Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Médias et divertissement Les entreprises des médias et du divertissement créent du contenu et/ou acquièrent des droits de distribution de contenu sur le câble ou les médias de radiodiffusion, y compris des émissions de divertissement, d’actualités, de musique et des émissions pour enfants. Les entreprises de cette industrie publient également des livres, des journaux et des périodiques, et diffusent des émissions de radio et de télévision locale.
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  • Transport maritime L’industrie du transport maritime est composée d’entreprises qui fournissent des services de transport de marchandises en haute mer, sur la côte et/ou sur les rivières. Il revêt une importance stratégique pour le commerce international et ses revenus sont liés aux cycles macroéconomiques. Les principales activités comprennent le transport de marchandises conteneurisées et de marchandises en vrac, y compris de biens de consommation et une vaste gamme de marchandises, ainsi que le transport de produits chimiques et de produits pétroliers dans des pétroliers. En raison de la portée mondiale de l’industrie, les entreprises opèrent dans de nombreux pays et sous divers cadres juridiques et réglementaires.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (9 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Médias et divertissement Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
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    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Pluralisme dans les médias Le pluralisme dans les médias, c’est-à-dire la diversité au sens large, comprend le pluralisme interne et externe. Le pluralisme externe désigne la propriété des médias, les comités de rédaction indépendants, les canaux, les titres ou les émissions. Le pluralisme interne désigne la diversité sociale, raciale/ethnique et politique représentée dans le contenu des médias. Les entreprises de médias et de divertissement peuvent assurer le pluralisme en maintenant la diversité à l’écran et hors écran et en préservant l’indépendance des comités de rédaction et de la programmation.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Intégrité journalistique et identification des commanditaires L’audience compte sur les journalistes pour obtenir des renseignements exacts et opportuns sur l’actualité. Les principes du journalisme comprennent l’exactitude, l’équité, la minimisation des préjudices, l’indépendance, la responsabilisation et la transparence. Le non-respect de ces principes peut affecter la crédibilité non seulement du journaliste, mais aussi de la société responsable de la publication ou de la diffusion de ces documents. À mesure que les règlements sur la divulgation des commandites et de l’appui évoluent, la transparence est importante pour le contenu journalistique et de divertissement.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Protection de la propriété intellectuelle et piratage des médias Les entreprises de cette industrie comptent sur leur propriété intellectuelle (PI) pour générer des revenus. Cependant, bien que la protection de la PI soit inhérente à leur modèle d’affaires, de solides protections de la PI peuvent parfois entrer en conflit avec les intérêts de la société. Les promoteurs de la protection de la PI affirment son importance en tant que moteur de l’innovation. Les opposants soutiennent que l’attribution de la propriété peut étouffer l’innovation et la concurrence en permettant la création de monopoles. Malgré les meilleurs efforts de l’industrie, le piratage des médias est endémique et les entreprises consacrent des ressources importantes à la protection et à l’application de leurs droits de PI. Les entreprises de médias et de divertissement doivent donc trouver un équilibre entre la protection de leur propriété intellectuelle et l’accès aux médias et l’utilisation équitable.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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  • Transport maritime Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre Les entreprises de transport maritime produisent principalement des émissions provenant de la combustion de diesel dans les moteurs de navires. La dépendance de l’industrie au fioul lourd (« combustible de soute ») est préoccupante en raison de la hausse des coûts du carburant et de l’intensification de la réglementation sur les gaz à effet de serre (GES). L’industrie est l’un des principaux modes de transport qui consomme le moins de carburant par tonne expédiée. Toutefois, en raison de la taille de l’industrie, sa contribution à l’inventaire mondial des GES demeure importante. Les règlements environnementaux récents favorisent l’adoption de moteurs plus écoénergétiques et l’utilisation de carburants plus propres. Le carburant représente une dépense importante pour les acteurs de l’industrie, offrant une incitation supplémentaire pour investir dans des mises à niveau ou des rénovations pour améliorer le rendement énergétique.
    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Qualité de l’air Les polluants atmosphériques comme les oxydes de soufre (SOx), les oxydes d’azote (NOx) et les particules en suspension (PM10) sont des externalités environnementales importantes découlant de l’utilisation de carburant par les sociétés de transport maritime. Ces polluants ont tendance à avoir des effets localisés sur l’environnement et la santé et sont particulièrement préoccupants dans les villes portuaires. Les règlements sur la pollution atmosphérique favorisent l’adoption de moteurs plus écoénergétiques et l’utilisation de carburants plus propres, alors que les entreprises cherchent à réduire l’exposition aux amendes et aux coûts d’assainissement de l’environnement. Une autre incitation pour le rendement énergétique est que le carburant constitue une dépense importante pour les acteurs de l’industrie, de sorte que les dépenses en immobilisations pour moderniser les navires peuvent être compensées à long terme par des économies de carburant.
    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Répercussions écologiques Les opérations et les pratiques d’élimination des déchets des entreprises de transport maritime peuvent créer des externalités environnementales importantes, comme la pollution de l’eau et les dommages à la vie marine. Les navires de mer déversent régulièrement des eaux de ballast, de l’eau de cale et des eaux usées non traitées. La conformité aux règlements internationaux visant à gérer les répercussions écologiques de l’exploitation peut exiger des dépenses en immobilisations importantes pour la mise à niveau ou l’installation de systèmes de gestion des déchets. Le déversement illégal d’eau de cale et d’autres rejets non réglementés peut entraîner de lourdes amendes, ce qui a une incidence négative sur le profil de risque d’une entreprise. Le fait de travailler dans des zones de conservation protégées, comme les zones de contrôle des émissions (ZCE) et les zones marines particulièrement sensibles (PSSA), peut accroître le risque d’impact écologique ainsi que le risque d’enfreindre la réglementation environnementale.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des employés Les travailleurs du transport maritime sont exposés à des dangers comme les conditions météorologiques dangereuses et l’exposition à de grandes machines et à des cargaisons lourdes. Les plus grands risques pour la santé et la sécurité proviennent du chargement et du déchargement de marchandises dans les ports. Les navires doivent être chargés et déchargés rapidement et dans les délais prévus, ce qui augmente le risque de blessures, la fatigue et le stress. La santé et le bien-être des travailleurs de l’industrie sont également inextricablement liés aux performances de sécurité de l’entreprise, car un équipage en bonne santé est nécessaire pour des voyages en toute sécurité. Les entreprises dont les systèmes de gestion de la sécurité sont inadéquats et qui n’assurent pas la santé et la sécurité des travailleurs peuvent faire face à un roulement de personnel plus élevé et à des dépenses plus élevées liées aux travailleurs, y compris des frais médicaux comme les primes d’assurance et les indemnités versées aux travailleurs.
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Éthique des affaires Les paiements de facilitation dans les ports sont considérés comme une pratique commerciale courante dans certains pays pour l’obtention de permis, le dédouanement des marchandises et les postes d’amarrage portuaires. Toutefois, les lois anticorruption exercent des pressions sur les entreprises de transport maritime pour qu’elles modifient cette pratique. L’application de ces lois pourrait entraîner des coûts ponctuels importants, des coûts de conformité permanents plus élevés ou avoir une incidence sur le permis social d’exploitation d’une entreprise, ce qui aurait une incidence sur le coût du capital. Les entreprises subissent de plus en plus de pressions pour s’assurer que leurs structures et pratiques de gouvernance peuvent s’attaquer à la corruption et à la participation, intentionnelle ou non, à des paiements illégaux ou contraires à l’éthique ou à l’exercice d’une influence injuste. Le fait d’opérer dans des pays sujets à la corruption peut exacerber ces risques.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Gestion des accidents et de la sécurité Les accidents ou les fuites impliquant de gros navires peuvent entraîner des coûts importants pour la vie, les biens et l’environnement. L’attention négative des médias et les coûts de nettoyage massifs peuvent nuire gravement aux finances d’une entreprise. Afin de réduire le risque d’accident, les entreprises ont mis en place des mesures de sécurité importantes, comme des programmes de formation des employés, des périodes d’entretien périodiques en cale sèche et des enquêtes annuelles sur le renouvellement des classes menées par les sociétés de classification. La dépendance du marché mondial à l’égard de l’industrie du transport maritime signifie que les voyages doivent être effectués dans des délais précis, ce qui incite davantage à prévenir les accidents.

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Médias et divertissement
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Transport maritime
Secteur des services
Secteur du transport
Secteur des biens de consommation
Secteur de l’exploitation minière et du traitement des minerais
Secteur des données financières
Secteur des aliments et boissons
Secteur de la santé
Secteur de l’infrastructure
Secteur des ressources renouvelables et des énergies alternatives
Secteur de la transformation des ressources
Secteur de la technologie et des communications