Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Casinos et jeux d’argent
Les entreprises publiques de casinos et jeux d’argent opèrent dans des établissements ou sur des plateformes de jeux d’argent, y compris les casinos physiques, les casinos fluviaux, les sites de jeux d’argent en ligne et les pistes de course. L’industrie élargie aux États-Unis est dominée par les casinos amérindiens privés, qui sont beaucoup plus nombreux que les casinos publics. Les casinos amérindiens sont généralement possédés et exploités par des tribus, mais ils peuvent parfois être gérés par des tenanciers de casinos commerciaux ou d’autres entreprises de gestion. Le secteur est caractérisé par une surveillance réglementaire de haut niveau, qui représente l’obstacle principal à l’insertion de nouveaux exploitants. Moins de la moitié des états américains ont légalisé les casinos commerciaux, bien que les réglementations du secteur varient considérablement dans le monde. -
Transport routier
Le secteur du transport routier inclut les entreprises qui fournissent des services de transport de marchandises par camion sur des distances courtes et longues. Les activités clés relèvent de l’expédition de marchandises, en conteneur ou en vrac, de biens de consommation et d’une grande variété de produits. Le secteur est généralement divisé en deux catégories : les charges complètes (véhicules qui transportent les marchandises d’un seul client) et les charges partielles (véhicules qui transportent les marchandises de plusieurs clients). Les propriétaires exploitants constituent la grande majorité du secteur en raison de la facilité relative d’entrer, alors que quelques gros exploitants conservent la part de marché par le biais de contrats avec les expéditeurs majeurs. Les grandes entreprises sous-traitent souvent des propriétaires exploitants pour compléter leur propre flotte.
Questions pertinentes pour les deux Industries (7 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3). -
Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte. -
Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. - Gestion de l’eau et des eaux usées
- Gestion des déchets et des matières dangereuses
- Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
- Accès et caractère abordable
- Qualité et sécurité des produits
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Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits. - Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Capital humain
- Pratiques de travail
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle. - Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
- Conception de produit et gestion du cycle de vie
- Résilience du modèle économique
- Gestion de la chaîne d’approvisionnement
- Approvisionnement en matériaux et efficacité
- Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs. - Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
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Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient. - Gestion des risques systémiques
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Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).None -
Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.None -
Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
Avec de nombreux établissements ouverts 24 heures sur 24, l’industrie des casinos et jeux d’argent nécessite une grande quantité d’énergie pour ses opérations. Les établissements de casino disposent souvent de peu de fenêtres et comptent ainsi sur les systèmes mécaniques de leur bâtiment pour le chauffage, la ventilation, la climatisation (CVC) et l’éclairage. La production et la consommation d’énergies basées sur les combustibles fossiles contribuent à des répercussions importantes sur l’environnement, y compris au changement climatique et à la pollution, et peuvent potentiellement avoir un impact sur les résultats des opérations des entreprises possédant un casino. Il devient de plus en plus important pour les entreprises qui comptent sur leur consommation électrique pour leurs opérations de gérer efficacement l’énergie ainsi que la disponibilité de cette énergie, y compris les risques et opportunités associés à l’approvisionnement en énergie à partir de combustibles fossiles et/ou de sources d’énergie renouvelable et de substitution.
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Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.-
Jeux d’argent responsables
Alors que le but principal des jeux d’argent est le divertissement, l’industrie doit faire face à une perception négative qui est souvent liée au jeu pathologique. En plus du jeu pathologique, qui représente une dépendance progressive caractérisée par une obsession croissante pour le jeu, les clients peuvent également faire face à des problèmes de jeu, une forme moins sévère de jeu pathologique. Même si les casinos n’entraînent pas de problèmes de jeu, ils fournissent des opportunités de jouer et peuvent bénéficier de revenus disproportionnés de la part des joueurs pathologiques et dépendants. Les jeux d’argent raisonnables englobent les meilleures pratiques du secteur pour limiter les répercussions des problèmes de jeu qui peuvent découler d’infractions aux listes d’auto-exclusion, d’une publicité irresponsable, de la pratique de jeux d’argent par des mineurs ou autres exemples où l’entreprise a autrement permis les problèmes de jeu. Des incidents très médiatisés concernant le jeu pathologique ou la dépendance au jeu peuvent endommager la réputation des entreprises et provoquer une limitation réglementaire de leur permis d’exploitation.
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.-
Casinos non-fumeurs
Les établissements de casino sont généralement des environnements au climat contrôlé avec une circulation de l’air en interne, et disposent d’une concentration élevée d’employés et de clients. Alors que les campagnes antitabac ont permis à certaines régions de mettre en place l’interdiction de fumer dans les espaces publics, de nombreux casinos restent exemptés de ces interdictions. La fumée expose les employés et les clients à des risques de crises cardiaques et de cancers. En outre, des études ont montré que les employés de casino exposés au tabagisme passif ont des risques plus élevés de contracter une maladie respiratoire. Les entreprises pour lesquelles une majeure partie des revenus proviennent des clients fumeurs peuvent être négativement affectées par les interdictions de fumer, qui deviennent de plus en plus courantes. Par ailleurs, en créant des zones fumeurs, les exploitants de casinos peuvent être mieux placés pour attirer plus de joueurs non-fumeurs.
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.-
Contrôles internes sur le blanchiment d’argent
En raison de la nature de ses activités, l’industrie des casinos et jeux d’argent peut être attractive pour les criminels qui cherchent à blanchir de l’argent ou à déguiser l’origine de leurs fonds. Les facteurs de risque incluent la grande quantité de transactions en espèces, l’accessibilité à plusieurs établissements et l’anonymat du client. Ainsi, des contrôles internes stricts et robustes sont nécessaires pour que les entreprises puissent prévenir les infractions aux obligations légales de reporting portant sur le blanchiment d’argent. Les exploitants de casinos qui échouent à détecter et prévenir les activités de blanchiment d’argent peuvent être soumis à des enquêtes. Les infractions aux lois et réglementations pour lutter contre le blanchiment d’argent peuvent entraîner des poursuites pénales et/ou des sanctions réglementaires sous forme d’amendes.
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Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.None
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Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).-
Émissions de gaz à effet de serre
Le secteur du transport routier génère des émissions, notamment par le biais de la combustion de diesel et autres carburants dans les moteurs des camions. Les gaz à effet de serre (GES), dont le dioxyde de carbone (CO2) sont particulièrement importants pour les régulateurs gouvernementaux qui se préoccupent du changement climatique et pour les clients qui exigent des solutions de transport avec une teneur en carbone faible ou neutre. Comme les émissions de GES provenant des camions constituent une part importante des émissions liées au transport, l’industrie est un point de référence pour les réglementations permettant de limiter les émissions de GES. Les modifications apportées aux activités qui augmentent le rendement énergétique offrent une manière efficace pour les entreprises de réduire les coûts en carburant tout en limitant également l’exposition aux prix volatils du carburant, aux coûts réglementaires et toute autre conséquence des émissions de GES. Alors que les camions les plus récents sont plus écologiques, des mesures peuvent être prises pour améliorer l’efficacité et réduire les émissions des flottes existantes.
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Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.-
Qualité de l’air
En comparaison avec d’autres modes de transport, le fret routier a plus d’effets négatifs localisés sur la qualité de l’air en raison de ses émissions d’oxyde de soufre (SOx), d’oxyde d’azote (NOx) et de particules en suspension (PM). La forte dépendance au carburant diesel est particulièrement préoccupante ; bien que les moteurs au diesel consomment moins d’essence que les moteurs à essence, ils génèrent plus de polluants atmosphériques nocifs. L’utilisation de carburants de substitution et le filtrage des émissions avant leur rejet peut aider les entreprises à respecter les réglementations sur la qualité de l’air et éviter de contribuer aux brouillards polluants dans les villes et centres démographiquement denses, qui pourraient porter préjudice à leurs permis d’exploitation sociaux.
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.None -
Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.None -
Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.-
Conditions de travail du conducteur
L’industrie du transport routier est confrontée à des défis liés au recrutement et à la rétention des conducteurs. Une pénurie de main-d’œuvre grandissante, en partie en raison des conditions de travail difficiles inhérentes au secteur, mais aussi des réglementations qui limitent les heures de travail, peut faire augmenter les coûts de main-d’œuvre et baisser les revenus du secteur . Les livraisons urgentes sont contraignantes pour les conducteurs, qui peuvent subir de longues heures souvent irrégulières au volant, de longs séjours loin de chez eux, un manque de sommeil et un sentiment d’isolement. Ces facteurs, combinés avec les taux élevés de blessures et de maladies, largement dus aux accidents, rend difficile la tâche de recrutement de nouveaux conducteurs et la conservation du personnel existant. Les entreprises qui offrent de meilleures conditions de travail pour les conducteurs peuvent bénéficier de taux de roulement plus faibles, d’une productivité plus élevée et de la capacité à recruter du personnel pour étendre leurs activités et augmenter leurs revenus.
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Éthique des affaires
La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.None -
Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.-
Gestion des accidents et de la sécurité
Le transport routier implique des dangers inhérents au secteur, y compris des accidents à la suite d’une défaillance mécanique ou d’une erreur humaine. Les entreprises du secteur prennent des mesures pour former les conducteurs et le personnel d’entretien afin de minimiser les accidents. Les preuves des taux de blessures et de mortalité, les coûts associés et les investissements dans des technologies de sécurité montrent l’importance de la question pour le secteur. Les entreprises qui ont une gestion de la sécurité efficace peuvent améliorer l’efficacité des activités, avoir une meilleure rétention des conducteurs, réduire les délais et éviter les coûts liés aux accidents graves. En revanche, les entreprises qui connaissent une mauvaise gestion de la sécurité peuvent subir des sanctions réglementaires, des prix d’assurance plus élevés et des interruptions du service qui réduisent les revenus et la valeur de la marque
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Catégorie des problématiques générales
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Casinos et jeux d’argent
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Transport routier
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Émissions de GES
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Émissions de gaz à effet de serre
Le secteur du transport routier génère des émissions, notamment par le biais de la combustion de diesel et autres carburants dans les moteurs des camions. Les gaz à effet de serre (GES), dont le dioxyde de carbone (CO2) sont particulièrement importants pour les régulateurs gouvernementaux qui se préoccupent du changement climatique et pour les clients qui exigent des solutions de transport avec une teneur en carbone faible ou neutre. Comme les émissions de GES provenant des camions constituent une part importante des émissions liées au transport, l’industrie est un point de référence pour les réglementations permettant de limiter les émissions de GES. Les modifications apportées aux activités qui augmentent le rendement énergétique offrent une manière efficace pour les entreprises de réduire les coûts en carburant tout en limitant également l’exposition aux prix volatils du carburant, aux coûts réglementaires et toute autre conséquence des émissions de GES. Alors que les camions les plus récents sont plus écologiques, des mesures peuvent être prises pour améliorer l’efficacité et réduire les émissions des flottes existantes.
Qualité de l’air
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Qualité de l’air
En comparaison avec d’autres modes de transport, le fret routier a plus d’effets négatifs localisés sur la qualité de l’air en raison de ses émissions d’oxyde de soufre (SOx), d’oxyde d’azote (NOx) et de particules en suspension (PM). La forte dépendance au carburant diesel est particulièrement préoccupante ; bien que les moteurs au diesel consomment moins d’essence que les moteurs à essence, ils génèrent plus de polluants atmosphériques nocifs. L’utilisation de carburants de substitution et le filtrage des émissions avant leur rejet peut aider les entreprises à respecter les réglementations sur la qualité de l’air et éviter de contribuer aux brouillards polluants dans les villes et centres démographiquement denses, qui pourraient porter préjudice à leurs permis d’exploitation sociaux.
Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie
Avec de nombreux établissements ouverts 24 heures sur 24, l’industrie des casinos et jeux d’argent nécessite une grande quantité d’énergie pour ses opérations. Les établissements de casino disposent souvent de peu de fenêtres et comptent ainsi sur les systèmes mécaniques de leur bâtiment pour le chauffage, la ventilation, la climatisation (CVC) et l’éclairage. La production et la consommation d’énergies basées sur les combustibles fossiles contribuent à des répercussions importantes sur l’environnement, y compris au changement climatique et à la pollution, et peuvent potentiellement avoir un impact sur les résultats des opérations des entreprises possédant un casino. Il devient de plus en plus important pour les entreprises qui comptent sur leur consommation électrique pour leurs opérations de gérer efficacement l’énergie ainsi que la disponibilité de cette énergie, y compris les risques et opportunités associés à l’approvisionnement en énergie à partir de combustibles fossiles et/ou de sources d’énergie renouvelable et de substitution.
Bien-être des clients
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Jeux d’argent responsables
Alors que le but principal des jeux d’argent est le divertissement, l’industrie doit faire face à une perception négative qui est souvent liée au jeu pathologique. En plus du jeu pathologique, qui représente une dépendance progressive caractérisée par une obsession croissante pour le jeu, les clients peuvent également faire face à des problèmes de jeu, une forme moins sévère de jeu pathologique. Même si les casinos n’entraînent pas de problèmes de jeu, ils fournissent des opportunités de jouer et peuvent bénéficier de revenus disproportionnés de la part des joueurs pathologiques et dépendants. Les jeux d’argent raisonnables englobent les meilleures pratiques du secteur pour limiter les répercussions des problèmes de jeu qui peuvent découler d’infractions aux listes d’auto-exclusion, d’une publicité irresponsable, de la pratique de jeux d’argent par des mineurs ou autres exemples où l’entreprise a autrement permis les problèmes de jeu. Des incidents très médiatisés concernant le jeu pathologique ou la dépendance au jeu peuvent endommager la réputation des entreprises et provoquer une limitation réglementaire de leur permis d’exploitation.
Santé et sécurité des employés
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Casinos non-fumeurs
Les établissements de casino sont généralement des environnements au climat contrôlé avec une circulation de l’air en interne, et disposent d’une concentration élevée d’employés et de clients. Alors que les campagnes antitabac ont permis à certaines régions de mettre en place l’interdiction de fumer dans les espaces publics, de nombreux casinos restent exemptés de ces interdictions. La fumée expose les employés et les clients à des risques de crises cardiaques et de cancers. En outre, des études ont montré que les employés de casino exposés au tabagisme passif ont des risques plus élevés de contracter une maladie respiratoire. Les entreprises pour lesquelles une majeure partie des revenus proviennent des clients fumeurs peuvent être négativement affectées par les interdictions de fumer, qui deviennent de plus en plus courantes. Par ailleurs, en créant des zones fumeurs, les exploitants de casinos peuvent être mieux placés pour attirer plus de joueurs non-fumeurs.
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Conditions de travail du conducteur
L’industrie du transport routier est confrontée à des défis liés au recrutement et à la rétention des conducteurs. Une pénurie de main-d’œuvre grandissante, en partie en raison des conditions de travail difficiles inhérentes au secteur, mais aussi des réglementations qui limitent les heures de travail, peut faire augmenter les coûts de main-d’œuvre et baisser les revenus du secteur . Les livraisons urgentes sont contraignantes pour les conducteurs, qui peuvent subir de longues heures souvent irrégulières au volant, de longs séjours loin de chez eux, un manque de sommeil et un sentiment d’isolement. Ces facteurs, combinés avec les taux élevés de blessures et de maladies, largement dus aux accidents, rend difficile la tâche de recrutement de nouveaux conducteurs et la conservation du personnel existant. Les entreprises qui offrent de meilleures conditions de travail pour les conducteurs peuvent bénéficier de taux de roulement plus faibles, d’une productivité plus élevée et de la capacité à recruter du personnel pour étendre leurs activités et augmenter leurs revenus.
Éthique des affaires
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Contrôles internes sur le blanchiment d’argent
En raison de la nature de ses activités, l’industrie des casinos et jeux d’argent peut être attractive pour les criminels qui cherchent à blanchir de l’argent ou à déguiser l’origine de leurs fonds. Les facteurs de risque incluent la grande quantité de transactions en espèces, l’accessibilité à plusieurs établissements et l’anonymat du client. Ainsi, des contrôles internes stricts et robustes sont nécessaires pour que les entreprises puissent prévenir les infractions aux obligations légales de reporting portant sur le blanchiment d’argent. Les exploitants de casinos qui échouent à détecter et prévenir les activités de blanchiment d’argent peuvent être soumis à des enquêtes. Les infractions aux lois et réglementations pour lutter contre le blanchiment d’argent peuvent entraîner des poursuites pénales et/ou des sanctions réglementaires sous forme d’amendes.
Gestion des risques d’incidents critiques
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Gestion des accidents et de la sécurité
Le transport routier implique des dangers inhérents au secteur, y compris des accidents à la suite d’une défaillance mécanique ou d’une erreur humaine. Les entreprises du secteur prennent des mesures pour former les conducteurs et le personnel d’entretien afin de minimiser les accidents. Les preuves des taux de blessures et de mortalité, les coûts associés et les investissements dans des technologies de sécurité montrent l’importance de la question pour le secteur. Les entreprises qui ont une gestion de la sécurité efficace peuvent améliorer l’efficacité des activités, avoir une meilleure rétention des conducteurs, réduire les délais et éviter les coûts liés aux accidents graves. En revanche, les entreprises qui connaissent une mauvaise gestion de la sécurité peuvent subir des sanctions réglementaires, des prix d’assurance plus élevés et des interruptions du service qui réduisent les revenus et la valeur de la marque