Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Services de fabrication de produits électroniques et ODM (original design manufacturer) Le secteur des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) consiste en deux segments principaux. Les entreprises EMS fournissent des services d’assemblage, de logistique et après-vente pour les équipementiers. Le segment ODM du secteur fournit des services d’ingénierie et de conception pour les équipementiers et peut être titulaire d’une propriété intellectuelle significative. Bien que les entreprises EMS et ODM produisent des équipements pour une grande variété de secteurs, l’industrie est associée de près au secteur du hardware, qui consiste en des entreprises qui conçoivent des produits matériels technologiques tels que des ordinateurs personnels, de l’électronique grand public et des dispositifs de stockage à la fois pour les consommateurs particuliers et les entreprises.
    Supprimer
  • Services de télécommunication L’industrie des services de télécommunication comprend les entreprises de télécommunications sans fil et filaires, ainsi que les entreprises qui fournissent des services satellites et câblés. Le secteur des services sans fil fournit une communication directe par le biais de réseaux cellulaires à ondes radio et gère et entretien les installations de transmission et de transition. Le secteur filaire fournit une communication vocale locale et longue distance par le biais du Réseau téléphonique public commuté. Les fournisseurs de communication filaire peuvent également offrir des services de téléphonie vocale sur Internet (VoIP), de télévision et d’Internet à bande large grâce à un réseau étendu de câbles à fibres optiques. Les fournisseurs du câble distribuent des programmes télévisés à partir des réseaux câblés aux abonnés. Généralement, ils fournissent également aux consommateurs des services de vidéo, d’Internet à haut débit et de VoIP. Ces services sont en général intégrés à des formules qui proposent aux abonnés des options de paiement plus faciles qu’un paiement pour chacun des services proposés séparément. Les entreprises de services satellites distribuent des programmes télévisés par le biais des satellites de radiodiffusion qui orbitent autour de la Terre et par le biais de stations au sol. Les entreprises desservent principalement les consommateurs sur leur marché intérieur, bien que certaines entreprises opèrent dans plusieurs pays.
    Supprimer

Questions pertinentes pour les deux Industries (11 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Services de fabrication de produits électroniques et ODM (original design manufacturer) Remove
    Access Standard
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      None
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau La fabrication d’ordinateurs, composants d’ordinateurs et autres produits électroniques nécessite des volumes d’eau importants. L’eau est devenue une ressource limitée dans le monde, en raison de l’augmentation de la consommation due à la croissance démographique et à l’urbanisation rapide, et des réductions en approvisionnement à cause du changement climatique. Sans planification rigoureuse, la rareté de l’eau peut entraîner des coûts d’approvisionnement plus élevés, des tensions sociales vis-à-vis des communautés et gouvernements locaux et/ou une perte d’accès à l’eau dans des régions déficitaires en eau, ce qui présente un risque critique pour la production, et donc pour le chiffre d’affaire. Les entreprises de services de fabrication électronique (EMS) et création de modèles originaux (ODM) qui sont en mesure d’augmenter l’efficacité de leur utilisation en eau pendant la fabrication peuvent réduire les frais d’opération et maintenir un risque moins élevé, ce qui finira par avoir des répercussions sur le coût du capital et l’évaluation boursière. En outre, les entreprises qui privilégient une utilisation de l’eau réduite et une meilleure efficacité peuvent faire face à des risques réglementaires moindres à l’heure où les lois environnementales locales, régionales et nationales mettent l’accent sur la conservation des ressources.
    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Gestion des déchets La fabrication des ordinateurs, composants d’ordinateurs et autres produits électroniques nécessite des volumes importants de produits chimiques et génère des émissions dans l’eau et dans l’air ainsi que des déchets solides, y compris des substances dangereuses. La manipulation et la mise au rebut des déchets dangereux produits pendant la phase de fabrication peuvent entraîner l’augmentation des coûts opérationnels, des dépenses du capital et, dans certains cas, une augmentation des coûts de conformité ou des amendes et sanctions réglementaires. Les entreprises dans l’industrie des services de fabrication électroniques (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) qui sont en mesure de réduire les déchets produits pendant la phase de fabrication qui sont réutilisés, recyclés ou mis au rebut de manière adéquate, sont susceptibles de maintenir un risque moins élevé et de faire face à des risques réglementaires moindres à l’heure où les lois environnementales locales, régionales et nationales mettent l’accent sur la conservation des ressources et la gestion des déchets.
    • Vie privée des clients La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      None
    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
      None
    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
      • Pratiques de travail Les entreprises de services de fabrication électronique (EMS) et de création de modèles originaux (ODM) opèrent dans un environnement extrêmement concurrentiel basé sur les coûts et sont donc très sensibles concernant les coûts de main-d’œuvre et les risques. En outre, les entreprises doivent généralement respecter des délais de production serrés pour les lancements de produits attendus par les entreprises de matériel. Ces deux facteurs combinés intensifient l’importance des entreprises à maintenir des relations fortes avec leur force ouvrière. En cas d’absence de relation, les entreprises peuvent s’exposer à des arrêts de travail et à des ruptures de production. Ces ruptures peuvent entraîner une réduction des revenus à court terme, ainsi que des répercussions possibles à long terme sur la productivité en raison du moral affaibli des employés. En plus de protéger la réputation de l’entreprise et le permis social pour opérer, des améliorations dans les pratiques de travail peuvent limiter les ruptures de production.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Conditions de travail Le traitement des travailleurs et la protection des droits des travailleurs dans l’industrie des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) sont une préoccupation grandissante parmi les clients, régulateurs et entreprises importantes. Les aspects critiques permettent de poser la question des conditions de travail, de la responsabilité environnementale et de la santé et sécurité des collaborateurs, en particulier si cela concerne des matériaux dangereux et des équipements potentiellement dangereux utilisés pour la fabrication. Les entreprises du secteur opèrent dans un environnement extrêmement concurrentiel basé sur les coûts et reposent donc essentiellement sur la garantie d’une main-d’œuvre peu coûteuse et contractuelle. Le recours du secteur a des sous-traitants, des entreprises de recrutement de personnel et un système de fournisseur multi-=-tiers peut rendre difficile l’amélioration des performances sur la question. En outre, les entreprises sont souvent situées dans des pays avec des coûts directs relativement faibles et disposent de plusieurs degrés de réglementation et d’applications pour protéger les travailleurs. Cette dynamique peut accroitre l’exposition de l’entreprise à des risques pour la réputation et à des répercussions sur les coûts et les ventes à court et à long terme. De tels effets peuvent survenir d’une réglementation renforcée et de son application en réponse à des incidents de travail et de sécurité importants, ou par le biais d’un déplacement de la demande contre les entreprises associées à de tels incidents. Les entreprises avec des normes concernant la chaîne d’approvisionnement, un contrôle et un engagement avec les fournisseurs assez solides pour traiter les préoccupations liées au travail peuvent ainsi être mieux positionnées pour protéger la valeur pour l’actionnaire sur le long terme.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Gestion du cycle de vie des produits Les entreprises du secteur des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM), en plus des clients de l’industrie tels que les entreprises de matériel, font face aux défis croissants associés aux externalités environnementales attribuées à la fabrication, au transport, à l’utilisation et à la mise au rebut des produits. L’obsolescence rapide des produits matériels exacerbe ces externalités. Les produits du secteur contiennent généralement des matériaux dangereux, qui font de la mise au rebut en fin de vie en toute sécurité un aspect critique à gérer. Les entreprises qui ne sont pas en mesure de minimiser les effets sur l’environnement de leurs produits peuvent faire face à une augmentation des coûts réglementaires à l’heure où les lois locales, régionales et nationales mettent l’accent sur la préservation des ressources et la gestion des déchets. Grâce à l’innovation produit qui facilite la récupération des produits en fin de vie et l’utilisation de matériaux qui auront des répercussions moindres, les fabricants du secteur EMS et ODM peuvent améliorer les répercussions du cycle de vie, réduire les risques réglementaires et économiser des coûts.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en matériaux Les entreprises de l’industrie des services de fabrication électronique (EMS) et de la création de modèles originaux (ODM) s’appuient sur de nombreux matériaux critiques en tant qu’intrants majeurs pour les produits finis. La plupart de ces intrants présentent peu ou pas de substituts disponibles et proviennent souvent de dépôts concentrés dans certains pays, dont la plupart sont sujets à une incertitude géopolitique. D’autres répercussions sur la durabilité liées au changement climatique, à l’utilisation des sols, à la pénurie des ressources et aux conflits dans des régions où la chaîne d’approvisionnement du secteur opère changent de manière exponentielle la manière de s’approvisionner du secteur. En outre, l’augmentation de la concurrence pour ces matériaux en raison d’une demande mondiale grandissante de la part des autres secteurs peut entraîner une hausse des prix et des risques à l’approvisionnement. La capacité des entreprises à gérer les pénuries potentielles de matériaux, les ruptures d’approvisionnement, la volatilité des prix et les risques pour la réputation est rendue encore plus difficile par le fait que ces entreprises s’approvisionnent en matériaux provenant de chaînes d’approvisionnement qui manquent souvent de transparence. Une incapacité à gérer de manière efficace cette question peut entraîner une incapacité à accéder aux matériaux nécessaires, à des marges réduites, à une croissance du chiffre d’affaires limitées et/ou à des coûts ou capitaux plus élevés.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      None
    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
      None
  • Services de télécommunication Remove
    Access Standard
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Empreinte environnementale des activités Les entreprises de services de télécommunication individuelles consomment des quantités considérables d’énergie. Selon la source d’énergie et l’efficacité de sa production, la consommation d’électricité par les infrastructures du réseau télécom peut contribuer à des effets externes importants sur l’environnement, tels que le changement climatique, créant des risques pour la durabilité de l’industrie. Bien que les équipements de réseau et les centres de données soient de plus en plus économe en énergie , leur consommation globale augmente avec l’expansion des infrastructures de télécommunications et du trafic des données. La manière avec laquelle les entreprises de services de télécommunication gèrent leur rendement ou leur intensité énergétique globale, leur dépendance envers différents types d’énergie et leur capacité à accéder à des sources d’énergie alternative deviendront de plus en plus matérielles comme l’attention réglementaire sera de plus en plus portée sur le changement climatique, apportant avec lui des incitations pour un meilleur rendement énergétique et des énergies renouvelables ainsi que pour une tarification des émissions des gaz à effet de serre (GES). Comme les dépenses pour l’énergie peuvent être conséquentes pour l’industrie, les entreprises qui sont en mesure d’améliorer le rendement énergétique de leurs activités sont susceptibles de connaître des économies de coûts et des marges de profit plus élevées.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      None
    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
      None
    • Vie privée des clients La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Confidentialité des données À l’heure où les clients portent une attention accrue aux problèmes de confidentialité entourant les téléphones portables, l’Internet et les services de messagerie électronique, les entreprises de services de télécommunication devront mettre en place des pratiques et directives de gestion fortes concernant leur utilisation des données du client. Les entreprises de services de télécommunication utilisent de plus en plus de données de localisation du client, de navigation et démographiques pour améliorer leurs services ainsi que pour générer des revenus en vendant ces données à des tiers. Les préoccupations grandissantes du public concernant la confidentialité ont causé une supervision réglementaire accrue de l’utilisation, de la collecte et de la vente des données du client. Ces tendances exacerbent l’importance, de la part des entreprises de services de télécommunication, d’adopter et de communiquer de manière transparente les politiques concernant la vente des données du client à des tiers, y compris la quantité et le type de données fournies et la nature de leur utilisation (par exemple, utilisation à des fins commerciales). En outre, les entreprises de services de télécommunication reçoivent et doivent déterminer si elles doivent se conformer aux demandes du gouvernement concernant les informations du client. Les entreprises de l’industrie qui échouent à gérer leurs performances dans ce domaine sont susceptibles de voir leurs revenus baisser à la suite d’une perte de confiance des consommateurs et de désaffections, ainsi que de connaître des répercussions financières provenant d’expositions judiciaires.
    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
      • Sécurité des données L’industrie des services de télécommunication est particulièrement vulnérable aux menaces pour la sécurité des données, comme les entreprises gèrent un volume grandissant de données du client, y compris des informations nominatives, ainsi que des données démographiques, comportementales et de localisation. Des exemples récents de cyberattaques sur des infrastructures de télécommunication critiques illustrent le besoin de renforcer la sécurité du réseau. Les préventions, détections et réparations inadéquates des menaces de sécurité des données peuvent influencer l’acquisition et la rétention des clients et causer une baisse de la part de marché, ainsi qu’une demande plus faible pour les produits de l’entreprise. Outre les atteintes à la réputation et le roulement des clients, les violations de données peuvent également causer des dépenses accrues, généralement associées aux efforts de réparation tels que des offres de protection de l’identité et la formation des employés sur la protection des données. En tant que fournisseurs d’infrastructures critiques, la capacité des entreprises à combattre les cyberattaques est susceptible d’affecter la réputation et la valeur de la marque, avec des répercussions à long terme sur la part de marché et la croissance du chiffre d’affaires potentielle. Ainsi, les entreprises qui peuvent identifier et répondre aux risques de sécurité des données dans un délai convenable sont susceptibles d’être en meilleure position pour protéger leur part de marché et leur valeur de la marque tout en réduisant également le risque d’exposition aux cyberattaques. En outre, de nouvelles normes et réglementations sur la sécurité des données sont susceptibles d’affecter les dépenses opérationnelles des entreprises par le biais de coûts de conformité accrus.
    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
      None
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      None
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      None
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Gestion de la fin de vie des produits En raison de l’obsolescence rapide des dispositifs de communication, notamment des téléphones mobiles, ces derniers représentent une proportion croissante de déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) jetés en décharge, en partie en raison d’un taux de recyclage faible. Les entreprises de services de télécommunication sont confrontées à l’augmentation des risques réglementaires associés à ce problème. De nombreuses juridictions ont mis en place des lois de recyclage des DEEE qui incitent les détaillants et fabricants de produits électroniques à créer un système de recyclage, réutilisation ou mise au rebut propre des dispositifs électroniques. Alors que la plupart de ces lois, à leurs débuts, couvraient une gamme limitée de produits, des lois plus récentes s’étendent aux dispositifs mobiles en exigeant des entreprises qu’elles financent la collecte, le traitement, le recyclage et la mise au rebut propre des DEEE, alors que les préoccupations concernant les DEEE des dispositifs de communication augmentent. Les lois sur les DEEE nécessitent généralement des vendeurs et fabricants qu’ils paient pour le recyclage de ces déchets ou qu’ils mettent en place des programmes de reprise du produit et de recyclage. Les sanctions ou coûts engendrés par ces lois, ainsi que les revenus potentiels générés à partir de la rénovation et de la revente des produits, représentent des incitations pour les entreprises de l’industrie afin qu’elles gèrent les répercussions en fin de vie. De nombreuses entreprises de services de télécommunication travaillent en collaboration avec des fabricants de téléphones pour associer services télécom et dispositifs mobiles, et ainsi disposer d’une part de responsabilité dans la gestion de ces dispositifs en fin de vie. Ces relations avec les clients fournissent l’occasion d’une gestion efficace du recyclage, de la réutilisation et de la mise au rebut des produits. L’établissement de programmes de reprise afin de récupérer les matériaux en fin de vie pour une réutilisation, un recyclage ou une refabrication peut permettre des économies sur les coûts pour les entreprises et un approvisionnement en matériaux de fabrication plus résistants.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Comportement concurrentiel et Internet libre L’industrie des services de télécommunication contient des exemples classiques de monopoles naturels, où des coûts du capital élevés peuvent permettre d’offrir la production la plus efficace. Étant donné la nature concentrée des entreprises de télécommunication, de câble et de satellite, ces dernières peuvent gérer leurs stratégies de croissance dans les paramètres du paysage réglementaire conçu pour assurer la concurrence. Outre le monopole naturel, de nombreuses entreprises de l’industrie bénéficient de monopoles sur l’accès aux terminaux sur les prétendus « derniers kilomètres » de leurs réseaux, étant donné leur relation contractuelle avec chaque abonné et les obstacles qui empêchent les abonnés de changer de fournisseurs de service. La nature de cette relation est la base de nombreuses discussions sur le besoin de protéger l’Internet libre, où toutes les données sur Internet sont traitées de manière égale en matière de performances et d’accès. L’industrie est confrontée aux actions réglementaires et judiciaires en cours visant à garantir la concurrence, qui pourraient limiter la part de marché et la potentielle croissance de certains acteurs plus importants. Les activités de fusion et d’acquisition par les acteurs dominants du marché sont sous surveillance réglementaire. Ceci a obligé certaines entreprises à abandonner leurs plans de consolidation, affectant leur valeur. Une dépendance forte envers une domination du marché peut également être une source de risque si les entreprises sont vulnérables aux défis juridiques, augmentant leur profil de risque et leur coût du capital.
    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
      • Gestion des risques systémiques découlant des perturbations technologiques Étant donné l’importance systémique des réseaux de télécommunication, une interruption systémique ou économique peut être créée si les infrastructures du réseau des entreprises de services de télécommunication sont peu fiables et enclines à des risques de continuité commerciale. Alors que la fréquence des événements météorologiques extrêmes associés au changement climatique augmente, les entreprises de services de télécommunication seront de plus en plus confrontées aux menaces physiques grandissantes sur les infrastructures du réseau, avec des répercussions sociales ou systémiques potentiellement importantes. En l’absence d’infrastructures fiables et résistantes, les entreprises peuvent être confrontées à une perte de revenus associée à des coupures du service et à des dépenses imprévues en capital pour réparer les équipements endommagés ou compromis. Les entreprises qui parviennent à mettre en place des mesures pour répondre aux risques de continuité commerciale, y compris une identification des activités commerciales critiques, ou pour améliorer la résistance du système, sont susceptibles de réduire considérablement leur exposition aux risques et ainsi de connaître une baisse de leur coût du capital. Bien que la mise en place de ces mesures puisse engendrer des coûts initiaux, les entreprises sont susceptibles de faire des bénéfices à long terme en ce qui concerne les dépenses liées aux réparations en cas d’interruptions à incidence considérable.

Sélectionner jusqu’à 4 industries

actuelle Industries:
Services de fabrication de produits électroniques et ODM (original design manufacturer)
|
Services de télécommunication
Secteur de la technologie et des communications
Secteur des biens de consommation
Secteur de l’exploitation minière et du traitement des minerais
Secteur des données financières
Secteur des aliments et boissons
Secteur de la santé
Secteur de l’infrastructure
Secteur des ressources renouvelables et des énergies alternatives
Secteur de la transformation des ressources
Secteur des services
Secteur du transport