Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Logiciels et services informatiques Le secteur des logiciels et des services informatiques (IT) offre des produits et des services à l’international aux consommateurs de la vente au détail, des entreprises et gouvernementaux et inclut les entreprises impliquées dans le développement et les ventes de logiciels d’application, les logiciels d’infrastructure et les logiciels médiateurs. Le secteur est généralement compétitif, mais comporte des acteurs dominants sur certains segments. Bien que relativement jeune, ce secteur se caractérise par des entreprises à forte croissance qui placent fortement l’accent sur l’innovation et dépendent du capital humain et intellectuel. L’industrie comprend également des entreprises de services informatiques qui remplissent des fonctions informatiques spécialisées, comme des services de conseil et externalisés. Les nouveaux modèles commerciaux de l’industrie incluent l’informatique en nuage, le logiciel comme service, la virtualisation, la communication de machine à machine, l’analyse des mégadonnées et l’apprentissage automatique. En outre, la valeur de la marque est essentielle aux entreprises de l’industrie pour se développer et obtenir des effets de réseaux, selon lesquels la large adoption d’un produit logiciel particulier conduit à une croissance des ventes auto-entretenue.
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  • Détaillants et distributeurs de produits alimentaires L’industrie des Détaillants et distributeurs de produits alimentaires est composée des entreprises participant à la vente en gros et au détail d’aliments, de boissons et de produits agricoles. Le format des magasins inclut les supermarchés de détail, les magasins de proximité, les grossistes alimentaires, les magasins de vins et spiritueux, les boulangeries, les magasins d’alimentation naturelle, les magasins d’aliments spécialisés, les magasins de fruits de mer et les centres de distribution. Les entreprises peuvent être spécialisées dans un type de format de magasin ou posséder des installations ayant plusieurs formats. Les produits proviennent généralement du monde entier et comprennent la viande et les produits frais, les aliments préparés, les aliments transformés, les produits de boulangerie, les aliments surgelés et en conserve, les boissons alcoolisées et non alcoolisées et une large sélection de produits ménagers et de soins personnels.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (13 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Logiciels et services informatiques Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Empreinte environnementale de l’infrastructure matérielle Les offres de services basés sur le Cloud étant croissantes, les entreprises de ce secteur possèdent, exploitent ou louent de plus en plus de centres de données et d’autres équipements. Par conséquent, la gestion de l’utilisation d’eau et d’énergie associée à l’infrastructure matérielle informatique revêt une importance significative pour la valeur actionnariale. Les centres de données doivent être alimentés en continu et les perturbations de l’alimentation en énergie peuvent avoir des répercussions importantes sur les activités, selon la magnitude et la durée de la perturbation. Les entreprises sont confrontées à un compromis entre la consommation d’eau et d’énergie en raison des besoins de climatisation des centres de données. Climatiser des centres de données à l’aide d’eau plutôt que de climatiseurs est un moyen d’améliorer le rendement énergétique, mais cela peut entraîner une dépendance envers les importantes ressources en eau locales. Les décisions concernant les caractéristiques d’un centre de données sont importantes pour la gestion des coûts, l’obtention d’une alimentation fiable en eau et en énergie et la réduction des risques pour la réputation, en particulier dans le contexte d’un accent réglementaire accru dans le monde entier sur le changement climatique et d’un développement des possibilités découlant des innovations concernant le rendement énergétique et l’énergie renouvelable.
    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
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    • Vie privée des clients La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Confidentialité des données et liberté d’expression Les entreprises du secteur des logiciels et services informatiques livrent de plus en plus de produits et de services par Internet et sur les appareils mobiles, elles doivent gérer attentivement deux priorités distinctes et souvent contradictoires. D’une part, les entreprises utilisent les données des consommateurs pour innover, leur fournir de nouveaux produits et services et générer des revenus. D’autre part, l’accès des entreprises à un large éventail de données de consommateurs, telles que des données personnelles, démographiques, de contenu et comportementales, fait l’objet de préoccupations liées à la protection de la vie privée. Cette dynamique conduit à un contrôle réglementaire accru dans de nombreux pays du monde. La livraison de logiciels et de services informatiques basés sur le Cloud suscite également des inquiétudes concernant l’accès potentiel aux données des utilisateurs par les gouvernements pouvant les utiliser pour limiter les libertés des citoyens. Une gestion efficace dans ce domaine est importante afin de réduire les risques réglementaires et pour la réputation qui peuvent engendrer une diminution des revenus, une baisse de la part de marché et des actions réglementaires impliquant de potentielles amendes et autres coûts juridiques.
    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
      • Sécurité des données Les entreprises du secteur des logiciels et services informatiques sont la cible de menaces croissantes pour la sécurité des données provenant d’attaques informatiques et d’ingénierie sociale, mettant leurs propres données et celles de leurs consommateurs en danger. Les préventions, détections et réparations inadéquates des menaces de sécurité des données peuvent influencer l’acquisition et la conservation des données des consommateurs et causer une baisse de la part de marché, ainsi qu’une demande plus faible pour les produits de l’entreprise. Outre les atteintes à la réputation et le roulement des consommateurs, les violations de données peuvent également causer des dépenses accrues, généralement associées aux efforts de réparation tels que des offres de protection de l’identité et la formation des employés à la protection des données. En attendant, de nouvelles normes et réglementations sur la sécurité des données sont susceptibles d’affecter les dépenses opérationnelles des entreprises par le biais d’une augmentation des coûts de conformité. Par ailleurs, les entreprises de cette industrie sont bien positionnées pour découvrir des opportunités de revenus en fournissant des logiciels et services sécurisés répondant à la demande de garantie d’une conservation sûre des données.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
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    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
      • Recrutement et gestion des collaborateurs mondiaux, variés et compétents Les employés sont des contributeurs clés pour valoriser la création dans le secteur des logiciels et services informatiques. Alors que le nombre de postes vacants du secteur continue d’augmenter, les entreprises peinent à recruter des employés qualifiés pour occuper ces postes. La pénurie d’employés nationaux qualifiés dans le domaine technique a créé une concurrence intense pour l’acquisition d’employés fortement qualifiés, contribuant à des taux de roulement élevés. Pour répondre aux pénuries de talents, les entreprises embauchent souvent des ressortissants étrangers et des activités hors du pays, ce qui crée des difficultés de gestion des employés et de durabilité, ainsi que des risques commerciaux associés. Certaines entreprises contribuent à un enseignement pertinent et des programmes de formation pour élargir la disponibilité des employés qualifiés nationaux. Les entreprises offrent des avantages financiers et non financiers importants pour améliorer l’engagement des employés et ainsi la conservation et l’augmentation de la productivité. Des initiatives pour améliorer l’engagement des employés et l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée pourraient influencer le recrutement et la conservation de collaborateurs variés. L’industrie se caractérise par une représentation relativement basse en femmes et en groupes minoritaires, les efforts pour recruter et développer des réserves de talents variés peuvent permettre de répondre à la pénurie de talents et, plus généralement, d’améliorer la valeur des offres de l’entreprise. Une plus grande diversité parmi les collaborateurs est importante pour l’innovation et aide les entreprises à comprendre les besoins de leur clientèle mondiale et variée.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Protection de la propriété intellectuelle et comportement concurrentiel Les entreprises du secteur des logiciels et services informatiques dépensent une partie considérable de leurs revenus à la protection de la propriété intellectuelle (PI), notamment en faisant l’acquisition de brevets et de droits d’auteur. Bien que la protection PI soit inhérente au modèle économique de certaines entreprises du secteur et constitue un moteur d’innovation important, les pratiques PI des entreprises peuvent être une question sociale controversée. Les entreprises peuvent parfois acquérir des brevets et d’autres protections PI en vue de limiter la concurrence et d’accéder aux avantages de l’innovation, surtout si elles sont des actrices majeures du marché. En raison de la complexité des logiciels, de leur nature abstraite et du renforcement de la protection des droits PI liés aux logiciels, les entreprises du secteur doivent gérer des revendications de brevets qui se chevauchent afin de pouvoir mener leurs opérations. Ainsi, les entreprises du secteur peuvent se trouver constamment dans des situations de litiges ou être soumises à un contrôle réglementaire, que ce soit en raison d’allégations de violations de brevets si elles adoptent des pratiques commerciales immorales, ou sont perçues comme agissant de la sorte, ou parce qu’elles engagent des procédures judiciaires contre d’autres pour atteinte aux droits de PI. Les décisions judiciaires ou réglementaires liées à l’antitrust et à la PI peuvent, par conséquent, exposer les entreprises du secteur à des contentieux longs et coûteux, et à de potentielles pertes financières. Ces décisions peuvent également toucher la part de marché et la fixation des prix d’une entreprise si ses brevets ou sa position dominante sur des marchés clés sont contestés sur le plan juridique, avec des répercussions importantes sur les revenus. Les entreprises peuvent, par conséquent, équilibrer la protection de leur PI et son utilisation pour encourager l’innovation tout en garantissant que la gestion de leur PI et autres pratiques commerciales ne restreignent pas injustement la concurrence et sont susceptibles de réduire le contrôle réglementaire et les actions en justice en protégeant leur valeur marchande.
    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
      • Gestion des risques systémiques découlant des perturbations technologiques Avec la tendance à une augmentation de l’informatique en nuage et de l’utilisation de logiciels comme services (SaaS), les fournisseurs de logiciels et services informatiques doivent s’assurer de la robustesse de leur infrastructure et des politiques mises en place pour minimiser les perturbations de leurs services. Les perturbations comme les erreurs de programmation ou les temps d’arrêt de serveurs peuvent générer des risques systémiques avec le passage des fonctions informatiques et de stockage des données depuis des serveurs d’entreprise individuels sur plusieurs secteurs d’activité vers des centres de données de fournisseurs de services informatiques en nuage. Les risques sont particulièrement accentués si les consommateurs touchés font partie de secteurs sensibles, comme les établissements financiers ou les services publics, considérés comme étant une infrastructure nationale essentielle. Les investissements des entreprises dans l’amélioration de la fiabilité et de la qualité de leur infrastructure et services informatiques sont susceptibles d’affecter leur capacité à attirer et conserver les consommateurs, impactant, de ce fait, leurs revenus et les opportunités de s’établir sur de nouveaux marchés.
  • Détaillants et distributeurs de produits alimentaires Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Gestion du carburant de la flotte Les entreprises de l’industrie des Détaillants et distributeurs de produits alimentaires possèdent et utilisent des flottes automobiles pour transporter les produits entre leurs sites de distribution et leurs points de vente. La consommation de carburant des flottes automobiles représente une dépense importante pour l’industrie, en matière de coûts de fonctionnement et des dépenses en capital associées. La consommation de combustibles fossiles peut contribuer aux impacts environnementaux, notamment le changement climatique et la pollution. Ces impacts environnementaux peuvent affecter les distributeurs et les détaillants de produits alimentaires par le biais de l’exposition à la réglementation. Les économies réalisées sur l’utilisation de carburant peuvent réduire les coûts, atténuer l’exposition à la volatilité des cours des combustibles fossiles et limiter l’empreinte carbone associée au stockage et au transport. Les dépenses en capital à court terme en flottes économes en carburant et en technologies plus économes en énergie peuvent être compensées par les économies opérationnelles à long terme et la diminution de l’exposition aux risques réglementaires.
      • Émissions atmosphériques dues à la réfrigération Les émissions des produits chimiques de réfrigération provenant des équipements utilisés pour stocker et présenter les aliments périssables présentent des risques réglementaires uniques pour l’industrie des Détaillants et distributeurs de produits alimentaires. Les réglementations internationales sur les hydrochlorofluorocarbones (HCFC) ont pour but d’atténuer les dégâts causés par les HCFC sur la couche d’ozone de la Terre. De plus, de nombreux HCFC et hydrofluorocarbones (HFC) communs sont des gaz à effet de serre (GES) très puissants, ce qui accroît l’exposition de l’industrie aux réglementations liées au changement climatique. Les régulateurs peuvent évaluer les sanctions imposées aux entreprises qui enfreignent les normes relatives aux émissions, tandis que les entreprises peuvent être tenues de mettre à jour ou de remplacer leurs équipements, ce qui nécessite des dépenses de capital, afin de réduire leurs émissions ou de remplacer les fluides frigorigènes existants par des alternatives potentiellement plus coûteuses, mais moins dangereuses pour l’environnement.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie Les sites de distribution et de vente au détail d’aliments ont généralement une intensité énergétique supérieure à celle des autres types d’espaces commerciaux. L’énergie est principalement utilisée pour la réfrigération, le chauffage, la ventilation et la climatisation (HVAC), ainsi que pour l’éclairage. Les entreprises de cette industrie achètent généralement la majorité de l’électricité qu’elles consomment, bien que certaines commencent à générer de l’énergie sur place ou à intégrer de l’énergie renouvelable dans leur bouquet énergétique. La production et la consommation d’énergie contribuent aux impacts sur l’environnement, notamment le changement climatique et la pollution, qui ont le potentiel d’affecter indirectement, mais considérablement, les opérations des distributeurs et détaillants de produits alimentaires. Les entreprises qui gèrent leur utilisation globale d’énergie avec un rendement supérieur et l’utilisation de sources d’énergie de substitution peuvent augmenter leur rentabilité en réduisant les dépenses et en diminuant les risques.
    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Gestion des déchets alimentaires L’industrie des Détaillants et distributeurs de produits alimentaires génère des déchets alimentaires à plusieurs étapes. Les déchets alimentaires incluent les aliments comestibles ou utiles qui n’atteignent pas les consommateurs, ainsi que les aliments qui deviennent avariés ou sont abîmés pendant le transport ou le stockage ou lorsqu’ils sont dans les rayons des magasins. Les déchets et pertes alimentaires représentent des pertes de produits vendables pour les entreprises de l’industrie et, de manière plus générale, une perte des ressources utilisées dans la production d’aliments, ce qui comprend la terre, l’eau, la main-d’œuvre, l’énergie et les produits chimiques agricoles, tout en contribuant à l’insécurité alimentaire. De plus, les déchets alimentaires peuvent générer des émissions de gaz à effet de serre (GES) pendant la décomposition dans les décharges. Une gestion des déchets alimentaires efficace peut présenter des opportunités financières pour réduire les coûts associés aux pertes d’inventaire et aider à améliorer la sécurité alimentaire en écartant plus efficacement les ressources alimentaires du flux de déchets pour les utiliser à des fins bénéfiques.
    • Vie privée des clients La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.
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    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
      • Sécurité des données Avec les transactions par paiement électronique et le partage de données financières personnelles, les détaillants de produits alimentaires établissent une relation de confiance avec les consommateurs. Des violations de données peuvent se produire en cas de violation de la technologie de paiement physique, autrement dit des violations sur le point de vente, et en cas d’attaques de cybersécurité. Les violations de données qui entraînent le vol ou la perte des données privées des consommateurs peuvent nuire à la confiance des consommateurs en la capacité d’une entreprise à gérer les informations privées de manière sécurisée. Cette perte de confiance peut aboutir à une réduction du nombre de visites des consommateurs, à une baisse des recettes et à un amoindrissement de la valeur de la marque. Les détaillants qui disposent de systèmes technologiques et de gestion robustes afin d’éviter et de répondre aux violations de données peuvent se positionner favorablement auprès des consommateurs et réduire les litiges et coûts éventuels associés aux violations de données.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité alimentaire Le maintien de la sécurité et de la qualité des produits est essentiel pour l’industrie des Détaillants et distributeurs de produits alimentaires, car la contamination par des agents pathogènes, des substances dangereuses ou une détérioration peut présenter des risques pour la santé humaine. La contamination peut se produire à n’importe quelle étable de la chaîne de valeur des aliments, notamment la production des aliments, la transformation, le transport, la distribution et la vente au détail. Bien que les détaillants de produits alimentaires ne soient pas directement responsables de tous les incidents de rappel et de sécurité alimentaire, ils sont impliqués dans ce processus et peuvent subir les ramifications financières, les dommages à la valeur de la marque, la baisse des recettes et l’augmentation des coûts associés aux rappels, aux pertes d’inventaire ou aux litiges. Les mesures permettant d’éviter la détérioration et la contamination comprennent le contrôle de la température, des inspections alimentaires fréquentes et la sélection des fournisseurs.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Produits de santé et nutrition La sensibilisation croissante des consommateurs à l’égard de la valeur nutritionnelle et du contenu des aliments, ainsi que l’impact que cela peut avoir sur la santé, façonne le paysage concurrentiel de l’industrie des Détaillants et distributeurs de produits alimentaires. La demande en produits alimentaires fabriqués à partir d’ingrédients naturels ou certifiés biologiques, à faible teneur en gras, à faible teneur en sucre ou fabriqués sans organismes génétiquement modifiés (OGM) a été un moteur de croissance de l’industrie au cours des dernières années. Bien que les liens entre la santé des consommateurs et certains aliments ne soient pas bien établis, les consommateurs ont néanmoins indiqué des préférences pour les catégories d’aliments perçus comme étant plus sains. Les détaillants de produits alimentaires qui reconnaissent les risques et les occasions présentés par l’évolution des préférences des consommateurs et qui s’adaptent aux demandes des consommateurs sont mieux placés pour saisir les occasions d’augmentation des recettes et de la part de marché.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Étiquetage et commercialisation des produits La communication avec les consommateurs par le biais du marketing et de l’étiquetage des produits est un aspect important de la vente au détail des produits alimentaires. La précision et la richesse des informations présentées sur l’étiquetage des aliments revêtent une importance croissante pour les acheteurs comme pour les organismes de régulation. Cela est particulièrement pertinent pour la vente des produits vendus sous la marque du distributeur fabriqués pour les détaillants de produits alimentaires, étant donné les répercussions directes sur la répercussion de la marque. Pour éclairer leurs décisions d’achat, les clients cherchent aujourd’hui des informations supplémentaires sur les ingrédients des produits, comme la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM) et d’autres impacts nutritionnels et de santé. Ces questions peuvent influencer l’environnement concurrentiel de l’industrie, car les entreprises peuvent faire l’objet de litiges ou de critiques si elles font des déclarations trompeuses ou ne s’adaptent pas aux demandes des consommateurs pour plus de transparence et d’étiquetage. Ces facteurs peuvent avoir des répercussions sur la valeur de la marque et la croissance du chiffre d’affaires des détaillants. Par ailleurs, les réglementations concernant l’exactitude de l’étiquetage des produits et de leurs ingrédients présentent le risque de sanctions ou de litiges pour les détaillants de produits alimentaires.
    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
      • Pratiques de travail L’industrie des Détaillants et distributeurs de produits alimentaires emploie de nombreux travailleurs horaires. Les salaires moyens faibles dans l’industrie, qui aident les entreprises à maintenir le prix bas des produits, peuvent présenter des risques liés à la main-d’œuvre. Le mécontentement des travailleurs vis-à-vis des salaires et des avantages, associé aux taux de syndicalisation élevés, ont abouti à des grèves des employés dans les grandes entreprises de vente au détail de produits alimentaires, provoquant une perturbation des activités et des atteintes à la réputation. Par ailleurs, des entreprises de l’industrie ont été impliquées dans des affaires de discrimination sexuelle et raciale, entraînant parfois des règlements financiers coûteux. Les entreprises peuvent être avantagées en adoptant une perspective à long terme concernant la gestion des travailleurs, y compris leur rémunération et leurs avantages, d’une manière qui protège les droits des travailleurs et améliore leur productivité tout en renforçant la valeur de la marque et la réputation de l’entreprise.
    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Gestion des répercussions environnementales et sociales dans la chaîne d’approvisionnement Les distributeurs et détaillants de produits alimentaires s’approvisionnent en marchandises auprès d’un large éventail de fabricants. Ces fournisseurs sont confrontés à une multitude de défis liés à la durabilité, notamment la conservation des ressources, la pénurie d’eau, le bien-être animal, les pratiques de travail équitables et le changement climatique. Mal gérées, ces questions peuvent affecter le prix et la disponibilité des aliments. En outre, les consommateurs se préoccupent de plus en plus des méthodes de production, des origines et des externalités associées aux aliments qu’ils achètent, ce qui peut affecter la réputation d’une entreprise. Les distributeurs et détaillants de produits alimentaires peuvent également travailler avec des fournisseurs sur la conception des emballages afin de générer des économies sur les coûts de transport, améliorer la réputation de la marque et réduire l’impact environnemental. Les entreprises qui abordent ces risques d’approvisionnement en produits en évaluant et en mobilisant les fournisseurs, en mettant en œuvre des directives d’approvisionnement durable et en améliorant la transparence de la chaîne d’approvisionnement seront probablement mieux placées pour améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement, gérer les risques réputationnels et éventuellement augmenter la demande des clients ou saisir de nouvelles occasions commerciales.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
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