Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Logiciels et services informatiques Le secteur des logiciels et des services informatiques (IT) offre des produits et des services à l’international aux consommateurs de la vente au détail, des entreprises et gouvernementaux et inclut les entreprises impliquées dans le développement et les ventes de logiciels d’application, les logiciels d’infrastructure et les logiciels médiateurs. Le secteur est généralement compétitif, mais comporte des acteurs dominants sur certains segments. Bien que relativement jeune, ce secteur se caractérise par des entreprises à forte croissance qui placent fortement l’accent sur l’innovation et dépendent du capital humain et intellectuel. L’industrie comprend également des entreprises de services informatiques qui remplissent des fonctions informatiques spécialisées, comme des services de conseil et externalisés. Les nouveaux modèles commerciaux de l’industrie incluent l’informatique en nuage, le logiciel comme service, la virtualisation, la communication de machine à machine, l’analyse des mégadonnées et l’apprentissage automatique. En outre, la valeur de la marque est essentielle aux entreprises de l’industrie pour se développer et obtenir des effets de réseaux, selon lesquels la large adoption d’un produit logiciel particulier conduit à une croissance des ventes auto-entretenue.
    Supprimer
  • Viande, volaille et produits laitiers L’industrie de la viande, de la volaille et des produits laitiers fabrique des produits bruts et des produits animaux transformés, comme la viande, les œufs et les produits laitiers, pour la consommation humaine et animale. Les activités principales comprennent l’élevage d’animaux, l’abattage, la transformation et l’emballage. Les plus grandes entreprises de l’industrie ont des activités au niveau international et les sociétés sont intégrées verticalement à différents degrés, selon le type d’animal produit. Les grands opérateurs industriels dépendent généralement d’exploitants indépendants ou sous contrat pour la fourniture d’animaux et peuvent avoir des degrés variables de contrôle sur leurs activités. L’industrie vend principalement des produits à l’industrie des aliments transformés et aux distributeurs de vente au détail distribuant les produits finis aux principaux marchés finaux, tels que les restaurants, les consommateurs de nourriture pour bétail et animaux domestiques et les détaillants.
    Supprimer

Questions pertinentes pour les deux Industries (15 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Logiciels et services informatiques Remove
    Access Standard
    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      None
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Empreinte environnementale de l’infrastructure matérielle Les offres de services basés sur le Cloud étant croissantes, les entreprises de ce secteur possèdent, exploitent ou louent de plus en plus de centres de données et d’autres équipements. Par conséquent, la gestion de l’utilisation d’eau et d’énergie associée à l’infrastructure matérielle informatique revêt une importance significative pour la valeur actionnariale. Les centres de données doivent être alimentés en continu et les perturbations de l’alimentation en énergie peuvent avoir des répercussions importantes sur les activités, selon la magnitude et la durée de la perturbation. Les entreprises sont confrontées à un compromis entre la consommation d’eau et d’énergie en raison des besoins de climatisation des centres de données. Climatiser des centres de données à l’aide d’eau plutôt que de climatiseurs est un moyen d’améliorer le rendement énergétique, mais cela peut entraîner une dépendance envers les importantes ressources en eau locales. Les décisions concernant les caractéristiques d’un centre de données sont importantes pour la gestion des coûts, l’obtention d’une alimentation fiable en eau et en énergie et la réduction des risques pour la réputation, en particulier dans le contexte d’un accent réglementaire accru dans le monde entier sur le changement climatique et d’un développement des possibilités découlant des innovations concernant le rendement énergétique et l’énergie renouvelable.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      None
    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      None
    • Vie privée des clients La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Confidentialité des données et liberté d’expression Les entreprises du secteur des logiciels et services informatiques livrent de plus en plus de produits et de services par Internet et sur les appareils mobiles, elles doivent gérer attentivement deux priorités distinctes et souvent contradictoires. D’une part, les entreprises utilisent les données des consommateurs pour innover, leur fournir de nouveaux produits et services et générer des revenus. D’autre part, l’accès des entreprises à un large éventail de données de consommateurs, telles que des données personnelles, démographiques, de contenu et comportementales, fait l’objet de préoccupations liées à la protection de la vie privée. Cette dynamique conduit à un contrôle réglementaire accru dans de nombreux pays du monde. La livraison de logiciels et de services informatiques basés sur le Cloud suscite également des inquiétudes concernant l’accès potentiel aux données des utilisateurs par les gouvernements pouvant les utiliser pour limiter les libertés des citoyens. Une gestion efficace dans ce domaine est importante afin de réduire les risques réglementaires et pour la réputation qui peuvent engendrer une diminution des revenus, une baisse de la part de marché et des actions réglementaires impliquant de potentielles amendes et autres coûts juridiques.
    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
      • Sécurité des données Les entreprises du secteur des logiciels et services informatiques sont la cible de menaces croissantes pour la sécurité des données provenant d’attaques informatiques et d’ingénierie sociale, mettant leurs propres données et celles de leurs consommateurs en danger. Les préventions, détections et réparations inadéquates des menaces de sécurité des données peuvent influencer l’acquisition et la conservation des données des consommateurs et causer une baisse de la part de marché, ainsi qu’une demande plus faible pour les produits de l’entreprise. Outre les atteintes à la réputation et le roulement des consommateurs, les violations de données peuvent également causer des dépenses accrues, généralement associées aux efforts de réparation tels que des offres de protection de l’identité et la formation des employés à la protection des données. En attendant, de nouvelles normes et réglementations sur la sécurité des données sont susceptibles d’affecter les dépenses opérationnelles des entreprises par le biais d’une augmentation des coûts de conformité. Par ailleurs, les entreprises de cette industrie sont bien positionnées pour découvrir des opportunités de revenus en fournissant des logiciels et services sécurisés répondant à la demande de garantie d’une conservation sûre des données.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      None
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      None
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      None
    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
      • Recrutement et gestion des collaborateurs mondiaux, variés et compétents Les employés sont des contributeurs clés pour valoriser la création dans le secteur des logiciels et services informatiques. Alors que le nombre de postes vacants du secteur continue d’augmenter, les entreprises peinent à recruter des employés qualifiés pour occuper ces postes. La pénurie d’employés nationaux qualifiés dans le domaine technique a créé une concurrence intense pour l’acquisition d’employés fortement qualifiés, contribuant à des taux de roulement élevés. Pour répondre aux pénuries de talents, les entreprises embauchent souvent des ressortissants étrangers et des activités hors du pays, ce qui crée des difficultés de gestion des employés et de durabilité, ainsi que des risques commerciaux associés. Certaines entreprises contribuent à un enseignement pertinent et des programmes de formation pour élargir la disponibilité des employés qualifiés nationaux. Les entreprises offrent des avantages financiers et non financiers importants pour améliorer l’engagement des employés et ainsi la conservation et l’augmentation de la productivité. Des initiatives pour améliorer l’engagement des employés et l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée pourraient influencer le recrutement et la conservation de collaborateurs variés. L’industrie se caractérise par une représentation relativement basse en femmes et en groupes minoritaires, les efforts pour recruter et développer des réserves de talents variés peuvent permettre de répondre à la pénurie de talents et, plus généralement, d’améliorer la valeur des offres de l’entreprise. Une plus grande diversité parmi les collaborateurs est importante pour l’innovation et aide les entreprises à comprendre les besoins de leur clientèle mondiale et variée.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      None
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      None
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      None
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Protection de la propriété intellectuelle et comportement concurrentiel Les entreprises du secteur des logiciels et services informatiques dépensent une partie considérable de leurs revenus à la protection de la propriété intellectuelle (PI), notamment en faisant l’acquisition de brevets et de droits d’auteur. Bien que la protection PI soit inhérente au modèle économique de certaines entreprises du secteur et constitue un moteur d’innovation important, les pratiques PI des entreprises peuvent être une question sociale controversée. Les entreprises peuvent parfois acquérir des brevets et d’autres protections PI en vue de limiter la concurrence et d’accéder aux avantages de l’innovation, surtout si elles sont des actrices majeures du marché. En raison de la complexité des logiciels, de leur nature abstraite et du renforcement de la protection des droits PI liés aux logiciels, les entreprises du secteur doivent gérer des revendications de brevets qui se chevauchent afin de pouvoir mener leurs opérations. Ainsi, les entreprises du secteur peuvent se trouver constamment dans des situations de litiges ou être soumises à un contrôle réglementaire, que ce soit en raison d’allégations de violations de brevets si elles adoptent des pratiques commerciales immorales, ou sont perçues comme agissant de la sorte, ou parce qu’elles engagent des procédures judiciaires contre d’autres pour atteinte aux droits de PI. Les décisions judiciaires ou réglementaires liées à l’antitrust et à la PI peuvent, par conséquent, exposer les entreprises du secteur à des contentieux longs et coûteux, et à de potentielles pertes financières. Ces décisions peuvent également toucher la part de marché et la fixation des prix d’une entreprise si ses brevets ou sa position dominante sur des marchés clés sont contestés sur le plan juridique, avec des répercussions importantes sur les revenus. Les entreprises peuvent, par conséquent, équilibrer la protection de leur PI et son utilisation pour encourager l’innovation tout en garantissant que la gestion de leur PI et autres pratiques commerciales ne restreignent pas injustement la concurrence et sont susceptibles de réduire le contrôle réglementaire et les actions en justice en protégeant leur valeur marchande.
    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
      • Gestion des risques systémiques découlant des perturbations technologiques Avec la tendance à une augmentation de l’informatique en nuage et de l’utilisation de logiciels comme services (SaaS), les fournisseurs de logiciels et services informatiques doivent s’assurer de la robustesse de leur infrastructure et des politiques mises en place pour minimiser les perturbations de leurs services. Les perturbations comme les erreurs de programmation ou les temps d’arrêt de serveurs peuvent générer des risques systémiques avec le passage des fonctions informatiques et de stockage des données depuis des serveurs d’entreprise individuels sur plusieurs secteurs d’activité vers des centres de données de fournisseurs de services informatiques en nuage. Les risques sont particulièrement accentués si les consommateurs touchés font partie de secteurs sensibles, comme les établissements financiers ou les services publics, considérés comme étant une infrastructure nationale essentielle. Les investissements des entreprises dans l’amélioration de la fiabilité et de la qualité de leur infrastructure et services informatiques sont susceptibles d’affecter leur capacité à attirer et conserver les consommateurs, impactant, de ce fait, leurs revenus et les opportunités de s’établir sur de nouveaux marchés.
  • Viande, volaille et produits laitiers Remove
    Access Standard
    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre L’industrie de la viande, de la volaille et des produits laitiers génère des émissions de gaz à effet de serre (GES) globales brutes de Scope 1 provenant du bétail et des processus industriels énergétiquement dispendieux. Les émissions de GES contribuent au changement climatique et engendrent des coûts supplémentaires de conformité réglementaire et des risques pour les entreprises de viande, de volaille et de produits laitiers du fait de politique d’atténuation du changement climatique. La majorité des émissions de l’industrie provient directement des animaux eux-mêmes par la libération de méthane lors de la fermentation entérique et du stockage et traitement des effluents d’élevage. Les émissions directes provenant de l’élevage et de la production de bétail représentent une part significative des émissions totales de GES relâchées parmi toutes les sources, à la fois aux États-Unis et dans le monde. Ces sources d’émissions ne sont actuellement pas largement réglementées, ce qui présente des incertitudes quant au futur des réglementations de GES pour l’industrie. Les entreprises de cette industrie utilisent également de larges quantités de combustibles fossiles pour répondre à leurs besoins en énergie, engendrant des émissions de GES directes supplémentaires et augmentant l’exposition à des risques réglementaires. Les futures réglementations des émissions pourraient causer des coûts de fonctionnement et/ou de conformité supplémentaires. À travers la mise en place de nouvelles technologies visant à capturer les émissions animales et à se concentrer sur le rendement énergétique, les entreprises peuvent réduire le risque réglementaire et les coûts d’énergie volatiles tout en limitant également leurs émissions de GES.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie L’industrie de la viande, de la volaille et des produits laitiers dépend largement de l’électricité et de combustibles achetés en tant qu’intrants critiques pour la création de valeur. L’utilisation d’électricité et de combustibles fossiles par l’entreprise dans ses opérations conduit à des émissions de gaz à effet de serre (GES) directes et indirectes, ce qui contribue aux impacts environnementaux, y compris au changement climatique et à la pollution. L’électricité achetée représente un coût d’exploitation significatif pour les entreprises de la viande, de la volaille et des produits laitiers. Une utilisation efficace de l’énergie est essentielle pour conserver un avantage concurrentiel dans cette industrie, les combustibles et l’électricité achetés représentant une part importante des coûts totaux de production. Les décisions relatives à l’utilisation de carburants de substitution, d’énergie renouvelable et de production d’électricité sur site, contrairement à l’électricité en provenance du réseau, peuvent jouer un rôle important en influençant à la fois les coûts et la fiabilité de l’alimentation énergétique.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau La consommation d’eau de l’industrie de la viande, de la volaille et des produits laitiers est intensive à la fois dans l’élevage de bétail et dans le traitement industriel. En outre, les entreprises de l’industrie génèrent généralement des eaux usées, ou de l’effluent, provenant à la fois des activités de production animale et traitement. La rareté de l’eau devenant une question d’importance grandissante du fait de la croissance démographique, de l’augmentation de la consommation par habitant, de la mauvaise gestion de l’eau et du changement climatique, les entreprises de l’industrie peuvent devoir faire face à une augmentation des coûts d’exploitation ou des pertes de revenus résultant de pénuries en eau et/ou de réglementations imposant une réduction de la production. Les entreprises peuvent gérer les risques et les occasions liés à l’eau par le biais d’investissements de capital et d’une évaluation de la localisation des installations en rapport avec les risques de pénurie en eau, les améliorations de l’efficacité opérationnelle et les partenariats avec les organismes de réglementation et les communautés sur des questions comme l’accès à l’eau ou l’effluent.
    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Utilisation des sols et répercussions écologiques Les opérations de l’industrie de la viande, de la volaille et des produits laitiers ont divers impacts écologiques, principalement à cause de besoins importants d’utilisation des sols pour l’élevage de bétail et de la contamination de l’air, des sols et des eaux souterraines à travers les déchets d’origine animale. Si les impacts sont différents, les exploitations intensives d’engraissement du bétail (CAFO) et les exploitations plus classiques ont des répercussions écologiques significatives. La principale préoccupation concernant les CAFO et les installations de transformation des produits animaux porte sur la génération de larges quantités concentrées de déchets et de polluants dans l’environnement. Le traitement de l’effluent et des déchets provenant des installations implique des coûts significatifs. L’élevage des animaux hors CAFO, qui nécessite de vastes étendues de pâturages, peut conduire à une dégradation physique des ressources terrestres. L’utilisation des sols et les impacts écologiques présentent des risques juridiques et réglementaires sous la forme d’amendes, de litiges et de difficultés d’obtention de permis pour l’expansion des installations ou les rejets de déchets.
    • Vie privée des clients La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      None
    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
      None
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité alimentaire Les produits de viande, de volaille et les produits laitiers sont soit vendus directement aux consommateurs (par ex., le lait ou les œufs), soit transformés davantage en une large variété d’aliments. Le maintien de la qualité des produits et de la sécurité est crucial, car la contamination par des agents pathogènes, des produits chimiques, ou des déchets présente de graves risques pour la santé humaine et animale. Les pratiques et les procédures de sécurité alimentaire dans l’industrie ont récemment fait l’objet d’un contrôle et d’une surveillance intensifiés et de futures apparitions de maladies du bétail pourraient conduire à davantage de réglementations gouvernementales. Les rappels de produits peuvent nuire à la réputation d’une marque, engendrer des amendes élevées, réduire les revenus et augmenter le contrôle réglementaire comme les restrictions commerciales. Obtenir des certificats de sécurité alimentaire ou s’assurer du respect par les fournisseurs des directives de sécurité alimentaire pourrait aider les entreprises dans l’industrie à protéger la sécurité des produits et à communiquer la qualité de leurs produits aux acheteurs.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Utilisation d’antibiotiques dans la production animale L’utilisation d’antibiotiques dans la production de bétail est l’objet d’une préoccupation croissante due aux potentiels impacts sur la santé publique. L’utilisation répandue d’antibiotiques dans la production de bétail qui sont également administrés à des humains peut encourager le développement de souches de bactéries résistantes aux antibiotiques. Si l’utilisation d’antibiotiques dans les approvisionnements en aliments pour animaux ou en eau peut améliorer les résultats de la production animale et renforcer le bien-être animal dans le milieu de l’élevage industriel, les entreprises de l’industrie doivent équilibrer ces avantages et les risques potentiellement néfastes pour la santé du public. L’utilisation d’antibiotiques dans la production animale présente des risques réglementaires et pour la réputation, chacun d’eux pouvant affecter la rentabilité à long terme par leurs impacts sur la demande et la part de marché de la viande, de la volaille et des produits laitiers. En fonction des espèces animales, les entreprises de l’industrie exercent différents niveaux de contrôle sur et des approches de gestion de cette question, allant d’un contrôle direct sur les aliments pour animaux et les médicaments administrés par des fournisseurs sous contrat, à l’établissement d’exigences de manière plus large envers les fournisseurs.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des collaborateurs L’industrie de la viande, de la volaille et des produits présente des taux de blessures relativement élevés par rapport à d’autres industries, du fait de la prévalence de machines industrielles, de produits chimiques et d’un environnement de travail bruyant et dynamique. Les dangers graves et chroniques courants comprennent les troubles musculo-squelettiques, l’exposition à des produits chimiques et à des agents pathogènes et les blessures traumatiques dues aux machines et aux outils. Les blessures et les décès de travailleurs peuvent conduire à des risques pour la réputation, des risques de taux élevé de renouvellement du personnel, d’un moral bas et d’une faible productivité des travailleurs, des risques de responsabilité liés à des blessures et de coûts associés pour d’indemnités pour les soins de santé et l’indemnisation des travailleurs. En outre, les organismes de réglementation peuvent prélever des amendes auprès des entreprises pour non-respect des normes de sécurité et de santé des travailleurs ou imposer une formation des employés sur la prévention des accidents. En développant une culture de sécurité forte et en réduisant l’exposition des employés à des situations potentiellement dangereuses, une entreprise peut, de manière proactive, protéger contre les accidents et améliorer la sécurité et la santé des collaborateurs.
    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
      None
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Soins et bien-être des animaux Les entreprises de viande, de volaille et de produits laitiers et le traitement des animaux par leurs fournisseurs sont sous un contrôle réglementaire et public accru. Tandis qu’aux États-Unis, les animaux d’élevage sont largement exclus des statuts de bien-être des animaux étatiques et fédéraux, y compris de l’Animal Welfare Act (loi américaine sur le bien-être animal), la pression des consommateurs et des groupes de défense a conduit l’industrie à améliorer l’état du bien-être animal pour son bétail. La demande des consommateurs a conduit à des changements dans les pratiques industrielles, comme l’élimination de l’utilisation de cages de gestation dans la production de porcs et l’élimination de cages grillagées pour la volaille. Les entreprises prêtes à anticiper ou à s’adapter à cette tendance sont susceptibles d’augmenter leur part de marché en captant cette demande changeante et en étant les premières sur le marché à proposer des produits se conformant aux nouvelles réglementations.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement d’animaux Les entreprises de l’industrie de la viande, de la volaille et des produits laitiers dépendent d’une variété d’exploitants sous contrat et de fournisseurs. Les impacts environnementaux et sociaux au sein de la chaîne d’approvisionnement de l’industrie incluent ceux liés à la déforestation, à l’utilisation des sols et à la gestion des déchets, aux prélèvements d’eau, au bien-être animal, à l’utilisation d’antibiotiques et à la sécurité alimentaire. La gestion des risques environnementaux et sociaux au sein de la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise est essentielle pour maintenir le coût du capital, sécuriser un approvisionnement constant d’animaux au niveau de prix souhaité et prévenir une atteinte à la réputation, pouvant diminuer le revenu et la part de marché.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en animaux et en aliments pour animaux Les entreprises de la viande, de la volaille et des produits laitiers s’approvisionnent en animaux et en aliments pour animaux auprès d’un éventail de fournisseurs, en fonction des espèces animales. La capacité de l’industrie à s’approvisionner de manière fiable en animaux et en aliments pour animaux au niveau de prix souhaité peut être affectée par le changement climatique, la pénurie en eau, la gestion des terres et toute autre considération de pénurie des ressources. Les entreprises sélectionnant et travaillant avec des fournisseurs dont la consommation des ressources est moins intensive et qui gèrent activement l’adaptation au changement climatique et aux risques de pénurie d’autres ressources seront mieux protégées d’une potentielle volatilité des prix et des perturbations de l’approvisionnement. En outre, lesdites entreprises peuvent améliorer la réputation de leur marque et développer des opportunités de nouveaux marchés. Ne pas gérer de manière les risques d’approvisionnement peut conduire à une augmentation des coûts du capital, une réduction des marges et une croissance du chiffre d’affaires restreinte.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      None
    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
      None

Sélectionner jusqu’à 4 industries

actuelle Industries:
Logiciels et services informatiques
|
Viande, volaille et produits laitiers
Secteur des aliments et boissons
Secteur de la technologie et des communications
Secteur des biens de consommation
Secteur de l’exploitation minière et du traitement des minerais
Secteur des données financières
Secteur de la santé
Secteur de l’infrastructure
Secteur des ressources renouvelables et des énergies alternatives
Secteur de la transformation des ressources
Secteur des services
Secteur du transport