Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Gestion forestière L’industrie de la gestion forestière s’articule autour d’entreprises qui possèdent et/ou assurent la gestion de terrains forestiers et de zones boisées, ou gèrent des pépinières forestières non commerciales et des plantations de caoutchouc. Le secteur exerce ses activités sur des terrains pouvant être détenus par des entreprises ou loués auprès de propriétaires fonciers publics ou privés. En règle générale, les entreprises vendent du bois à des fabricants de produits en bois, de produits de pâtes et papiers, des producteurs d’énergie et de nombreux autres utilisateurs. Les plus grandes entreprises du secteur sont domiciliées et opèrent principalement aux États-Unis et au Canada. Certaines conduisent également des activités au Brésil et en Nouvelle-Zélande. Alors que certaines entreprises intégrées du secteur peuvent également gérer des scieries, des usines de fabrication de produits en bois ou de pâtes et papiers, ces activités soulèvent des questions de durabilité, traitées dans les normes industrielles SASB relatives aux Matériaux de construction et ameublement (CG-BP) et Produits de pâtes et papiers (RR-PP).
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  • Constructeurs d’habitations L’industrie des constructeurs d’habitations est composée d’entreprises chargées du développement de nouvelles habitations et communautés résidentielles. Les travaux de développement incluent généralement l’acquisition de terrain, la préparation des sites, la construction et la vente d’habitations. Une majeure partie de l’activité de l’industrie est dédiée au développement et à la vente d’habitations unifamiliales, habituellement intégrées à des communautés résidentielles conçues par des entreprises. L’industrie se concentre à moindre mesure sur les maisons de ville, les habitations en copropriété, les habitations multifamiliales et le développement polyvalent. De nombreuses entreprises de l’industrie proposent des services financiers aux acheteurs particuliers. L’industrie est fragmentée du fait du grand nombre de développeurs de toutes les envergures, dont la structure et la zone de concentration géographique varient. Les entreprises cotées en Bourse sont en règle générale beaucoup plus grandes et mieux intégrées que les nombreux constructeurs d’habitations privés.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (6 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
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    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Services écosystémiques et impacts En complément de leur production de bois, les forêts fournissent des services écosystémiques précieux, dont la séquestration du carbone, des habitats sauvages, la purification et le stockage des eaux, la formation des sols ainsi que des possibilités de loisirs. En parallèle, les réglementations liées à la qualité de l’eau et à la protection des espèces en voie de disparition, tout comme les droits d’exploitation contingents à la préservation environnementale, peuvent créer des risques opérationnels pour les entreprises. De fait, la protection et le renforcement des services écosystémiques au sein des terrains forestiers sous gestion pourraient réduire les risques liés à la réputation, à la demande et à l’exploitation induits par les potentielles répercussions environnementales défavorables de la foresterie. Les entreprises ont de plus en plus recours à des certifications par un tiers pour exposer leurs pratiques durables de gestion forestière, permettant de renforcer la valeur et la productivité de leurs actifs forestiers, tout en répondant à la demande croissante de produits en bois durables.
    • Droits de l’homme et relations communautaires La catégorie aborde la gestion de la relation entre les entreprises et les communautés dans lesquelles elles exercent leur activité, y compris, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts directs et indirects sur les droits de l’homme fondamentaux ainsi que le traitement des peuples indigènes. En particulier, cette gestion peut traiter des impacts socio-économiques sur la communauté, de l’engagement de la communauté, de la justice environnementale, de la formation des mains-d’œuvre locales, de l’impact sur les entreprises locales, du permis d’exploitation, ainsi que des évaluations de l’impact environnemental/social. La catégorie ne comprend pas les impacts environnementaux tels que la pollution atmosphérique ou les déchets qui, même s’ils peuvent avoir un impact sur la santé et la sécurité des membres de la communauté locale, sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Droits des peuples autochtones Les forêts contribuent directement aux moyens de subsistance de millions d’individus dans le monde. La mise en place de relations bénéfiques avec les communautés locales et les populations autochtones, ainsi que leur implication, peut avoir un réel impact sur les entreprises de gestion forestière. Les communautés peuvent être touchées par les opérations de gestion des forêts, notamment par la dégradation ou la concurrence liées aux ressources naturelles telles que les terres et l’eau. Un conflit impliquant les communautés, y compris les populations autochtones, peut peser sur la capacité d’exploitation de l’entreprise dans certaines régions, conduire à des mesures réglementaires et nuire à l’image de marque. À l’inverse, les entreprises ont la possibilité de profiter de façon positive aux parties prenantes de la communauté, à travers l’accès à l’emploi, le partage des bénéfices et a croissance du commerce local. Les entreprises peuvent adopter plusieurs stratégies d’implication communautaire afin de gérer les risques et les occasions associés aux droits et intérêts des communautés, ainsi que de maintenir de bonnes relations avec les acteurs locaux et répondre aux besoins communautaires.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Résilience du modèle économique La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques.
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    • Impacts physiques du changement climatique La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
      • Adaptation au changement climatique Le changement climatique peut créer une incertitude quant à l’avenir du secteur pour certaines entreprises de gestion forestière. Les variations de précipitations et de températures, les phénomènes météorologiques extrêmes et les incendies forestiers de plus en plus fréquents, ainsi que la prolifération croissante des maladies et insectes ravageurs de l’arbre pourraient nuire aux exploitations forestières et se traduire par une augmentation de mortalité et une diminution de la productivité des arbres. Au contraire, le changement climatique pourrait également simplifier la productivité des exploitations grâce à l’augmentation du taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère, à une saison de croissance plus longue, à des températures plus tempérées dans les hautes latitudes, à des précipitations plus importantes, ainsi qu’à une expansion des zones géographiques pour certaines espèces ; profitant à la productivité forestière. Au regard d’une telle variabilité, les entreprises pourraient tirer profit de l’identification et de la compréhension des potentielles répercussions sur le long terme du changement climatique sur les terrains forestiers, et adapter leurs stratégies de gestion des forêts en vue d’optimiser le rendement de leurs actifs forestiers.
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    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Utilisation des sols et répercussions écologiques Les constructeurs d’habitations sont confrontés à des défis directement liés aux répercussions écologiques des activités de développement. Les développements sont souvent réalisés sur des terres n’ayant pas encore été exploitées, et les entreprises doivent gérer la perturbation de l’écosystème engendrée par les activités de construction ainsi que les réglementations et les processus d’octroi de permis accompagnant les développements de terres « vierges ». Indépendamment des décisions relatives au site prises par les entreprises, les activités de développement de l’industrie comportent généralement des risques concernant la contamination des terres ou des eaux, la mauvaise gestion des déchets et la pression excessive sur les ressources en eaux au cours des phases de construction et d’utilisation. La violation des réglementations peut se traduire par des amendes élevées et des retards qui réduisent les rendements financiers tout en portant possiblement atteinte à la réputation des entreprises. Les entreprises ayant violé les réglementations à plusieurs reprises, ou qui présentent des antécédents d’activités à trop fortes répercussions écologiques peuvent se heurter à des difficultés pour obtenir l’approbation des communautés locales pour réaliser de nouveaux développements, ce qui réduit leurs bénéfices futurs et leur part de marché. Les entreprises qui concentrent leurs activités dans des régions de stress hydrique sont susceptibles de devoir affronter des défis supplémentaires pour l’obtention de permis. Elles sont également soumises aux risques liés à la dépréciation des terres et des habitations due aux inquiétudes par rapport à la pénurie d’eau. Les procédures de contrôle de qualité de l’environnement, les stratégies de « croissance intelligente » (y compris celles orientées sur les sites de rénovation) et les stratégies de conservation peuvent permettre d’assurer la conformité avec les lois environnementales, et d’atténuer ainsi les risques financiers tout en améliorant les futures opportunités de croissance.
    • Droits de l’homme et relations communautaires La catégorie aborde la gestion de la relation entre les entreprises et les communautés dans lesquelles elles exercent leur activité, y compris, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts directs et indirects sur les droits de l’homme fondamentaux ainsi que le traitement des peuples indigènes. En particulier, cette gestion peut traiter des impacts socio-économiques sur la communauté, de l’engagement de la communauté, de la justice environnementale, de la formation des mains-d’œuvre locales, de l’impact sur les entreprises locales, du permis d’exploitation, ainsi que des évaluations de l’impact environnemental/social. La catégorie ne comprend pas les impacts environnementaux tels que la pollution atmosphérique ou les déchets qui, même s’ils peuvent avoir un impact sur la santé et la sécurité des membres de la communauté locale, sont abordés dans des catégories distinctes.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des collaborateurs La construction d’habitations requiert une quantité importante de travail manuel de la part des employés et des sous-traitants de l’entreprise. Les activités de chantier et de construction d’habitations sont exigeantes physiquement, et exposent les travailleurs aux risques de chute et aux équipements lourds, ce qui se traduit par un taux de mortalité et de blessure relativement élevé. Les blessures et les décès ont des conséquences internes et externes qui peuvent toucher de façon significative les résultats des opérations ainsi que le permis social d’exploitation des entreprises. Parmi les répercussions figurent les amendes, les sanctions, les coûts d’indemnisation des travailleurs touchés, les coûts de mise en conformité réglementaire dus à une surveillance plus stricte, les primes d’assurance plus élevées et les retards et temps d’arrêt des projets. Pour éviter ces frais, les entreprises peuvent encourager une culture de la sécurité en mettant en place des plans de gestion de la sécurité, des formations pour les employés et les sous-traitants et des audits réguliers.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Conception éco-efficace Les bâtiments résidentiels consomment d’importantes quantités d’énergie et d’eau lorsqu’ils sont occupés. Les entreprises de l’industrie de la construction d’habitations peuvent améliorer l’éco-efficacité des habitations tout au long de leur cycle de vie par le biais de pratiques de conception durables et du choix des matériaux. Les produits et techniques permettant des économies d’énergie, comme le fait de concevoir des habitations avec des systèmes de chauffage et de refroidissement durables peuvent aider à réduire la dépendance énergétique, qu’elle soit liée au réseau électrique ou à la combustion d’énergies fossiles sur site. Ces mesures, dont l’objectif est d’améliorer l’éco-efficacité des habitations, peuvent réduire les coûts liés à la propriété à travers des factures d’électricité et de chauffage plus basses. Les systèmes d’économie d’eau, tels que les robinets à débit réduit, atténuent la pression sur les communautés locales et permettent probablement de réduire les coûts. La conscience de l’acquéreur à propos de l’importance du rendement énergétique et de la consommation d’eau crée une opportunité pour les entreprises d’augmenter la demande au sein de leur marché cible, ce qui permettrait d’augmenter leurs revenus et/ou leurs marges. L’application efficace et rentable de principes de conception durables peut constituer un avantage concurrentiel, notamment lorsque les entreprises parviennent à sensibiliser systématiquement les clients aux avantages à long terme de ce type d’habitations.
      • Répercussions des nouveaux développements sur les communautés La planification communautaire et urbaine offre aux constructeurs d’habitations la possibilité de concevoir de manière réfléchie des constructions résidentielles offrant des avantages à leurs clients ainsi qu’à la communauté voisine existante. Le développement de nouvelles habitations peut se traduire par une croissance économique et des opportunités pour les collaborateurs, tout en limitant les augmentations du coût de la vie et en garantissant des quartiers sécurisés et dynamiques aux communautés. Les entreprises peuvent chercher à améliorer l’impact environnemental et social des communautés par l’accès aux services de transport public et/ou en n’accablant pas les transports existants ou les infrastructures publiques, par l’accès à des espaces verts, par le développement d’espaces polyvalents et par la création de communautés plus piétonnes. Ces stratégies peuvent aider à augmenter la demande globale et les prix des habitations, et permettent également de réduire les risques liés à l’obtention de permis et à l’opposition communautaire ou des parties prenantes concernant les projets en cours ou à venir. Lorsque les entreprises ont recours à des stratégies de développement qui intègrent de façon inadéquate leurs nouvelles communautés au sein des communautés voisines existantes, elles risquent des prix de vente trop bas, des coûts excessifs liés aux besoins et aux évaluations en matière d’infrastructure et s’exposent à des retards et des refus de permis et/ou de soutien de la communauté pour les futurs développements.
    • Résilience du modèle économique La catégorie aborde la capacité d’une industrie à gérer les opportunités et les risques associés à l’intégration des transitions sociales, environnementales et politiques dans la planification de modèles économiques sur le long terme. Cela comprend la réactivité à la transition vers une économie sobre en carbone et limitée par le climat, ainsi que la croissance et la création de nouveaux marchés auprès des populations socio-économiques non et mal desservies. La catégorie met en valeur les industries dans lesquelles les réalités environnementales et sociales en pleine évolution peuvent mettre les entreprises au défi de s’adapter au niveau fondamental ou peuvent mettre en péril leurs modèles économiques.
      • Adaptation au changement climatique Les répercussions du changement climatique, y compris les phénomènes météorologiques extrêmes et les modifications du climat, peuvent avoir une influence sur les marchés sélectionnés par les entreprises pour développer des habitations et des communautés résidentielles. Les entreprises qui possèdent des modèles commerciaux qui intègrent les évaluations actuelles des risques liés au changement climatique, et qui s’adaptent à ces risques, voient leurs chances d’augmenter leur valeur à long terme renforcées, en partie à travers la réduction des risques. Plus précisément, les stratégies orientées sur les activités de développement d’habitation dans des régions côtières et de plaines inondables exposées à des phénomènes météorologiques extrêmes, des inondations notamment, exigent que leurs modèles commerciaux soient adaptés au changement climatique. Cette adaptation est d’autant plus importante concernant les défis à long terme, comme les tarifs d’assurance contre les inondations, la stabilité des programmes d’assurance contre les inondations subventionnés par le gouvernement, les octrois de permis et les dispositions relatives au financement. Les risques climatiques croissants ainsi que l’augmentation des coûts de propriété au sein des régions instables peuvent conduire à une baisse de la demande sur le long terme, à la dépréciation des terres, et à des inquiétudes vis-à-vis de la sous-évaluation des coûts liés à la propriété. De plus, les entreprises opérant dans des régions soumises au stress hydrique se confrontent à une possible baisse de la valeur foncière ainsi qu’à des difficultés d’obtention de permis. L’évaluation active des risques liés au changement climatique et une vision globale de la demande d’achat d’habitations sur le long terme constituent des mesures qui permettent aux entreprises de s’adapter auxdits risques.
    • Impacts physiques du changement climatique La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
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Secteur de la santé
Secteur de la transformation des ressources
Secteur des services
Secteur de la technologie et des communications
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