Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Conteneurs et emballage
L’industrie des Conteneurs et emballages transforme des matières premières, notamment le métal, le plastique, le papier et le verre en produits d’emballage finis ou semi-finis. Les entreprises produisent un large éventail de produits, parmi lesquels : emballages en carton ondulé, conteneurs d’aliments et de boissons, bouteilles de produits ménagers, canettes en aluminium, fûts en acier et autres formes d’emballage. Les entreprises de l’industrie agissent généralement comme des entités interentreprises et nombre d’entre elles exercent des activités dans le monde entier. -
Distributeurs de soins de santé
Les distributeurs de soins de santé achètent, stockent et vendent des produits pharmaceutiques et des équipements médicaux aux hôpitaux, pharmacies et aux médecins. La demande de service du secteur dépend en grande partie des taux d’assurance, des dépenses pharmaceutiques, des maladies et des données démographiques. Le nombre croissant d’inscriptions aux programmes d’assurance gouvernementaux dans le cadre de la loi américaine sur la Protection des Patients et les Soins Abordables, les dossiers de santé électroniques et la consolidation du secteur de la santé continueront probablement de façonner l’industrie à l’avenir. Le secteur des soins de santé continue de mettre l’accent sur la réduction des frais et l’amélioration de l’efficacité, ce qui aura un impact sur le secteur de la distribution des soins de santé. Les entreprises du secteur sont confrontées à des défis liés à la consolidation et aux partenariats entre les pharmacies, les payeurs et les fabricants.
Questions pertinentes pour les deux Industries (10 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3). -
Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte. -
Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques. -
Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes. - Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
- Accès et caractère abordable
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. -
Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits. - Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Capital humain
- Pratiques de travail
- Santé et sécurité des employés
- Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories. - Résilience du modèle économique
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte. - Approvisionnement en matériaux et efficacité
- Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs. - Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
- Gestion des risques systémiques
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Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).-
Émissions de gaz à effet de serre
L’industrie des Conteneurs et emballages génère des émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (Champ d’application 1) en raison de la combustion de combustibles fossiles dans les procédés de fabrication et de cogénération. Les émissions de GES peuvent générer des coûts de conformité réglementaire ou des sanctions et des risques opérationnels pour les entreprises de l’industrie. Toutefois, les impacts financiers qui en découlent sont variables, en fonction de l’amplitude des émissions et des réglementations sur les émissions en vigueur. L’industrie peut être soumise à des réglementations de plus en plus strictes, les nations cherchant à limiter ou réduire les émissions. Les entreprises qui gèrent leurs émissions de GES de manière rentable grâce à un meilleur rendement énergétique, à l’utilisation de combustibles de remplacement ou à des améliorations des procédés de fabrication peuvent bénéficier d’économies opérationnelles accrues et d’un risque réglementaire amoindri, entre autres avantages financiers.
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Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.-
Qualité de l’air
En plus des gaz à effet de serre (GES), la fabrication des conteneurs et emballages peut générer des émissions atmosphériques, notamment, sans toutefois s’y limiter, des dioxydes de soufre (SOx), des oxydes d’azote (NOx) et des particules en suspension (PM). Comme avec les GES, ces émissions découlent généralement de la combustion des carburants pour produire de l’énergie. Par rapport aux autres secteurs, l’industrie des Conteneurs et emballages est une source importante de certaines de ces émissions. Les entreprises sont confrontées à des coûts opérationnels, des coûts de conformité réglementaire, des sanctions réglementaires en cas de non-conformité et des dépenses en capital associées à la gestion des émissions, tandis que les impacts financiers associés varient en fonction de l’amplitude des émissions et des réglementations en vigueur. Ainsi, une gestion active de cette question par le biais d’améliorations des procédés techniques ou d’autres stratégies peut atténuer ces impacts, tout en améliorant les performances financières et en renforçant la valeur de la marque.
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
La fabrication de conteneurs et emballages nécessite une haute intensité énergétique. L’énergie est utilisée pour alimenter des unités de transformation, des centrales de cogénération, des machines et des installations hors fabrication. Le type d’énergie utilisée, l’amplitude de la consommation et les stratégies de gestion de l’énergie dépendent du type de produits fabriqués. En général, les combustibles fossiles tels que le gaz naturel et la biomasse constituent la forme prédominante d’énergie utilisée, bien que l’électricité achetée puisse également représenter une partie non négligeable. Par conséquent, les achats d’énergie peuvent représenter une partie importante des coûts de production. Le bouquet énergétique d’une entreprise peut inclure l’énergie générée sur place, l’électricité du réseau achetée et les combustibles fossiles, ainsi que les énergies renouvelables et alternatives. Les compromis associés à l’utilisation de ces sources d’énergie incluent le coût, la fiabilité de l’alimentation, l’utilisation d’eau et les émissions atmosphériques associées, ainsi que le risque et la conformité réglementaires. Ainsi, les décisions d’une entreprise en matière d’intensité énergétique et d’approvisionnement en énergie peuvent affecter ses économies opérationnelles et son profil de risque au fil du temps.
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Gestion de l’eau
La fabrication des conteneurs et emballages nécessite de l’eau à diverses étapes de la production, notamment la transformation des matières premières, le refroidissement des procédés et la production de vapeur dans les centrales de cogénération situées sur place. L’augmentation historique à long terme de la rareté et du coût de l’eau, ainsi que les prévisions d’augmentation continue (due à la surconsommation et aux limites d’approvisionnement, lesquelles résultent de la croissance et des déplacements de population, de la pollution et du changement climatique), indiquent l’importance accrue de la gestion de l’eau. La rareté de l’eau peut aboutir à un risque supérieur de perturbation des activités pour les entreprises ayant des opérations à forte intensité en eau, et peut également augmenter les coûts d’approvisionnement en eau et les dépenses en capital. Dans le même temps, la fabrication des conteneurs et emballages peut générer des eaux usées de procédé qui doivent être traitées avant d’être éliminées. Le non-respect des réglementations relatives à la qualité de l’eau peut donner lieu à des coûts d’atténuation et de conformité réglementaire ou à des frais juridiques découlant de litiges. La réduction de l’utilisation et de la consommation d’eau par le biais d’une amélioration de l’efficacité et d’autres stratégies de gestion de l’eau peut permettre de réduire les coûts opérationnels au fil du temps et d’atténuer les répercussions financières des réglementations, des pénuries d’eau et des perturbations des opérations liées à la communauté.
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.-
Gestion des déchets
La fabrication de conteneurs et emballages peut générer des déchets de procédé dangereux, y compris, sans toutefois s’y limiter, des métaux lourds, des acides usés, des catalyseurs et le traitement des boues dans les eaux usées. Les entreprises font face à des défis opérationnels et réglementaires dans la gestion des déchets, car certains déchets sont soumis à des réglementations relatives au transport, au traitement, au stockage et à la mise au rebut. Les stratégies de gestion des déchets incluent la production réduite, le traitement efficace et la mise au rebut, ainsi que le recyclage et la récupération, le cas échéant. De telles activités, malgré l’investissement initial nécessaire et les coûts d’opération, peuvent baisser la structure des coûts de l’entreprise à long terme et limiter le risque de coûts liés aux amendes ou aux sanctions réglementaires.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Sécurité des produits
La sécurité des produits des conteneurs et emballages représente un facteur critique pour l’industrie, car de nombreux produits sont utilisés dans des applications grand public, notamment dans les industries des aliments et de la santé. Les aspects de la sécurité des emballages incluent les dangers physiques et la présence de substances chimiques. En cas d’incident de sécurité des produits, les produits peuvent être rappelés ou nécessiter une reconception, ce qui peut augmenter les coûts pour le fabricant et ainsi réduire les revenus et nuire à la valeur de la marque. Par conséquent, les entreprises qui gèrent de façon proactive leurs risques de sécurité des produits peuvent améliorer la réputation de leur marque et réduire le risque de répercussions financières négatives.
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Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.None -
Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Gestion du cycle de vie des produits
Plusieurs occasions et défis associés aux impacts environnementaux potentiels des produits tout au long du cycle de vie se présentent aux entreprises du secteur des conteneurs et des emballages. Il est important pour les fabricants de concevoir des produits ayant des impacts environnementaux réduits en phase d’utilisation et en fin de vie. La demande en emballages produits avec des produits chimiques sûrs et utilisant des matériaux recyclés et renouvelables est croissante, ainsi que la demande en produits recyclables, réutilisables et compostables. Bien que l’impact des produits sur le cycle de vie dépende largement de leur utilisation et de leur élimination, les entreprises capables d’optimiser efficacement ces attributs pendant la phase de conception peuvent en tirer un avantage concurrentiel.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.-
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La fabrication des conteneurs et emballages utilise de grandes quantités de matières premières, notamment de la fibre de bois et de l’aluminium. La production durable de ces matières est un aspect important pour la chaîne d’approvisionnement des entreprises de l’industrie, car des impacts négatifs pour l’environnement pourraient augmenter le coût des matériaux et affecter la valeur de la marque des entreprises du secteur des conteneurs et emballages. Pour atténuer ces risques, les entreprises peuvent mettre en œuvre des pratiques de vérification de la chaîne d’approvisionnement et appliquer des normes tierces dans les opérations internes et avec les fournisseurs pour garantir que les matériaux qu’elles obtiennent sont produits de manière durable. De plus, ces actions peuvent accroître la valeur de la marque et répondre aux demandes des clients en produits d’emballages produits de manière durable, ce qui permet d’accéder à de nouveaux marchés et à de nouvelles possibilités de croissance.
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.None
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Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).-
Gestion du carburant de la flotte
La distribution de produits et d’approvisionnements de soin de santé exige d’importants réseaux de transport. L’inquiétude relative au changement climatique et à l’amoindrissement des ressources naturelles peut avoir des répercussions sur le prix du carburant et exposer les distributeurs de soins de santé à des fluctuations des coûts. Les sociétés capables d’améliorer leurs efficiences de transport ont la possibilité d’augmenter leur valeur actionnariale.
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Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.None -
Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.None -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.None -
Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.None -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Sécurité des produits
Les distributeurs de soins de santé jouent un rôle primordial dans l’approvisionnement de produits de soin de santé pour les consommateurs. L’industrie partage donc avec les fabricants la responsabilité de garantir la sécurité des produits et de prendre en compte les inquiétudes liées à la toxicité. Par ailleurs, les distributeurs de soins de santé sont confrontés à des risques concernant les substances réglementées et la potentielle falsification des produits. Les entreprises qui limitent les répercussions liées à la sécurité des produits ou à d’autres risques peuvent mieux se positionner afin de protéger leur valeur actionnariale.
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Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.-
Médicaments contrefaits
L’Organisation mondiale de la santé estime que les médicaments contrefaits représentent plus de 10 pour cent de la chaîne d’approvisionnement au sein des pays à revenu faible et à revenu intermédiaire. La question des médicaments de contrefaçon ou de qualité inférieure représente également un risque important dans les pays développés. Les distributeurs de soins de santé peuvent être confrontés à des coûts supplémentaires, alors que les gouvernements et les agences nationales de réglementation cherchent à mettre en place des réglementations pour la chaîne d’approvisionnement afin d’empêcher les médicaments contrefaits ou de qualité inférieure de pénétrer le système de distribution pharmaceutique.
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Gestion du cycle de vie des produits
Il incombe aux distributeurs de soins de santé de réduire les répercussions environnementales des produits dont ils assurent la distribution. L’emballage des produits ainsi que les programmes de reprise représentent de réelles occasions de réduire ces impacts. Les entreprises capables de répondre à ces problèmes bénéficient d’un meilleur positionnement pour satisfaire la demande des clients et réduire les coûts associés.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.None -
Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.-
Éthique des affaires
Les distributeurs de soins de santé sont soumis à diverses lois nationales, internationales et des États. Aux États-Unis, ces lois incluent le False Claims Act (loi américaine sur les fausses déclarations) et le Foreign Corrupt Practices Act (loi américaine contre les pratiques de corruption à l’étranger). Les entreprises capables de garantir leur conformité aux réglementations applicables peuvent éviter les litiges pouvant entraîner des amendes ou des accords coûteux.
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Catégorie des problématiques générales
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Conteneurs et emballage
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Distributeurs de soins de santé
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Émissions de GES
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Émissions de gaz à effet de serre
L’industrie des Conteneurs et emballages génère des émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (Champ d’application 1) en raison de la combustion de combustibles fossiles dans les procédés de fabrication et de cogénération. Les émissions de GES peuvent générer des coûts de conformité réglementaire ou des sanctions et des risques opérationnels pour les entreprises de l’industrie. Toutefois, les impacts financiers qui en découlent sont variables, en fonction de l’amplitude des émissions et des réglementations sur les émissions en vigueur. L’industrie peut être soumise à des réglementations de plus en plus strictes, les nations cherchant à limiter ou réduire les émissions. Les entreprises qui gèrent leurs émissions de GES de manière rentable grâce à un meilleur rendement énergétique, à l’utilisation de combustibles de remplacement ou à des améliorations des procédés de fabrication peuvent bénéficier d’économies opérationnelles accrues et d’un risque réglementaire amoindri, entre autres avantages financiers.
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Gestion du carburant de la flotte
La distribution de produits et d’approvisionnements de soin de santé exige d’importants réseaux de transport. L’inquiétude relative au changement climatique et à l’amoindrissement des ressources naturelles peut avoir des répercussions sur le prix du carburant et exposer les distributeurs de soins de santé à des fluctuations des coûts. Les sociétés capables d’améliorer leurs efficiences de transport ont la possibilité d’augmenter leur valeur actionnariale.
Qualité de l’air
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Qualité de l’air
En plus des gaz à effet de serre (GES), la fabrication des conteneurs et emballages peut générer des émissions atmosphériques, notamment, sans toutefois s’y limiter, des dioxydes de soufre (SOx), des oxydes d’azote (NOx) et des particules en suspension (PM). Comme avec les GES, ces émissions découlent généralement de la combustion des carburants pour produire de l’énergie. Par rapport aux autres secteurs, l’industrie des Conteneurs et emballages est une source importante de certaines de ces émissions. Les entreprises sont confrontées à des coûts opérationnels, des coûts de conformité réglementaire, des sanctions réglementaires en cas de non-conformité et des dépenses en capital associées à la gestion des émissions, tandis que les impacts financiers associés varient en fonction de l’amplitude des émissions et des réglementations en vigueur. Ainsi, une gestion active de cette question par le biais d’améliorations des procédés techniques ou d’autres stratégies peut atténuer ces impacts, tout en améliorant les performances financières et en renforçant la valeur de la marque.
Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie
La fabrication de conteneurs et emballages nécessite une haute intensité énergétique. L’énergie est utilisée pour alimenter des unités de transformation, des centrales de cogénération, des machines et des installations hors fabrication. Le type d’énergie utilisée, l’amplitude de la consommation et les stratégies de gestion de l’énergie dépendent du type de produits fabriqués. En général, les combustibles fossiles tels que le gaz naturel et la biomasse constituent la forme prédominante d’énergie utilisée, bien que l’électricité achetée puisse également représenter une partie non négligeable. Par conséquent, les achats d’énergie peuvent représenter une partie importante des coûts de production. Le bouquet énergétique d’une entreprise peut inclure l’énergie générée sur place, l’électricité du réseau achetée et les combustibles fossiles, ainsi que les énergies renouvelables et alternatives. Les compromis associés à l’utilisation de ces sources d’énergie incluent le coût, la fiabilité de l’alimentation, l’utilisation d’eau et les émissions atmosphériques associées, ainsi que le risque et la conformité réglementaires. Ainsi, les décisions d’une entreprise en matière d’intensité énergétique et d’approvisionnement en énergie peuvent affecter ses économies opérationnelles et son profil de risque au fil du temps.
Gestion de l’eau et des eaux usées
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Gestion de l’eau
La fabrication des conteneurs et emballages nécessite de l’eau à diverses étapes de la production, notamment la transformation des matières premières, le refroidissement des procédés et la production de vapeur dans les centrales de cogénération situées sur place. L’augmentation historique à long terme de la rareté et du coût de l’eau, ainsi que les prévisions d’augmentation continue (due à la surconsommation et aux limites d’approvisionnement, lesquelles résultent de la croissance et des déplacements de population, de la pollution et du changement climatique), indiquent l’importance accrue de la gestion de l’eau. La rareté de l’eau peut aboutir à un risque supérieur de perturbation des activités pour les entreprises ayant des opérations à forte intensité en eau, et peut également augmenter les coûts d’approvisionnement en eau et les dépenses en capital. Dans le même temps, la fabrication des conteneurs et emballages peut générer des eaux usées de procédé qui doivent être traitées avant d’être éliminées. Le non-respect des réglementations relatives à la qualité de l’eau peut donner lieu à des coûts d’atténuation et de conformité réglementaire ou à des frais juridiques découlant de litiges. La réduction de l’utilisation et de la consommation d’eau par le biais d’une amélioration de l’efficacité et d’autres stratégies de gestion de l’eau peut permettre de réduire les coûts opérationnels au fil du temps et d’atténuer les répercussions financières des réglementations, des pénuries d’eau et des perturbations des opérations liées à la communauté.
Gestion des déchets et des matières dangereuses
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Gestion des déchets
La fabrication de conteneurs et emballages peut générer des déchets de procédé dangereux, y compris, sans toutefois s’y limiter, des métaux lourds, des acides usés, des catalyseurs et le traitement des boues dans les eaux usées. Les entreprises font face à des défis opérationnels et réglementaires dans la gestion des déchets, car certains déchets sont soumis à des réglementations relatives au transport, au traitement, au stockage et à la mise au rebut. Les stratégies de gestion des déchets incluent la production réduite, le traitement efficace et la mise au rebut, ainsi que le recyclage et la récupération, le cas échéant. De telles activités, malgré l’investissement initial nécessaire et les coûts d’opération, peuvent baisser la structure des coûts de l’entreprise à long terme et limiter le risque de coûts liés aux amendes ou aux sanctions réglementaires.
Qualité et sécurité des produits
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Sécurité des produits
La sécurité des produits des conteneurs et emballages représente un facteur critique pour l’industrie, car de nombreux produits sont utilisés dans des applications grand public, notamment dans les industries des aliments et de la santé. Les aspects de la sécurité des emballages incluent les dangers physiques et la présence de substances chimiques. En cas d’incident de sécurité des produits, les produits peuvent être rappelés ou nécessiter une reconception, ce qui peut augmenter les coûts pour le fabricant et ainsi réduire les revenus et nuire à la valeur de la marque. Par conséquent, les entreprises qui gèrent de façon proactive leurs risques de sécurité des produits peuvent améliorer la réputation de leur marque et réduire le risque de répercussions financières négatives.
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Sécurité des produits
Les distributeurs de soins de santé jouent un rôle primordial dans l’approvisionnement de produits de soin de santé pour les consommateurs. L’industrie partage donc avec les fabricants la responsabilité de garantir la sécurité des produits et de prendre en compte les inquiétudes liées à la toxicité. Par ailleurs, les distributeurs de soins de santé sont confrontés à des risques concernant les substances réglementées et la potentielle falsification des produits. Les entreprises qui limitent les répercussions liées à la sécurité des produits ou à d’autres risques peuvent mieux se positionner afin de protéger leur valeur actionnariale.
Bien-être des clients
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Médicaments contrefaits
L’Organisation mondiale de la santé estime que les médicaments contrefaits représentent plus de 10 pour cent de la chaîne d’approvisionnement au sein des pays à revenu faible et à revenu intermédiaire. La question des médicaments de contrefaçon ou de qualité inférieure représente également un risque important dans les pays développés. Les distributeurs de soins de santé peuvent être confrontés à des coûts supplémentaires, alors que les gouvernements et les agences nationales de réglementation cherchent à mettre en place des réglementations pour la chaîne d’approvisionnement afin d’empêcher les médicaments contrefaits ou de qualité inférieure de pénétrer le système de distribution pharmaceutique.
Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Gestion du cycle de vie des produits
Plusieurs occasions et défis associés aux impacts environnementaux potentiels des produits tout au long du cycle de vie se présentent aux entreprises du secteur des conteneurs et des emballages. Il est important pour les fabricants de concevoir des produits ayant des impacts environnementaux réduits en phase d’utilisation et en fin de vie. La demande en emballages produits avec des produits chimiques sûrs et utilisant des matériaux recyclés et renouvelables est croissante, ainsi que la demande en produits recyclables, réutilisables et compostables. Bien que l’impact des produits sur le cycle de vie dépende largement de leur utilisation et de leur élimination, les entreprises capables d’optimiser efficacement ces attributs pendant la phase de conception peuvent en tirer un avantage concurrentiel.
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Gestion du cycle de vie des produits
Il incombe aux distributeurs de soins de santé de réduire les répercussions environnementales des produits dont ils assurent la distribution. L’emballage des produits ainsi que les programmes de reprise représentent de réelles occasions de réduire ces impacts. Les entreprises capables de répondre à ces problèmes bénéficient d’un meilleur positionnement pour satisfaire la demande des clients et réduire les coûts associés.
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La fabrication des conteneurs et emballages utilise de grandes quantités de matières premières, notamment de la fibre de bois et de l’aluminium. La production durable de ces matières est un aspect important pour la chaîne d’approvisionnement des entreprises de l’industrie, car des impacts négatifs pour l’environnement pourraient augmenter le coût des matériaux et affecter la valeur de la marque des entreprises du secteur des conteneurs et emballages. Pour atténuer ces risques, les entreprises peuvent mettre en œuvre des pratiques de vérification de la chaîne d’approvisionnement et appliquer des normes tierces dans les opérations internes et avec les fournisseurs pour garantir que les matériaux qu’elles obtiennent sont produits de manière durable. De plus, ces actions peuvent accroître la valeur de la marque et répondre aux demandes des clients en produits d’emballages produits de manière durable, ce qui permet d’accéder à de nouveaux marchés et à de nouvelles possibilités de croissance.
Éthique des affaires
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Éthique des affaires
Les distributeurs de soins de santé sont soumis à diverses lois nationales, internationales et des États. Aux États-Unis, ces lois incluent le False Claims Act (loi américaine sur les fausses déclarations) et le Foreign Corrupt Practices Act (loi américaine contre les pratiques de corruption à l’étranger). Les entreprises capables de garantir leur conformité aux réglementations applicables peuvent éviter les litiges pouvant entraîner des amendes ou des accords coûteux.