Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Médias et divertissement Les entreprises des médias et du divertissement créent du contenu et/ou acquièrent des droits de distribution de contenu sur le câble ou les médias de radiodiffusion, y compris des émissions de divertissement, d’actualités, de musique et des émissions pour enfants. Les entreprises de cette industrie publient également des livres, des journaux et des périodiques, et diffusent des émissions de radio et de télévision locale.
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  • Transport ferroviaire Le secteur du transport ferroviaire comprend les entreprises qui fournissent des services d’expédition et de soutien de marchandises ferroviaires. Les activités principales incluent les expéditions de marchandises en conteneur ou en vrac, y compris des produits et biens de consommation. En général, les compagnies ferroviaires détiennent, entretiennent et opèrent sur leurs propres réseaux ferroviaires, qui peuvent nécessiter des dépenses en capital significatives. Les États-Unis disposent du réseau ferroviaire le plus long au monde, suivi de près par la Russie, la Chine, l’Inde, le Canada, l’Allemagne et la France. L’industrie montre des économies de densité en raison des effets de son réseau, se prêtant à des conditions de monopole naturelles. Avec le grand coût irrécupérable de l’infrastructure ferroviaire, ceci offre un avantage concurrentiel pour les entreprises dominantes de l’industrie et crée des obstacles à l’insertion de nouvelles entreprises.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (7 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Pluralisme dans les médias Le pluralisme dans les médias, c’est-à-dire la diversité au sens large, comprend le pluralisme interne et externe. Le pluralisme externe désigne la propriété des médias, les comités de rédaction indépendants, les canaux, les titres ou les émissions. Le pluralisme interne désigne la diversité sociale, raciale/ethnique et politique représentée dans le contenu des médias. Les entreprises de médias et de divertissement peuvent assurer le pluralisme en maintenant la diversité à l’écran et hors écran et en préservant l’indépendance des comités de rédaction et de la programmation.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Intégrité journalistique et identification des commanditaires L’audience compte sur les journalistes pour obtenir des renseignements exacts et opportuns sur l’actualité. Les principes du journalisme comprennent l’exactitude, l’équité, la minimisation des préjudices, l’indépendance, la responsabilisation et la transparence. Le non-respect de ces principes peut affecter la crédibilité non seulement du journaliste, mais aussi de la société responsable de la publication ou de la diffusion de ces documents. À mesure que les règlements sur la divulgation des commandites et de l’appui évoluent, la transparence est importante pour le contenu journalistique et de divertissement.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Protection de la propriété intellectuelle et piratage des médias Les entreprises de cette industrie comptent sur leur propriété intellectuelle (PI) pour générer des revenus. Cependant, bien que la protection de la PI soit inhérente à leur modèle d’affaires, de solides protections de la PI peuvent parfois entrer en conflit avec les intérêts de la société. Les promoteurs de la protection de la PI affirment son importance en tant que moteur de l’innovation. Les opposants soutiennent que l’attribution de la propriété peut étouffer l’innovation et la concurrence en permettant la création de monopoles. Malgré les meilleurs efforts de l’industrie, le piratage des médias est endémique et les entreprises consacrent des ressources importantes à la protection et à l’application de leurs droits de PI. Les entreprises de médias et de divertissement doivent donc trouver un équilibre entre la protection de leur propriété intellectuelle et l’accès aux médias et l’utilisation équitable.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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  • Transport ferroviaire Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre Le secteur du transport ferroviaire génère des émissions, principalement par le biais de la combustion de diesel dans les moteurs des locomotives. Malgré des émissions relativement basses par rapport à d’autres industries du transport, la gestion du carburant a des incidences pour les entreprises de l’industrie, en termes de coûts d’exploitation et de respect des réglementations. Les gaz à effet de serre (GES), y compris le dioxyde de carbone (CO2), ont une importance singulière pour les régulateurs gouvernementaux qui se préoccupent du changement climatique. L’intensification de la réglementation associée aux émissions d’échappement des locomotives et aux coûts élevés du carburant offre des incitations, pour les compagnies ferroviaires, à investir dans un rendement énergétique amélioré pour gérer leurs émissions. Ceci peut permettre d’augmenter l’efficacité opérationnelle et affecter la structure des coûts des compagnies ferroviaires, avec des répercussions chroniques et importantes sur la valeur et la position concurrentielle au sein de l’industrie et en comparaison avec les autres modes de transport.
    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Qualité de l’air Les activités ferroviaires émettent plusieurs types de polluants atmosphériques qui sont réglementés par des lois nationales et internationales, y compris des polluants atmosphériques dangereux (PAD), des polluants atmosphériques courants (PAC) et des composés organiques volatils (COV). Ces polluants tendent à affecter la santé et l’environnement de manière localisée. Par exemple, les moteurs de locomotive qui avancent au ralenti sur plusieurs mètres de rail peuvent devenir une préoccupation sanitaire pour les populations humaines à proximité, car des PAD comme le benzène sont connus comme étant cancérigènes pour les humains, alors que l’oxyde d’azote (NOx) est un composant majeur des brouillards de pollution et pluies acides. Dans le même temps, le carburant représente un coût important de l’industrie. Les compagnies ferroviaires qui mettent en place des améliorations de leur rendement énergétique et qui gèrent les émissions peuvent voir les répercussions sur leurs coûts à court et à long termes.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des employés Le transport de frets par voie ferroviaire est associé au risque d’accidents et rejets accidentels de matières dangereuses. Ces accidents et rejets peuvent nuire à la santé et au bien-être des employés ainsi qu’avoir des répercussions financières négatives pour les entreprises, telles qu’une productivité réduite, un roulement plus important du personnel et des coûts d’assurance accrus. Les opérateurs ferroviaires sont susceptibles d’être affectés par des accidents, et dans certains cas, une mauvaise santé pourrait aussi causer des accidents. Des collaborateurs en bonne santé, une culture de sécurité forte, une approche systémique et approfondie pour plus de sécurité, des programmes de gestion des risques (y compris une préparation aux urgences et comment y répondre), et une intégrité opérationnelle à tous les niveaux de l’entreprise peuvent aider à minimiser la probabilité et la magnitude des accidents ferroviaires.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Comportement concurrentiel Une consolidation du secteur et des allégations concernant les pratiques anticoncurrentielles en relation avec les expéditeurs captifs, parmi d’autres raisons, créent une pression sur l’immunité antitrust conférée aux voies ferrées dans certaines régions. Certaines des modifications proposées sur les politiques pourraient entraîner des coûts importants ou entraver les investissements dans l’industrie. Les compagnies ferroviaires qui opèrent dans les limites des charges admissibles dans les régions où elles pourraient être reconnues comme dominantes sur le marché, ou celles qui ne respectent pas les réglementations à propos des prix raisonnables, sont susceptibles d’être confrontées à des contrôles réglementaires accus. Toute amende ou sanction associée peut affecter négativement la valeur d’une entreprise en augmentant son coût du capital. Dans un environnement où les préoccupations concernant le pouvoir de marché et les pratiques de prix des compagnies ferroviaires sont accrues, il est dans leur intérêt de continuer à assurer des prix concurrentiels et une transparence dans l’établissement des prix tout en parvenant à des retours sur investissement adéquats.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Gestion des accidents et de la sécurité Les accidents ferroviaires et les rejets accidentels de matières dangereuses peuvent avoir des répercussions sur l’environnement et les communautés le long des voies ferrées, ainsi que sur les finances des entreprises elles-mêmes. Des réglementations de sécurité de plus en plus strictes et des coûts potentiellement importants à la suite d’accidents majeurs offrent des incitations, pour les entreprises, à gérer leurs performances en matière de sécurité par le biais d’un système de gestion de la sécurité robuste. En outre, la perte de la confiance des consommateurs après de tels événements peut entraîner une diminution des revenus et peuvent potentiellement porter préjudice au permis d’exploitation sociale d’une entreprise, augmentant son coût du capital.

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