Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Établissements de loisirs
L’industrie est composée d’entreprises qui exploitent des installations et des services de divertissement, de voyage et de loisirs. Les entreprises de cette industrie exploitent des parcs d’attractions, des cinémas, des stations de ski, des stades sportifs, des clubs sportifs et d’autres sites. Les installations de loisirs génèrent principalement des revenus en fournissant des spectacles en direct, numériques et/ou interactifs à des millions d’invités et de clients chaque année dans divers endroits. -
Transport ferroviaire
Le secteur du transport ferroviaire comprend les entreprises qui fournissent des services d’expédition et de soutien de marchandises ferroviaires. Les activités principales incluent les expéditions de marchandises en conteneur ou en vrac, y compris des produits et biens de consommation. En général, les compagnies ferroviaires détiennent, entretiennent et opèrent sur leurs propres réseaux ferroviaires, qui peuvent nécessiter des dépenses en capital significatives. Les États-Unis disposent du réseau ferroviaire le plus long au monde, suivi de près par la Russie, la Chine, l’Inde, le Canada, l’Allemagne et la France. L’industrie montre des économies de densité en raison des effets de son réseau, se prêtant à des conditions de monopole naturelles. Avec le grand coût irrécupérable de l’infrastructure ferroviaire, ceci offre un avantage concurrentiel pour les entreprises dominantes de l’industrie et crée des obstacles à l’insertion de nouvelles entreprises.
Questions pertinentes pour les deux Industries (7 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3). -
Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte. -
Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. - Gestion de l’eau et des eaux usées
- Gestion des déchets et des matières dangereuses
- Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
- Accès et caractère abordable
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. - Bien-être des clients
- Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Capital humain
- Pratiques de travail
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle. - Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
- Conception de produit et gestion du cycle de vie
- Résilience du modèle économique
- Gestion de la chaîne d’approvisionnement
- Approvisionnement en matériaux et efficacité
- Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
- Éthique des affaires
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Comportement concurrentiel
La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI). - Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
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Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient. - Gestion des risques systémiques
Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).None -
Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.None -
Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
Les entreprises d’installations de loisirs exploitent de grandes installations extérieures et intérieures qui peuvent consommer une quantité importante d’énergie. La consommation électrique de l’industrie qui est principalement achetée conduit indirectement aux émissions de gaz à effet de serre (GES) contribuant massivement au changement climatique. Les entreprises de l’industrie mettent en place des pratiques de gestion de l’énergie responsables afin de réduire les dépenses d’exploitation et les répercussions environnementales, avec pour objectif d’améliorer leur image auprès de leurs clients, de plus en plus sensibles à la durabilité de l’environnement.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Sécurité du client
Les entreprises d’installations de loisirs exploitent des parcs et des installations qui exposent les visiteurs à des conditions potentiellement dangereuses pouvant entraîner des blessures et même la mort. La gestion de la sécurité comprend donc la gestion de la sécurité des manèges et des pistes de ski des parcs d’attractions, ainsi que des bâtiments d’exploitation où de grandes foules de personnes peuvent être présentes, comme les sites sportifs et les concerts. L’industrie est principalement sujette à des préoccupations de sécurité peu probables, mais de grande ampleur. Garantir les normes de sécurité les plus élevées peut permettre aux entreprises de minimiser les atteintes à la réputation et les responsabilités découlant de poursuites coûteuses.
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.-
Sécurité des collaborateurs
Les préoccupations en matière de sécurité dans l’industrie des installations de loisirs peuvent exposer les employés à des blessures si les installations et les équipements ne sont pas entretenus ou si des précautions et des procédures de formation ne sont pas en place. Les manèges dans les parcs d’attractions, les pistes de ski et d’autres installations peuvent exposer les employés à des conditions potentiellement dangereuses qui entraînent des blessures ou même la mort. Les répercussions financières potentielles associées aux violations de la sécurité des employés comprennent les amendes réglementaires, les coûts de réduction et les répercussions négatives sur la réputation de la marque. Ces répercussions peuvent découler d’accidents ainsi que de problèmes de sécurité chroniques.
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Comportement concurrentiel
La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).None -
Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.None
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Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).-
Émissions de gaz à effet de serre
Le secteur du transport ferroviaire génère des émissions, principalement par le biais de la combustion de diesel dans les moteurs des locomotives. Malgré des émissions relativement basses par rapport à d’autres industries du transport, la gestion du carburant a des incidences pour les entreprises de l’industrie, en termes de coûts d’exploitation et de respect des réglementations. Les gaz à effet de serre (GES), y compris le dioxyde de carbone (CO2), ont une importance singulière pour les régulateurs gouvernementaux qui se préoccupent du changement climatique. L’intensification de la réglementation associée aux émissions d’échappement des locomotives et aux coûts élevés du carburant offre des incitations, pour les compagnies ferroviaires, à investir dans un rendement énergétique amélioré pour gérer leurs émissions. Ceci peut permettre d’augmenter l’efficacité opérationnelle et affecter la structure des coûts des compagnies ferroviaires, avec des répercussions chroniques et importantes sur la valeur et la position concurrentielle au sein de l’industrie et en comparaison avec les autres modes de transport.
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Qualité de l’air
La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.-
Qualité de l’air
Les activités ferroviaires émettent plusieurs types de polluants atmosphériques qui sont réglementés par des lois nationales et internationales, y compris des polluants atmosphériques dangereux (PAD), des polluants atmosphériques courants (PAC) et des composés organiques volatils (COV). Ces polluants tendent à affecter la santé et l’environnement de manière localisée. Par exemple, les moteurs de locomotive qui avancent au ralenti sur plusieurs mètres de rail peuvent devenir une préoccupation sanitaire pour les populations humaines à proximité, car des PAD comme le benzène sont connus comme étant cancérigènes pour les humains, alors que l’oxyde d’azote (NOx) est un composant majeur des brouillards de pollution et pluies acides. Dans le même temps, le carburant représente un coût important de l’industrie. Les compagnies ferroviaires qui mettent en place des améliorations de leur rendement énergétique et qui gèrent les émissions peuvent voir les répercussions sur leurs coûts à court et à long termes.
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.None -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.None -
Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.-
Santé et sécurité des employés
Le transport de frets par voie ferroviaire est associé au risque d’accidents et rejets accidentels de matières dangereuses. Ces accidents et rejets peuvent nuire à la santé et au bien-être des employés ainsi qu’avoir des répercussions financières négatives pour les entreprises, telles qu’une productivité réduite, un roulement plus important du personnel et des coûts d’assurance accrus. Les opérateurs ferroviaires sont susceptibles d’être affectés par des accidents, et dans certains cas, une mauvaise santé pourrait aussi causer des accidents. Des collaborateurs en bonne santé, une culture de sécurité forte, une approche systémique et approfondie pour plus de sécurité, des programmes de gestion des risques (y compris une préparation aux urgences et comment y répondre), et une intégrité opérationnelle à tous les niveaux de l’entreprise peuvent aider à minimiser la probabilité et la magnitude des accidents ferroviaires.
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Comportement concurrentiel
La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).-
Comportement concurrentiel
Une consolidation du secteur et des allégations concernant les pratiques anticoncurrentielles en relation avec les expéditeurs captifs, parmi d’autres raisons, créent une pression sur l’immunité antitrust conférée aux voies ferrées dans certaines régions. Certaines des modifications proposées sur les politiques pourraient entraîner des coûts importants ou entraver les investissements dans l’industrie. Les compagnies ferroviaires qui opèrent dans les limites des charges admissibles dans les régions où elles pourraient être reconnues comme dominantes sur le marché, ou celles qui ne respectent pas les réglementations à propos des prix raisonnables, sont susceptibles d’être confrontées à des contrôles réglementaires accus. Toute amende ou sanction associée peut affecter négativement la valeur d’une entreprise en augmentant son coût du capital. Dans un environnement où les préoccupations concernant le pouvoir de marché et les pratiques de prix des compagnies ferroviaires sont accrues, il est dans leur intérêt de continuer à assurer des prix concurrentiels et une transparence dans l’établissement des prix tout en parvenant à des retours sur investissement adéquats.
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Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.-
Gestion des accidents et de la sécurité
Les accidents ferroviaires et les rejets accidentels de matières dangereuses peuvent avoir des répercussions sur l’environnement et les communautés le long des voies ferrées, ainsi que sur les finances des entreprises elles-mêmes. Des réglementations de sécurité de plus en plus strictes et des coûts potentiellement importants à la suite d’accidents majeurs offrent des incitations, pour les entreprises, à gérer leurs performances en matière de sécurité par le biais d’un système de gestion de la sécurité robuste. En outre, la perte de la confiance des consommateurs après de tels événements peut entraîner une diminution des revenus et peuvent potentiellement porter préjudice au permis d’exploitation sociale d’une entreprise, augmentant son coût du capital.
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Catégorie des problématiques générales
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Établissements de loisirs
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Transport ferroviaire
Access Standard
Émissions de GES
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Émissions de gaz à effet de serre
Le secteur du transport ferroviaire génère des émissions, principalement par le biais de la combustion de diesel dans les moteurs des locomotives. Malgré des émissions relativement basses par rapport à d’autres industries du transport, la gestion du carburant a des incidences pour les entreprises de l’industrie, en termes de coûts d’exploitation et de respect des réglementations. Les gaz à effet de serre (GES), y compris le dioxyde de carbone (CO2), ont une importance singulière pour les régulateurs gouvernementaux qui se préoccupent du changement climatique. L’intensification de la réglementation associée aux émissions d’échappement des locomotives et aux coûts élevés du carburant offre des incitations, pour les compagnies ferroviaires, à investir dans un rendement énergétique amélioré pour gérer leurs émissions. Ceci peut permettre d’augmenter l’efficacité opérationnelle et affecter la structure des coûts des compagnies ferroviaires, avec des répercussions chroniques et importantes sur la valeur et la position concurrentielle au sein de l’industrie et en comparaison avec les autres modes de transport.
Qualité de l’air
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Qualité de l’air
Les activités ferroviaires émettent plusieurs types de polluants atmosphériques qui sont réglementés par des lois nationales et internationales, y compris des polluants atmosphériques dangereux (PAD), des polluants atmosphériques courants (PAC) et des composés organiques volatils (COV). Ces polluants tendent à affecter la santé et l’environnement de manière localisée. Par exemple, les moteurs de locomotive qui avancent au ralenti sur plusieurs mètres de rail peuvent devenir une préoccupation sanitaire pour les populations humaines à proximité, car des PAD comme le benzène sont connus comme étant cancérigènes pour les humains, alors que l’oxyde d’azote (NOx) est un composant majeur des brouillards de pollution et pluies acides. Dans le même temps, le carburant représente un coût important de l’industrie. Les compagnies ferroviaires qui mettent en place des améliorations de leur rendement énergétique et qui gèrent les émissions peuvent voir les répercussions sur leurs coûts à court et à long termes.
Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie
Les entreprises d’installations de loisirs exploitent de grandes installations extérieures et intérieures qui peuvent consommer une quantité importante d’énergie. La consommation électrique de l’industrie qui est principalement achetée conduit indirectement aux émissions de gaz à effet de serre (GES) contribuant massivement au changement climatique. Les entreprises de l’industrie mettent en place des pratiques de gestion de l’énergie responsables afin de réduire les dépenses d’exploitation et les répercussions environnementales, avec pour objectif d’améliorer leur image auprès de leurs clients, de plus en plus sensibles à la durabilité de l’environnement.
Qualité et sécurité des produits
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Sécurité du client
Les entreprises d’installations de loisirs exploitent des parcs et des installations qui exposent les visiteurs à des conditions potentiellement dangereuses pouvant entraîner des blessures et même la mort. La gestion de la sécurité comprend donc la gestion de la sécurité des manèges et des pistes de ski des parcs d’attractions, ainsi que des bâtiments d’exploitation où de grandes foules de personnes peuvent être présentes, comme les sites sportifs et les concerts. L’industrie est principalement sujette à des préoccupations de sécurité peu probables, mais de grande ampleur. Garantir les normes de sécurité les plus élevées peut permettre aux entreprises de minimiser les atteintes à la réputation et les responsabilités découlant de poursuites coûteuses.
Santé et sécurité des employés
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Sécurité des collaborateurs
Les préoccupations en matière de sécurité dans l’industrie des installations de loisirs peuvent exposer les employés à des blessures si les installations et les équipements ne sont pas entretenus ou si des précautions et des procédures de formation ne sont pas en place. Les manèges dans les parcs d’attractions, les pistes de ski et d’autres installations peuvent exposer les employés à des conditions potentiellement dangereuses qui entraînent des blessures ou même la mort. Les répercussions financières potentielles associées aux violations de la sécurité des employés comprennent les amendes réglementaires, les coûts de réduction et les répercussions négatives sur la réputation de la marque. Ces répercussions peuvent découler d’accidents ainsi que de problèmes de sécurité chroniques.
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Santé et sécurité des employés
Le transport de frets par voie ferroviaire est associé au risque d’accidents et rejets accidentels de matières dangereuses. Ces accidents et rejets peuvent nuire à la santé et au bien-être des employés ainsi qu’avoir des répercussions financières négatives pour les entreprises, telles qu’une productivité réduite, un roulement plus important du personnel et des coûts d’assurance accrus. Les opérateurs ferroviaires sont susceptibles d’être affectés par des accidents, et dans certains cas, une mauvaise santé pourrait aussi causer des accidents. Des collaborateurs en bonne santé, une culture de sécurité forte, une approche systémique et approfondie pour plus de sécurité, des programmes de gestion des risques (y compris une préparation aux urgences et comment y répondre), et une intégrité opérationnelle à tous les niveaux de l’entreprise peuvent aider à minimiser la probabilité et la magnitude des accidents ferroviaires.
Comportement concurrentiel
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Comportement concurrentiel
Une consolidation du secteur et des allégations concernant les pratiques anticoncurrentielles en relation avec les expéditeurs captifs, parmi d’autres raisons, créent une pression sur l’immunité antitrust conférée aux voies ferrées dans certaines régions. Certaines des modifications proposées sur les politiques pourraient entraîner des coûts importants ou entraver les investissements dans l’industrie. Les compagnies ferroviaires qui opèrent dans les limites des charges admissibles dans les régions où elles pourraient être reconnues comme dominantes sur le marché, ou celles qui ne respectent pas les réglementations à propos des prix raisonnables, sont susceptibles d’être confrontées à des contrôles réglementaires accus. Toute amende ou sanction associée peut affecter négativement la valeur d’une entreprise en augmentant son coût du capital. Dans un environnement où les préoccupations concernant le pouvoir de marché et les pratiques de prix des compagnies ferroviaires sont accrues, il est dans leur intérêt de continuer à assurer des prix concurrentiels et une transparence dans l’établissement des prix tout en parvenant à des retours sur investissement adéquats.
Gestion des risques d’incidents critiques
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Gestion des accidents et de la sécurité
Les accidents ferroviaires et les rejets accidentels de matières dangereuses peuvent avoir des répercussions sur l’environnement et les communautés le long des voies ferrées, ainsi que sur les finances des entreprises elles-mêmes. Des réglementations de sécurité de plus en plus strictes et des coûts potentiellement importants à la suite d’accidents majeurs offrent des incitations, pour les entreprises, à gérer leurs performances en matière de sécurité par le biais d’un système de gestion de la sécurité robuste. En outre, la perte de la confiance des consommateurs après de tels événements peut entraîner une diminution des revenus et peuvent potentiellement porter préjudice au permis d’exploitation sociale d’une entreprise, augmentant son coût du capital.