Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Services de distribution d’eau
Les entreprises de l’industrie de distribution d’eau détiennent et exploitent des systèmes d’alimentation en eau et de traitement des eaux usées (généralement structurés en tant que services publics réglementés), ou fournissent des services d’eau spécialisés opérationnels ou autres pour les propriétaires du système (généralement des activités basées sur le marché). Les systèmes d’alimentation en eau incluent l’approvisionnement, le traitement et la distribution en eau des résidences, commerces et autres entités telles que les gouvernements. Les systèmes d’eaux usées collectent et traitent les eaux usées, y compris les eaux d’égout, les eaux grises, les liquides industriels résiduels et le ruissellement des eaux pluviales, avant de déverser à nouveau les effluents correspondants dans l’environnement. -
Restaurants
Les entreprises de l’industrie des restaurants préparent les repas, les collations et les boissons des commandes des consommateurs pour une consommation immédiate dans les locaux ou aux alentours. Divisée généralement en trois sous-catégories, l’industrie des restaurants comprend des établissements de restauration à service restreint, des établissements de restauration à service complet occasionnel et des établissements de restauration à service complet haut de gamme. Les restaurants à service restreint fournissent des services aux consommateurs qui commandent et payent avant de manger. Les restaurants de consommation rapide représentent la plus large part du segment des restaurants à service restreint. Les restaurants à service complet offrent un service renforcé, des aliments principalement destinés à la consommation dans les locaux et reflètent généralement des aliments de qualité et des prix supérieurs.
Questions pertinentes pour les deux Industries (11 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
- Émissions de GES
- Qualité de l’air
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques. -
Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes. - Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
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Accès et caractère abordable
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications. -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. -
Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits. - Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Capital humain
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Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association. - Santé et sécurité des employés
- Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
- Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Résilience du modèle économique
La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques. -
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte. -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte. -
Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
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Direction et gouvernance
- Éthique des affaires
- Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
- Gestion des risques systémiques
Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
Les entreprises de l’industrie des services de distribution d’eau nécessitent des intrants énergétiques conséquents pour le retrait, le transport, le traitement et la distribution ou le déversement de l’eau potable et d’eaux usées. Les coûts opérationnels du service sont directement liés à l’utilisation énergétique, qui est généralement le coût opérationnel le plus élevé de l’entreprise après l’approvisionnement en eau, en produits chimiques et en main-d’œuvre. L’électricité du réseau approvisionnée est l’intrant énergétique le plus commun. Dans des lieux plus isolés, la production sur site est utilisée pour alimenter les équipements. Une utilisation inefficace de l’électricité du réseau approvisionnée crée des effets externes sur l’environnement, tels que des émissions de gaz à effet de serre de Champ d’application 2. Les réglementations qui répondent aux préoccupations environnementales sont susceptibles d’affecter le futur bouquet énergétique du réseau, entraînant des augmentations de prix. En outre, le changement climatique devrait également affecter la fiabilité du réseau, et la disponibilité des ressources en eau. En conséquence, l’intensité énergétique des services d’eau est susceptible d’augmenter dans le futur alors que les sources d’eau deviennent de plus en plus difficiles d’accès. Un traitement alternatif de l’eau, tel que le recyclage ou le dessalement, peut également nécessiter plus d’énergie. Avec les décisions prises à propos de l’utilisation de carburants de substitution, de l’énergie renouvelable et de la production d’électricité sur site, l’efficacité énergétique peut jouer un rôle important dans l’influence sur les coûts comme sur la fiabilité des approvisionnements en énergie.
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Efficacité du réseau de distribution
Les services d’eau développent, conservent et exploitent des réseaux d’infrastructures complexes interconnectés qui incluent des conduites, canaux, réservoirs et stations de pompage coûteux. Des volumes conséquents d’eau sont perdus dans le réseau de distribution (appelés « les eaux non comptabilisées », car il s’agit d’un volume d’eau distribué qui n’est pas comptabilisé dans les factures du client). Cette eau est principalement perdue en raison de défaillances et inefficacités de l’infrastructure, telles que des fuites dans les conduites et les connexions de service. Les pertes d’eau non comptabilisée peuvent affecter négativement les performances financières, augmenter les tarifs du client et gaspiller de l’eau et autres ressources telles que l’énergie et les produits chimiques de traitement. Réciproquement, des améliorations des infrastructures et des processus opérationnels peuvent limiter les pertes non comptabilisées, affecter positivement les revenus et potentiellement réduire les coûts. Des dépenses de maintenance et opérationnelles ou des dépenses en capital gérées de manière efficace pour les systèmes de distribution, principalement la réparation, la rénovation ou le remplacement des conduites et des connexions de services, peuvent améliorer la valeur de l’entreprise et fournir des rendements accrus sur les investissements. -
Gestion de la qualité de l’effluent
Les installations de traitement de l’eau et des eaux usées produisent des effluents qui engendrent de potentiels risques environnementaux et pour la santé humaine. Les effluents incluent des résidus et solides qui sont formés à partir des produits chimiques utilisés dans le processus de traitement et des contaminants retirés des intrants d’eau brute ou d’eaux usées. Les effluents traités sont déversés depuis les installations dans les eaux de surface ou pompés dans les eaux souterraines. Les répercussions environnementales potentielles varient selon le processus de traitement et de mise au rebut. En outre, les consommateurs et régulateurs sont de plus en plus préoccupés par les substances comprenant des produits chimiques qui perturbent le système endocrinien (EDC), qui ne sont généralement pas pris en compte par les installations de traitement des eaux usées. En conséquence aux risques environnementaux associés aux effluents, les installations de traitement sont soumises à des réglementations environnementales étendues prévues pour contrôler et surveiller leurs répercussions. Alors que la surveillance du public et réglementaire de la qualité des effluents augmente en même temps que les préoccupations concernant les substances d’intérêt nouveau, les entreprises devront innover et garantir que les effluents ne sont pas nocifs pour l’environnement ou la santé humaine. Les déversements d’effluents qui dépassent les limites maximales peuvent entraîner des sanctions réglementaires conséquentes et des épisodes fréquents peuvent mettre en péril le permis d’exploitation social d’une entreprise. Les entreprises peuvent activement gérer les répercussions financières par le biais de la planification, de l’entretien et de l’exploitation de l’infrastructure et de l’équipement, ainsi que par le déploiement d’une main-d’œuvre formée de manière adéquate et expérimentée.
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.None -
Accès et caractère abordable
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications.-
Accessibilité et accès à l’eau
Un accès fiable à une eau propre est généralement perçu comme un droit de l’homme fondamental. Des prix raisonnables et abordables sont une composante de ce droit. Ainsi, la structuration des tarifs de l’eau d’une manière que la communauté considère comme juste est importante pour la valeur des entreprises de services de distribution d’eau. Les entreprises qui sont en mesure de travailler avec les régulateurs afin de mettre en place des structures tarifaires qui augmentent les niveaux d’acceptation de la communauté sont susceptibles de créer une stabilité financière accrue et de réaliser potentiellement des occasions de croissance, notamment compte tenu de la nature insuffisante des infrastructures d’eau dans la plupart des régions du monde. Les services d’eau qui utilisent des mécanismes de tarification qui inhibe l’accès à l’eau, ou qui sont trop coûteux pour les populations à faibles revenus, peuvent connaître l’opposition de la communauté. Les entreprises doivent garantir des prix et un accès justes, ainsi que des tarifs qui peuvent financer de manière adéquate les infrastructures sur le long terme, fournir une eau potable sécurisée et un traitement des eaux usées adéquat, et collecter un rendement approprié sur le capital.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Qualité de l’eau potable
Les entreprises de l’industrie doivent s’assurer que l’eau est conforme aux réglementations, s’aligne aux attentes du client et est délivrée de manière fiable. Afin de protéger la santé humaine et de sauvegarder la valeur de l’entreprise, les entreprises doivent protéger les sources d’eau contre la contamination, qui peut réduire les processus de traitement et les coûts. Des processus de traitement complets sont conçus, développés et entretenus pour se conformer aux standards de qualité des eaux, alors que l’eau finale est surveillée régulièrement pour sa conformité et sa sécurité. Les événements naturels, tels que les incendies forestiers et les inondations, peuvent également affecter la qualité des sources d’eau. Dans l’ensemble, les entreprises investissent des ressources importantes afin de délivrer de manière constante une eau potable sécurisée aux clients. Une incapacité à fournir une eau de qualité adéquate peut entraîner des amendes réglementaires, de litiges, une augmentation des coûts opérationnels ou des dépenses en capital, des risques pour la réputation et une saisie des actifs ou du commerce.
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Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.None -
Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.None -
Résilience du modèle économique
La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques.-
Efficacité dans les utilisations finales
L’efficacité et la conservation de l’eau au niveau du client, que ce soit le produit d’un mandat gouvernemental, de la conscience environnementale ou de tendances démographiques, sont de plus en plus importantes pour la disponibilité des ressources à long terme et la performance financière du secteur de l’approvisionnement en eau de l’industrie. Le sujet de l’efficacité dans les utilisations finales répond à la manière dont les services travaillent avec les régulateurs pour limiter les déclins de revenus dans le contexte d’une augmentation du besoin en efficacité des ressources. Les mécanismes d’efficacité hydrique, y compris le découplage des taux, peuvent garantir que les revenus d’un service peuvent couvrir de manière adéquate ses coûts fixes et fournir les niveaux souhaités de rendements indépendamment du volume des ventes, tout en sensibilisant simultanément les clients pour la conservation de l’eau. Les mécanismes d’efficacité peuvent mieux aligner les incitations économiques de l’entité avec les intérêts environnementaux et sociaux, y compris l’efficacité des ressources, des taux plus bas et une augmentation des investissements en capital dans les infrastructures. Les services d’eau sont en mesure de gérer leur exposition aux répercussions des mécanismes de tarification par le biais des relations réglementaires positives, des cas de taux à long terme qui intègrent l’efficacité, et l’exécution de manière forte des stratégies d’efficacité.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.None -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.-
Résistance de l’approvisionnement en eau
Les systèmes d’approvisionnement en eau obtiennent de l’eau à partir de sources souterraines et des eaux de surface. Les sources en eau peuvent soit être accessibles directement ou achetées chez un tiers, la plupart du temps une entité gouvernementale. La pénurie en eau, la contamination des sources d’eau, les défaillances d’infrastructures, la concurrence des utilisateurs et une surconsommation par les clients sont tous des facteurs qui peuvent mettre en péril l’accès suffisant à des sources d’eau. Ces problèmes, combinés avec un risque accru de conditions extrêmes et de sécheresses fréquentes en raison du changement climatique, peuvent entraîner des approvisionnements inadéquats ou des limitations mandatées en eau. Les répercussions financières associées peuvent se manifester de différentes façons, selon la structure tarifaire, mais sont plus susceptibles d’affecter la valeur de l’entreprise avec une diminution des revenus. Les défis liés à l’approvisionnement en eau peuvent également entraîner une augmentation du prix d’achat de l’eau, qui pourrait contribuer à des coûts opérationnels plus élevés. Des défaillances d’infrastructures critiques telles que les aqueducs et les canaux, qui pourraient provenir d’événements comme les tremblements de terre, sont capables de présenter des risques catastrophiques pour les clients des systèmes d’approvisionnement en eau et pourraient infliger des conséquences financières sans précédent. Les entreprises sont en mesure de limiter les risques liés à l’approvisionnement en eau (et les risques financiers qui en découlent) par la diversification des sources d’eau, les niveaux de retrait durables, les améliorations technologiques et des infrastructures, la planification des éventualités, les relations positives avec les régulateurs et autres utilisateurs majeurs, ainsi que les structures tarifaires.
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Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).-
Résistance du réseau et répercussions du changement climatique
Le changement climatique est susceptible de créer des incertitudes commerciales pour les systèmes d’approvisionnement en eau et les systèmes d’eaux usées en raison des répercussions potentielles sur les infrastructures et les opérations. Le changement climatique peut entraîner une augmentation du stress hydrique, des événements météorologiques graves plus fréquents, une réduction de la qualité de l’eau et une augmentation des niveaux de la mer qui pourraient nuire aux actifs du service et à sa capacité d’exploitation. L’approvisionnement en eau et la mise au rebut des eaux usées sont des services de base pour lesquels il est important de maintenir une continuité. L’augmentation de la fréquence et de la gravité des tempêtes met en péril les installations de traitement des eaux et eaux usées, et peut affecter la continuité des services. Des précipitations intenses peuvent entraîner des volumes d’égout qui dépassent la capacité des installations de traitement, contribuant à la libération d’effluents non traités. La minimisation actuelle et future des risques de perturbations du service et la qualité inadéquate du service peuvent nécessiter des dépenses en capital supplémentaires et des dépenses opérationnelles. Alors que le changement climatique entraîne une probabilité plus élevée d’événements météorologiques extrêmes, les entreprises qui répondent à ces risques par le biais de redondances et d’une planification stratégique seront plus en mesure de servir les clients et de protéger la valeur de l’actionnaire.
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Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
Les activités des restaurants ont une haute intensité énergétique par rapport aux opérations d’autres établissements commerciaux. Les appareils de cuisine commerciale sont extrêmement énergivores et la température des espaces de restauration est généralement contrôlée pour les consommateurs. La production et la consommation d’énergie à base de combustibles fossiles contribuent aux répercussions environnementales significatives, y compris au changement climatique et à la pollution de l’air, qui peuvent impacter indirectement, mais fortement, les activités des restaurants. Les réglementations sur la tarification des émissions de gaz à effet de serre (GES) ou les incitations à des améliorations de l’efficacité énergétique et à l’énergie renouvelable affectent les prix de l’énergie conventionnelle et de l’énergie renouvelable. Les entreprises qui gèrent la consommation d’énergie sur les sites possédés par l’entreprise et les sites franchisés peuvent diminuer leurs coûts d’exploitation par le biais de mises à niveau de l’efficacité énergétique et de limitation de l’exposition à des réglementations en matière d’émissions de GES en utilisant des ressources d’énergie renouvelable.
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Gestion de l’eau
L’eau est utilisée dans l’ensemble des activités des restaurants, de la cuisine au lavage de la vaisselle et au nettoyage. Le format, la taille et l’équipement des restaurants impactent tous l’utilisation de l’eau. Les restaurants situés dans des régions à stress hydrique peuvent être exposés à des restrictions d’utilisation de l’eau ou faire face à des coûts élevés de l’eau. Les augmentations historiques à long terme des coûts de l’eau et les prévisions d’augmentation continue due à la surconsommation et aux limites d’approvisionnement, lesquelles résultent de la croissance démographique et des déplacements de la population, de la pollution et du changement climatique, indiquent l’importance accrue de la gestion de l’eau. Les entreprises peuvent réduire leur utilisation de l’eau et les coûts d’exploitation associés en mettant en place des pratiques d’utilisation rationnelle de l’eau et en utilisant un équipement de cuisine commerciale qui permette une telle utilisation.
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.-
Gestion des déchets alimentaires et d’emballages
Les restaurants produisent des déchets de deux formes principales : les aliments et les emballages. Les déchets alimentaires sont générés au cours du processus de préparation et par les aliments non consommés. Les déchets alimentaires conduisent à une perte de ressources, comme l’eau, l’énergie, la terre, le travail et le capital et produisent des émissions de GES de par leur décomposition. En outre, les livraisons d’ingrédients alimentaires aux restaurants représentent une source significative de déchets d’emballage. Les déchets d’emballage comprennent les emballages provenant des fournisseurs et les emballages jetés par les consommateurs dans les restaurants. Par ailleurs, les restaurants à service restreint utilisent de manière intensive la vaisselle jetable pour servir les consommateurs. Les réglementations municipales et fédérales en matière d’emballage continueront probablement d’évoluer pour réduire les emballages ou améliorer la recyclabilité ou la biodégradabilité des emballages. Les entreprises capables d’anticiper les réglementations verront non seulement un impact positif sur la réputation de leur marque, mais réduiront également probablement leurs coûts d’appareils. Les entreprises capables de réduire leurs déchets à travers diverses méthodes, y compris la valorisation des aliments, le réacheminement des déchets des décharges et les programmes de récupération des emballages, peuvent réduire leurs coûts de gestion des déchets et améliorer leur efficacité opérationnelle.
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Accès et caractère abordable
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications.None -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Sécurité alimentaire
Les méthodes de préparation des aliments et la qualité des ingrédients peuvent influer sur la sécurité alimentaire dans l’industrie des restaurants. La sécurité alimentaire des restaurants est particulièrement difficile à gérer avec une large chaîne d’approvisionnement. La nature mondiale de l’industrie et le modèle de franchise compliquent la garantie de la sécurité de leurs fournitures alimentaires pour les entreprises de restauration. L’incapacité à contrôler la qualité des produits fournis peut augmenter le risque de perturbations de l’approvisionnement et d’une publicité négative pour l’entreprise. Les problèmes de sécurité alimentaire, tels que les préoccupations de maladies d’origine alimentaire, soit dans les sites possédés par l’entreprise, soit dans les sites franchisés, peuvent atteindre au cœur la réputation d’un restaurant. L’atteinte à la réputation pour des problèmes de sécurité alimentaire a généralement un impact à long terme. Les entreprises qui adhèrent aux normes industrielles en matière de préparation des aliments et de sécurité alimentaire sont susceptibles d’être mieux positionnées pour protéger la valeur actionnariale.
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Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.-
Valeur nutritionnelle
Les préoccupations autour de l’obésité ont placé l’industrie des restaurants au cœur des débats. Les restaurants se trouvent sous une pression croissante pour améliorer la valeur nutritionnelle de leurs propositions de menu et augmenter la transparence autour du contenu de ces propositions, comme la publication du nombre de calories. La demande dans l’industrie des restaurants est de plus en plus guidée par les préférences des consommateurs pour des choix plus sains. Les entreprises capables d’offrir des options de menu plus nutritives sont susceptibles de conquérir de nouveaux marchés pour des consommateurs soucieux de leur santé et d’améliorer leur part de marché avec les consommateurs. Une partie plus importante d’options nutritives peut avoir un effet bénéfique sur la réputation d’une entreprise et sur la croissance de son chiffre d’affaires à long terme.
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Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.-
Pratiques de travail
L’industrie des restaurants nécessite beaucoup de main-d’œuvre et beaucoup d’employés sont des employés horaires, à temps partiel, ou saisonniers. L’industrie fait partie des principaux créateurs d’emploi et est une porte d’entrée pour les jeunes travailleurs et les migrants souhaitant rejoindre les collaborateurs. Les employés des restaurants dans les sites franchisés ou disposant d’une licence peuvent être employés par un tiers. En outre, depuis que de nombreuses chaînes de restaurants existent sur l’ensemble des continents, garantir des normes de travail cohérentes peut être difficile pour les employés de restaurants à la fois des sites possédés par l’entreprise et des sites franchisés. Les problèmes liés au travail dans les franchises affectent l’image de marque, car les consommateurs ne différencient pas un restaurant possédé par l’entreprise d’un restaurant franchisé. Les restaurants capables de gérer correctement leur capital humain en offrant des salaires compétitifs, des environnements de travail sûrs et d’autres opportunités de croissance professionnelle amélioreront probablement le moral des employés tout en réduisant leur taux de roulement et les coûts administratifs associés induits dans l’embauche et la formation d’employés.
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Résilience du modèle économique
La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques.None -
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.-
Gestion de la chaîne d’approvisionnement et approvisionnement en aliments
Les restaurants s’approvisionnent en ingrédients et en produits auprès d’un large éventail de fournisseurs. La gestion de la chaîne d’approvisionnement est cruciale pour que les restaurants s’assurent de la sécurité alimentaire, protègent leur réputation et améliorent leurs revenus. L’approvisionnement en ingrédients de qualité, pour maintenir un niveau constant de qualité sur l’ensemble des différents sites, peut être compliqué d’un point de vue opérationnel. Ce problème est renforcé par la nature internationale de l’industrie. La demande des industries d’aliments et de boissons, y compris les restaurants, conduit et façonne la production agricole, indiquant que les actions des acteurs de l’industrie ont des impacts plus importants sur la société. Ainsi, un approvisionnement durable et éthique par les acteurs de l’industrie est nécessaire pour garantir un approvisionnement futur continu et minimiser les répercussions sur le cycle de vie des activités de l’entreprise. L’approvisionnement auprès de fournisseurs se conformant à des normes de qualité élevée, employant des méthodes d’élevage durables d’un point de vue environnemental et respectant le droit du travail, améliorera le positionnement des entreprises pour protéger la valeur actionnariale à long terme. En augmentant la part d’approvisionnement des aliments fournie conformément aux normes environnementales et sociales, ainsi qu’aux normes et aux meilleures pratiques en matière de bien-être animal en matière de bien-être animal, les exploitants de restaurants pourront maintenir la qualité des aliments, gérer les problèmes de sécurité alimentaire, améliorer leur réputation et étendre leur part de marché.
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.None -
Impacts physiques du changement climatique
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).None
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Catégorie des problématiques générales
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Services de distribution d’eau
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Restaurants
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Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie
Les entreprises de l’industrie des services de distribution d’eau nécessitent des intrants énergétiques conséquents pour le retrait, le transport, le traitement et la distribution ou le déversement de l’eau potable et d’eaux usées. Les coûts opérationnels du service sont directement liés à l’utilisation énergétique, qui est généralement le coût opérationnel le plus élevé de l’entreprise après l’approvisionnement en eau, en produits chimiques et en main-d’œuvre. L’électricité du réseau approvisionnée est l’intrant énergétique le plus commun. Dans des lieux plus isolés, la production sur site est utilisée pour alimenter les équipements. Une utilisation inefficace de l’électricité du réseau approvisionnée crée des effets externes sur l’environnement, tels que des émissions de gaz à effet de serre de Champ d’application 2. Les réglementations qui répondent aux préoccupations environnementales sont susceptibles d’affecter le futur bouquet énergétique du réseau, entraînant des augmentations de prix. En outre, le changement climatique devrait également affecter la fiabilité du réseau, et la disponibilité des ressources en eau. En conséquence, l’intensité énergétique des services d’eau est susceptible d’augmenter dans le futur alors que les sources d’eau deviennent de plus en plus difficiles d’accès. Un traitement alternatif de l’eau, tel que le recyclage ou le dessalement, peut également nécessiter plus d’énergie. Avec les décisions prises à propos de l’utilisation de carburants de substitution, de l’énergie renouvelable et de la production d’électricité sur site, l’efficacité énergétique peut jouer un rôle important dans l’influence sur les coûts comme sur la fiabilité des approvisionnements en énergie.
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Gestion de l’énergie
Les activités des restaurants ont une haute intensité énergétique par rapport aux opérations d’autres établissements commerciaux. Les appareils de cuisine commerciale sont extrêmement énergivores et la température des espaces de restauration est généralement contrôlée pour les consommateurs. La production et la consommation d’énergie à base de combustibles fossiles contribuent aux répercussions environnementales significatives, y compris au changement climatique et à la pollution de l’air, qui peuvent impacter indirectement, mais fortement, les activités des restaurants. Les réglementations sur la tarification des émissions de gaz à effet de serre (GES) ou les incitations à des améliorations de l’efficacité énergétique et à l’énergie renouvelable affectent les prix de l’énergie conventionnelle et de l’énergie renouvelable. Les entreprises qui gèrent la consommation d’énergie sur les sites possédés par l’entreprise et les sites franchisés peuvent diminuer leurs coûts d’exploitation par le biais de mises à niveau de l’efficacité énergétique et de limitation de l’exposition à des réglementations en matière d’émissions de GES en utilisant des ressources d’énergie renouvelable.
Gestion de l’eau et des eaux usées
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Efficacité du réseau de distribution
Les services d’eau développent, conservent et exploitent des réseaux d’infrastructures complexes interconnectés qui incluent des conduites, canaux, réservoirs et stations de pompage coûteux. Des volumes conséquents d’eau sont perdus dans le réseau de distribution (appelés « les eaux non comptabilisées », car il s’agit d’un volume d’eau distribué qui n’est pas comptabilisé dans les factures du client). Cette eau est principalement perdue en raison de défaillances et inefficacités de l’infrastructure, telles que des fuites dans les conduites et les connexions de service. Les pertes d’eau non comptabilisée peuvent affecter négativement les performances financières, augmenter les tarifs du client et gaspiller de l’eau et autres ressources telles que l’énergie et les produits chimiques de traitement. Réciproquement, des améliorations des infrastructures et des processus opérationnels peuvent limiter les pertes non comptabilisées, affecter positivement les revenus et potentiellement réduire les coûts. Des dépenses de maintenance et opérationnelles ou des dépenses en capital gérées de manière efficace pour les systèmes de distribution, principalement la réparation, la rénovation ou le remplacement des conduites et des connexions de services, peuvent améliorer la valeur de l’entreprise et fournir des rendements accrus sur les investissements. -
Gestion de la qualité de l’effluent
Les installations de traitement de l’eau et des eaux usées produisent des effluents qui engendrent de potentiels risques environnementaux et pour la santé humaine. Les effluents incluent des résidus et solides qui sont formés à partir des produits chimiques utilisés dans le processus de traitement et des contaminants retirés des intrants d’eau brute ou d’eaux usées. Les effluents traités sont déversés depuis les installations dans les eaux de surface ou pompés dans les eaux souterraines. Les répercussions environnementales potentielles varient selon le processus de traitement et de mise au rebut. En outre, les consommateurs et régulateurs sont de plus en plus préoccupés par les substances comprenant des produits chimiques qui perturbent le système endocrinien (EDC), qui ne sont généralement pas pris en compte par les installations de traitement des eaux usées. En conséquence aux risques environnementaux associés aux effluents, les installations de traitement sont soumises à des réglementations environnementales étendues prévues pour contrôler et surveiller leurs répercussions. Alors que la surveillance du public et réglementaire de la qualité des effluents augmente en même temps que les préoccupations concernant les substances d’intérêt nouveau, les entreprises devront innover et garantir que les effluents ne sont pas nocifs pour l’environnement ou la santé humaine. Les déversements d’effluents qui dépassent les limites maximales peuvent entraîner des sanctions réglementaires conséquentes et des épisodes fréquents peuvent mettre en péril le permis d’exploitation social d’une entreprise. Les entreprises peuvent activement gérer les répercussions financières par le biais de la planification, de l’entretien et de l’exploitation de l’infrastructure et de l’équipement, ainsi que par le déploiement d’une main-d’œuvre formée de manière adéquate et expérimentée.
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Gestion de l’eau
L’eau est utilisée dans l’ensemble des activités des restaurants, de la cuisine au lavage de la vaisselle et au nettoyage. Le format, la taille et l’équipement des restaurants impactent tous l’utilisation de l’eau. Les restaurants situés dans des régions à stress hydrique peuvent être exposés à des restrictions d’utilisation de l’eau ou faire face à des coûts élevés de l’eau. Les augmentations historiques à long terme des coûts de l’eau et les prévisions d’augmentation continue due à la surconsommation et aux limites d’approvisionnement, lesquelles résultent de la croissance démographique et des déplacements de la population, de la pollution et du changement climatique, indiquent l’importance accrue de la gestion de l’eau. Les entreprises peuvent réduire leur utilisation de l’eau et les coûts d’exploitation associés en mettant en place des pratiques d’utilisation rationnelle de l’eau et en utilisant un équipement de cuisine commerciale qui permette une telle utilisation.
Gestion des déchets et des matières dangereuses
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Gestion des déchets alimentaires et d’emballages
Les restaurants produisent des déchets de deux formes principales : les aliments et les emballages. Les déchets alimentaires sont générés au cours du processus de préparation et par les aliments non consommés. Les déchets alimentaires conduisent à une perte de ressources, comme l’eau, l’énergie, la terre, le travail et le capital et produisent des émissions de GES de par leur décomposition. En outre, les livraisons d’ingrédients alimentaires aux restaurants représentent une source significative de déchets d’emballage. Les déchets d’emballage comprennent les emballages provenant des fournisseurs et les emballages jetés par les consommateurs dans les restaurants. Par ailleurs, les restaurants à service restreint utilisent de manière intensive la vaisselle jetable pour servir les consommateurs. Les réglementations municipales et fédérales en matière d’emballage continueront probablement d’évoluer pour réduire les emballages ou améliorer la recyclabilité ou la biodégradabilité des emballages. Les entreprises capables d’anticiper les réglementations verront non seulement un impact positif sur la réputation de leur marque, mais réduiront également probablement leurs coûts d’appareils. Les entreprises capables de réduire leurs déchets à travers diverses méthodes, y compris la valorisation des aliments, le réacheminement des déchets des décharges et les programmes de récupération des emballages, peuvent réduire leurs coûts de gestion des déchets et améliorer leur efficacité opérationnelle.
Accès et caractère abordable
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Accessibilité et accès à l’eau
Un accès fiable à une eau propre est généralement perçu comme un droit de l’homme fondamental. Des prix raisonnables et abordables sont une composante de ce droit. Ainsi, la structuration des tarifs de l’eau d’une manière que la communauté considère comme juste est importante pour la valeur des entreprises de services de distribution d’eau. Les entreprises qui sont en mesure de travailler avec les régulateurs afin de mettre en place des structures tarifaires qui augmentent les niveaux d’acceptation de la communauté sont susceptibles de créer une stabilité financière accrue et de réaliser potentiellement des occasions de croissance, notamment compte tenu de la nature insuffisante des infrastructures d’eau dans la plupart des régions du monde. Les services d’eau qui utilisent des mécanismes de tarification qui inhibe l’accès à l’eau, ou qui sont trop coûteux pour les populations à faibles revenus, peuvent connaître l’opposition de la communauté. Les entreprises doivent garantir des prix et un accès justes, ainsi que des tarifs qui peuvent financer de manière adéquate les infrastructures sur le long terme, fournir une eau potable sécurisée et un traitement des eaux usées adéquat, et collecter un rendement approprié sur le capital.
Qualité et sécurité des produits
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Qualité de l’eau potable
Les entreprises de l’industrie doivent s’assurer que l’eau est conforme aux réglementations, s’aligne aux attentes du client et est délivrée de manière fiable. Afin de protéger la santé humaine et de sauvegarder la valeur de l’entreprise, les entreprises doivent protéger les sources d’eau contre la contamination, qui peut réduire les processus de traitement et les coûts. Des processus de traitement complets sont conçus, développés et entretenus pour se conformer aux standards de qualité des eaux, alors que l’eau finale est surveillée régulièrement pour sa conformité et sa sécurité. Les événements naturels, tels que les incendies forestiers et les inondations, peuvent également affecter la qualité des sources d’eau. Dans l’ensemble, les entreprises investissent des ressources importantes afin de délivrer de manière constante une eau potable sécurisée aux clients. Une incapacité à fournir une eau de qualité adéquate peut entraîner des amendes réglementaires, de litiges, une augmentation des coûts opérationnels ou des dépenses en capital, des risques pour la réputation et une saisie des actifs ou du commerce.
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Sécurité alimentaire
Les méthodes de préparation des aliments et la qualité des ingrédients peuvent influer sur la sécurité alimentaire dans l’industrie des restaurants. La sécurité alimentaire des restaurants est particulièrement difficile à gérer avec une large chaîne d’approvisionnement. La nature mondiale de l’industrie et le modèle de franchise compliquent la garantie de la sécurité de leurs fournitures alimentaires pour les entreprises de restauration. L’incapacité à contrôler la qualité des produits fournis peut augmenter le risque de perturbations de l’approvisionnement et d’une publicité négative pour l’entreprise. Les problèmes de sécurité alimentaire, tels que les préoccupations de maladies d’origine alimentaire, soit dans les sites possédés par l’entreprise, soit dans les sites franchisés, peuvent atteindre au cœur la réputation d’un restaurant. L’atteinte à la réputation pour des problèmes de sécurité alimentaire a généralement un impact à long terme. Les entreprises qui adhèrent aux normes industrielles en matière de préparation des aliments et de sécurité alimentaire sont susceptibles d’être mieux positionnées pour protéger la valeur actionnariale.
Bien-être des clients
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Valeur nutritionnelle
Les préoccupations autour de l’obésité ont placé l’industrie des restaurants au cœur des débats. Les restaurants se trouvent sous une pression croissante pour améliorer la valeur nutritionnelle de leurs propositions de menu et augmenter la transparence autour du contenu de ces propositions, comme la publication du nombre de calories. La demande dans l’industrie des restaurants est de plus en plus guidée par les préférences des consommateurs pour des choix plus sains. Les entreprises capables d’offrir des options de menu plus nutritives sont susceptibles de conquérir de nouveaux marchés pour des consommateurs soucieux de leur santé et d’améliorer leur part de marché avec les consommateurs. Une partie plus importante d’options nutritives peut avoir un effet bénéfique sur la réputation d’une entreprise et sur la croissance de son chiffre d’affaires à long terme.
Pratiques de travail
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Pratiques de travail
L’industrie des restaurants nécessite beaucoup de main-d’œuvre et beaucoup d’employés sont des employés horaires, à temps partiel, ou saisonniers. L’industrie fait partie des principaux créateurs d’emploi et est une porte d’entrée pour les jeunes travailleurs et les migrants souhaitant rejoindre les collaborateurs. Les employés des restaurants dans les sites franchisés ou disposant d’une licence peuvent être employés par un tiers. En outre, depuis que de nombreuses chaînes de restaurants existent sur l’ensemble des continents, garantir des normes de travail cohérentes peut être difficile pour les employés de restaurants à la fois des sites possédés par l’entreprise et des sites franchisés. Les problèmes liés au travail dans les franchises affectent l’image de marque, car les consommateurs ne différencient pas un restaurant possédé par l’entreprise d’un restaurant franchisé. Les restaurants capables de gérer correctement leur capital humain en offrant des salaires compétitifs, des environnements de travail sûrs et d’autres opportunités de croissance professionnelle amélioreront probablement le moral des employés tout en réduisant leur taux de roulement et les coûts administratifs associés induits dans l’embauche et la formation d’employés.
Résilience du modèle économique
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Efficacité dans les utilisations finales
L’efficacité et la conservation de l’eau au niveau du client, que ce soit le produit d’un mandat gouvernemental, de la conscience environnementale ou de tendances démographiques, sont de plus en plus importantes pour la disponibilité des ressources à long terme et la performance financière du secteur de l’approvisionnement en eau de l’industrie. Le sujet de l’efficacité dans les utilisations finales répond à la manière dont les services travaillent avec les régulateurs pour limiter les déclins de revenus dans le contexte d’une augmentation du besoin en efficacité des ressources. Les mécanismes d’efficacité hydrique, y compris le découplage des taux, peuvent garantir que les revenus d’un service peuvent couvrir de manière adéquate ses coûts fixes et fournir les niveaux souhaités de rendements indépendamment du volume des ventes, tout en sensibilisant simultanément les clients pour la conservation de l’eau. Les mécanismes d’efficacité peuvent mieux aligner les incitations économiques de l’entité avec les intérêts environnementaux et sociaux, y compris l’efficacité des ressources, des taux plus bas et une augmentation des investissements en capital dans les infrastructures. Les services d’eau sont en mesure de gérer leur exposition aux répercussions des mécanismes de tarification par le biais des relations réglementaires positives, des cas de taux à long terme qui intègrent l’efficacité, et l’exécution de manière forte des stratégies d’efficacité.
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement et approvisionnement en aliments
Les restaurants s’approvisionnent en ingrédients et en produits auprès d’un large éventail de fournisseurs. La gestion de la chaîne d’approvisionnement est cruciale pour que les restaurants s’assurent de la sécurité alimentaire, protègent leur réputation et améliorent leurs revenus. L’approvisionnement en ingrédients de qualité, pour maintenir un niveau constant de qualité sur l’ensemble des différents sites, peut être compliqué d’un point de vue opérationnel. Ce problème est renforcé par la nature internationale de l’industrie. La demande des industries d’aliments et de boissons, y compris les restaurants, conduit et façonne la production agricole, indiquant que les actions des acteurs de l’industrie ont des impacts plus importants sur la société. Ainsi, un approvisionnement durable et éthique par les acteurs de l’industrie est nécessaire pour garantir un approvisionnement futur continu et minimiser les répercussions sur le cycle de vie des activités de l’entreprise. L’approvisionnement auprès de fournisseurs se conformant à des normes de qualité élevée, employant des méthodes d’élevage durables d’un point de vue environnemental et respectant le droit du travail, améliorera le positionnement des entreprises pour protéger la valeur actionnariale à long terme. En augmentant la part d’approvisionnement des aliments fournie conformément aux normes environnementales et sociales, ainsi qu’aux normes et aux meilleures pratiques en matière de bien-être animal en matière de bien-être animal, les exploitants de restaurants pourront maintenir la qualité des aliments, gérer les problèmes de sécurité alimentaire, améliorer leur réputation et étendre leur part de marché.
Approvisionnement en matériaux et efficacité
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Résistance de l’approvisionnement en eau
Les systèmes d’approvisionnement en eau obtiennent de l’eau à partir de sources souterraines et des eaux de surface. Les sources en eau peuvent soit être accessibles directement ou achetées chez un tiers, la plupart du temps une entité gouvernementale. La pénurie en eau, la contamination des sources d’eau, les défaillances d’infrastructures, la concurrence des utilisateurs et une surconsommation par les clients sont tous des facteurs qui peuvent mettre en péril l’accès suffisant à des sources d’eau. Ces problèmes, combinés avec un risque accru de conditions extrêmes et de sécheresses fréquentes en raison du changement climatique, peuvent entraîner des approvisionnements inadéquats ou des limitations mandatées en eau. Les répercussions financières associées peuvent se manifester de différentes façons, selon la structure tarifaire, mais sont plus susceptibles d’affecter la valeur de l’entreprise avec une diminution des revenus. Les défis liés à l’approvisionnement en eau peuvent également entraîner une augmentation du prix d’achat de l’eau, qui pourrait contribuer à des coûts opérationnels plus élevés. Des défaillances d’infrastructures critiques telles que les aqueducs et les canaux, qui pourraient provenir d’événements comme les tremblements de terre, sont capables de présenter des risques catastrophiques pour les clients des systèmes d’approvisionnement en eau et pourraient infliger des conséquences financières sans précédent. Les entreprises sont en mesure de limiter les risques liés à l’approvisionnement en eau (et les risques financiers qui en découlent) par la diversification des sources d’eau, les niveaux de retrait durables, les améliorations technologiques et des infrastructures, la planification des éventualités, les relations positives avec les régulateurs et autres utilisateurs majeurs, ainsi que les structures tarifaires.
Impacts physiques du changement climatique
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Résistance du réseau et répercussions du changement climatique
Le changement climatique est susceptible de créer des incertitudes commerciales pour les systèmes d’approvisionnement en eau et les systèmes d’eaux usées en raison des répercussions potentielles sur les infrastructures et les opérations. Le changement climatique peut entraîner une augmentation du stress hydrique, des événements météorologiques graves plus fréquents, une réduction de la qualité de l’eau et une augmentation des niveaux de la mer qui pourraient nuire aux actifs du service et à sa capacité d’exploitation. L’approvisionnement en eau et la mise au rebut des eaux usées sont des services de base pour lesquels il est important de maintenir une continuité. L’augmentation de la fréquence et de la gravité des tempêtes met en péril les installations de traitement des eaux et eaux usées, et peut affecter la continuité des services. Des précipitations intenses peuvent entraîner des volumes d’égout qui dépassent la capacité des installations de traitement, contribuant à la libération d’effluents non traités. La minimisation actuelle et future des risques de perturbations du service et la qualité inadéquate du service peuvent nécessiter des dépenses en capital supplémentaires et des dépenses opérationnelles. Alors que le changement climatique entraîne une probabilité plus élevée d’événements météorologiques extrêmes, les entreprises qui répondent à ces risques par le biais de redondances et d’une planification stratégique seront plus en mesure de servir les clients et de protéger la valeur de l’actionnaire.