Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Machines et produits industriels L’industrie des machines et produits industriels fabrique de l’équipement pour diverses industries, notamment la construction, l’agriculture, l’énergie, les services publics, l’exploitation minière, la fabrication, l’automobile et le transport. Les produits comprennent les moteurs, le matériel de terrassement, les camions, les tracteurs, les navires, les pompes industrielles, les locomotives et les turbines. Les fabricants de machines utilisent de grandes quantités de matières premières pour la production, y compris l’acier, les plastiques, le caoutchouc, les peintures et le verre. Les fabricants peuvent également effectuer l’usinage et le moulage des pièces avant l’assemblage final. La demande dans le secteur est étroitement liée à la production industrielle, tandis que les normes d’émissions du gouvernement et la demande des clients stimulent les innovations visant à améliorer l’efficacité énergétique et à limiter les émissions atmosphériques pendant l’utilisation des produits.
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  • Produits de pâtes et papiers Le secteur des produits de pâtes et papiers est composée d’entreprises qui fabriquent un éventail de produits de pâte de bois et de papier, notamment les fibres de pâte, l’emballage en papier, le papier hygiénique, le papier de bureau, le papier journal et le papier pour les applications industrielles. Les entreprises de l’industrie agissent généralement comme des entités interentreprises et peuvent exercer des activités dans plusieurs pays, comme les États-Unis, le Canada et le Brésil. Certaines entreprises intégrées possèdent ou gèrent des zones boisées et s’impliquent dans la gestion des forêts, mais les questions relatives à la durabilité qui découlent de ces activités sont abordées dans la norme industrielle SABS Gestion de l’environnement forestier (RR-FM).
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Questions pertinentes pour les deux Industries (8 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Machines et produits industriels Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie L’énergie est un intrant essentiel dans la fabrication de machines industrielles. L’électricité achetée représente la plus grosse part de dépenses dans les énergies du secteur, suivie par les carburants achetés. Le type d’énergie utilisé, la magnitude de consommation et les stratégies de gestion de l’énergie dépendent du type de produits fabriqués. Le bouquet énergétique d’une entreprise, y compris l’utilisation de l’électricité générée sur site, l’électricité en provenance du réseau et l’utilisation d’énergies alternatives, peut jouer un rôle conséquent en influençant les coûts et la fiabilité de l’alimentation énergétique, et peut finalement affecter la structure des coûts et le risque réglementaire de l’entreprise.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des employés Les employés des installations de fabrication de machines industrielles sont exposés, entre autres, à des risques pour la santé et la sécurité liés à l’exposition à la machinerie lourde, à l’équipement en mouvement et aux dangers électriques. La création d’une culture de sécurité efficace est essentielle pour atténuer de façon proactive les incidents de sécurité, ce qui pourrait entraîner des coûts de soins de santé plus élevés, des litiges et des arrêts de travail. En mettant en œuvre de solides protocoles de sécurité, y compris le signalement des incidents et les enquêtes, et en favorisant une culture de la sécurité, les entreprises peuvent réduire au minimum les dépenses liées à la sécurité et potentiellement améliorer la productivité à long terme.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Économie de carburant et émissions en phase d’utilisation Bon nombre des produits de l’industrie des machines et produits industriels sont alimentés par des combustibles fossiles et rejettent donc des gaz à effet de serre (GES) et d’autres émissions atmosphériques pendant leur utilisation. Les préférences des clients en matière d’amélioration de l’économie de carburant, combinées aux règlements sur les émissions, augmentent la demande de produits écoénergétiques et à faibles émissions dans l’industrie. Par conséquent, les entreprises qui mettent au point des produits présentant ces caractéristiques peuvent être bien placées pour obtenir une part de marché croissante, réduire les risques réglementaires et améliorer la valeur de la marque.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en matériaux Les entreprises de machines industrielles sont exposées à des risques liés à la chaîne d’approvisionnement lorsque des matériaux critiques sont utilisés dans leurs produits. Les entreprises du secteur fabriquent des produits à l’aide de matériaux critiques avec peu ou pas de substituts disponibles, dont la plupart sont fournis par des dépôts concentrés dans seulement quelques pays sujets à une incertitude géopolitique. Les entreprises de ce secteur font également face à une compétition due à la demande mondiale croissante pour ces matériaux par d’autres secteurs, ce qui peut entraîner une hausse des prix et des risques à l’approvisionnement. Les entreprises qui sont capables de limiter l’utilisation de matériaux critiques par le biais de solutions alternatives, ainsi que de sécuriser leur approvisionnement, peuvent limiter les répercussions financières potentielles provenant des ruptures d’approvisionnement et des prix volatils pour les produits entrants.
      • Conception et services de seconde transformation La fabrication de machines et de biens industriels utilise de grandes quantités d’acier, de fer, d’aluminium, de verre, de plastique et d’autres matériaux. La remise à neuf des systèmes de machines industrielles (appelés « noyaux ») est l’occasion pour les entreprises de machines industrielles de limiter la quantité de matières premières nécessaires à la production de nouvelles machines, ainsi que le temps et les autres ressources nécessaires à la production de produits finis. Les produits remanufacturés peuvent également créer de la valeur à partir de produits autrement destinés à l’élimination ou au recyclage. Les entreprises de machines industrielles peuvent réaliser des économies en réutilisant des pièces en fin de vie utile pour construire des machines remises à neuf, qui peuvent être revendues aux clients. Ainsi, la seconde transformation dans le processus et la conception peut réduire la demande de matières premières, réduire les coûts de fabrication et créer de nouveaux canaux de vente.
  • Produits de pâtes et papiers Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre La fabrication de produits de pâte et papier génère des émissions gaz à effet de serre (GES) directes liées à la combustion de combustibles fossiles et de biomasse dans les moteurs stationnaires et mobiles, les chaudières de cogénération et d’autres équipements de traitement. Les entreprises de l’industrie utilisent également généralement des quantités importantes de biomasses neutres en carbone pour leurs besoins en énergie, dont l’utilisation peut réduire les coûts liés à l’achat de combustibles fossiles et atténuer le risque réglementaire lié aux émissions de carbone. Les émissions liées aux sources de combustibles fossiles peuvent engendrer des coûts de conformité réglementaire en fonction de l’ampleur des émissions et des réglementations sur les émissions en vigueur. Les entreprises qui gèrent les émissions de GES de manière rentable par une efficacité énergétique supérieure, l’utilisation de carburant alternatif ou des améliorations du processus de fabrication peuvent bénéficier d’une meilleure efficacité opérationnelle et d’une réduction des coûts de conformité réglementaire.
    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Qualité de l’air Les usines de produits de pâte et papier génèrent des émissions atmosphériques, notamment les oxydes de soufre, les oxydes d’azote et les particules en suspension. Les sources d’émissions comprennent les chaudières à combustible de cogénération, les chambres à pression de pâte et de papier, la réduction des copeaux de bois en pâte, la récupération chimique de la pâte et les moteurs de procédés. Les émissions de l’industrie ont considérablement réduit ces dernières années, mais les dépenses liées à la réduction des émissions peuvent être importantes ; les réglementations en constante évolution sur la qualité de l’air peuvent également entraîner des incertitudes réglementaires. Les entreprises qui réduisent de manière rentable les émissions atmosphériques peuvent améliorer l’efficacité opérationnelle, bénéficier d’une structure de coût plus faible et atténuer le risque réglementaire.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie La fabrication de produits de pâte et papier consomme beaucoup d’énergie. Dans la plupart des installations, l’énergie provient principalement de la combustion de biomasse et de combustibles fossiles, mais certaines installations peuvent également utiliser de l’électricité achetée. Les décisions relatives à la génération d’électricité sur site par rapport à l’approvisionnement en électricité sur le réseau, ainsi qu’à l’utilisation de la biomasse et d’autres énergies renouvelables, peuvent entraîner des compromis liés au coût de l’approvisionnement en énergie, à la fiabilité des activités et à l’étendue du risque réglementaire de scope 1 ou d’autres émissions atmosphériques. La façon dont une entreprise gère son efficacité énergétique, son recours à différents types d’énergie et les risques liés à la durabilité associés, ainsi que sa capacité à accéder à des sources d’énergie de substitution, est susceptible d’atténuer la variabilité des coûts de l’énergie.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau La fabrication de produits de pâte et papier est généralement un processus coûteux en eau, qui entraîne une utilisation de l’eau pendant le traitement des matériaux, le refroidissement des processus et la production de vapeur dans les usines d’énergie sur site. Les entreprises ont besoin d’un approvisionnement en eau abondant et stable, et peuvent produire de larges volumes d’eaux usées, dont la majorité est traitée et renvoyée dans l’environnement. L’eau des processus contient généralement des composants organiques dissous et d’autres solides, ce qui souligne l’importance du traitement de l’eau. Outre les effluents, la disponibilité en eau est une considération importante pour l’industrie, puisqu’une pénurie d’eau pourrait entraîner des coûts d’approvisionnement plus importants, des perturbations de l’approvisionnement ou des tensions avec les utilisateurs de l’eau locaux. Les entreprises peuvent adopter plusieurs stratégies pour résoudre les problèmes d’approvisionnement et de traitement de l’eau, comme l’amélioration rentable du recyclage de l’eau des processus, l’amélioration des techniques de production pour diminuer la consommation d’eau et la garantie du respect des réglementations sur les effluents.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Gestion de la chaîne d’approvisionnement Les entreprises de produits de pâte et papier s’approvisionnent en bois et en fibre de bois auprès d’entreprises de gestion forestière, de recycleurs de fibres de papier et de forêts que les entreprises gèrent elles-mêmes. Les risques de la chaîne d’approvisionnement comprennent une diminution de la productivité des terrains forestiers en raison des pratiques de gestion ou du changement climatique, des réglementations abordant la gestion durable des forêts et les impacts sur la réputation. En vue d’atténuer ces risques et de satisfaire la demande croissante des clients en produits de fibres et de papier produits durablement, les fabricants appliquent des certifications sur les forêts et les normes sur chaîne de responsabilité des fibres qui vérifient que les fibres vierges et recyclées proviennent de forêts gérées durablement. En outre, les fabricants de pâte et de papier doivent réaliser des compromis découlant de l’utilisation des fibres récupérées. La demande en produits dont le contenu est recyclé est croissante, ce qui peut permettre une différenciation des produits, tandis que l’utilisation de fibres recyclées peut minimiser le besoin en fibres vierges. Au contraire, les produits fabriqués dont davantage de contenus est recyclé peut entraîner l’augmentation de la génération de déchets et de la consommation d’énergie, tandis que les fibres recyclées peuvent être plus coûteuses étant donné l’écart entre l’offre et la demande. Par conséquent, les entreprises peuvent obtenir des avantages en optimisant l’utilisation des fibres recyclées pour équilibrer les compromis entre l’environnement et l’économie.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
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Machines et produits industriels
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Produits de pâtes et papiers
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Secteur de la transformation des ressources
Secteur des biens de consommation
Secteur de l’exploitation minière et du traitement des minerais
Secteur des données financières
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Secteur de la santé
Secteur de l’infrastructure
Secteur des services
Secteur de la technologie et des communications
Secteur du transport