Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Services de fabrication de produits électroniques et ODM (original design manufacturer)
Le secteur des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) consiste en deux segments principaux. Les entreprises EMS fournissent des services d’assemblage, de logistique et après-vente pour les équipementiers. Le segment ODM du secteur fournit des services d’ingénierie et de conception pour les équipementiers et peut être titulaire d’une propriété intellectuelle significative. Bien que les entreprises EMS et ODM produisent des équipements pour une grande variété de secteurs, l’industrie est associée de près au secteur du hardware, qui consiste en des entreprises qui conçoivent des produits matériels technologiques tels que des ordinateurs personnels, de l’électronique grand public et des dispositifs de stockage à la fois pour les consommateurs particuliers et les entreprises. -
Restaurants
Les entreprises de l’industrie des restaurants préparent les repas, les collations et les boissons des commandes des consommateurs pour une consommation immédiate dans les locaux ou aux alentours. Divisée généralement en trois sous-catégories, l’industrie des restaurants comprend des établissements de restauration à service restreint, des établissements de restauration à service complet occasionnel et des établissements de restauration à service complet haut de gamme. Les restaurants à service restreint fournissent des services aux consommateurs qui commandent et payent avant de manger. Les restaurants de consommation rapide représentent la plus large part du segment des restaurants à service restreint. Les restaurants à service complet offrent un service renforcé, des aliments principalement destinés à la consommation dans les locaux et reflètent généralement des aliments de qualité et des prix supérieurs.
Questions pertinentes pour les deux Industries (10 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
- Émissions de GES
- Qualité de l’air
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques. -
Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes. - Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
- Accès et caractère abordable
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. -
Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits. - Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Capital humain
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Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association. -
Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle. - Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories. - Résilience du modèle économique
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte. -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte. - Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
- Éthique des affaires
- Comportement concurrentiel
- Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
- Gestion des risques systémiques
Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.None -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Gestion de l’eau
La fabrication d’ordinateurs, composants d’ordinateurs et autres produits électroniques nécessite des volumes d’eau importants. L’eau est devenue une ressource limitée dans le monde, en raison de l’augmentation de la consommation due à la croissance démographique et à l’urbanisation rapide, et des réductions en approvisionnement à cause du changement climatique. Sans planification rigoureuse, la rareté de l’eau peut entraîner des coûts d’approvisionnement plus élevés, des tensions sociales vis-à-vis des communautés et gouvernements locaux et/ou une perte d’accès à l’eau dans des régions déficitaires en eau, ce qui présente un risque critique pour la production, et donc pour le chiffre d’affaire. Les entreprises de services de fabrication électronique (EMS) et création de modèles originaux (ODM) qui sont en mesure d’augmenter l’efficacité de leur utilisation en eau pendant la fabrication peuvent réduire les frais d’opération et maintenir un risque moins élevé, ce qui finira par avoir des répercussions sur le coût du capital et l’évaluation boursière. En outre, les entreprises qui privilégient une utilisation de l’eau réduite et une meilleure efficacité peuvent faire face à des risques réglementaires moindres à l’heure où les lois environnementales locales, régionales et nationales mettent l’accent sur la conservation des ressources.
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.-
Gestion des déchets
La fabrication des ordinateurs, composants d’ordinateurs et autres produits électroniques nécessite des volumes importants de produits chimiques et génère des émissions dans l’eau et dans l’air ainsi que des déchets solides, y compris des substances dangereuses. La manipulation et la mise au rebut des déchets dangereux produits pendant la phase de fabrication peuvent entraîner l’augmentation des coûts opérationnels, des dépenses du capital et, dans certains cas, une augmentation des coûts de conformité ou des amendes et sanctions réglementaires. Les entreprises dans l’industrie des services de fabrication électroniques (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) qui sont en mesure de réduire les déchets produits pendant la phase de fabrication qui sont réutilisés, recyclés ou mis au rebut de manière adéquate, sont susceptibles de maintenir un risque moins élevé et de faire face à des risques réglementaires moindres à l’heure où les lois environnementales locales, régionales et nationales mettent l’accent sur la conservation des ressources et la gestion des déchets.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.None -
Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.None -
Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.-
Pratiques de travail
Les entreprises de services de fabrication électronique (EMS) et de création de modèles originaux (ODM) opèrent dans un environnement extrêmement concurrentiel basé sur les coûts et sont donc très sensibles concernant les coûts de main-d’œuvre et les risques. En outre, les entreprises doivent généralement respecter des délais de production serrés pour les lancements de produits attendus par les entreprises de matériel. Ces deux facteurs combinés intensifient l’importance des entreprises à maintenir des relations fortes avec leur force ouvrière. En cas d’absence de relation, les entreprises peuvent s’exposer à des arrêts de travail et à des ruptures de production. Ces ruptures peuvent entraîner une réduction des revenus à court terme, ainsi que des répercussions possibles à long terme sur la productivité en raison du moral affaibli des employés. En plus de protéger la réputation de l’entreprise et le permis social pour opérer, des améliorations dans les pratiques de travail peuvent limiter les ruptures de production.
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.-
Conditions de travail
Le traitement des travailleurs et la protection des droits des travailleurs dans l’industrie des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) sont une préoccupation grandissante parmi les clients, régulateurs et entreprises importantes. Les aspects critiques permettent de poser la question des conditions de travail, de la responsabilité environnementale et de la santé et sécurité des collaborateurs, en particulier si cela concerne des matériaux dangereux et des équipements potentiellement dangereux utilisés pour la fabrication. Les entreprises du secteur opèrent dans un environnement extrêmement concurrentiel basé sur les coûts et reposent donc essentiellement sur la garantie d’une main-d’œuvre peu coûteuse et contractuelle. Le recours du secteur a des sous-traitants, des entreprises de recrutement de personnel et un système de fournisseur multi-=-tiers peut rendre difficile l’amélioration des performances sur la question. En outre, les entreprises sont souvent situées dans des pays avec des coûts directs relativement faibles et disposent de plusieurs degrés de réglementation et d’applications pour protéger les travailleurs. Cette dynamique peut accroitre l’exposition de l’entreprise à des risques pour la réputation et à des répercussions sur les coûts et les ventes à court et à long terme. De tels effets peuvent survenir d’une réglementation renforcée et de son application en réponse à des incidents de travail et de sécurité importants, ou par le biais d’un déplacement de la demande contre les entreprises associées à de tels incidents. Les entreprises avec des normes concernant la chaîne d’approvisionnement, un contrôle et un engagement avec les fournisseurs assez solides pour traiter les préoccupations liées au travail peuvent ainsi être mieux positionnées pour protéger la valeur pour l’actionnaire sur le long terme.
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Gestion du cycle de vie des produits
Les entreprises du secteur des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM), en plus des clients de l’industrie tels que les entreprises de matériel, font face aux défis croissants associés aux externalités environnementales attribuées à la fabrication, au transport, à l’utilisation et à la mise au rebut des produits. L’obsolescence rapide des produits matériels exacerbe ces externalités. Les produits du secteur contiennent généralement des matériaux dangereux, qui font de la mise au rebut en fin de vie en toute sécurité un aspect critique à gérer. Les entreprises qui ne sont pas en mesure de minimiser les effets sur l’environnement de leurs produits peuvent faire face à une augmentation des coûts réglementaires à l’heure où les lois locales, régionales et nationales mettent l’accent sur la préservation des ressources et la gestion des déchets. Grâce à l’innovation produit qui facilite la récupération des produits en fin de vie et l’utilisation de matériaux qui auront des répercussions moindres, les fabricants du secteur EMS et ODM peuvent améliorer les répercussions du cycle de vie, réduire les risques réglementaires et économiser des coûts.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.None -
Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.-
Approvisionnement en matériaux
Les entreprises de l’industrie des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) s’appuient sur de nombreux matériaux critiques en tant qu’intrants majeurs pour les produits finis. La plupart de ces intrants présentent peu ou pas de substituts disponibles et proviennent souvent de dépôts concentrés dans certains pays, dont la plupart sont sujets à une incertitude géopolitique. D’autres répercussions sur la durabilité liées au changement climatique, à l’utilisation des sols, à la pénurie des ressources et aux conflits dans des régions où la chaîne d’approvisionnement du secteur opère changent de manière exponentielle la manière de s’approvisionner du secteur. En outre, l’augmentation de la concurrence pour ces matériaux en raison d’une demande mondiale grandissante de la part des autres secteurs peut entraîner une hausse des prix et des risques à l’approvisionnement. La capacité des entreprises à gérer les pénuries potentielles de matériaux, les ruptures d’approvisionnement, la volatilité des prix et les risques pour la réputation est rendue encore plus difficile par le fait que ces entreprises s’approvisionnent en matériaux provenant de chaînes d’approvisionnement qui manquent souvent de transparence. Une incapacité à gérer de manière efficace cette question peut entraîner une incapacité à accéder aux matériaux nécessaires, à des marges réduites, à une croissance du chiffre d’affaires limitées et/ou à des coûts ou capitaux plus élevés.
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Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
Les activités des restaurants ont une haute intensité énergétique par rapport aux opérations d’autres établissements commerciaux. Les appareils de cuisine commerciale sont extrêmement énergivores et la température des espaces de restauration est généralement contrôlée pour les consommateurs. La production et la consommation d’énergie à base de combustibles fossiles contribuent aux répercussions environnementales significatives, y compris au changement climatique et à la pollution de l’air, qui peuvent impacter indirectement, mais fortement, les activités des restaurants. Les réglementations sur la tarification des émissions de gaz à effet de serre (GES) ou les incitations à des améliorations de l’efficacité énergétique et à l’énergie renouvelable affectent les prix de l’énergie conventionnelle et de l’énergie renouvelable. Les entreprises qui gèrent la consommation d’énergie sur les sites possédés par l’entreprise et les sites franchisés peuvent diminuer leurs coûts d’exploitation par le biais de mises à niveau de l’efficacité énergétique et de limitation de l’exposition à des réglementations en matière d’émissions de GES en utilisant des ressources d’énergie renouvelable.
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Gestion de l’eau
L’eau est utilisée dans l’ensemble des activités des restaurants, de la cuisine au lavage de la vaisselle et au nettoyage. Le format, la taille et l’équipement des restaurants impactent tous l’utilisation de l’eau. Les restaurants situés dans des régions à stress hydrique peuvent être exposés à des restrictions d’utilisation de l’eau ou faire face à des coûts élevés de l’eau. Les augmentations historiques à long terme des coûts de l’eau et les prévisions d’augmentation continue due à la surconsommation et aux limites d’approvisionnement, lesquelles résultent de la croissance démographique et des déplacements de la population, de la pollution et du changement climatique, indiquent l’importance accrue de la gestion de l’eau. Les entreprises peuvent réduire leur utilisation de l’eau et les coûts d’exploitation associés en mettant en place des pratiques d’utilisation rationnelle de l’eau et en utilisant un équipement de cuisine commerciale qui permette une telle utilisation.
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.-
Gestion des déchets alimentaires et d’emballages
Les restaurants produisent des déchets de deux formes principales : les aliments et les emballages. Les déchets alimentaires sont générés au cours du processus de préparation et par les aliments non consommés. Les déchets alimentaires conduisent à une perte de ressources, comme l’eau, l’énergie, la terre, le travail et le capital et produisent des émissions de GES de par leur décomposition. En outre, les livraisons d’ingrédients alimentaires aux restaurants représentent une source significative de déchets d’emballage. Les déchets d’emballage comprennent les emballages provenant des fournisseurs et les emballages jetés par les consommateurs dans les restaurants. Par ailleurs, les restaurants à service restreint utilisent de manière intensive la vaisselle jetable pour servir les consommateurs. Les réglementations municipales et fédérales en matière d’emballage continueront probablement d’évoluer pour réduire les emballages ou améliorer la recyclabilité ou la biodégradabilité des emballages. Les entreprises capables d’anticiper les réglementations verront non seulement un impact positif sur la réputation de leur marque, mais réduiront également probablement leurs coûts d’appareils. Les entreprises capables de réduire leurs déchets à travers diverses méthodes, y compris la valorisation des aliments, le réacheminement des déchets des décharges et les programmes de récupération des emballages, peuvent réduire leurs coûts de gestion des déchets et améliorer leur efficacité opérationnelle.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Sécurité alimentaire
Les méthodes de préparation des aliments et la qualité des ingrédients peuvent influer sur la sécurité alimentaire dans l’industrie des restaurants. La sécurité alimentaire des restaurants est particulièrement difficile à gérer avec une large chaîne d’approvisionnement. La nature mondiale de l’industrie et le modèle de franchise compliquent la garantie de la sécurité de leurs fournitures alimentaires pour les entreprises de restauration. L’incapacité à contrôler la qualité des produits fournis peut augmenter le risque de perturbations de l’approvisionnement et d’une publicité négative pour l’entreprise. Les problèmes de sécurité alimentaire, tels que les préoccupations de maladies d’origine alimentaire, soit dans les sites possédés par l’entreprise, soit dans les sites franchisés, peuvent atteindre au cœur la réputation d’un restaurant. L’atteinte à la réputation pour des problèmes de sécurité alimentaire a généralement un impact à long terme. Les entreprises qui adhèrent aux normes industrielles en matière de préparation des aliments et de sécurité alimentaire sont susceptibles d’être mieux positionnées pour protéger la valeur actionnariale.
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Bien-être des clients
La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.-
Valeur nutritionnelle
Les préoccupations autour de l’obésité ont placé l’industrie des restaurants au cœur des débats. Les restaurants se trouvent sous une pression croissante pour améliorer la valeur nutritionnelle de leurs propositions de menu et augmenter la transparence autour du contenu de ces propositions, comme la publication du nombre de calories. La demande dans l’industrie des restaurants est de plus en plus guidée par les préférences des consommateurs pour des choix plus sains. Les entreprises capables d’offrir des options de menu plus nutritives sont susceptibles de conquérir de nouveaux marchés pour des consommateurs soucieux de leur santé et d’améliorer leur part de marché avec les consommateurs. Une partie plus importante d’options nutritives peut avoir un effet bénéfique sur la réputation d’une entreprise et sur la croissance de son chiffre d’affaires à long terme.
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Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.-
Pratiques de travail
L’industrie des restaurants nécessite beaucoup de main-d’œuvre et beaucoup d’employés sont des employés horaires, à temps partiel, ou saisonniers. L’industrie fait partie des principaux créateurs d’emploi et est une porte d’entrée pour les jeunes travailleurs et les migrants souhaitant rejoindre les collaborateurs. Les employés des restaurants dans les sites franchisés ou disposant d’une licence peuvent être employés par un tiers. En outre, depuis que de nombreuses chaînes de restaurants existent sur l’ensemble des continents, garantir des normes de travail cohérentes peut être difficile pour les employés de restaurants à la fois des sites possédés par l’entreprise et des sites franchisés. Les problèmes liés au travail dans les franchises affectent l’image de marque, car les consommateurs ne différencient pas un restaurant possédé par l’entreprise d’un restaurant franchisé. Les restaurants capables de gérer correctement leur capital humain en offrant des salaires compétitifs, des environnements de travail sûrs et d’autres opportunités de croissance professionnelle amélioreront probablement le moral des employés tout en réduisant leur taux de roulement et les coûts administratifs associés induits dans l’embauche et la formation d’employés.
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Santé et sécurité des employés
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.None -
Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.None -
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.-
Gestion de la chaîne d’approvisionnement et approvisionnement en aliments
Les restaurants s’approvisionnent en ingrédients et en produits auprès d’un large éventail de fournisseurs. La gestion de la chaîne d’approvisionnement est cruciale pour que les restaurants s’assurent de la sécurité alimentaire, protègent leur réputation et améliorent leurs revenus. L’approvisionnement en ingrédients de qualité, pour maintenir un niveau constant de qualité sur l’ensemble des différents sites, peut être compliqué d’un point de vue opérationnel. Ce problème est renforcé par la nature internationale de l’industrie. La demande des industries d’aliments et de boissons, y compris les restaurants, conduit et façonne la production agricole, indiquant que les actions des acteurs de l’industrie ont des impacts plus importants sur la société. Ainsi, un approvisionnement durable et éthique par les acteurs de l’industrie est nécessaire pour garantir un approvisionnement futur continu et minimiser les répercussions sur le cycle de vie des activités de l’entreprise. L’approvisionnement auprès de fournisseurs se conformant à des normes de qualité élevée, employant des méthodes d’élevage durables d’un point de vue environnemental et respectant le droit du travail, améliorera le positionnement des entreprises pour protéger la valeur actionnariale à long terme. En augmentant la part d’approvisionnement des aliments fournie conformément aux normes environnementales et sociales, ainsi qu’aux normes et aux meilleures pratiques en matière de bien-être animal en matière de bien-être animal, les exploitants de restaurants pourront maintenir la qualité des aliments, gérer les problèmes de sécurité alimentaire, améliorer leur réputation et étendre leur part de marché.
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.None
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Catégorie des problématiques générales
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Services de fabrication de produits électroniques et ODM (original design manufacturer)
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Restaurants
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Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie
Les activités des restaurants ont une haute intensité énergétique par rapport aux opérations d’autres établissements commerciaux. Les appareils de cuisine commerciale sont extrêmement énergivores et la température des espaces de restauration est généralement contrôlée pour les consommateurs. La production et la consommation d’énergie à base de combustibles fossiles contribuent aux répercussions environnementales significatives, y compris au changement climatique et à la pollution de l’air, qui peuvent impacter indirectement, mais fortement, les activités des restaurants. Les réglementations sur la tarification des émissions de gaz à effet de serre (GES) ou les incitations à des améliorations de l’efficacité énergétique et à l’énergie renouvelable affectent les prix de l’énergie conventionnelle et de l’énergie renouvelable. Les entreprises qui gèrent la consommation d’énergie sur les sites possédés par l’entreprise et les sites franchisés peuvent diminuer leurs coûts d’exploitation par le biais de mises à niveau de l’efficacité énergétique et de limitation de l’exposition à des réglementations en matière d’émissions de GES en utilisant des ressources d’énergie renouvelable.
Gestion de l’eau et des eaux usées
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Gestion de l’eau
La fabrication d’ordinateurs, composants d’ordinateurs et autres produits électroniques nécessite des volumes d’eau importants. L’eau est devenue une ressource limitée dans le monde, en raison de l’augmentation de la consommation due à la croissance démographique et à l’urbanisation rapide, et des réductions en approvisionnement à cause du changement climatique. Sans planification rigoureuse, la rareté de l’eau peut entraîner des coûts d’approvisionnement plus élevés, des tensions sociales vis-à-vis des communautés et gouvernements locaux et/ou une perte d’accès à l’eau dans des régions déficitaires en eau, ce qui présente un risque critique pour la production, et donc pour le chiffre d’affaire. Les entreprises de services de fabrication électronique (EMS) et création de modèles originaux (ODM) qui sont en mesure d’augmenter l’efficacité de leur utilisation en eau pendant la fabrication peuvent réduire les frais d’opération et maintenir un risque moins élevé, ce qui finira par avoir des répercussions sur le coût du capital et l’évaluation boursière. En outre, les entreprises qui privilégient une utilisation de l’eau réduite et une meilleure efficacité peuvent faire face à des risques réglementaires moindres à l’heure où les lois environnementales locales, régionales et nationales mettent l’accent sur la conservation des ressources.
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Gestion de l’eau
L’eau est utilisée dans l’ensemble des activités des restaurants, de la cuisine au lavage de la vaisselle et au nettoyage. Le format, la taille et l’équipement des restaurants impactent tous l’utilisation de l’eau. Les restaurants situés dans des régions à stress hydrique peuvent être exposés à des restrictions d’utilisation de l’eau ou faire face à des coûts élevés de l’eau. Les augmentations historiques à long terme des coûts de l’eau et les prévisions d’augmentation continue due à la surconsommation et aux limites d’approvisionnement, lesquelles résultent de la croissance démographique et des déplacements de la population, de la pollution et du changement climatique, indiquent l’importance accrue de la gestion de l’eau. Les entreprises peuvent réduire leur utilisation de l’eau et les coûts d’exploitation associés en mettant en place des pratiques d’utilisation rationnelle de l’eau et en utilisant un équipement de cuisine commerciale qui permette une telle utilisation.
Gestion des déchets et des matières dangereuses
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Gestion des déchets
La fabrication des ordinateurs, composants d’ordinateurs et autres produits électroniques nécessite des volumes importants de produits chimiques et génère des émissions dans l’eau et dans l’air ainsi que des déchets solides, y compris des substances dangereuses. La manipulation et la mise au rebut des déchets dangereux produits pendant la phase de fabrication peuvent entraîner l’augmentation des coûts opérationnels, des dépenses du capital et, dans certains cas, une augmentation des coûts de conformité ou des amendes et sanctions réglementaires. Les entreprises dans l’industrie des services de fabrication électroniques (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) qui sont en mesure de réduire les déchets produits pendant la phase de fabrication qui sont réutilisés, recyclés ou mis au rebut de manière adéquate, sont susceptibles de maintenir un risque moins élevé et de faire face à des risques réglementaires moindres à l’heure où les lois environnementales locales, régionales et nationales mettent l’accent sur la conservation des ressources et la gestion des déchets.
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Gestion des déchets alimentaires et d’emballages
Les restaurants produisent des déchets de deux formes principales : les aliments et les emballages. Les déchets alimentaires sont générés au cours du processus de préparation et par les aliments non consommés. Les déchets alimentaires conduisent à une perte de ressources, comme l’eau, l’énergie, la terre, le travail et le capital et produisent des émissions de GES de par leur décomposition. En outre, les livraisons d’ingrédients alimentaires aux restaurants représentent une source significative de déchets d’emballage. Les déchets d’emballage comprennent les emballages provenant des fournisseurs et les emballages jetés par les consommateurs dans les restaurants. Par ailleurs, les restaurants à service restreint utilisent de manière intensive la vaisselle jetable pour servir les consommateurs. Les réglementations municipales et fédérales en matière d’emballage continueront probablement d’évoluer pour réduire les emballages ou améliorer la recyclabilité ou la biodégradabilité des emballages. Les entreprises capables d’anticiper les réglementations verront non seulement un impact positif sur la réputation de leur marque, mais réduiront également probablement leurs coûts d’appareils. Les entreprises capables de réduire leurs déchets à travers diverses méthodes, y compris la valorisation des aliments, le réacheminement des déchets des décharges et les programmes de récupération des emballages, peuvent réduire leurs coûts de gestion des déchets et améliorer leur efficacité opérationnelle.
Qualité et sécurité des produits
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Sécurité alimentaire
Les méthodes de préparation des aliments et la qualité des ingrédients peuvent influer sur la sécurité alimentaire dans l’industrie des restaurants. La sécurité alimentaire des restaurants est particulièrement difficile à gérer avec une large chaîne d’approvisionnement. La nature mondiale de l’industrie et le modèle de franchise compliquent la garantie de la sécurité de leurs fournitures alimentaires pour les entreprises de restauration. L’incapacité à contrôler la qualité des produits fournis peut augmenter le risque de perturbations de l’approvisionnement et d’une publicité négative pour l’entreprise. Les problèmes de sécurité alimentaire, tels que les préoccupations de maladies d’origine alimentaire, soit dans les sites possédés par l’entreprise, soit dans les sites franchisés, peuvent atteindre au cœur la réputation d’un restaurant. L’atteinte à la réputation pour des problèmes de sécurité alimentaire a généralement un impact à long terme. Les entreprises qui adhèrent aux normes industrielles en matière de préparation des aliments et de sécurité alimentaire sont susceptibles d’être mieux positionnées pour protéger la valeur actionnariale.
Bien-être des clients
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Valeur nutritionnelle
Les préoccupations autour de l’obésité ont placé l’industrie des restaurants au cœur des débats. Les restaurants se trouvent sous une pression croissante pour améliorer la valeur nutritionnelle de leurs propositions de menu et augmenter la transparence autour du contenu de ces propositions, comme la publication du nombre de calories. La demande dans l’industrie des restaurants est de plus en plus guidée par les préférences des consommateurs pour des choix plus sains. Les entreprises capables d’offrir des options de menu plus nutritives sont susceptibles de conquérir de nouveaux marchés pour des consommateurs soucieux de leur santé et d’améliorer leur part de marché avec les consommateurs. Une partie plus importante d’options nutritives peut avoir un effet bénéfique sur la réputation d’une entreprise et sur la croissance de son chiffre d’affaires à long terme.
Pratiques de travail
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Pratiques de travail
Les entreprises de services de fabrication électronique (EMS) et de création de modèles originaux (ODM) opèrent dans un environnement extrêmement concurrentiel basé sur les coûts et sont donc très sensibles concernant les coûts de main-d’œuvre et les risques. En outre, les entreprises doivent généralement respecter des délais de production serrés pour les lancements de produits attendus par les entreprises de matériel. Ces deux facteurs combinés intensifient l’importance des entreprises à maintenir des relations fortes avec leur force ouvrière. En cas d’absence de relation, les entreprises peuvent s’exposer à des arrêts de travail et à des ruptures de production. Ces ruptures peuvent entraîner une réduction des revenus à court terme, ainsi que des répercussions possibles à long terme sur la productivité en raison du moral affaibli des employés. En plus de protéger la réputation de l’entreprise et le permis social pour opérer, des améliorations dans les pratiques de travail peuvent limiter les ruptures de production.
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Pratiques de travail
L’industrie des restaurants nécessite beaucoup de main-d’œuvre et beaucoup d’employés sont des employés horaires, à temps partiel, ou saisonniers. L’industrie fait partie des principaux créateurs d’emploi et est une porte d’entrée pour les jeunes travailleurs et les migrants souhaitant rejoindre les collaborateurs. Les employés des restaurants dans les sites franchisés ou disposant d’une licence peuvent être employés par un tiers. En outre, depuis que de nombreuses chaînes de restaurants existent sur l’ensemble des continents, garantir des normes de travail cohérentes peut être difficile pour les employés de restaurants à la fois des sites possédés par l’entreprise et des sites franchisés. Les problèmes liés au travail dans les franchises affectent l’image de marque, car les consommateurs ne différencient pas un restaurant possédé par l’entreprise d’un restaurant franchisé. Les restaurants capables de gérer correctement leur capital humain en offrant des salaires compétitifs, des environnements de travail sûrs et d’autres opportunités de croissance professionnelle amélioreront probablement le moral des employés tout en réduisant leur taux de roulement et les coûts administratifs associés induits dans l’embauche et la formation d’employés.
Santé et sécurité des employés
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Conditions de travail
Le traitement des travailleurs et la protection des droits des travailleurs dans l’industrie des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) sont une préoccupation grandissante parmi les clients, régulateurs et entreprises importantes. Les aspects critiques permettent de poser la question des conditions de travail, de la responsabilité environnementale et de la santé et sécurité des collaborateurs, en particulier si cela concerne des matériaux dangereux et des équipements potentiellement dangereux utilisés pour la fabrication. Les entreprises du secteur opèrent dans un environnement extrêmement concurrentiel basé sur les coûts et reposent donc essentiellement sur la garantie d’une main-d’œuvre peu coûteuse et contractuelle. Le recours du secteur a des sous-traitants, des entreprises de recrutement de personnel et un système de fournisseur multi-=-tiers peut rendre difficile l’amélioration des performances sur la question. En outre, les entreprises sont souvent situées dans des pays avec des coûts directs relativement faibles et disposent de plusieurs degrés de réglementation et d’applications pour protéger les travailleurs. Cette dynamique peut accroitre l’exposition de l’entreprise à des risques pour la réputation et à des répercussions sur les coûts et les ventes à court et à long terme. De tels effets peuvent survenir d’une réglementation renforcée et de son application en réponse à des incidents de travail et de sécurité importants, ou par le biais d’un déplacement de la demande contre les entreprises associées à de tels incidents. Les entreprises avec des normes concernant la chaîne d’approvisionnement, un contrôle et un engagement avec les fournisseurs assez solides pour traiter les préoccupations liées au travail peuvent ainsi être mieux positionnées pour protéger la valeur pour l’actionnaire sur le long terme.
Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Gestion du cycle de vie des produits
Les entreprises du secteur des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM), en plus des clients de l’industrie tels que les entreprises de matériel, font face aux défis croissants associés aux externalités environnementales attribuées à la fabrication, au transport, à l’utilisation et à la mise au rebut des produits. L’obsolescence rapide des produits matériels exacerbe ces externalités. Les produits du secteur contiennent généralement des matériaux dangereux, qui font de la mise au rebut en fin de vie en toute sécurité un aspect critique à gérer. Les entreprises qui ne sont pas en mesure de minimiser les effets sur l’environnement de leurs produits peuvent faire face à une augmentation des coûts réglementaires à l’heure où les lois locales, régionales et nationales mettent l’accent sur la préservation des ressources et la gestion des déchets. Grâce à l’innovation produit qui facilite la récupération des produits en fin de vie et l’utilisation de matériaux qui auront des répercussions moindres, les fabricants du secteur EMS et ODM peuvent améliorer les répercussions du cycle de vie, réduire les risques réglementaires et économiser des coûts.
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement et approvisionnement en aliments
Les restaurants s’approvisionnent en ingrédients et en produits auprès d’un large éventail de fournisseurs. La gestion de la chaîne d’approvisionnement est cruciale pour que les restaurants s’assurent de la sécurité alimentaire, protègent leur réputation et améliorent leurs revenus. L’approvisionnement en ingrédients de qualité, pour maintenir un niveau constant de qualité sur l’ensemble des différents sites, peut être compliqué d’un point de vue opérationnel. Ce problème est renforcé par la nature internationale de l’industrie. La demande des industries d’aliments et de boissons, y compris les restaurants, conduit et façonne la production agricole, indiquant que les actions des acteurs de l’industrie ont des impacts plus importants sur la société. Ainsi, un approvisionnement durable et éthique par les acteurs de l’industrie est nécessaire pour garantir un approvisionnement futur continu et minimiser les répercussions sur le cycle de vie des activités de l’entreprise. L’approvisionnement auprès de fournisseurs se conformant à des normes de qualité élevée, employant des méthodes d’élevage durables d’un point de vue environnemental et respectant le droit du travail, améliorera le positionnement des entreprises pour protéger la valeur actionnariale à long terme. En augmentant la part d’approvisionnement des aliments fournie conformément aux normes environnementales et sociales, ainsi qu’aux normes et aux meilleures pratiques en matière de bien-être animal en matière de bien-être animal, les exploitants de restaurants pourront maintenir la qualité des aliments, gérer les problèmes de sécurité alimentaire, améliorer leur réputation et étendre leur part de marché.
Approvisionnement en matériaux et efficacité
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Approvisionnement en matériaux
Les entreprises de l’industrie des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) s’appuient sur de nombreux matériaux critiques en tant qu’intrants majeurs pour les produits finis. La plupart de ces intrants présentent peu ou pas de substituts disponibles et proviennent souvent de dépôts concentrés dans certains pays, dont la plupart sont sujets à une incertitude géopolitique. D’autres répercussions sur la durabilité liées au changement climatique, à l’utilisation des sols, à la pénurie des ressources et aux conflits dans des régions où la chaîne d’approvisionnement du secteur opère changent de manière exponentielle la manière de s’approvisionner du secteur. En outre, l’augmentation de la concurrence pour ces matériaux en raison d’une demande mondiale grandissante de la part des autres secteurs peut entraîner une hausse des prix et des risques à l’approvisionnement. La capacité des entreprises à gérer les pénuries potentielles de matériaux, les ruptures d’approvisionnement, la volatilité des prix et les risques pour la réputation est rendue encore plus difficile par le fait que ces entreprises s’approvisionnent en matériaux provenant de chaînes d’approvisionnement qui manquent souvent de transparence. Une incapacité à gérer de manière efficace cette question peut entraîner une incapacité à accéder aux matériaux nécessaires, à des marges réduites, à une croissance du chiffre d’affaires limitées et/ou à des coûts ou capitaux plus élevés.