Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Services immobiliers L’industrie des services immobiliers se compose d’entreprises qui fournissent une gamme de services à des propriétaires, locataires, investisseurs et promoteurs immobiliers. Les services principaux incluent des services de gestion de la propriété, de courtage, d’estimation et d’informations pour les propriétaires immobiliers. Les services de gestion de la propriété peuvent inclure la location, la relation avec les locataires, l’entretien du bâtiment et la sécurité du bâtiment. De nombreuses entreprises proposent également des services de courtage, afin de faciliter les transactions de vente et de location. Les estimations et autres services de consultation et d’informations représentent d’autres services spécialisés qui sont couramment fournis aux clients. Les entreprises de l’industrie jouent un rôle important dans la chaîne de valeur de l’immobilier, qui représente une partie importante de l’économie mondiale.
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  • Médias et divertissement Les entreprises des médias et du divertissement créent du contenu et/ou acquièrent des droits de distribution de contenu sur le câble ou les médias de radiodiffusion, y compris des émissions de divertissement, d’actualités, de musique et des émissions pour enfants. Les entreprises de cette industrie publient également des livres, des journaux et des périodiques, et diffusent des émissions de radio et de télévision locale.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (5 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Services de durabilité Dans l’industrie des services immobiliers, les bâtiments détenus et occupés par des clients ont généralement des répercussions importantes sur la durabilité. Les bâtiments, et les activités qui ont lieu en leur sein, induisent une consommation énergétique, des émissions de gaz à effet de serre (GES) directes ou indirectes, une consommation en eau, une production de déchets et des préoccupations associées à la qualité environnementale en intérieur qui peuvent affecter la santé des occupants. Les entreprises de l’industrie ont l’occasion de limiter les répercussions sur la durabilité des bâtiments et de leurs activités par le biais de services liés à la durabilité. Ces services peuvent inclure la gestion des données de service, l’approvisionnement énergétique, l’étalonnage de l’eau et de l’énergie, l’amélioration de l’efficacité des ressources, les activités liées aux certifications de durabilité, et les consultations et formations sur la durabilité. Les entreprises de l’industrie peuvent avoir encore plus de répercussions sur la durabilité des bâtiments en mettant en place des locations qui invitent les propriétaires comme les locataires à renforcer la performance de durabilité, tout en présentant des avantages financiers pour les deux parties. La prestation de ces services peut engendrer une nouvelle croissance du chiffre d’affaires et augmenter la conservation des clients ; des services de durabilité efficaces peuvent apporter des avantages aux propriétaires et/ou locataires par le biais de l’amélioration des valeurs d’actif, de l’augmentation de la demande des locataires, de la diminution des coûts d’exploitation et de l’amélioration de l’expérience des locataires.
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Informations transparentes et gestion des conflits d’intérêts Le modèle commercial des entreprises de services immobiliers dépend de la confiance et de la loyauté du client. Pour garantir des relations mutuellement avantageuses à long terme, les entreprises doivent fournir des services qui satisfont les meilleures normes professionnelles et éthiques de l’industrie. L’intégrité professionnelle est une importante question de gouvernance, comme la gamme de services et le nombre de professionnels au sein d’une même organisation peuvent rendre la gestion des conflits d’intérêts encore plus difficile. Les services de courtage et d’estimation peuvent engendrer des risques particulièrement élevés de conflits d’intérêts et de négligence. Afin de gérer et de prévenir ces risques, les entreprises de l’industrie peuvent mettre en place une gamme de mesures de gouvernance, y compris la formation des employés, la supervision, et des politiques, procédures et systèmes de renforcement centrés sur la transparence et les divulgations appropriées. La gestion efficace de ces risques peut entraîner une hausse de la confiance des clients et une meilleure valeur de la marque sur le marché, en plus d’une croissance du chiffre d’affaires à long terme. Une gestion inadéquate des risques peut entraîner des amendes et sanctions réglementaires, ainsi qu’une diminution de la confiance des clients et une perte de revenus.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Pluralisme dans les médias Le pluralisme dans les médias, c’est-à-dire la diversité au sens large, comprend le pluralisme interne et externe. Le pluralisme externe désigne la propriété des médias, les comités de rédaction indépendants, les canaux, les titres ou les émissions. Le pluralisme interne désigne la diversité sociale, raciale/ethnique et politique représentée dans le contenu des médias. Les entreprises de médias et de divertissement peuvent assurer le pluralisme en maintenant la diversité à l’écran et hors écran et en préservant l’indépendance des comités de rédaction et de la programmation.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Intégrité journalistique et identification des commanditaires L’audience compte sur les journalistes pour obtenir des renseignements exacts et opportuns sur l’actualité. Les principes du journalisme comprennent l’exactitude, l’équité, la minimisation des préjudices, l’indépendance, la responsabilisation et la transparence. Le non-respect de ces principes peut affecter la crédibilité non seulement du journaliste, mais aussi de la société responsable de la publication ou de la diffusion de ces documents. À mesure que les règlements sur la divulgation des commandites et de l’appui évoluent, la transparence est importante pour le contenu journalistique et de divertissement.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Protection de la propriété intellectuelle et piratage des médias Les entreprises de cette industrie comptent sur leur propriété intellectuelle (PI) pour générer des revenus. Cependant, bien que la protection de la PI soit inhérente à leur modèle d’affaires, de solides protections de la PI peuvent parfois entrer en conflit avec les intérêts de la société. Les promoteurs de la protection de la PI affirment son importance en tant que moteur de l’innovation. Les opposants soutiennent que l’attribution de la propriété peut étouffer l’innovation et la concurrence en permettant la création de monopoles. Malgré les meilleurs efforts de l’industrie, le piratage des médias est endémique et les entreprises consacrent des ressources importantes à la protection et à l’application de leurs droits de PI. Les entreprises de médias et de divertissement doivent donc trouver un équilibre entre la protection de leur propriété intellectuelle et l’accès aux médias et l’utilisation équitable.

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