Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Technologie solaire et sociétés de promotion immobilière
L’industrie de la technologie solaire et des sociétés de promotion immobilière comprend des entreprises qui fabriquent des installations d’énergie solaire, notamment des modules solaires photovoltaïques (PV), du polysilicium (matière première), des systèmes de production d’électricité solaire thermique, des onduleurs solaires et d’autres composants liés. Les entreprises peuvent également développer, créer et gérer des projets d’énergie solaire et proposer des services de financement et d’entretien aux clients. Deux technologies principales sont utilisées dans l’industrie : le PV et l’énergie solaire concentrée (ESC). Au sein du PV solaire, il existe deux technologies principales : le photovoltaïque cristallin à base de silicium et le photovoltaïque à couche mince, qui comprennent des panneaux fabriqués à partir de séléniure de cuivre, d’indium et de gallium, et de tellurure de cadmium. Les marchés principaux des panneaux solaires sont les projets résidentiels, non résidentiels (commerciaux et industriels) et à grande échelle. Les activités des entreprises de l’industrie sont mondiales. -
Crédit à la consommation
L’industrie du crédit à la consommation accorde des prêts aux consommateurs. Le plus gros segment de l’industrie est composé de crédits renouvelables par l’intermédiaire de cartes de crédit. Les services de prêts supplémentaires comprennent les prêts automobiles, les microprêts et les prêts étudiants. Certaines entreprises de l’industrie proposent également des transferts de fonds interconsommateurs, des mandats, des cartes de débit prépayées et des services de paiement de factures. Les résultats de l’industrie sont déterminés par les dépenses des consommateurs, le taux de chômage, le PIB par habitant, les revenus et la croissance de la population. Les évolutions récentes au profit de la protection des consommateurs et de la transparence ont mis en adéquation les intérêts de la société et ceux des investisseurs à long terme, et continueront de le faire. Les entreprises qui gèrent efficacement leur capital social seront alors mieux placées pour maximiser leur capital financier.
Questions pertinentes pour les deux Industries (9 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
- Émissions de GES
- Qualité de l’air
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques. -
Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes. -
Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
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Vie privée des clients
La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte. -
Sécurité des données
La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur. - Accès et caractère abordable
- Qualité et sécurité des produits
- Bien-être des clients
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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Capital humain
- Pratiques de travail
- Santé et sécurité des employés
- Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories. - Résilience du modèle économique
- Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte. - Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
- Éthique des affaires
- Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
- Gestion des risques systémiques
Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie dans la fabrication
La facturation de panneaux solaires utilise généralement de l’énergie électrique achetée sur le réseau. L’énergie peut représenter une part considérable du coût total de la production. À la lumière des coûts en énergie et de l’incertitude réglementaire croissants à propos de l’avenir de l’énergie fossile, les entreprises qui diversifient leurs sources d’énergie peuvent être mieux à même de gérer les risques associés et de maintenir un approvisionnement énergétique fiable. Les entreprises qui réduisent l’utilisation énergétique par une gestion efficace de l’énergie peuvent limiter les coûts et obtenir un avantage concurrentiel grâce à l’efficacité opérationnelle et des tarifs compétitifs. Cela est particulièrement important étant donné la concurrence intense en matière de prix dans l’industrie de la technologie solaire.
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Gestion de l’eau dans la fabrication
La facturation des panneaux photovoltaïques peut être coûteuse en eau, l’eau pure étant un intrant essentiel dans certains processus. Le processus de fabrication peut également générer des eaux usées devant être traitées avant l’élimination ou la réutilisation, ce qui peut par conséquent entraîner des coûts opérationnels et des dépenses en capital supplémentaires. En outre, selon leur emplacement, les installations de fabrication d’équipements solaires peuvent être exposées au risque de diminution de la disponibilité de l’eau (pénurie), d’augmentation du coût lié et de perturbations opérationnelles. L’utilisation de ressources d’eau locales est un risque pouvant générer des tensions avec les utilisateurs de l’eau locale, pouvant potentiellement perturber les opérations de fabrication et avoir un effet indésirable sur la valeur de la marque. En vue d’atténuer les risques de l’approvisionnement en eau et de son traitement, les entreprises peuvent adopter diverses stratégies, telles que le recyclage de l’eau des processus, l’amélioration des techniques de production pour diminuer la consommation d’eau et l’amélioration des systèmes de traitement de l’eau.
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.-
Gestion des déchets dangereux
La fabrication de panneaux solaires peut comprendre l’utilisation de substances dangereuses pouvant entraîner des répercussions néfastes sur l’environnement et la santé si elles ne sont pas correctement gérées. Les technologies courantes à couche mince peuvent utiliser des matériaux, notamment le cadmium, l’arséniure de gallium et le séléniure de cuivre, d’indium et de gallium qui nécessitent d’être manipulés avec prudence lors du processus de fabrication et de l’élimination. La manipulation et l’élimination de déchets dangereux produits pendant la fabrication peuvent entraîner des coûts opérationnels, des dépenses en capital et, dans certains cas, des frais réglementaires. La gestion efficace des matériaux dangereux, notamment par le stockage et l’élimination sûrs, la réduction, la réutilisation et le recyclage, peut en tant que telle réduire les frais opérationnels et atténuer les potentielles sanctions réglementaires ou l’atteinte à la réputation.
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Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.-
Répercussions écologiques de l’élaboration de projets
De nombreuses grandes entreprises de technologie solaire cotées en bourse sont impliquées dans le développement de projet, notamment l’évaluation et l’acquisition de droits fonciers, l’octroi de permis pour des sites et le dialogue avec les parties prenantes. Le développement réussi dépend de l’approbation des permis environnementaux et de la permission des gouvernements et communautés locaux. La localisation des installations solaires moyennes ou grandes dans des zones écologiquement fragiles, notamment dans l’habitat d’espèces en voie de disparition, peut rendre l’octroi de permis environnementaux difficile et onéreux. Le développement de projets peut également être touché par les lois locales sur l’utilisation des sols et l’opposition communautaire aux projets en raison de leur empreinte sur les sols ou d’inquiétudes à propos des répercussions sur les ressources locales en eau. Ces facteurs peuvent ralentir ou perturber le processus de développement, pouvant entraîner des coûts plus élevés, une perte de revenus ou des retards de projet. Les entreprises dotées de stratégies solides pour l’évaluation et l’atténuation des répercussions environnementales peuvent réduire le risque des retards de projet, ce qui augmente la probabilité qu’un projet soit complété en temps utile.
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Vie privée des clients
La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.None -
Sécurité des données
La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.None -
Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.None -
Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Gestion de l’intégration de l’infrastructure énergétique et les réglementations liées
Les entreprises de l’industrie ont été confrontées à des défis lorsqu’elles ont voulu établir l’énergie solaire comme un moyen de production d’énergie à un prix compétitif et de réduction des GES. Elles ont alors rencontré des difficultés dans la conquête de parts plus importantes dans le marché de la production d’énergie mondiale. En vue de promouvoir l’adoption de l’énergie solaire à plus grande échelle, l’industrie peut tirer parti de la prévention des perturbations systémiques de l’infrastructure énergétique existante et des services énergétiques essentiels. Les entreprises innovent afin de surmonter les défis techniques liés à l’intégration croissante du solaire au réseau. Ils engagent également le dialogue avec des agences réglementaires et des décideurs pour réduire les obstacles réglementaires à l’adoption de l’énergie solaire, dont un nombre important émerge en raison des inquiétudes liées à l’augmentation des coûts globaux de l’électricité du réseau et aux perturbations du réseau. Les entreprises de l’industrie solaire investissent dans des technologies novatrices pour réduire les coûts du matériel et de l’installation, œuvrent en faveur de modèles commerciaux innovants destinés à réduire le coût du capital et à faciliter l’achat de systèmes d’énergie solaire. Les entreprises de l’industrie de la technologie solaire peuvent améliorer leur compétitivité en déployant avec succès une ou plusieurs stratégies en vue de garantir leur capacité d’extension sur le long terme. -
Gestion de la fin de vie des produits
Les panneaux solaires peuvent contenir des substances dangereuses et des matériaux réutilisables de valeur économique élevée. Étant donné l’expansion rapide de l’énergie solaire dans le monde, des volumes croissants de panneaux solaires devraient atteindre la fin de leur durée de vie utile à moyen terme. Dans certaines régions, notamment des parties de l’UE, les fabricants sont légalement tenus d’assumer la responsabilité financière de leurs produits à l’étape de la fin de vie, notamment la collecte et le recyclage. La reprise, le recyclage et l’élimination des produits peuvent entraîner des investissements et des dépenses en capital importantes en amont pour les opérateurs de l’industrie. Cependant, comme de plus en plus de modules solaires atteignent la fin de leur durée de vie et que cette question est susceptible d’attirer davantage l’attention du législateur, les entreprises peuvent se différencier en proposant des services de reprise et de recyclage des produits. Cela pourrait augmenter les revenus et entraîner, sur le long terme, des frais moins importants grâce à la réutilisation des matériaux de récupération dans les processus de fabrication.
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.-
Approvisionnement en matériaux
Les entreprises de l’industrie de la technologie solaire achètent généralement de nombreux matériaux, notamment le polysilicium, les métaux, le verre et les composants électriques. Les entreprises utilisent également certains matériaux essentiels à la fabrication de modules et de panneaux solaires. Les ressources mondiales limitées de ces matériaux critiques, ainsi que leur concentration dans les pays qui peuvent avoir des structures de gouvernance et réglementaires relativement limitées ou qui sont soumises à des tensions géographiques, exposent les entreprises au risque d’interruptions de la chaîne d’approvisionnement et à des augmentations ou à une volatilité du prix d’entrée. Les entreprises peuvent atténuer les risques associés en garantissant la transparence dans leurs chaînes d’approvisionnement, en s’employant activement à acheter leurs matériaux auprès de fournisseurs fiables ou dans des régions présentant des risques environnementaux et sociaux faibles, et en soutenant la recherche d’intrants alternatifs.
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Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.None -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.None -
Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.None -
Répercussions écologiques
La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.None -
Vie privée des clients
La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.-
Vie privée des clients
Les entreprises de crédit à la consommation sont confrontées aux risques et possibilités associées à leur utilisation interne des données fournies par les clients pour les activités qui ne relèvent pas de l’objectif principal pour lequel les données ont été collectées (par ex., pour les utiliser dans la publicité ciblée et/ou les transférer à des tiers). La garantie de la confidentialité des informations nominatives (PII) et des autres données des titulaires du compte est une responsabilité essentielle des entreprises de l’industrie du crédit à la consommation. Pour évaluer les résultats sur cette question, les investisseurs pourraient bénéficier de la divulgation de la part des entreprises du nombre de titulaires du compte dont les informations utilisées pour des objectifs secondaires, ainsi que leurs politiques et procédures relatives à l’utilisation de ces informations, notamment la nature de leurs politiques « opt-in » (consentement explicite). Couplée à des informations sur les actions légales ou réglementaires prises à l’encontre des entreprises et liées à la protection et à la vie privée des clients, une telle divulgation serait utile aux fins des décisions des investisseurs. Les entreprises de crédit à la consommation qui échouent à gérer leurs performances dans ce domaine sont susceptibles de voir leurs revenus baisser à la suite d’une perte de confiance des consommateurs et de désaffections, ainsi que de connaître des répercussions financières provenant d’expositions judiciaires.
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Sécurité des données
La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.-
Sécurité des données
Les entreprises de l’industrie du crédit à la consommation font face à des risques et à des possibilités associées à la manière dont elles gèrent la sécurité des données qui leur sont fournies par les clients, dans le contexte des menaces externes. La garantie de la sécurité des PII des clients est une responsabilité essentielle des entreprises de l’industrie du crédit à la consommation. En vue d’évaluer les résultats sur cette question, les analystes pourraient tirer parti de la divulgation sur les efforts liés à la protection des données contre les menaces de sécurité et les technologies émergentes et en constante évolution, les violations de sécurité réelles qui compromettent les informations nominatives (PII) des clients, et la fraude par carte de crédit et de débit. Les entreprises qui échouent à gérer leurs performances dans ce domaine sont susceptibles de voir leurs revenus baisser à la suite d’une perte de confiance des consommateurs et de désaffections. En outre, les cas de violations de données pourraient exposer les entreprises à des contentieux longs et coûteux, et à de potentielles pertes financières.
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Méthodes de vente et étiquetage des produits
La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.-
Méthodes de vente
Trois éléments sont essentiels à propos du thème Méthodes de vente, dont les résultats peuvent sensiblement affecter les opérations et la situation financière des entreprises. Tout d’abord, les politiques de l’entreprise liées à la structure de rémunération et/ou d’autres incitations peuvent, involontairement, entraîner le risque de vendre des produits et services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients. Deuxièmement, le défaut de fourniture d’informations transparentes aux clients à propos des produits principaux et supplémentaires peut accroître le risque d’être accusé d’utiliser des pratiques trompeuses. Enfin, en fonction des caractéristiques du portefeuille de produits vendus, si les deux premiers éléments ne sont pas correctement réalisés, la concentration de produits risqués détenus par les clients pourrait être élevée. Les entreprises de crédit à la consommation vont probablement continuer à faire face un examen attentif provoqué par des accidents qui attirent l’attention, les organismes de réglementation s’efforçant de garantir la transparence et une divulgation renforcée. La divulgation des caractéristiques essentielles d’un portefeuille de prêts, notamment les frais moyens des produits supplémentaires, l’âge moyen des comptes, le TAEG moyen, le nombre moyen de lignes commerciales et les frais annuels moyens correspondant aux produits de transaction prépayés, permettront aux actionnaires de déterminer les entreprises de crédit à la consommation les mieux placées pour protéger la valeur à long terme qui n’ont pas recours à des pratiques de génération de revenus à court terme. La capacité à fournir des produits de crédit à la consommation dans l’intérêt des clients peut aider les entreprises de l’industrie à réduire l’exposition aux risques des portefeuilles de produits existants, à établir un lien de confiance avec des clients nouveaux et existants, et à étendre leur part de marché en garantissant une croissance durable du chiffre d’affaires.
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.None -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.None
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Catégorie des problématiques générales
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Technologie solaire et sociétés de promotion immobilière
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Crédit à la consommation
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Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie dans la fabrication
La facturation de panneaux solaires utilise généralement de l’énergie électrique achetée sur le réseau. L’énergie peut représenter une part considérable du coût total de la production. À la lumière des coûts en énergie et de l’incertitude réglementaire croissants à propos de l’avenir de l’énergie fossile, les entreprises qui diversifient leurs sources d’énergie peuvent être mieux à même de gérer les risques associés et de maintenir un approvisionnement énergétique fiable. Les entreprises qui réduisent l’utilisation énergétique par une gestion efficace de l’énergie peuvent limiter les coûts et obtenir un avantage concurrentiel grâce à l’efficacité opérationnelle et des tarifs compétitifs. Cela est particulièrement important étant donné la concurrence intense en matière de prix dans l’industrie de la technologie solaire.
Gestion de l’eau et des eaux usées
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Gestion de l’eau dans la fabrication
La facturation des panneaux photovoltaïques peut être coûteuse en eau, l’eau pure étant un intrant essentiel dans certains processus. Le processus de fabrication peut également générer des eaux usées devant être traitées avant l’élimination ou la réutilisation, ce qui peut par conséquent entraîner des coûts opérationnels et des dépenses en capital supplémentaires. En outre, selon leur emplacement, les installations de fabrication d’équipements solaires peuvent être exposées au risque de diminution de la disponibilité de l’eau (pénurie), d’augmentation du coût lié et de perturbations opérationnelles. L’utilisation de ressources d’eau locales est un risque pouvant générer des tensions avec les utilisateurs de l’eau locale, pouvant potentiellement perturber les opérations de fabrication et avoir un effet indésirable sur la valeur de la marque. En vue d’atténuer les risques de l’approvisionnement en eau et de son traitement, les entreprises peuvent adopter diverses stratégies, telles que le recyclage de l’eau des processus, l’amélioration des techniques de production pour diminuer la consommation d’eau et l’amélioration des systèmes de traitement de l’eau.
Gestion des déchets et des matières dangereuses
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Gestion des déchets dangereux
La fabrication de panneaux solaires peut comprendre l’utilisation de substances dangereuses pouvant entraîner des répercussions néfastes sur l’environnement et la santé si elles ne sont pas correctement gérées. Les technologies courantes à couche mince peuvent utiliser des matériaux, notamment le cadmium, l’arséniure de gallium et le séléniure de cuivre, d’indium et de gallium qui nécessitent d’être manipulés avec prudence lors du processus de fabrication et de l’élimination. La manipulation et l’élimination de déchets dangereux produits pendant la fabrication peuvent entraîner des coûts opérationnels, des dépenses en capital et, dans certains cas, des frais réglementaires. La gestion efficace des matériaux dangereux, notamment par le stockage et l’élimination sûrs, la réduction, la réutilisation et le recyclage, peut en tant que telle réduire les frais opérationnels et atténuer les potentielles sanctions réglementaires ou l’atteinte à la réputation.
Répercussions écologiques
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Répercussions écologiques de l’élaboration de projets
De nombreuses grandes entreprises de technologie solaire cotées en bourse sont impliquées dans le développement de projet, notamment l’évaluation et l’acquisition de droits fonciers, l’octroi de permis pour des sites et le dialogue avec les parties prenantes. Le développement réussi dépend de l’approbation des permis environnementaux et de la permission des gouvernements et communautés locaux. La localisation des installations solaires moyennes ou grandes dans des zones écologiquement fragiles, notamment dans l’habitat d’espèces en voie de disparition, peut rendre l’octroi de permis environnementaux difficile et onéreux. Le développement de projets peut également être touché par les lois locales sur l’utilisation des sols et l’opposition communautaire aux projets en raison de leur empreinte sur les sols ou d’inquiétudes à propos des répercussions sur les ressources locales en eau. Ces facteurs peuvent ralentir ou perturber le processus de développement, pouvant entraîner des coûts plus élevés, une perte de revenus ou des retards de projet. Les entreprises dotées de stratégies solides pour l’évaluation et l’atténuation des répercussions environnementales peuvent réduire le risque des retards de projet, ce qui augmente la probabilité qu’un projet soit complété en temps utile.
Vie privée des clients
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Vie privée des clients
Les entreprises de crédit à la consommation sont confrontées aux risques et possibilités associées à leur utilisation interne des données fournies par les clients pour les activités qui ne relèvent pas de l’objectif principal pour lequel les données ont été collectées (par ex., pour les utiliser dans la publicité ciblée et/ou les transférer à des tiers). La garantie de la confidentialité des informations nominatives (PII) et des autres données des titulaires du compte est une responsabilité essentielle des entreprises de l’industrie du crédit à la consommation. Pour évaluer les résultats sur cette question, les investisseurs pourraient bénéficier de la divulgation de la part des entreprises du nombre de titulaires du compte dont les informations utilisées pour des objectifs secondaires, ainsi que leurs politiques et procédures relatives à l’utilisation de ces informations, notamment la nature de leurs politiques « opt-in » (consentement explicite). Couplée à des informations sur les actions légales ou réglementaires prises à l’encontre des entreprises et liées à la protection et à la vie privée des clients, une telle divulgation serait utile aux fins des décisions des investisseurs. Les entreprises de crédit à la consommation qui échouent à gérer leurs performances dans ce domaine sont susceptibles de voir leurs revenus baisser à la suite d’une perte de confiance des consommateurs et de désaffections, ainsi que de connaître des répercussions financières provenant d’expositions judiciaires.
Sécurité des données
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Sécurité des données
Les entreprises de l’industrie du crédit à la consommation font face à des risques et à des possibilités associées à la manière dont elles gèrent la sécurité des données qui leur sont fournies par les clients, dans le contexte des menaces externes. La garantie de la sécurité des PII des clients est une responsabilité essentielle des entreprises de l’industrie du crédit à la consommation. En vue d’évaluer les résultats sur cette question, les analystes pourraient tirer parti de la divulgation sur les efforts liés à la protection des données contre les menaces de sécurité et les technologies émergentes et en constante évolution, les violations de sécurité réelles qui compromettent les informations nominatives (PII) des clients, et la fraude par carte de crédit et de débit. Les entreprises qui échouent à gérer leurs performances dans ce domaine sont susceptibles de voir leurs revenus baisser à la suite d’une perte de confiance des consommateurs et de désaffections. En outre, les cas de violations de données pourraient exposer les entreprises à des contentieux longs et coûteux, et à de potentielles pertes financières.
Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Méthodes de vente
Trois éléments sont essentiels à propos du thème Méthodes de vente, dont les résultats peuvent sensiblement affecter les opérations et la situation financière des entreprises. Tout d’abord, les politiques de l’entreprise liées à la structure de rémunération et/ou d’autres incitations peuvent, involontairement, entraîner le risque de vendre des produits et services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients. Deuxièmement, le défaut de fourniture d’informations transparentes aux clients à propos des produits principaux et supplémentaires peut accroître le risque d’être accusé d’utiliser des pratiques trompeuses. Enfin, en fonction des caractéristiques du portefeuille de produits vendus, si les deux premiers éléments ne sont pas correctement réalisés, la concentration de produits risqués détenus par les clients pourrait être élevée. Les entreprises de crédit à la consommation vont probablement continuer à faire face un examen attentif provoqué par des accidents qui attirent l’attention, les organismes de réglementation s’efforçant de garantir la transparence et une divulgation renforcée. La divulgation des caractéristiques essentielles d’un portefeuille de prêts, notamment les frais moyens des produits supplémentaires, l’âge moyen des comptes, le TAEG moyen, le nombre moyen de lignes commerciales et les frais annuels moyens correspondant aux produits de transaction prépayés, permettront aux actionnaires de déterminer les entreprises de crédit à la consommation les mieux placées pour protéger la valeur à long terme qui n’ont pas recours à des pratiques de génération de revenus à court terme. La capacité à fournir des produits de crédit à la consommation dans l’intérêt des clients peut aider les entreprises de l’industrie à réduire l’exposition aux risques des portefeuilles de produits existants, à établir un lien de confiance avec des clients nouveaux et existants, et à étendre leur part de marché en garantissant une croissance durable du chiffre d’affaires.
Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Gestion de l’intégration de l’infrastructure énergétique et les réglementations liées
Les entreprises de l’industrie ont été confrontées à des défis lorsqu’elles ont voulu établir l’énergie solaire comme un moyen de production d’énergie à un prix compétitif et de réduction des GES. Elles ont alors rencontré des difficultés dans la conquête de parts plus importantes dans le marché de la production d’énergie mondiale. En vue de promouvoir l’adoption de l’énergie solaire à plus grande échelle, l’industrie peut tirer parti de la prévention des perturbations systémiques de l’infrastructure énergétique existante et des services énergétiques essentiels. Les entreprises innovent afin de surmonter les défis techniques liés à l’intégration croissante du solaire au réseau. Ils engagent également le dialogue avec des agences réglementaires et des décideurs pour réduire les obstacles réglementaires à l’adoption de l’énergie solaire, dont un nombre important émerge en raison des inquiétudes liées à l’augmentation des coûts globaux de l’électricité du réseau et aux perturbations du réseau. Les entreprises de l’industrie solaire investissent dans des technologies novatrices pour réduire les coûts du matériel et de l’installation, œuvrent en faveur de modèles commerciaux innovants destinés à réduire le coût du capital et à faciliter l’achat de systèmes d’énergie solaire. Les entreprises de l’industrie de la technologie solaire peuvent améliorer leur compétitivité en déployant avec succès une ou plusieurs stratégies en vue de garantir leur capacité d’extension sur le long terme. -
Gestion de la fin de vie des produits
Les panneaux solaires peuvent contenir des substances dangereuses et des matériaux réutilisables de valeur économique élevée. Étant donné l’expansion rapide de l’énergie solaire dans le monde, des volumes croissants de panneaux solaires devraient atteindre la fin de leur durée de vie utile à moyen terme. Dans certaines régions, notamment des parties de l’UE, les fabricants sont légalement tenus d’assumer la responsabilité financière de leurs produits à l’étape de la fin de vie, notamment la collecte et le recyclage. La reprise, le recyclage et l’élimination des produits peuvent entraîner des investissements et des dépenses en capital importantes en amont pour les opérateurs de l’industrie. Cependant, comme de plus en plus de modules solaires atteignent la fin de leur durée de vie et que cette question est susceptible d’attirer davantage l’attention du législateur, les entreprises peuvent se différencier en proposant des services de reprise et de recyclage des produits. Cela pourrait augmenter les revenus et entraîner, sur le long terme, des frais moins importants grâce à la réutilisation des matériaux de récupération dans les processus de fabrication.
Approvisionnement en matériaux et efficacité
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Approvisionnement en matériaux
Les entreprises de l’industrie de la technologie solaire achètent généralement de nombreux matériaux, notamment le polysilicium, les métaux, le verre et les composants électriques. Les entreprises utilisent également certains matériaux essentiels à la fabrication de modules et de panneaux solaires. Les ressources mondiales limitées de ces matériaux critiques, ainsi que leur concentration dans les pays qui peuvent avoir des structures de gouvernance et réglementaires relativement limitées ou qui sont soumises à des tensions géographiques, exposent les entreprises au risque d’interruptions de la chaîne d’approvisionnement et à des augmentations ou à une volatilité du prix d’entrée. Les entreprises peuvent atténuer les risques associés en garantissant la transparence dans leurs chaînes d’approvisionnement, en s’employant activement à acheter leurs matériaux auprès de fournisseurs fiables ou dans des régions présentant des risques environnementaux et sociaux faibles, et en soutenant la recherche d’intrants alternatifs.