Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Technologie éolienne et développeurs de projets éoliens L’industrie de la technologie éolienne et des développeurs de projets éoliens se compose d’entreprises qui fabriquent des turbines, pales, tours et autres composants des systèmes éoliens. Les entreprises qui développent, construisent et gèrent les projets d’énergie éolienne sont également incluses dans le champ d’application de cette industrie. Les fabricants peuvent également offrir des services d’entretien et d’assistance après-vente. Les éoliennes peuvent être installées sur terre ou en mer, ce qui peut entraîner des différences de capacité en production d’énergie éolienne et créer des difficultés dans le développement de projets pour chaque type d'installation. La plupart des plus grandes entreprises de technologie éolienne opèrent au niveau mondial.
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  • Compagnies aériennes Le secteur de la publicité et du marketing [1] est composée d’entreprises qui créent des campagnes publicitaires pour les médias, à des fins d’affichage ou via de la publicité en ligne , et qui proposent desservices connexes, tels que des études de marché. Les entreprises du secteur de la publicité et du marketing s’occupent de promouvoir majoritairement des produits de consommation, de divertissement, de services financiers, de produits technologiques et de services de télécommunication. Les grandes entreprises du secteur de la publicité et du marketinh publicité sont structurées comme des sociétés de portefeuille, possédant de multiples agences à travers le monde qui fournissent un large éventail de services tels que l’édition personnalisée, le conseil de marque, le marketing digital , et les relations publiques. Pour toute campagne de publicité, la même entreprise peut être engagée dans tous les aspects, des arts graphiques à la création de contenu en passant par l’analyse de données, la recherche marketing, la planification et l’achat des médias. L’entreprise peut aussi être responsable de seulement certains aspects
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Questions pertinentes pour les deux Industries (7 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Technologie éolienne et développeurs de projets éoliens Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des collaborateurs De nombreux fabricants d’éoliennes offrent des services de fonctionnement et d’entretien (O&M) pour les propriétaires ou opérateurs de parc éolien avec la vente de leurs produits. Ces activités peuvent inclure l’installation, l’entretien, la surveillance et la réparation des installations éoliennes. Le secteur de l’O&M pour les parcs éoliens est tenu de respecter une norme de sécurité élevée car le travail est naturellement dangereux. Les risques incluent des dangers physiques tels que les chutes de hauteurs et le déplacement de pièces mécaniques, ainsi que des dangers électriques. La qualité des services O&M est donc critique pour la sécurité lors du fonctionnement de parcs éoliens, avec le potentiel d’affecter la réputation des entreprises et la demande pour des produits et services. L’arrêt d’exploitation et les répercussions sur les coûts d’assurance des parcs éoliens à la suite d’accidents peuvent potentiellement être ajoutés aux coûts opérationnels des parcs éoliens. Les propriétaires ou développeurs de parcs éoliens peuvent ainsi prendre en compte la fiche de sécurité des fournisseurs d’éoliennes et de services dans leurs appels d’offres. Les entreprises qui peuvent améliorer la sécurité des éoliennes et des services O&M peuvent potentiellement réduire les coûts opérationnels et les dépenses extraordinaires.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Répercussions écologiques de l’élaboration de projets Le développement des parcs éoliens implique l’acquisition de sols et de sites, de permis, et l’engagement des acteurs locaux afin de répondre aux préoccupations concernant de potentielles répercussions sur l’environnement et la communauté. Les développements extracôtiers peuvent affecter l’écosystème marin, et les parcs éoliens côtiers comme extracôtiers peuvent avoir des effets néfastes sur les populations animales locales, dont certaines peuvent être menacées. L’obtention de permis environnementaux et de construction pour les projets peut être ralentie ou empêchée si des régulateurs ou des membres de la communauté soulèvent des préoccupations concernant les répercussions écologiques du développement. L’approbation de projets d’éoliennes affecte directement les fabricants d’équipements par la demande en éoliennes. Alors que les fabricants ne contrôlent généralement pas le processus d’approbation du projet, les investissements en recherche et développement peuvent minimiser les répercussions écologiques pour des avantages à long terme. Ces mesures peuvent faciliter les approbations de projet et donner aux fabricants de technologies éoliennes un avantage concurrentiel, augmentant potentiellement leur part de marché dans le même temps.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en matériaux Les entreprises de technologie éolienne s’approvisionnent en matériaux depuis des chaînes d’approvisionnement mondiales pour une utilisation dans les éoliennes, y compris des matériaux critiques, tels que le néodyme et le dysprosium, et des minéraux critiques dont le tantale et le tungstène. Les risques d’approvisionnement en matériaux proviennent d’un taux de substitution bas, de la concentration des dépôts dans certains pays, des considérations géopolitiques et de la concurrence des autres industries. Les éoliennes à entraînement direct, qui sont de plus en plus utilisées pour leur fiabilité, peuvent nécessiter plus de matériaux critiques que les éoliennes traditionnelles. Les entreprises peuvent minimiser les effets externes négatifs et se protéger de la volatilité des coûts associée et des contraintes d’approvisionnement en créant des chaînes d’approvisionnement transparentes, en travaillant activement à s’approvisionner en matériaux chez des fournisseurs ou dans des régions fiables avec des risques environnementaux et sociaux minimes, en soutenant la recherche pour des intrants de substitution et en réduisant leur dépendance envers ces matériaux.
      • Efficacité des matériaux Le succès à long terme de l’industrie de la technologie éolienne et des initiateurs de projets dépend de sa capacité à produire de l’énergie à un coût relativement plus bas que les autres sources d’énergie. L’acquisition de l’acier et autres matériaux est un des composants les plus coûteux des éoliennes et les intrants tels que l’acier ont démontré une volatilité des prix par le passé. Ces dernières années, les éoliennes se sont développées en taille, que ce soit au niveau de la hauteur de la tour ou de la superficie balayée par le rotor, afin d’améliorer le rendement énergétique et d’augmenter le potentiel de production d’énergie éolienne dans plus de régions. Pour parvenir à cette croissance de manière rentable, les entreprises peuvent employer des méthodes innovantes afin d’augmenter le rendement énergétique des éoliennes tout en utilisant des matériaux plus efficaces. Ceci pourrait influencer la compétitivité et la part de marché des entreprises, leurs coûts de production et leurs risques opérationnels liés à l’approvisionnement et à la volatilité des prix des matières premières, ainsi que la capacité de l’industrie à se développer.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre En raison de sa forte dépendance aux hydrocarbures, le secteur des compagnies aériennes génère une quantité importante d’émissions, dont plus de 99 % sont sous forme de dioxyde de carbone (CO[1}2{2]). L’industrie est donc soumise aux coûts de conformité et aux risques associés aux politiques d’atténuation du changement climatique. Les principales sources d’émissions de gaz à effet de serre (GES) pour les compagnies aériennes sont l’utilisation et les émissions de carburant des aéronefs, l’équipement au sol et l’électricité des installations. La consommation de carburant des aéronefs est la plus importante source d’émissions totales du secteur, et la gestion du carburant est un élément essentiel de la réduction des émissions. La gestion des répercussions environnementales de la consommation de carburant comprend l’augmentation du rendement énergétique par l’amélioration de la flotte, la modernisation et l’optimisation de la vitesse de vol et de la conception des itinéraires, ainsi que l’intégration de carburants de remplacement et durables. Ces initiatives nécessitent des dépenses en immobilisations, mais à long terme, elles peuvent réduire les coûts du carburant et l’exposition d’une entreprise aux risques liés aux programmes et aux règlements sur les émissions de GES.
    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
      • Pratiques de travail De nombreux travailleurs du secteur des compagnies aériennes sont couverts par des conventions collectives qui garantissent des salaires équitables, des conditions de travail sûres et la liberté d’association, qui font partie des droits fondamentaux des travailleurs. La syndicalisation du personnel clé peut entraîner une hausse des coûts de main-d’œuvre par l’augmentation des salaires ou des avantages sociaux. En même temps, les pratiques de travail peuvent avoir un impact sur la rentabilité à long terme de l’entreprise. Une gestion efficace des problèmes tels que la rémunération des travailleurs et les conditions de travail, ainsi que la communication qui s’y rattache, peuvent prévenir des conflits avec les travailleurs qui pourraient entraîner de longues périodes de grève, ralentir ou arrêter les opérations et nuire à la réputation d’une entreprise, réduire potentiellement les revenus et la part de marché.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Comportement concurrentiel Le secteur des compagnies aériennes est caractérisée par des marges concurrentielles en raison des coûts élevés de capital fixe et de main-d’œuvre et de la concurrence avec les transporteurs subventionnés par le gouvernement dans certains marchés. Cela pousse les compagnies aériennes à trouver des économies d’échelle par le biais d’alliances ou de consolidation, conduisant à la concentration du marché. L’industrie se caractérise également par des barrières élevées à l’entrée en raison des droits d’atterrissage limités et de la congestion croissante des aéroports. Ensemble, ces caractéristiques peuvent amener les entreprises à adopter des pratiques anticoncurrentielles qui font augmenter les prix pour les consommateurs. Par conséquent, les autorités antitrust ont examiné de près certaines pratiques de l’industrie du transport aérien, comme la gestion des créneaux dans les aéroports, les prix d’éviction, les alliances et les fusions. Cela crée un risque important pour les investisseurs découlant des frais juridiques, du risque de réputation, des coûts associés à un report d’une opération de fusion ou d’acquisition et des limites à la croissance par acquisition ou fusion.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Gestion des accidents et de la sécurité Étant donné la nature des accidents du transport aérien potentiels, la sécurité des passagers est primordiale dans le secteur des compagnies aériennes. Bien que le transport aérien soit l’un des modes de transport les plus sûrs, les compagnies aériennes sont tenues de respecter des normes de sécurité très élevées et les consommateurs s’attendent à ce que leurs vols soient exempts d’accidents. De plus, comme les produits transportés par avion ont tendance à être des marchandises de grande valeur ou périssables, leur livraison en toute sécurité et en temps opportun est une priorité pour tout transporteur. Les accidents d’avion peuvent entraîner d’importantes externalités environnementales et sociales et obliger les entreprises à payer pour la réparation et l’indemnisation des victimes. Les incidents liés à la sûreté ou les infractions à la réglementation en matière de sécurité peuvent avoir une incidence chronique sur la réputation d’une entreprise, ce qui accroît son profil de risque et son coût du capital et entraîne une baisse de la demande des passagers et des expéditeurs de fret, ce qui nuit aux revenus. Les accidents de plus grande envergure, même s’ils se produisent rarement, peuvent avoir des répercussions importantes et à long terme sur la réputation et la croissance du chiffre d’affaires. Pour assurer la sécurité, il est essentiel d’offrir une formation adéquate en matière de sécurité et d’assurer la santé et le bien-être des membres d’équipage. L’entretien opportun et adéquat des aéronefs est tout aussi important, ce qui peut aider les entreprises à réduire au minimum les risques de défaillance technique et à éviter des sanctions réglementaires sévères en cas de non-conformité.

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Secteur des données financières
Secteur des aliments et boissons
Secteur de la santé
Secteur de l’infrastructure
Secteur de la transformation des ressources
Secteur des services
Secteur de la technologie et des communications