Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Médias et divertissement Les entreprises des médias et du divertissement créent du contenu et/ou acquièrent des droits de distribution de contenu sur le câble ou les médias de radiodiffusion, y compris des émissions de divertissement, d’actualités, de musique et des émissions pour enfants. Les entreprises de cette industrie publient également des livres, des journaux et des périodiques, et diffusent des émissions de radio et de télévision locale.
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  • Technologie solaire et sociétés de promotion immobilière L’industrie de la technologie solaire et des sociétés de promotion immobilière comprend des entreprises qui fabriquent des installations d’énergie solaire, notamment des modules solaires photovoltaïques (PV), du polysilicium (matière première), des systèmes de production d’électricité solaire thermique, des onduleurs solaires et d’autres composants liés. Les entreprises peuvent également développer, créer et gérer des projets d’énergie solaire et proposer des services de financement et d’entretien aux clients. Deux technologies principales sont utilisées dans l’industrie : le PV et l’énergie solaire concentrée (ESC). Au sein du PV solaire, il existe deux technologies principales : le photovoltaïque cristallin à base de silicium et le photovoltaïque à couche mince, qui comprennent des panneaux fabriqués à partir de séléniure de cuivre, d’indium et de gallium, et de tellurure de cadmium. Les marchés principaux des panneaux solaires sont les projets résidentiels, non résidentiels (commerciaux et industriels) et à grande échelle. Les activités des entreprises de l’industrie sont mondiales.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (9 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
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    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
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    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Pluralisme dans les médias Le pluralisme dans les médias, c’est-à-dire la diversité au sens large, comprend le pluralisme interne et externe. Le pluralisme externe désigne la propriété des médias, les comités de rédaction indépendants, les canaux, les titres ou les émissions. Le pluralisme interne désigne la diversité sociale, raciale/ethnique et politique représentée dans le contenu des médias. Les entreprises de médias et de divertissement peuvent assurer le pluralisme en maintenant la diversité à l’écran et hors écran et en préservant l’indépendance des comités de rédaction et de la programmation.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Intégrité journalistique et identification des commanditaires L’audience compte sur les journalistes pour obtenir des renseignements exacts et opportuns sur l’actualité. Les principes du journalisme comprennent l’exactitude, l’équité, la minimisation des préjudices, l’indépendance, la responsabilisation et la transparence. Le non-respect de ces principes peut affecter la crédibilité non seulement du journaliste, mais aussi de la société responsable de la publication ou de la diffusion de ces documents. À mesure que les règlements sur la divulgation des commandites et de l’appui évoluent, la transparence est importante pour le contenu journalistique et de divertissement.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Protection de la propriété intellectuelle et piratage des médias Les entreprises de cette industrie comptent sur leur propriété intellectuelle (PI) pour générer des revenus. Cependant, bien que la protection de la PI soit inhérente à leur modèle d’affaires, de solides protections de la PI peuvent parfois entrer en conflit avec les intérêts de la société. Les promoteurs de la protection de la PI affirment son importance en tant que moteur de l’innovation. Les opposants soutiennent que l’attribution de la propriété peut étouffer l’innovation et la concurrence en permettant la création de monopoles. Malgré les meilleurs efforts de l’industrie, le piratage des médias est endémique et les entreprises consacrent des ressources importantes à la protection et à l’application de leurs droits de PI. Les entreprises de médias et de divertissement doivent donc trouver un équilibre entre la protection de leur propriété intellectuelle et l’accès aux médias et l’utilisation équitable.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie dans la fabrication La facturation de panneaux solaires utilise généralement de l’énergie électrique achetée sur le réseau. L’énergie peut représenter une part considérable du coût total de la production. À la lumière des coûts en énergie et de l’incertitude réglementaire croissants à propos de l’avenir de l’énergie fossile, les entreprises qui diversifient leurs sources d’énergie peuvent être mieux à même de gérer les risques associés et de maintenir un approvisionnement énergétique fiable. Les entreprises qui réduisent l’utilisation énergétique par une gestion efficace de l’énergie peuvent limiter les coûts et obtenir un avantage concurrentiel grâce à l’efficacité opérationnelle et des tarifs compétitifs. Cela est particulièrement important étant donné la concurrence intense en matière de prix dans l’industrie de la technologie solaire.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau dans la fabrication La facturation des panneaux photovoltaïques peut être coûteuse en eau, l’eau pure étant un intrant essentiel dans certains processus. Le processus de fabrication peut également générer des eaux usées devant être traitées avant l’élimination ou la réutilisation, ce qui peut par conséquent entraîner des coûts opérationnels et des dépenses en capital supplémentaires. En outre, selon leur emplacement, les installations de fabrication d’équipements solaires peuvent être exposées au risque de diminution de la disponibilité de l’eau (pénurie), d’augmentation du coût lié et de perturbations opérationnelles. L’utilisation de ressources d’eau locales est un risque pouvant générer des tensions avec les utilisateurs de l’eau locale, pouvant potentiellement perturber les opérations de fabrication et avoir un effet indésirable sur la valeur de la marque. En vue d’atténuer les risques de l’approvisionnement en eau et de son traitement, les entreprises peuvent adopter diverses stratégies, telles que le recyclage de l’eau des processus, l’amélioration des techniques de production pour diminuer la consommation d’eau et l’amélioration des systèmes de traitement de l’eau.
    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Gestion des déchets dangereux La fabrication de panneaux solaires peut comprendre l’utilisation de substances dangereuses pouvant entraîner des répercussions néfastes sur l’environnement et la santé si elles ne sont pas correctement gérées. Les technologies courantes à couche mince peuvent utiliser des matériaux, notamment le cadmium, l’arséniure de gallium et le séléniure de cuivre, d’indium et de gallium qui nécessitent d’être manipulés avec prudence lors du processus de fabrication et de l’élimination. La manipulation et l’élimination de déchets dangereux produits pendant la fabrication peuvent entraîner des coûts opérationnels, des dépenses en capital et, dans certains cas, des frais réglementaires. La gestion efficace des matériaux dangereux, notamment par le stockage et l’élimination sûrs, la réduction, la réutilisation et le recyclage, peut en tant que telle réduire les frais opérationnels et atténuer les potentielles sanctions réglementaires ou l’atteinte à la réputation.
    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Répercussions écologiques de l’élaboration de projets De nombreuses grandes entreprises de technologie solaire cotées en bourse sont impliquées dans le développement de projet, notamment l’évaluation et l’acquisition de droits fonciers, l’octroi de permis pour des sites et le dialogue avec les parties prenantes. Le développement réussi dépend de l’approbation des permis environnementaux et de la permission des gouvernements et communautés locaux. La localisation des installations solaires moyennes ou grandes dans des zones écologiquement fragiles, notamment dans l’habitat d’espèces en voie de disparition, peut rendre l’octroi de permis environnementaux difficile et onéreux. Le développement de projets peut également être touché par les lois locales sur l’utilisation des sols et l’opposition communautaire aux projets en raison de leur empreinte sur les sols ou d’inquiétudes à propos des répercussions sur les ressources locales en eau. Ces facteurs peuvent ralentir ou perturber le processus de développement, pouvant entraîner des coûts plus élevés, une perte de revenus ou des retards de projet. Les entreprises dotées de stratégies solides pour l’évaluation et l’atténuation des répercussions environnementales peuvent réduire le risque des retards de projet, ce qui augmente la probabilité qu’un projet soit complété en temps utile.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Gestion de l’intégration de l’infrastructure énergétique et les réglementations liées Les entreprises de l’industrie ont été confrontées à des défis lorsqu’elles ont voulu établir l’énergie solaire comme un moyen de production d’énergie à un prix compétitif et de réduction des GES. Elles ont alors rencontré des difficultés dans la conquête de parts plus importantes dans le marché de la production d’énergie mondiale. En vue de promouvoir l’adoption de l’énergie solaire à plus grande échelle, l’industrie peut tirer parti de la prévention des perturbations systémiques de l’infrastructure énergétique existante et des services énergétiques essentiels. Les entreprises innovent afin de surmonter les défis techniques liés à l’intégration croissante du solaire au réseau. Ils engagent également le dialogue avec des agences réglementaires et des décideurs pour réduire les obstacles réglementaires à l’adoption de l’énergie solaire, dont un nombre important émerge en raison des inquiétudes liées à l’augmentation des coûts globaux de l’électricité du réseau et aux perturbations du réseau. Les entreprises de l’industrie solaire investissent dans des technologies novatrices pour réduire les coûts du matériel et de l’installation, œuvrent en faveur de modèles commerciaux innovants destinés à réduire le coût du capital et à faciliter l’achat de systèmes d’énergie solaire. Les entreprises de l’industrie de la technologie solaire peuvent améliorer leur compétitivité en déployant avec succès une ou plusieurs stratégies en vue de garantir leur capacité d’extension sur le long terme.
      • Gestion de la fin de vie des produits Les panneaux solaires peuvent contenir des substances dangereuses et des matériaux réutilisables de valeur économique élevée. Étant donné l’expansion rapide de l’énergie solaire dans le monde, des volumes croissants de panneaux solaires devraient atteindre la fin de leur durée de vie utile à moyen terme. Dans certaines régions, notamment des parties de l’UE, les fabricants sont légalement tenus d’assumer la responsabilité financière de leurs produits à l’étape de la fin de vie, notamment la collecte et le recyclage. La reprise, le recyclage et l’élimination des produits peuvent entraîner des investissements et des dépenses en capital importantes en amont pour les opérateurs de l’industrie. Cependant, comme de plus en plus de modules solaires atteignent la fin de leur durée de vie et que cette question est susceptible d’attirer davantage l’attention du législateur, les entreprises peuvent se différencier en proposant des services de reprise et de recyclage des produits. Cela pourrait augmenter les revenus et entraîner, sur le long terme, des frais moins importants grâce à la réutilisation des matériaux de récupération dans les processus de fabrication.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en matériaux Les entreprises de l’industrie de la technologie solaire achètent généralement de nombreux matériaux, notamment le polysilicium, les métaux, le verre et les composants électriques. Les entreprises utilisent également certains matériaux essentiels à la fabrication de modules et de panneaux solaires. Les ressources mondiales limitées de ces matériaux critiques, ainsi que leur concentration dans les pays qui peuvent avoir des structures de gouvernance et réglementaires relativement limitées ou qui sont soumises à des tensions géographiques, exposent les entreprises au risque d’interruptions de la chaîne d’approvisionnement et à des augmentations ou à une volatilité du prix d’entrée. Les entreprises peuvent atténuer les risques associés en garantissant la transparence dans leurs chaînes d’approvisionnement, en s’employant activement à acheter leurs matériaux auprès de fournisseurs fiables ou dans des régions présentant des risques environnementaux et sociaux faibles, et en soutenant la recherche d’intrants alternatifs.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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