renouvelables et d’électricité produite sur site par rapport à son achat sur le réseau, peuvent jouer un rôle important en influençant à la fois les coûts et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique.
Gestion de l’eau et des eaux usées
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Gestion de l’eau
La gestion de l’eau est liée à l’usage direct de l’eau par une entreprise, l’exposition de ses activités dans des régions soumises à un stress hydrique et sa gestion des eaux usées. Les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées utilisent une grande qualité d’eau pour leurs activités, car l’eau est un composant clé des produits finaux. Étant donné que les entreprises de boissons non alcoolisées dépendent largement de gros volumes d’eau potable et que le stress hydrique augmente dans plusieurs régions du monde, les entreprises peuvent être exposées à des ruptures d’approvisionnement qui pourraient avoir des répercussions importantes sur les activités et sur les prix. Les entreprises qui opèrent dans les régions exposées au stress hydrique qui échoue à répondre aux préoccupations locales concernant l’eau peuvent faire face au risque de perdre leur permis d’exploitation. De plus, un traitement adéquat des eaux usées est un élément important de la gestion des problèmes d’eau dans les opérations, car les usines d’embouteillage rejettent de grandes quantités d’effluents. L’amélioration de la gestion de l’eau par le biais d’une efficacité améliorée, du recyclage et de l’élimination appropriée notamment dans les régions avec un stress hydrique de référence, peut entraîner une baisse des coûts opérationnels, une réduction des risques et une augmentation de la valeur des actifs intangibles.
Répercussions écologiques
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Répercussions environnementales de l’élaboration de projets
Les projets de construction d’infrastructures aident à améliorer le développement économique et social ; cependant, ils peuvent aussi impliquer des risques pour l’environnement local et les communautés à proximité. Les activités de l’industrie peuvent perturber les écosystèmes locaux par des répercussions sur la biodiversité, des émissions atmosphériques, des déversements dans l’eau, la consommation des ressources naturelles, la production de déchets et l’utilisation de produits chimiques dangereux. Les entreprises de construction réalisent notamment des activités de défrichage, de nivellement et d’excavation et peuvent générer des déchets nocifs pendant la construction du projet. L’évaluation correcte des répercussions environnementales avant la construction peut aider à limiter les problèmes imprévus qui peuvent générer des coûts opérationnels et de capital. Dans certains cas, les préoccupations environnementales et/ou les oppositions de la part des communautés locales peuvent entraîner des retards dans le projet et, dans les cas extrêmes, des annulations de projets, qui peuvent affecter la rentabilité et les occasions de croissance de l’entreprise. Une incapacité à respecter les réglementations environnementales pendant la construction peut entraîner des amendes coûteuses et des coûts de réparation, et peut porter atteinte à la réputation de l’entreprise. Les évaluations des répercussions environnementales peuvent offrir une compréhension des répercussions potentielles du projet sur l’environnement et la limitation des activités qui peut être nécessaire avant le commencement. De même, une gestion correcte des risques environnementaux pendant la construction du projet peut réduire les surveillances réglementaires et/ou les oppositions de la part des communautés. En évaluant en amont les considérations environnementales, ainsi qu’en continuant de les évaluer pendant le développement du projet, les entreprises de services d’ingénierie et de construction peuvent être mieux préparées à limiter les problèmes environnementaux potentiels et les risques financiers qui peuvent survenir, tout en établissant également un avantage concurrentiel afin d’obtenir de nouveaux contrats avec des clients éventuels.
Qualité et sécurité des produits
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Sécurité et intégrité des structures
Qu’elles fournissent des services d’ingénierie, de conception, d’architecture, de consultation, d’inspection, de construction ou d’entretien, les entreprises de cette industrie ont pour responsabilité professionnelle de garantir la sécurité et l’intégrité de leur travail. Les erreurs ou une qualité inadéquate dans la phase de conception du projet et de construction des bâtiments et infrastructures peuvent entraîner des blessures personnelles importantes, une perte de la valeur de propriété et des dommages économiques. Les entreprises qui ont de mauvais résultats dans leur intégrité et sécurité structurelles peuvent ainsi être confrontées à des coûts élevés en raison de travaux de reconception et/ou de réparation et de responsabilités juridiques, ainsi qu’à des atteintes à la réputation qui pourraient entraver les perspectives de croissance. En outre, lors de la conception et de la construction des bâtiments et infrastructures, les entreprises de cette industrie doivent de plus en plus prendre en compte les répercussions potentielles sur le changement climatique, qui peuvent affecter l’intégrité structurelle des projets et la sécurité du public en général. La conformité avec un minimum de codes et normes applicables peut ne pas être suffisante pour l’entretien et la croissance de la valeur de réputation (ou même pour limiter les responsabilités juridiques) dans certaines circonstances, notamment si la fréquence et la sévérité des événements liés au changement climatique augmentent comme prévu. La conformité et le dépassement des normes industrielles pour la qualité et l’établissement de procédures de contrôles internes pour répondre aux problèmes de conception potentiels, y compris ceux provenant des risques climatiques, sont des pratiques qui peuvent aider les entreprises à réduire ces risques.
Bien-être des clients
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Santé et nutrition
Les principales préoccupations en matière de nutrition et de santé, comme l’obésité, la sécurité des ingrédients, le contenu nutritionnel et les effets aigus sur la santé découlant de la consommation de boissons non alcoolisées, façonnent le paysage concurrentiel de l’industrie. Des études indiquent que la consommation de boissons riches en calories et sucrées peut avoir des conséquences néfastes sur la santé, notamment des niveaux plus élevés de cholestérol, un risque accru de maladies cardiaques et l’obésité. De telles constatations peuvent modifier les perceptions des consommateurs à l’égard des produits de l’industrie, ce qui entraîne des changements à long terme dans les décisions d’achat. De plus, les efforts visant à réduire l’obésité, sous la forme de nouveaux règlements ou de nouvelles taxes sur les boissons sucrées, peuvent influencer la rentabilité de l’industrie et la demande future. La possibilité d’effets nocifs sur la santé d’autres ingrédients couramment utilisés, comme les édulcorants artificiels, peut poser d’autres problèmes, et les entreprises peuvent faire face à des litiges ou à des règlements connexes. Des possibilités existent dans de nouveaux segments du marché des boissons pour répondre à la demande des consommateurs pour une meilleure valeur nutritionnelle. Les entreprises qui s’adaptent aux préférences changeantes des consommateurs et à un environnement réglementaire en évolution en offrant des solutions de rechange plus saines peuvent obtenir une part de marché supplémentaire et limiter leur exposition à la réglementation et aux litiges.
Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Étiquetage des produits et commercialisation
La communication avec les consommateurs par le biais du marketing et de l’étiquetage des produits est un aspect important des entreprises de boissons non alcoolisées. La précision et la richesse des informations présentées sur l’étiquetage des produits revêtent de l’importance pour les consommateurs comme pour les organismes de réglementation. Les réglementations d’étiquetage requièrent des informations de produit précises et détaillées pour assurer la sécurité alimentaire et informer les consommateurs sur la valeur nutritionnelle. En outre, pour éclairer leurs décisions d’achat, les clients sont de plus en plus intéressés par les informations supplémentaires sur les ingrédients, comme la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM), ou d’autres effets sur la santé et la nutrition. Les pratiques de marché des entreprises de boissons non alcoolisées constituent un autre sujet de préoccupation publique, en particulier celles ciblant les enfants ou les allégations concernant la valeur nutritive, ainsi que la possibilité qu’elles présentent des informations fausses ou trompeuses. Les questions de marketing et d’étiquetage des produits peuvent influencer l’environnement concurrentiel de l’industrie, car les entreprises peuvent faire l’objet de litiges ou de critiques pour des déclarations trompeuses ou si elles ne s’adaptent pas aux demandes des consommateurs pour plus de transparence et d’étiquetage. Ces facteurs peuvent avoir une incidence sur la valeur de la marque et la croissance du chiffre d’affaires des entreprises. Par ailleurs, les réglementations sur le marketing et l’étiquetage des produits présentent un risque de pénalités ou de litiges.
Santé et sécurité des employés
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Santé et sécurité des collaborateurs
Les services de construction, d’entretien et de réparation, et autres activités sur site nécessitent une quantité considérable de travailleurs manuels. Les taux de mortalité et de blessures dans l’industrie des services d’ingénierie et de construction sont élevés comparés à ceux d’autres industries, en raison de l’exposition des collaborateurs aux accidents routiers et de machinerie lourde, chutes accidentelles, exposition à des produits chimiques dangereux et autres situations uniques et potentiellement dangereuses. En outre, les travailleurs intérimaires peuvent subir des risques plus élevés en raison de leur manque de formation ou d’expérience dans l’industrie. Une incapacité à protéger la santé et la sécurité des travailleurs peut entraîner des amendes et sanctions ; des incidents graves peuvent entraîner des dépenses ponctuelles extraordinaires et des passifs éventuels d’actions juridiques et/ou réglementaires. De plus, les incidents de santé et de sécurité peuvent entraîner des retards et arrêts du projet qui impliquent des coûts et une rentabilité plus faible. Les entreprises qui cherchent à former correctement les employés permanents comme intérimaires et à bâtir une culture de la sécurité forte pourraient réduire leur profil de risque tout en obtenant potentiellement un avantage concurrentiel sur les nouvelles offres et propositions de projets à la suite d’excellents bilans sur la santé et sécurité des collaborateurs.
Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Répercussions sur le cycle de vie des bâtiments et infrastructures
Les projets de bâtiments et infrastructures majeures font partie des plus grands utilisateurs de ressources naturelles de l’économie ; pendant la construction, ces matériaux incluent les produits en fer et acier, le ciment, le béton, les briques, les cloisons sèches, les plaques de plâtre, le verre, l’isolation, les fixations, les portes et l’ébénisterie, parmi beaucoup d’autres. Une fois terminés, et pendant leur utilisation au quotidien, ces projets consomment souvent des quantités importantes de ressources sous forme d’énergie et d’eau (pour une discussion sur les répercussions environnementales directes lors de la construction d’un projet, se rendre à la section Environmental Impacts of Project Development [Répercussions environnementales lors du développement du projet]). Ainsi, l’approvisionnement en matériaux de construction et l’utilisation au quotidien des bâtiments et infrastructures peuvent contribuer à des émissions directes ou indirectes de gaz à effet de serre (GES), à des contraintes de ressources mondiales et/ou locales, à un stress hydrique et à des résultats négatifs sur la santé humaine. Les pressions réglementaires et de la part des clients afin de développer un environnement de construction durable contribuent à la croissance des marchés censés réduire les répercussions sur le cycle de vie des projets de bâtiments et infrastructures. En réponse, des plans de certification pour des bâtiments et infrastructures durables ont été développés pour évaluer, parmi d’autres aspects, le rendement énergétique et l’utilisation rationnelle de l’eau pendant la phase d’utilisation du projet, les répercussions sur la santé humaine et l’utilisation de matériaux de construction durables. Par conséquent, de nombreuses occasions sont créées pour les industries dans la chaîne de valeur, des fournisseurs qui peuvent offrir ces matériaux, aux entreprises de l’industrie des services d’ingénierie et de construction qui peuvent fournir des services de conception, consultation et construction du projet orientés vers la durabilité. Ces services peuvent offrir un avantage concurrentiel et des occasions de croissance du chiffre d’affaires alors que la demande du client pour des projets durables économiquement avantageux augmente et que les réglementations associées évoluent. Les entreprises qui ne sont pas en mesure d’intégrer efficacement ces considérations dans leurs services pourraient perdre leur part de marché à long terme. -
Répercussions climatiques de la combinaison d’activités
L’industrie des services d’ingénierie et de construction collabore avec les clients qui sont exposés aux réglementations climatiques potentiellement perturbatrices ainsi qu’avec ceux qui jouent un rôle dans la réponse au changement climatique. Certains types de projets de construction contribuent grandement au changement climatique en raison des gaz à effet de serre (GES) émis pendant la phase d’utilisation. Les projets qui sont susceptibles de contribuer à des émissions de GES globales incluent ceux des industries pétrolières et gazières et autres industries d’extraction, ainsi que les grands bâtiments. Alors que certains projets d’infrastructures, tels que les projets d’énergie renouvelable, sont conçus pour réduire les émissions de GES, de nombreux types de projets présentent des compromis. Les systèmes de transport en commun, par exemple, peuvent directement contribuer aux émissions de GES tout en diminuant les émissions nettes une fois que les avantages offerts par le système sont pris en considération. Plusieurs entreprises de l’industrie génèrent une part de revenus conséquente et des profits de leurs clients dans les industries à forte teneur en carbone et dont les futures dépenses en capital peuvent être en péril en raison des réglementations climatiques évolutives. Les risques à la baisse peuvent se manifester par le biais de retards, annulations et occasions de croissance du chiffre d’affaires diminuées à long terme pour le projet. D’un autre côté, les entreprises spécialisées dans les projets d’infrastructure qui contribuent à la limitation des GES pourraient développer des avantages concurrentiels alors qu’elles continuent de se concentrer sur ces marchés en croissance. Alors que l’industrie et ses clients continuent d’opérer au sein d’un environnement commercial incertain et d’être confrontés à des exigences environnementales et réglementaires croissantes, l’évaluation et la communication des risques et occasions qui surviennent du changement climatique et qui sont intégrés aux commandes en attente et futures perspectives commerciales de l’entreprise peuvent être utiles pour l’investisseur afin d’évaluer l’ensemble des répercussions du changement climatique sur les affaires.
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Gestion du cycle de vie de l’emballage
Les matériaux d’emballage représentent un coût significatif pour les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées. Bien que la plupart des entreprises de boissons non alcoolisées ne fabriquent pas leurs propres bouteilles et emballages, elles font face à des risques d’atteinte à la réputation associés aux effets externes négatifs que les contenants de leurs produits peuvent créer sur leur cycle de vie. Les entreprises sont également directement affectées par la loi concernant la gestion en fin de vie des contenants de boissons. Les entreprises de boissons non alcoolisées peuvent travailler avec des fabricants d’emballage sur la conception des emballages afin de générer des économies sur les coûts, d’améliorer la réputation de la marque et de réduire les répercussions environnementales. Les efforts pour réduire la quantité de matériaux utilisés dans les emballages peuvent aider à réduire les coûts de transport, l’exposition à l’approvisionnement et la volatilité des prix des principaux matériaux, ainsi que la quantité de matériaux vierges extraits. Dans la phase de fin de vie, des programmes et partenariats de reprise et de recyclage peuvent anticiper la réglementation, aider à faire des économies sur les coûts et à réduire les répercussions environnementales. Les entreprises qui parviennent à gérer cette question peuvent améliorer leur rentabilité et réduire le coût du capital.
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement des composants
Les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées gèrent des chaînes d’approvisionnement mondiales pour acquérir une large gamme d’ingrédients. La manière dont les entreprises présentent, suivent et s’engagent avec les fournisseurs sur les sujets sociaux et environnementaux affecte la capacité des entreprises à sécuriser l’approvisionnement et à gérer les fluctuations de prix. Une interruption de la chaîne d’approvisionnement peut entraîner une perte de revenus et une répercussion négative sur la part de marché si les entreprises ne sont pas capables de trouver des alternatives aux fournisseurs importants ou si elles doivent acquérir des ingrédients à un prix plus élevé. Les problèmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement associés aux pratiques de travail, à la responsabilité environnementale, à l’éthique ou à la corruption peuvent également entraîner des amendes réglementaires et/ou une augmentation des coûts opérationnels à long terme pour les entreprises. La nature grand public de l’industrie augmente les risques d’atteinte à la réputation associés aux actions des fournisseurs. La gestion de l’exposition des entreprises à des risques environnementaux et sociaux peut entraîner une amélioration de la résilience de la chaîne d’approvisionnement et une réputation améliorée, ce qui procure de la valeur aux actionnaires. Les entreprises peuvent s’engager avec les fournisseurs importants pour gérer les risques environnementaux et sociaux afin d’améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement, de limiter les risques d’atteinte à la réputation et d’augmenter potentiellement la demande des consommateurs ou de saisir de nouvelles occasions sur le marché.
Approvisionnement en matériaux et efficacité
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Approvisionnement en composants
Les entreprises de l’industrie des boissons non alcoolisées acquièrent une large gamme d’ingrédients chez des fournisseurs du monde entier. La capacité de l’industrie à s’approvisionner en ingrédients et à un certain niveau de prix fluctue selon la disponibilité d’approvisionnement, qui peut être affectée par le changement climatique, la rareté de l’eau, la gestion des terres et d’autres risques de pénurie de ressources. Cette exposition peut entraîner la volatilité des prix, ce qui peut affecter la rentabilité de l’entreprise. Le changement climatique, la rareté de l’eau et les restrictions d’utilisation des terres présentent des risques sur la capacité à long terme d’une entreprise à s’approvisionner en matériaux et ingrédients importants. Les entreprises qui s’approvisionnent en ingrédients moins productifs et moins exigeants en ressources, ou qui collaborent étroitement avec les fournisseurs pour augmenter leur adaptabilité au changement climatique et pour gérer l’exposition à d’autres risques de pénurie des ressources seront mieux protégées contre la volatilité des prix et/ou les ruptures d’approvisionnement.
Éthique des affaires
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Éthique des affaires
Les entreprises de l’industrie sont confrontées aux risques associés à la corruption et aux pratiques anticoncurrentielles. Ceci est dû à plusieurs facteurs, y compris les opérations mondiales de nombreuses entreprises, le besoin de gérer plusieurs agents et sous-traitants locaux, la complexité de financement et d’obtention de permis pour le projet, la magnitude des contrats impliqués dans les projets de construction de grandes infrastructures et le processus concurrentiel nécessaire aux contrats sécurisés avec des entités publiques et privées. Les violations de l’éthique peuvent entraîner des enquêtes par les autorités, ainsi que de fortes amendes, des coûts de règlement et une atteinte à la réputation. Ces violations peuvent inclure des infractions aux lois anticorruption, telles que le paiement d’un fonctionnaire afin de remporter des contrats de projet. Elles peuvent également inclure des pratiques d’offres immorales, telles que les offres complémentaires (par exemple, la soumission d’une offre artificiellement élevée ou autrement inacceptable pour un contrat que l’offrant ne compte pas remporter) et la mise en commun des offres (par exemple, la coordination de contrats fracturés pour assurer que chaque offrant se voit accorder une certaine quantité de travail). En outre, les entreprises avec des mauvais bilans peuvent être empêchées de travailler sur de futurs projets, entraînant une perte de revenus. Le développement d’une culture éthique par le biais de la formation des employés, de structures de gouvernance efficaces et de contrôles internes est critique pour que les entreprises limitent les risques associés à l’éthique des affaires.