Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Médias et divertissement Les entreprises des médias et du divertissement créent du contenu et/ou acquièrent des droits de distribution de contenu sur le câble ou les médias de radiodiffusion, y compris des émissions de divertissement, d’actualités, de musique et des émissions pour enfants. Les entreprises de cette industrie publient également des livres, des journaux et des périodiques, et diffusent des émissions de radio et de télévision locale.
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  • Produits de pâtes et papiers Le secteur des produits de pâtes et papiers est composée d’entreprises qui fabriquent un éventail de produits de pâte de bois et de papier, notamment les fibres de pâte, l’emballage en papier, le papier hygiénique, le papier de bureau, le papier journal et le papier pour les applications industrielles. Les entreprises de l’industrie agissent généralement comme des entités interentreprises et peuvent exercer des activités dans plusieurs pays, comme les États-Unis, le Canada et le Brésil. Certaines entreprises intégrées possèdent ou gèrent des zones boisées et s’impliquent dans la gestion des forêts, mais les questions relatives à la durabilité qui découlent de ces activités sont abordées dans la norme industrielle SABS Gestion de l’environnement forestier (RR-FM).
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Questions pertinentes pour les deux Industries (8 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
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    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Pluralisme dans les médias Le pluralisme dans les médias, c’est-à-dire la diversité au sens large, comprend le pluralisme interne et externe. Le pluralisme externe désigne la propriété des médias, les comités de rédaction indépendants, les canaux, les titres ou les émissions. Le pluralisme interne désigne la diversité sociale, raciale/ethnique et politique représentée dans le contenu des médias. Les entreprises de médias et de divertissement peuvent assurer le pluralisme en maintenant la diversité à l’écran et hors écran et en préservant l’indépendance des comités de rédaction et de la programmation.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Intégrité journalistique et identification des commanditaires L’audience compte sur les journalistes pour obtenir des renseignements exacts et opportuns sur l’actualité. Les principes du journalisme comprennent l’exactitude, l’équité, la minimisation des préjudices, l’indépendance, la responsabilisation et la transparence. Le non-respect de ces principes peut affecter la crédibilité non seulement du journaliste, mais aussi de la société responsable de la publication ou de la diffusion de ces documents. À mesure que les règlements sur la divulgation des commandites et de l’appui évoluent, la transparence est importante pour le contenu journalistique et de divertissement.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Protection de la propriété intellectuelle et piratage des médias Les entreprises de cette industrie comptent sur leur propriété intellectuelle (PI) pour générer des revenus. Cependant, bien que la protection de la PI soit inhérente à leur modèle d’affaires, de solides protections de la PI peuvent parfois entrer en conflit avec les intérêts de la société. Les promoteurs de la protection de la PI affirment son importance en tant que moteur de l’innovation. Les opposants soutiennent que l’attribution de la propriété peut étouffer l’innovation et la concurrence en permettant la création de monopoles. Malgré les meilleurs efforts de l’industrie, le piratage des médias est endémique et les entreprises consacrent des ressources importantes à la protection et à l’application de leurs droits de PI. Les entreprises de médias et de divertissement doivent donc trouver un équilibre entre la protection de leur propriété intellectuelle et l’accès aux médias et l’utilisation équitable.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre La fabrication de produits de pâte et papier génère des émissions gaz à effet de serre (GES) directes liées à la combustion de combustibles fossiles et de biomasse dans les moteurs stationnaires et mobiles, les chaudières de cogénération et d’autres équipements de traitement. Les entreprises de l’industrie utilisent également généralement des quantités importantes de biomasses neutres en carbone pour leurs besoins en énergie, dont l’utilisation peut réduire les coûts liés à l’achat de combustibles fossiles et atténuer le risque réglementaire lié aux émissions de carbone. Les émissions liées aux sources de combustibles fossiles peuvent engendrer des coûts de conformité réglementaire en fonction de l’ampleur des émissions et des réglementations sur les émissions en vigueur. Les entreprises qui gèrent les émissions de GES de manière rentable par une efficacité énergétique supérieure, l’utilisation de carburant alternatif ou des améliorations du processus de fabrication peuvent bénéficier d’une meilleure efficacité opérationnelle et d’une réduction des coûts de conformité réglementaire.
    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Qualité de l’air Les usines de produits de pâte et papier génèrent des émissions atmosphériques, notamment les oxydes de soufre, les oxydes d’azote et les particules en suspension. Les sources d’émissions comprennent les chaudières à combustible de cogénération, les chambres à pression de pâte et de papier, la réduction des copeaux de bois en pâte, la récupération chimique de la pâte et les moteurs de procédés. Les émissions de l’industrie ont considérablement réduit ces dernières années, mais les dépenses liées à la réduction des émissions peuvent être importantes ; les réglementations en constante évolution sur la qualité de l’air peuvent également entraîner des incertitudes réglementaires. Les entreprises qui réduisent de manière rentable les émissions atmosphériques peuvent améliorer l’efficacité opérationnelle, bénéficier d’une structure de coût plus faible et atténuer le risque réglementaire.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie La fabrication de produits de pâte et papier consomme beaucoup d’énergie. Dans la plupart des installations, l’énergie provient principalement de la combustion de biomasse et de combustibles fossiles, mais certaines installations peuvent également utiliser de l’électricité achetée. Les décisions relatives à la génération d’électricité sur site par rapport à l’approvisionnement en électricité sur le réseau, ainsi qu’à l’utilisation de la biomasse et d’autres énergies renouvelables, peuvent entraîner des compromis liés au coût de l’approvisionnement en énergie, à la fiabilité des activités et à l’étendue du risque réglementaire de scope 1 ou d’autres émissions atmosphériques. La façon dont une entreprise gère son efficacité énergétique, son recours à différents types d’énergie et les risques liés à la durabilité associés, ainsi que sa capacité à accéder à des sources d’énergie de substitution, est susceptible d’atténuer la variabilité des coûts de l’énergie.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau La fabrication de produits de pâte et papier est généralement un processus coûteux en eau, qui entraîne une utilisation de l’eau pendant le traitement des matériaux, le refroidissement des processus et la production de vapeur dans les usines d’énergie sur site. Les entreprises ont besoin d’un approvisionnement en eau abondant et stable, et peuvent produire de larges volumes d’eaux usées, dont la majorité est traitée et renvoyée dans l’environnement. L’eau des processus contient généralement des composants organiques dissous et d’autres solides, ce qui souligne l’importance du traitement de l’eau. Outre les effluents, la disponibilité en eau est une considération importante pour l’industrie, puisqu’une pénurie d’eau pourrait entraîner des coûts d’approvisionnement plus importants, des perturbations de l’approvisionnement ou des tensions avec les utilisateurs de l’eau locaux. Les entreprises peuvent adopter plusieurs stratégies pour résoudre les problèmes d’approvisionnement et de traitement de l’eau, comme l’amélioration rentable du recyclage de l’eau des processus, l’amélioration des techniques de production pour diminuer la consommation d’eau et la garantie du respect des réglementations sur les effluents.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      None
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Gestion de la chaîne d’approvisionnement Les entreprises de produits de pâte et papier s’approvisionnent en bois et en fibre de bois auprès d’entreprises de gestion forestière, de recycleurs de fibres de papier et de forêts que les entreprises gèrent elles-mêmes. Les risques de la chaîne d’approvisionnement comprennent une diminution de la productivité des terrains forestiers en raison des pratiques de gestion ou du changement climatique, des réglementations abordant la gestion durable des forêts et les impacts sur la réputation. En vue d’atténuer ces risques et de satisfaire la demande croissante des clients en produits de fibres et de papier produits durablement, les fabricants appliquent des certifications sur les forêts et les normes sur chaîne de responsabilité des fibres qui vérifient que les fibres vierges et recyclées proviennent de forêts gérées durablement. En outre, les fabricants de pâte et de papier doivent réaliser des compromis découlant de l’utilisation des fibres récupérées. La demande en produits dont le contenu est recyclé est croissante, ce qui peut permettre une différenciation des produits, tandis que l’utilisation de fibres recyclées peut minimiser le besoin en fibres vierges. Au contraire, les produits fabriqués dont davantage de contenus est recyclé peut entraîner l’augmentation de la génération de déchets et de la consommation d’énergie, tandis que les fibres recyclées peuvent être plus coûteuses étant donné l’écart entre l’offre et la demande. Par conséquent, les entreprises peuvent obtenir des avantages en optimisant l’utilisation des fibres recyclées pour équilibrer les compromis entre l’environnement et l’économie.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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actuelle Industries:
Médias et divertissement
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Produits de pâtes et papiers
Secteur des ressources renouvelables et des énergies alternatives
Secteur des services
Secteur des biens de consommation
Secteur de l’exploitation minière et du traitement des minerais
Secteur des données financières
Secteur des aliments et boissons
Secteur de la santé
Secteur de l’infrastructure
Secteur de la transformation des ressources
Secteur de la technologie et des communications
Secteur du transport