Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Médias et divertissement Les entreprises des médias et du divertissement créent du contenu et/ou acquièrent des droits de distribution de contenu sur le câble ou les médias de radiodiffusion, y compris des émissions de divertissement, d’actualités, de musique et des émissions pour enfants. Les entreprises de cette industrie publient également des livres, des journaux et des périodiques, et diffusent des émissions de radio et de télévision locale.
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  • Producteurs de fer et d’acier L’industrie des producteurs de fer et d’acier se compose de producteurs d’acier qui ont des usines sidérurgiques et des aciéries et des fonderies de fer et d’acier. Le segment des producteurs d’acier comprend les entreprises qui produisent des produits sidérurgiques à partir de leurs propres usines. Ces produits comprennent des feuilles laminées à plat, des plaques d’étain, des tuyaux, des tubes et des produits en acier inoxydable, en titane et en acier fortement allié. Les fonderies de fer et d’acier, qui fondent divers produits, achètent généralement du fer et de l’acier à d’autres entreprises. L’industrie comprend également des centres de service en métal et d’autres grossistes en métaux qui distribuent, importent ou exportent des produits ferreux. La production d’acier passe par deux méthodes principales : le convertisseur basique à oxygène (CBO), qui utilise du minerai de fer comme entrée, et le four à arc électrique (FAE), qui utilise de la ferraille d’acier. De nombreuses entreprises de l’industrie exercent leurs activités à l’échelle internationale. Remarque : à quelques exceptions près, la plupart des entreprises n’exploitent pas leur propre minerai pour fabriquer des produits en acier et en fer. Il existe des normes SASB distinctes pour l’industrie Métaux et exploitation minière (EM-MM).
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Questions pertinentes pour les deux Industries (10 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Médias et divertissement Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      None
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      None
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
      None
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Pluralisme dans les médias Le pluralisme dans les médias, c’est-à-dire la diversité au sens large, comprend le pluralisme interne et externe. Le pluralisme externe désigne la propriété des médias, les comités de rédaction indépendants, les canaux, les titres ou les émissions. Le pluralisme interne désigne la diversité sociale, raciale/ethnique et politique représentée dans le contenu des médias. Les entreprises de médias et de divertissement peuvent assurer le pluralisme en maintenant la diversité à l’écran et hors écran et en préservant l’indépendance des comités de rédaction et de la programmation.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Intégrité journalistique et identification des commanditaires L’audience compte sur les journalistes pour obtenir des renseignements exacts et opportuns sur l’actualité. Les principes du journalisme comprennent l’exactitude, l’équité, la minimisation des préjudices, l’indépendance, la responsabilisation et la transparence. Le non-respect de ces principes peut affecter la crédibilité non seulement du journaliste, mais aussi de la société responsable de la publication ou de la diffusion de ces documents. À mesure que les règlements sur la divulgation des commandites et de l’appui évoluent, la transparence est importante pour le contenu journalistique et de divertissement.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Protection de la propriété intellectuelle et piratage des médias Les entreprises de cette industrie comptent sur leur propriété intellectuelle (PI) pour générer des revenus. Cependant, bien que la protection de la PI soit inhérente à leur modèle d’affaires, de solides protections de la PI peuvent parfois entrer en conflit avec les intérêts de la société. Les promoteurs de la protection de la PI affirment son importance en tant que moteur de l’innovation. Les opposants soutiennent que l’attribution de la propriété peut étouffer l’innovation et la concurrence en permettant la création de monopoles. Malgré les meilleurs efforts de l’industrie, le piratage des médias est endémique et les entreprises consacrent des ressources importantes à la protection et à l’application de leurs droits de PI. Les entreprises de médias et de divertissement doivent donc trouver un équilibre entre la protection de leur propriété intellectuelle et l’accès aux médias et l’utilisation équitable.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre La production de fer et d’acier génère d’importantes émissions directes de gaz à effet de serre (GES), principalement de dioxyde de carbone et de méthane, provenant des procédés de production et de la combustion de combustible sur place. Bien que les améliorations technologiques aient permis de réduire les émissions de GES par tonne d’acier produit, la production d’acier demeure à forte intensité carbonique par rapport à d’autres industries. Les efforts de réglementation visant à réduire les émissions de GES pour répondre aux risques présentés par le changement climatique peuvent entraîner des coûts et des risques de conformité réglementaires supplémentaires pour les entreprises sidérurgiques en raison des politiques d’atténuation du changement climatique. Des économies opérationnelles peuvent être réalisées par le biais d’une réduction rentable des émissions de GES. Ces économies peuvent atténuer l’impact financier potentiel de l’augmentation des coûts de carburant due aux réglementations visant à limiter ou imposer un prix sur les émissions de GES.
    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Émissions atmosphériques La production de fer et d’acier génère habituellement des polluants atmosphériques importants, des composés organiques volatils (COV) et des polluants atmosphériques dangereux, qui peuvent avoir des répercussions localisées importantes sur la santé publique. Les oxydes de soufre, le dioxyde d’azote, le plomb, le monoxyde de carbone et le manganèse, ainsi que des particules comme la suie et la poussière, qui sont libérés pendant le processus de production, sont particulièrement préoccupants. Partout en Amérique du Nord, en Europe de l’Ouest et au Japon, l’innovation technologique et l’amélioration continue des procédés de fabrication de l’acier ont permis de réduire considérablement les polluants atmosphériques provenant de l’industrie des producteurs de fer et d’acier. Toutefois, les polluants atmosphériques demeurent une source de préoccupation en raison de l’inquiétude accrue de la réglementation et du public à l’égard de la pollution atmosphérique, ainsi que de l’expansion de la production d’acier dans les marchés émergents. La production de fer et d’acier dans les marchés émergents pourrait être touchée par les efforts de réglementation visant à réduire la pollution atmosphérique. La gestion active des émissions des installations par la mise en œuvre de pratiques exemplaires de l’industrie dans l’ensemble des opérations mondiales peut faciliter la transition vers une production d’acier durable, réduire les coûts et potentiellement améliorer l’efficacité opérationnelle.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie La production d’acier nécessite des quantités importantes d’énergie, provenant principalement de la combustion directe de combustibles fossiles ainsi que de l’énergie achetée sur le réseau. La production à forte intensité énergétique a des répercussions sur le changement climatique et les achats d’électricité sur le réseau peuvent entraîner des émissions indirectes de scope 2. Le choix entre les différents processus de production, les fours à arc électrique et les fours à oxygène de base intégrés, peut influencer le choix d’une entreprise à utiliser des combustibles fossiles ou achète de l’électricité. Cette décision, conjuguée au choix entre l’utilisation du charbon, du gaz naturel ou de l’électricité provenant du réseau, peut jouer un rôle important dans l’influence des coûts et de la fiabilité de l’approvisionnement énergétique. Une énergie abordable, facilement accessible et fiable est un facteur concurrentiel important dans cette industrie, les coûts énergétiques représentant une part importante des coûts de fabrication. La façon dont une entreprise sidérurgique gère son efficacité énergétique globale, sa dépendance à l’égard de différents types d’énergie et des risques associés en matière de durabilité, et sa capacité à accéder à d’autres sources d’énergie peuvent influer sur sa rentabilité.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau La production d’acier nécessite une quantité importante d’eau. Les entreprises font face à des risques opérationnels, réglementaires et de réputation en raison de la rareté de l’eau, des coûts d’acquisition de l’eau, des règlements sur les effluents ou la quantité d’eau utilisée et de la concurrence avec les collectivités locales et d’autres industries pour des ressources en eau limitées. C’est le cas notamment dans les régions où l’eau se fait rare, en raison des contraintes potentielles de disponibilité de l’eau et de la volatilité des prix. Les entreprises qui ne sont pas en mesure d’assurer un approvisionnement stable en eau pourraient faire face à des perturbations de la production, tandis que la hausse des prix de l’eau pourrait directement augmenter les coûts de production. Par conséquent, l’adoption de technologies et de processus qui réduisent la consommation d’eau pourrait réduire les risques et les coûts d’exploitation pour les entreprises en minimisant l’incidence de la réglementation, des pénuries d’eau et des perturbations liées aux collectivités sur les activités des entreprises.
    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Gestion des déchets Bien que les taux de valorisation des déchets dans la production d’acier soient élevés, l’industrie génère d’importantes quantités de déchets dangereux. Il y a trois principaux types de déchets dans l’industrie : les scories, les poussières et les boues. Ces sous-produits sont souvent recyclés en interne ou vendus à d’autres industries. Toutefois, les déchets de procédé tels que la poussière de four à arc électrique, qui est réglementée comme une matière dangereuse aux États-Unis en raison de sa teneur en métaux lourds, peuvent avoir d’importantes répercussions sur l’environnement et la santé humaine, présentent un risque réglementaire et entraînent des coûts d’exploitation supplémentaires pour les entreprises. Les risques liés aux répercussions à long terme de l’élimination des déchets peuvent entraîner des coûts importants, y compris ceux associés aux propriétés d’élimination hors site contaminées, pour lesquelles les producteurs de fer et d’acier peuvent être tenus responsables des activités d’assainissement et de restauration. Les entreprises qui réduisent les flux de déchets et les flux de déchets dangereux en particulier, et recyclent ou vendent des sous-produits non dangereux, pourraient donc réduire les risques et les coûts réglementaires tout en augmentant les revenus.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des collaborateurs Les procédés industriels utilisés dans la production de fer et d’acier peuvent présenter des risques importants pour les employés et les entrepreneurs travaillant dans les usines sidérurgiques. Compte tenu des températures élevées et de la machinerie lourde en cause, les blessures et les décès des travailleurs préoccupent les producteurs de fer et d’acier. L’industrie présente un taux de mortalité relativement élevé, ce qui signifie que l’environnement de travail est dangereux et exige une solide culture de sécurité et de solides politiques en matière de santé et de sécurité. Alors que les taux d’accidents dans l’industrie sont en baisse sur le long terme, les blessures et les décès des travailleurs peuvent entraîner des sanctions réglementaires, une publicité négative, une baisse de moral et de la productivité des travailleurs, ainsi qu’une augmentation des coûts des soins de santé et de l’indemnisation.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Gestion de la chaîne d’approvisionnement Le minerai de fer et le charbon sont des matières premières essentielles au processus de production de l’acier. L’extraction du minerai de fer et la production de charbon exigent beaucoup de ressources. L’extraction de ces matériaux a souvent des effets environnementaux et sociaux importants sur les communautés locales, les travailleurs et les écosystèmes. De telles répercussions peuvent entraîner des perturbations dans les activités minières en raison de protestations communautaires, de mesures juridiques ou réglementaires, ou une augmentation des coûts d’extraction en raison des coûts de conformité à la réglementation ou des pénalités. Les entreprises sidérurgiques pourraient faire face à des perturbations en conséquence, ou dans certains cas, pourraient également être assujetties à des sanctions réglementaires associées à l’impact environnemental ou social du fournisseur de l’entreprise minière. Afin de réduire au minimum ces risques, les producteurs de fer et d’acier peuvent gérer de façon proactive leurs fournisseurs directs de matières premières critiques pour s’assurer qu’ils ne se livrent pas à des pratiques illégales ou autrement dommageables pour l’environnement ou la société, au moyen d’un examen approprié des fournisseurs, la surveillance et l’engagement.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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