Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Gestion forestière L’industrie de la gestion forestière s’articule autour d’entreprises qui possèdent et/ou assurent la gestion de terrains forestiers et de zones boisées, ou gèrent des pépinières forestières non commerciales et des plantations de caoutchouc. Le secteur exerce ses activités sur des terrains pouvant être détenus par des entreprises ou loués auprès de propriétaires fonciers publics ou privés. En règle générale, les entreprises vendent du bois à des fabricants de produits en bois, de produits de pâtes et papiers, des producteurs d’énergie et de nombreux autres utilisateurs. Les plus grandes entreprises du secteur sont domiciliées et opèrent principalement aux États-Unis et au Canada. Certaines conduisent également des activités au Brésil et en Nouvelle-Zélande. Alors que certaines entreprises intégrées du secteur peuvent également gérer des scieries, des usines de fabrication de produits en bois ou de pâtes et papiers, ces activités soulèvent des questions de durabilité, traitées dans les normes industrielles SASB relatives aux Matériaux de construction et ameublement (CG-BP) et Produits de pâtes et papiers (RR-PP).
    Supprimer
  • Boissons non alcoolisées L’industrie des boissons non alcoolisées produit une vaste gamme de boissons, y compris diverses boissons gazeuses, des sirop concentrés, des jus, des boissons énergisantes et dédiées à la pratique sportive, des thés, du café et de l’eau. L’industrie est dominée par de grandes entreprises internationales. Les entreprises participent à la fabrication, à la commercialisation, à l’embouteillage et à la distribution de sirop, et les grandes entreprises sont généralement plus intégrées verticalement aux activités qui mettent en bouteille, vendent et distribuent les produits finis.
    Supprimer

Questions pertinentes pour les deux Industries (11 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Gestion forestière Remove
    Access Standard
    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      None
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      None
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      None
    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Services écosystémiques et impacts En complément de leur production de bois, les forêts fournissent des services écosystémiques précieux, dont la séquestration du carbone, des habitats sauvages, la purification et le stockage des eaux, la formation des sols ainsi que des possibilités de loisirs. En parallèle, les réglementations liées à la qualité de l’eau et à la protection des espèces en voie de disparition, tout comme les droits d’exploitation contingents à la préservation environnementale, peuvent créer des risques opérationnels pour les entreprises. De fait, la protection et le renforcement des services écosystémiques au sein des terrains forestiers sous gestion pourraient réduire les risques liés à la réputation, à la demande et à l’exploitation induits par les potentielles répercussions environnementales défavorables de la foresterie. Les entreprises ont de plus en plus recours à des certifications par un tiers pour exposer leurs pratiques durables de gestion forestière, permettant de renforcer la valeur et la productivité de leurs actifs forestiers, tout en répondant à la demande croissante de produits en bois durables.
    • Droits de l’homme et relations communautaires La catégorie aborde la gestion de la relation entre les entreprises et les communautés dans lesquelles elles exercent leur activité, y compris, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts directs et indirects sur les droits de l’homme fondamentaux ainsi que le traitement des peuples indigènes. En particulier, cette gestion peut traiter des impacts socio-économiques sur la communauté, de l’engagement de la communauté, de la justice environnementale, de la formation des mains-d’œuvre locales, de l’impact sur les entreprises locales, du permis d’exploitation, ainsi que des évaluations de l’impact environnemental/social. La catégorie ne comprend pas les impacts environnementaux tels que la pollution atmosphérique ou les déchets qui, même s’ils peuvent avoir un impact sur la santé et la sécurité des membres de la communauté locale, sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Droits des peuples autochtones Les forêts contribuent directement aux moyens de subsistance de millions d’individus dans le monde. La mise en place de relations bénéfiques avec les communautés locales et les populations autochtones, ainsi que leur implication, peut avoir un réel impact sur les entreprises de gestion forestière. Les communautés peuvent être touchées par les opérations de gestion des forêts, notamment par la dégradation ou la concurrence liées aux ressources naturelles telles que les terres et l’eau. Un conflit impliquant les communautés, y compris les populations autochtones, peut peser sur la capacité d’exploitation de l’entreprise dans certaines régions, conduire à des mesures réglementaires et nuire à l’image de marque. À l’inverse, les entreprises ont la possibilité de profiter de façon positive aux parties prenantes de la communauté, à travers l’accès à l’emploi, le partage des bénéfices et a croissance du commerce local. Les entreprises peuvent adopter plusieurs stratégies d’implication communautaire afin de gérer les risques et les occasions associés aux droits et intérêts des communautés, ainsi que de maintenir de bonnes relations avec les acteurs locaux et répondre aux besoins communautaires.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      None
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      None
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      None
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      None
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      None
    • Impacts physiques du changement climatique La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
      • Adaptation au changement climatique Le changement climatique peut créer une incertitude quant à l’avenir du secteur pour certaines entreprises de gestion forestière. Les variations de précipitations et de températures, les phénomènes météorologiques extrêmes et les incendies forestiers de plus en plus fréquents, ainsi que la prolifération croissante des maladies et insectes ravageurs de l’arbre pourraient nuire aux exploitations forestières et se traduire par une augmentation de mortalité et une diminution de la productivité des arbres. Au contraire, le changement climatique pourrait également simplifier la productivité des exploitations grâce à l’augmentation du taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère, à une saison de croissance plus longue, à des températures plus tempérées dans les hautes latitudes, à des précipitations plus importantes, ainsi qu’à une expansion des zones géographiques pour certaines espèces ; profitant à la productivité forestière. Au regard d’une telle variabilité, les entreprises pourraient tirer profit de l’identification et de la compréhension des potentielles répercussions sur le long terme du changement climatique sur les terrains forestiers, et adapter leurs stratégies de gestion des forêts en vue d’optimiser le rendement de leurs actifs forestiers.
  • Boissons non alcoolisées Remove
    Access Standard
    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Gestion du carburant de la flotte Les entreprises de boissons non alcoolisées produisent directement des émissions de gaz à effet de serre (GES) de Champ d’application 1 provenant des grandes flottes automobiles pour la distribution et des installations de fabrication. Plus précisément, la réfrigération utilisée dans les installations de fabrication et dans les véhicules de transport contribue à une grande partie des émissions globales de l’industrie. Les gains d’efficacité dans l’utilisation des combustibles peuvent réduire les coûts, atténuer l’exposition à la volatilité des prix des combustibles fossiles et limiter les émissions provenant de la production, du stockage et du transport des produits. Les dépenses en immobilisations à court terme des parcs de véhicules écoénergétiques et des technologies plus écoénergétiques peuvent être compensées par des économies opérationnelles à long terme et l’atténuation des risques réglementaires.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie Les entreprises de l’industrie des boissons non alcoolisées utilisent beaucoup d’énergie pour exploiter des installations de fabrication, des centres de distribution et des entrepôts. Les entreprises de l’industrie achètent généralement de l’électricité sur le réseau. La production d’énergie contribue aux impacts environnementaux, y compris le changement climatique et la pollution, qui peuvent avoir des répercussions indirectes, mais importantes, sur les activités des entreprises de boissons non alcoolisées. Les entreprises peuvent réduire la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre (GES) associées à leurs activités en mettant en œuvre des technologies et des processus plus efficaces. Les décisions relatives à l’utilisation de carburants alternatifs, d’énergies renouvelables et d’électricité produite sur site par rapport à son achat sur le réseau, peuvent jouer un rôle important en influençant à la fois les coûts et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau La gestion de l’eau est liée à l’usage direct de l’eau par une entreprise, l’exposition de ses activités dans des régions soumises à un stress hydrique et sa gestion des eaux usées. Les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées utilisent une grande qualité d’eau pour leurs activités, car l’eau est un composant clé des produits finaux. Étant donné que les entreprises de boissons non alcoolisées dépendent largement de gros volumes d’eau potable et que le stress hydrique augmente dans plusieurs régions du monde, les entreprises peuvent être exposées à des ruptures d’approvisionnement qui pourraient avoir des répercussions importantes sur les activités et sur les prix. Les entreprises qui opèrent dans les régions exposées au stress hydrique qui échoue à répondre aux préoccupations locales concernant l’eau peuvent faire face au risque de perdre leur permis d’exploitation. De plus, un traitement adéquat des eaux usées est un élément important de la gestion des problèmes d’eau dans les opérations, car les usines d’embouteillage rejettent de grandes quantités d’effluents. L’amélioration de la gestion de l’eau par le biais d’une efficacité améliorée, du recyclage et de l’élimination appropriée notamment dans les régions avec un stress hydrique de référence, peut entraîner une baisse des coûts opérationnels, une réduction des risques et une augmentation de la valeur des actifs intangibles.
    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      None
    • Droits de l’homme et relations communautaires La catégorie aborde la gestion de la relation entre les entreprises et les communautés dans lesquelles elles exercent leur activité, y compris, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts directs et indirects sur les droits de l’homme fondamentaux ainsi que le traitement des peuples indigènes. En particulier, cette gestion peut traiter des impacts socio-économiques sur la communauté, de l’engagement de la communauté, de la justice environnementale, de la formation des mains-d’œuvre locales, de l’impact sur les entreprises locales, du permis d’exploitation, ainsi que des évaluations de l’impact environnemental/social. La catégorie ne comprend pas les impacts environnementaux tels que la pollution atmosphérique ou les déchets qui, même s’ils peuvent avoir un impact sur la santé et la sécurité des membres de la communauté locale, sont abordés dans des catégories distinctes.
      None
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Santé et nutrition Les principales préoccupations en matière de nutrition et de santé, comme l’obésité, la sécurité des ingrédients, le contenu nutritionnel et les effets aigus sur la santé découlant de la consommation de boissons non alcoolisées, façonnent le paysage concurrentiel de l’industrie. Des études indiquent que la consommation de boissons riches en calories et sucrées peut avoir des conséquences néfastes sur la santé, notamment des niveaux plus élevés de cholestérol, un risque accru de maladies cardiaques et l’obésité. De telles constatations peuvent modifier les perceptions des consommateurs à l’égard des produits de l’industrie, ce qui entraîne des changements à long terme dans les décisions d’achat. De plus, les efforts visant à réduire l’obésité, sous la forme de nouveaux règlements ou de nouvelles taxes sur les boissons sucrées, peuvent influencer la rentabilité de l’industrie et la demande future. La possibilité d’effets nocifs sur la santé d’autres ingrédients couramment utilisés, comme les édulcorants artificiels, peut poser d’autres problèmes, et les entreprises peuvent faire face à des litiges ou à des règlements connexes. Des possibilités existent dans de nouveaux segments du marché des boissons pour répondre à la demande des consommateurs pour une meilleure valeur nutritionnelle. Les entreprises qui s’adaptent aux préférences changeantes des consommateurs et à un environnement réglementaire en évolution en offrant des solutions de rechange plus saines peuvent obtenir une part de marché supplémentaire et limiter leur exposition à la réglementation et aux litiges.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Étiquetage des produits et commercialisation La communication avec les consommateurs par le biais du marketing et de l’étiquetage des produits est un aspect important des entreprises de boissons non alcoolisées. La précision et la richesse des informations présentées sur l’étiquetage des produits revêtent de l’importance pour les consommateurs comme pour les organismes de réglementation. Les réglementations d’étiquetage requièrent des informations de produit précises et détaillées pour assurer la sécurité alimentaire et informer les consommateurs sur la valeur nutritionnelle. En outre, pour éclairer leurs décisions d’achat, les clients sont de plus en plus intéressés par les informations supplémentaires sur les ingrédients, comme la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM), ou d’autres effets sur la santé et la nutrition. Les pratiques de marché des entreprises de boissons non alcoolisées constituent un autre sujet de préoccupation publique, en particulier celles ciblant les enfants ou les allégations concernant la valeur nutritive, ainsi que la possibilité qu’elles présentent des informations fausses ou trompeuses. Les questions de marketing et d’étiquetage des produits peuvent influencer l’environnement concurrentiel de l’industrie, car les entreprises peuvent faire l’objet de litiges ou de critiques pour des déclarations trompeuses ou si elles ne s’adaptent pas aux demandes des consommateurs pour plus de transparence et d’étiquetage. Ces facteurs peuvent avoir une incidence sur la valeur de la marque et la croissance du chiffre d’affaires des entreprises. Par ailleurs, les réglementations sur le marketing et l’étiquetage des produits présentent un risque de pénalités ou de litiges.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Gestion du cycle de vie de l’emballage Les matériaux d’emballage représentent un coût significatif pour les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées. Bien que la plupart des entreprises de boissons non alcoolisées ne fabriquent pas leurs propres bouteilles et emballages, elles font face à des risques d’atteinte à la réputation associés aux effets externes négatifs que les contenants de leurs produits peuvent créer sur leur cycle de vie. Les entreprises sont également directement affectées par la loi concernant la gestion en fin de vie des contenants de boissons. Les entreprises de boissons non alcoolisées peuvent travailler avec des fabricants d’emballage sur la conception des emballages afin de générer des économies sur les coûts, d’améliorer la réputation de la marque et de réduire les répercussions environnementales. Les efforts pour réduire la quantité de matériaux utilisés dans les emballages peuvent aider à réduire les coûts de transport, l’exposition à l’approvisionnement et la volatilité des prix des principaux matériaux, ainsi que la quantité de matériaux vierges extraits. Dans la phase de fin de vie, des programmes et partenariats de reprise et de recyclage peuvent anticiper la réglementation, aider à faire des économies sur les coûts et à réduire les répercussions environnementales. Les entreprises qui parviennent à gérer cette question peuvent améliorer leur rentabilité et réduire le coût du capital.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement des composants Les entreprises dans l’industrie des boissons non alcoolisées gèrent des chaînes d’approvisionnement mondiales pour acquérir une large gamme d’ingrédients. La manière dont les entreprises présentent, suivent et s’engagent avec les fournisseurs sur les sujets sociaux et environnementaux affecte la capacité des entreprises à sécuriser l’approvisionnement et à gérer les fluctuations de prix. Une interruption de la chaîne d’approvisionnement peut entraîner une perte de revenus et une répercussion négative sur la part de marché si les entreprises ne sont pas capables de trouver des alternatives aux fournisseurs importants ou si elles doivent acquérir des ingrédients à un prix plus élevé. Les problèmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement associés aux pratiques de travail, à la responsabilité environnementale, à l’éthique ou à la corruption peuvent également entraîner des amendes réglementaires et/ou une augmentation des coûts opérationnels à long terme pour les entreprises. La nature grand public de l’industrie augmente les risques d’atteinte à la réputation associés aux actions des fournisseurs. La gestion de l’exposition des entreprises à des risques environnementaux et sociaux peut entraîner une amélioration de la résilience de la chaîne d’approvisionnement et une réputation améliorée, ce qui procure de la valeur aux actionnaires. Les entreprises peuvent s’engager avec les fournisseurs importants pour gérer les risques environnementaux et sociaux afin d’améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement, de limiter les risques d’atteinte à la réputation et d’augmenter potentiellement la demande des consommateurs ou de saisir de nouvelles occasions sur le marché.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en composants Les entreprises de l’industrie des boissons non alcoolisées acquièrent une large gamme d’ingrédients chez des fournisseurs du monde entier. La capacité de l’industrie à s’approvisionner en ingrédients et à un certain niveau de prix fluctue selon la disponibilité d’approvisionnement, qui peut être affectée par le changement climatique, la rareté de l’eau, la gestion des terres et d’autres risques de pénurie de ressources. Cette exposition peut entraîner la volatilité des prix, ce qui peut affecter la rentabilité de l’entreprise. Le changement climatique, la rareté de l’eau et les restrictions d’utilisation des terres présentent des risques sur la capacité à long terme d’une entreprise à s’approvisionner en matériaux et ingrédients importants. Les entreprises qui s’approvisionnent en ingrédients moins productifs et moins exigeants en ressources, ou qui collaborent étroitement avec les fournisseurs pour augmenter leur adaptabilité au changement climatique et pour gérer l’exposition à d’autres risques de pénurie des ressources seront mieux protégées contre la volatilité des prix et/ou les ruptures d’approvisionnement.
    • Impacts physiques du changement climatique La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
      None

Sélectionner jusqu’à 4 industries

actuelle Industries:
Gestion forestière
|
Boissons non alcoolisées
Secteur des aliments et boissons
Secteur des ressources renouvelables et des énergies alternatives
Secteur des biens de consommation
Secteur de l’exploitation minière et du traitement des minerais
Secteur des données financières
Secteur de la santé
Secteur de l’infrastructure
Secteur de la transformation des ressources
Secteur des services
Secteur de la technologie et des communications
Secteur du transport