Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Logiciels et services informatiques Le secteur des logiciels et des services informatiques (IT) offre des produits et des services à l’international aux consommateurs de la vente au détail, des entreprises et gouvernementaux et inclut les entreprises impliquées dans le développement et les ventes de logiciels d’application, les logiciels d’infrastructure et les logiciels médiateurs. Le secteur est généralement compétitif, mais comporte des acteurs dominants sur certains segments. Bien que relativement jeune, ce secteur se caractérise par des entreprises à forte croissance qui placent fortement l’accent sur l’innovation et dépendent du capital humain et intellectuel. L’industrie comprend également des entreprises de services informatiques qui remplissent des fonctions informatiques spécialisées, comme des services de conseil et externalisés. Les nouveaux modèles commerciaux de l’industrie incluent l’informatique en nuage, le logiciel comme service, la virtualisation, la communication de machine à machine, l’analyse des mégadonnées et l’apprentissage automatique. En outre, la valeur de la marque est essentielle aux entreprises de l’industrie pour se développer et obtenir des effets de réseaux, selon lesquels la large adoption d’un produit logiciel particulier conduit à une croissance des ventes auto-entretenue.
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  • Restaurants Les entreprises de l’industrie des restaurants préparent les repas, les collations et les boissons des commandes des consommateurs pour une consommation immédiate dans les locaux ou aux alentours. Divisée généralement en trois sous-catégories, l’industrie des restaurants comprend des établissements de restauration à service restreint, des établissements de restauration à service complet occasionnel et des établissements de restauration à service complet haut de gamme. Les restaurants à service restreint fournissent des services aux consommateurs qui commandent et payent avant de manger. Les restaurants de consommation rapide représentent la plus large part du segment des restaurants à service restreint. Les restaurants à service complet offrent un service renforcé, des aliments principalement destinés à la consommation dans les locaux et reflètent généralement des aliments de qualité et des prix supérieurs.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (12 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Logiciels et services informatiques Remove
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Empreinte environnementale de l’infrastructure matérielle Les offres de services basés sur le Cloud étant croissantes, les entreprises de ce secteur possèdent, exploitent ou louent de plus en plus de centres de données et d’autres équipements. Par conséquent, la gestion de l’utilisation d’eau et d’énergie associée à l’infrastructure matérielle informatique revêt une importance significative pour la valeur actionnariale. Les centres de données doivent être alimentés en continu et les perturbations de l’alimentation en énergie peuvent avoir des répercussions importantes sur les activités, selon la magnitude et la durée de la perturbation. Les entreprises sont confrontées à un compromis entre la consommation d’eau et d’énergie en raison des besoins de climatisation des centres de données. Climatiser des centres de données à l’aide d’eau plutôt que de climatiseurs est un moyen d’améliorer le rendement énergétique, mais cela peut entraîner une dépendance envers les importantes ressources en eau locales. Les décisions concernant les caractéristiques d’un centre de données sont importantes pour la gestion des coûts, l’obtention d’une alimentation fiable en eau et en énergie et la réduction des risques pour la réputation, en particulier dans le contexte d’un accent réglementaire accru dans le monde entier sur le changement climatique et d’un développement des possibilités découlant des innovations concernant le rendement énergétique et l’énergie renouvelable.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
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    • Vie privée des clients La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Confidentialité des données et liberté d’expression Les entreprises du secteur des logiciels et services informatiques livrent de plus en plus de produits et de services par Internet et sur les appareils mobiles, elles doivent gérer attentivement deux priorités distinctes et souvent contradictoires. D’une part, les entreprises utilisent les données des consommateurs pour innover, leur fournir de nouveaux produits et services et générer des revenus. D’autre part, l’accès des entreprises à un large éventail de données de consommateurs, telles que des données personnelles, démographiques, de contenu et comportementales, fait l’objet de préoccupations liées à la protection de la vie privée. Cette dynamique conduit à un contrôle réglementaire accru dans de nombreux pays du monde. La livraison de logiciels et de services informatiques basés sur le Cloud suscite également des inquiétudes concernant l’accès potentiel aux données des utilisateurs par les gouvernements pouvant les utiliser pour limiter les libertés des citoyens. Une gestion efficace dans ce domaine est importante afin de réduire les risques réglementaires et pour la réputation qui peuvent engendrer une diminution des revenus, une baisse de la part de marché et des actions réglementaires impliquant de potentielles amendes et autres coûts juridiques.
    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
      • Sécurité des données Les entreprises du secteur des logiciels et services informatiques sont la cible de menaces croissantes pour la sécurité des données provenant d’attaques informatiques et d’ingénierie sociale, mettant leurs propres données et celles de leurs consommateurs en danger. Les préventions, détections et réparations inadéquates des menaces de sécurité des données peuvent influencer l’acquisition et la conservation des données des consommateurs et causer une baisse de la part de marché, ainsi qu’une demande plus faible pour les produits de l’entreprise. Outre les atteintes à la réputation et le roulement des consommateurs, les violations de données peuvent également causer des dépenses accrues, généralement associées aux efforts de réparation tels que des offres de protection de l’identité et la formation des employés à la protection des données. En attendant, de nouvelles normes et réglementations sur la sécurité des données sont susceptibles d’affecter les dépenses opérationnelles des entreprises par le biais d’une augmentation des coûts de conformité. Par ailleurs, les entreprises de cette industrie sont bien positionnées pour découvrir des opportunités de revenus en fournissant des logiciels et services sécurisés répondant à la demande de garantie d’une conservation sûre des données.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
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    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
      • Recrutement et gestion des collaborateurs mondiaux, variés et compétents Les employés sont des contributeurs clés pour valoriser la création dans le secteur des logiciels et services informatiques. Alors que le nombre de postes vacants du secteur continue d’augmenter, les entreprises peinent à recruter des employés qualifiés pour occuper ces postes. La pénurie d’employés nationaux qualifiés dans le domaine technique a créé une concurrence intense pour l’acquisition d’employés fortement qualifiés, contribuant à des taux de roulement élevés. Pour répondre aux pénuries de talents, les entreprises embauchent souvent des ressortissants étrangers et des activités hors du pays, ce qui crée des difficultés de gestion des employés et de durabilité, ainsi que des risques commerciaux associés. Certaines entreprises contribuent à un enseignement pertinent et des programmes de formation pour élargir la disponibilité des employés qualifiés nationaux. Les entreprises offrent des avantages financiers et non financiers importants pour améliorer l’engagement des employés et ainsi la conservation et l’augmentation de la productivité. Des initiatives pour améliorer l’engagement des employés et l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée pourraient influencer le recrutement et la conservation de collaborateurs variés. L’industrie se caractérise par une représentation relativement basse en femmes et en groupes minoritaires, les efforts pour recruter et développer des réserves de talents variés peuvent permettre de répondre à la pénurie de talents et, plus généralement, d’améliorer la valeur des offres de l’entreprise. Une plus grande diversité parmi les collaborateurs est importante pour l’innovation et aide les entreprises à comprendre les besoins de leur clientèle mondiale et variée.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Protection de la propriété intellectuelle et comportement concurrentiel Les entreprises du secteur des logiciels et services informatiques dépensent une partie considérable de leurs revenus à la protection de la propriété intellectuelle (PI), notamment en faisant l’acquisition de brevets et de droits d’auteur. Bien que la protection PI soit inhérente au modèle économique de certaines entreprises du secteur et constitue un moteur d’innovation important, les pratiques PI des entreprises peuvent être une question sociale controversée. Les entreprises peuvent parfois acquérir des brevets et d’autres protections PI en vue de limiter la concurrence et d’accéder aux avantages de l’innovation, surtout si elles sont des actrices majeures du marché. En raison de la complexité des logiciels, de leur nature abstraite et du renforcement de la protection des droits PI liés aux logiciels, les entreprises du secteur doivent gérer des revendications de brevets qui se chevauchent afin de pouvoir mener leurs opérations. Ainsi, les entreprises du secteur peuvent se trouver constamment dans des situations de litiges ou être soumises à un contrôle réglementaire, que ce soit en raison d’allégations de violations de brevets si elles adoptent des pratiques commerciales immorales, ou sont perçues comme agissant de la sorte, ou parce qu’elles engagent des procédures judiciaires contre d’autres pour atteinte aux droits de PI. Les décisions judiciaires ou réglementaires liées à l’antitrust et à la PI peuvent, par conséquent, exposer les entreprises du secteur à des contentieux longs et coûteux, et à de potentielles pertes financières. Ces décisions peuvent également toucher la part de marché et la fixation des prix d’une entreprise si ses brevets ou sa position dominante sur des marchés clés sont contestés sur le plan juridique, avec des répercussions importantes sur les revenus. Les entreprises peuvent, par conséquent, équilibrer la protection de leur PI et son utilisation pour encourager l’innovation tout en garantissant que la gestion de leur PI et autres pratiques commerciales ne restreignent pas injustement la concurrence et sont susceptibles de réduire le contrôle réglementaire et les actions en justice en protégeant leur valeur marchande.
    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
      • Gestion des risques systémiques découlant des perturbations technologiques Avec la tendance à une augmentation de l’informatique en nuage et de l’utilisation de logiciels comme services (SaaS), les fournisseurs de logiciels et services informatiques doivent s’assurer de la robustesse de leur infrastructure et des politiques mises en place pour minimiser les perturbations de leurs services. Les perturbations comme les erreurs de programmation ou les temps d’arrêt de serveurs peuvent générer des risques systémiques avec le passage des fonctions informatiques et de stockage des données depuis des serveurs d’entreprise individuels sur plusieurs secteurs d’activité vers des centres de données de fournisseurs de services informatiques en nuage. Les risques sont particulièrement accentués si les consommateurs touchés font partie de secteurs sensibles, comme les établissements financiers ou les services publics, considérés comme étant une infrastructure nationale essentielle. Les investissements des entreprises dans l’amélioration de la fiabilité et de la qualité de leur infrastructure et services informatiques sont susceptibles d’affecter leur capacité à attirer et conserver les consommateurs, impactant, de ce fait, leurs revenus et les opportunités de s’établir sur de nouveaux marchés.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie Les activités des restaurants ont une haute intensité énergétique par rapport aux opérations d’autres établissements commerciaux. Les appareils de cuisine commerciale sont extrêmement énergivores et la température des espaces de restauration est généralement contrôlée pour les consommateurs. La production et la consommation d’énergie à base de combustibles fossiles contribuent aux répercussions environnementales significatives, y compris au changement climatique et à la pollution de l’air, qui peuvent impacter indirectement, mais fortement, les activités des restaurants. Les réglementations sur la tarification des émissions de gaz à effet de serre (GES) ou les incitations à des améliorations de l’efficacité énergétique et à l’énergie renouvelable affectent les prix de l’énergie conventionnelle et de l’énergie renouvelable. Les entreprises qui gèrent la consommation d’énergie sur les sites possédés par l’entreprise et les sites franchisés peuvent diminuer leurs coûts d’exploitation par le biais de mises à niveau de l’efficacité énergétique et de limitation de l’exposition à des réglementations en matière d’émissions de GES en utilisant des ressources d’énergie renouvelable.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau L’eau est utilisée dans l’ensemble des activités des restaurants, de la cuisine au lavage de la vaisselle et au nettoyage. Le format, la taille et l’équipement des restaurants impactent tous l’utilisation de l’eau. Les restaurants situés dans des régions à stress hydrique peuvent être exposés à des restrictions d’utilisation de l’eau ou faire face à des coûts élevés de l’eau. Les augmentations historiques à long terme des coûts de l’eau et les prévisions d’augmentation continue due à la surconsommation et aux limites d’approvisionnement, lesquelles résultent de la croissance démographique et des déplacements de la population, de la pollution et du changement climatique, indiquent l’importance accrue de la gestion de l’eau. Les entreprises peuvent réduire leur utilisation de l’eau et les coûts d’exploitation associés en mettant en place des pratiques d’utilisation rationnelle de l’eau et en utilisant un équipement de cuisine commerciale qui permette une telle utilisation.
    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Gestion des déchets alimentaires et d’emballages Les restaurants produisent des déchets de deux formes principales : les aliments et les emballages. Les déchets alimentaires sont générés au cours du processus de préparation et par les aliments non consommés. Les déchets alimentaires conduisent à une perte de ressources, comme l’eau, l’énergie, la terre, le travail et le capital et produisent des émissions de GES de par leur décomposition. En outre, les livraisons d’ingrédients alimentaires aux restaurants représentent une source significative de déchets d’emballage. Les déchets d’emballage comprennent les emballages provenant des fournisseurs et les emballages jetés par les consommateurs dans les restaurants. Par ailleurs, les restaurants à service restreint utilisent de manière intensive la vaisselle jetable pour servir les consommateurs. Les réglementations municipales et fédérales en matière d’emballage continueront probablement d’évoluer pour réduire les emballages ou améliorer la recyclabilité ou la biodégradabilité des emballages. Les entreprises capables d’anticiper les réglementations verront non seulement un impact positif sur la réputation de leur marque, mais réduiront également probablement leurs coûts d’appareils. Les entreprises capables de réduire leurs déchets à travers diverses méthodes, y compris la valorisation des aliments, le réacheminement des déchets des décharges et les programmes de récupération des emballages, peuvent réduire leurs coûts de gestion des déchets et améliorer leur efficacité opérationnelle.
    • Vie privée des clients La catégorie aborde la gestion des risques liés à l’utilisation d’informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données client ou utilisateur à des fins secondaires qui comprennent, sans s’y limiter, le marketing à travers des affiliés et non affiliés. Le champ d’application de la catégorie comprend les enjeux sociaux pouvant découler de l’approche d’une entreprise concernant la collecte de données, l’obtention du consentement (par exemple les politiques d’adhésion), la gestion des attentes des utilisateurs et des clients concernant l’usage de leurs données, ainsi que la gestion de l’évolution des réglementations. Il exclut les enjeux sociaux découlant des risques en matière de cybersécurité, qui sont traités dans une catégorie distincte.
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    • Sécurité des données La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.
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    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité alimentaire Les méthodes de préparation des aliments et la qualité des ingrédients peuvent influer sur la sécurité alimentaire dans l’industrie des restaurants. La sécurité alimentaire des restaurants est particulièrement difficile à gérer avec une large chaîne d’approvisionnement. La nature mondiale de l’industrie et le modèle de franchise compliquent la garantie de la sécurité de leurs fournitures alimentaires pour les entreprises de restauration. L’incapacité à contrôler la qualité des produits fournis peut augmenter le risque de perturbations de l’approvisionnement et d’une publicité négative pour l’entreprise. Les problèmes de sécurité alimentaire, tels que les préoccupations de maladies d’origine alimentaire, soit dans les sites possédés par l’entreprise, soit dans les sites franchisés, peuvent atteindre au cœur la réputation d’un restaurant. L’atteinte à la réputation pour des problèmes de sécurité alimentaire a généralement un impact à long terme. Les entreprises qui adhèrent aux normes industrielles en matière de préparation des aliments et de sécurité alimentaire sont susceptibles d’être mieux positionnées pour protéger la valeur actionnariale.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Valeur nutritionnelle Les préoccupations autour de l’obésité ont placé l’industrie des restaurants au cœur des débats. Les restaurants se trouvent sous une pression croissante pour améliorer la valeur nutritionnelle de leurs propositions de menu et augmenter la transparence autour du contenu de ces propositions, comme la publication du nombre de calories. La demande dans l’industrie des restaurants est de plus en plus guidée par les préférences des consommateurs pour des choix plus sains. Les entreprises capables d’offrir des options de menu plus nutritives sont susceptibles de conquérir de nouveaux marchés pour des consommateurs soucieux de leur santé et d’améliorer leur part de marché avec les consommateurs. Une partie plus importante d’options nutritives peut avoir un effet bénéfique sur la réputation d’une entreprise et sur la croissance de son chiffre d’affaires à long terme.
    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
      • Pratiques de travail L’industrie des restaurants nécessite beaucoup de main-d’œuvre et beaucoup d’employés sont des employés horaires, à temps partiel, ou saisonniers. L’industrie fait partie des principaux créateurs d’emploi et est une porte d’entrée pour les jeunes travailleurs et les migrants souhaitant rejoindre les collaborateurs. Les employés des restaurants dans les sites franchisés ou disposant d’une licence peuvent être employés par un tiers. En outre, depuis que de nombreuses chaînes de restaurants existent sur l’ensemble des continents, garantir des normes de travail cohérentes peut être difficile pour les employés de restaurants à la fois des sites possédés par l’entreprise et des sites franchisés. Les problèmes liés au travail dans les franchises affectent l’image de marque, car les consommateurs ne différencient pas un restaurant possédé par l’entreprise d’un restaurant franchisé. Les restaurants capables de gérer correctement leur capital humain en offrant des salaires compétitifs, des environnements de travail sûrs et d’autres opportunités de croissance professionnelle amélioreront probablement le moral des employés tout en réduisant leur taux de roulement et les coûts administratifs associés induits dans l’embauche et la formation d’employés.
    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Gestion de la chaîne d’approvisionnement et approvisionnement en aliments Les restaurants s’approvisionnent en ingrédients et en produits auprès d’un large éventail de fournisseurs. La gestion de la chaîne d’approvisionnement est cruciale pour que les restaurants s’assurent de la sécurité alimentaire, protègent leur réputation et améliorent leurs revenus. L’approvisionnement en ingrédients de qualité, pour maintenir un niveau constant de qualité sur l’ensemble des différents sites, peut être compliqué d’un point de vue opérationnel. Ce problème est renforcé par la nature internationale de l’industrie. La demande des industries d’aliments et de boissons, y compris les restaurants, conduit et façonne la production agricole, indiquant que les actions des acteurs de l’industrie ont des impacts plus importants sur la société. Ainsi, un approvisionnement durable et éthique par les acteurs de l’industrie est nécessaire pour garantir un approvisionnement futur continu et minimiser les répercussions sur le cycle de vie des activités de l’entreprise. L’approvisionnement auprès de fournisseurs se conformant à des normes de qualité élevée, employant des méthodes d’élevage durables d’un point de vue environnemental et respectant le droit du travail, améliorera le positionnement des entreprises pour protéger la valeur actionnariale à long terme. En augmentant la part d’approvisionnement des aliments fournie conformément aux normes environnementales et sociales, ainsi qu’aux normes et aux meilleures pratiques en matière de bien-être animal en matière de bien-être animal, les exploitants de restaurants pourront maintenir la qualité des aliments, gérer les problèmes de sécurité alimentaire, améliorer leur réputation et étendre leur part de marché.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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    • Gestion des risques systémiques La catégorie aborde les contributions ou la gestion de l’entreprise par rapport aux risques systémiques résultant de l’affaiblissement ou de l’effondrement à grande échelle des systèmes sur lesquels l’économie et la société dépendent. Cela comprend les systèmes financiers, les systèmes de ressources naturelles, et les systèmes technologiques. Elle aborde les mécanismes mis en place par une entreprise pour réduire ses contributions aux risques systémiques, et pour améliorer les dispositifs de protection qui peuvent atténuer les impacts d’un échec du système. Pour les institutions financières, la catégorie englobe également la capacité de l’entreprise à absorber les chocs découlant de difficultés financières et économiques, ainsi que sa capacité à satisfaire des exigences réglementaires plus strictes concernant la complexité et l’interdépendance des entreprises dans l’industrie.
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