Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Compagnies aériennes Le secteur de la publicité et du marketing [1] est composée d’entreprises qui créent des campagnes publicitaires pour les médias, à des fins d’affichage ou via de la publicité en ligne , et qui proposent desservices connexes, tels que des études de marché. Les entreprises du secteur de la publicité et du marketing s’occupent de promouvoir majoritairement des produits de consommation, de divertissement, de services financiers, de produits technologiques et de services de télécommunication. Les grandes entreprises du secteur de la publicité et du marketinh publicité sont structurées comme des sociétés de portefeuille, possédant de multiples agences à travers le monde qui fournissent un large éventail de services tels que l’édition personnalisée, le conseil de marque, le marketing digital , et les relations publiques. Pour toute campagne de publicité, la même entreprise peut être engagée dans tous les aspects, des arts graphiques à la création de contenu en passant par l’analyse de données, la recherche marketing, la planification et l’achat des médias. L’entreprise peut aussi être responsable de seulement certains aspects
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  • Matériaux de construction et ameublement L’industrie des matériaux de construction et de l’ameublement comprend les entreprises impliquées dans la conception et la fabrication d’équipements de maison, de produits d’ameublement de domiciles ou de bureaux, et de matériaux de construction en bois de charpente. Les produits proposés par le secteur incluent les revêtements de sol et de plafond, le mobiliers et les équipements de maison et de bureaux, les treillis en bois, le contreplaqué, les lambris et le bois de construction. Ces entreprises vendent généralement leurs produits par le biais de canaux de distribution à des magasins de détail, ou par le biais de revendeurs indépendants ou détenus par l’entreprise.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (8 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre En raison de sa forte dépendance aux hydrocarbures, le secteur des compagnies aériennes génère une quantité importante d’émissions, dont plus de 99 % sont sous forme de dioxyde de carbone (CO[1}2{2]). L’industrie est donc soumise aux coûts de conformité et aux risques associés aux politiques d’atténuation du changement climatique. Les principales sources d’émissions de gaz à effet de serre (GES) pour les compagnies aériennes sont l’utilisation et les émissions de carburant des aéronefs, l’équipement au sol et l’électricité des installations. La consommation de carburant des aéronefs est la plus importante source d’émissions totales du secteur, et la gestion du carburant est un élément essentiel de la réduction des émissions. La gestion des répercussions environnementales de la consommation de carburant comprend l’augmentation du rendement énergétique par l’amélioration de la flotte, la modernisation et l’optimisation de la vitesse de vol et de la conception des itinéraires, ainsi que l’intégration de carburants de remplacement et durables. Ces initiatives nécessitent des dépenses en immobilisations, mais à long terme, elles peuvent réduire les coûts du carburant et l’exposition d’une entreprise aux risques liés aux programmes et aux règlements sur les émissions de GES.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
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    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
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    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
      • Pratiques de travail De nombreux travailleurs du secteur des compagnies aériennes sont couverts par des conventions collectives qui garantissent des salaires équitables, des conditions de travail sûres et la liberté d’association, qui font partie des droits fondamentaux des travailleurs. La syndicalisation du personnel clé peut entraîner une hausse des coûts de main-d’œuvre par l’augmentation des salaires ou des avantages sociaux. En même temps, les pratiques de travail peuvent avoir un impact sur la rentabilité à long terme de l’entreprise. Une gestion efficace des problèmes tels que la rémunération des travailleurs et les conditions de travail, ainsi que la communication qui s’y rattache, peuvent prévenir des conflits avec les travailleurs qui pourraient entraîner de longues périodes de grève, ralentir ou arrêter les opérations et nuire à la réputation d’une entreprise, réduire potentiellement les revenus et la part de marché.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Comportement concurrentiel Le secteur des compagnies aériennes est caractérisée par des marges concurrentielles en raison des coûts élevés de capital fixe et de main-d’œuvre et de la concurrence avec les transporteurs subventionnés par le gouvernement dans certains marchés. Cela pousse les compagnies aériennes à trouver des économies d’échelle par le biais d’alliances ou de consolidation, conduisant à la concentration du marché. L’industrie se caractérise également par des barrières élevées à l’entrée en raison des droits d’atterrissage limités et de la congestion croissante des aéroports. Ensemble, ces caractéristiques peuvent amener les entreprises à adopter des pratiques anticoncurrentielles qui font augmenter les prix pour les consommateurs. Par conséquent, les autorités antitrust ont examiné de près certaines pratiques de l’industrie du transport aérien, comme la gestion des créneaux dans les aéroports, les prix d’éviction, les alliances et les fusions. Cela crée un risque important pour les investisseurs découlant des frais juridiques, du risque de réputation, des coûts associés à un report d’une opération de fusion ou d’acquisition et des limites à la croissance par acquisition ou fusion.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Gestion des accidents et de la sécurité Étant donné la nature des accidents du transport aérien potentiels, la sécurité des passagers est primordiale dans le secteur des compagnies aériennes. Bien que le transport aérien soit l’un des modes de transport les plus sûrs, les compagnies aériennes sont tenues de respecter des normes de sécurité très élevées et les consommateurs s’attendent à ce que leurs vols soient exempts d’accidents. De plus, comme les produits transportés par avion ont tendance à être des marchandises de grande valeur ou périssables, leur livraison en toute sécurité et en temps opportun est une priorité pour tout transporteur. Les accidents d’avion peuvent entraîner d’importantes externalités environnementales et sociales et obliger les entreprises à payer pour la réparation et l’indemnisation des victimes. Les incidents liés à la sûreté ou les infractions à la réglementation en matière de sécurité peuvent avoir une incidence chronique sur la réputation d’une entreprise, ce qui accroît son profil de risque et son coût du capital et entraîne une baisse de la demande des passagers et des expéditeurs de fret, ce qui nuit aux revenus. Les accidents de plus grande envergure, même s’ils se produisent rarement, peuvent avoir des répercussions importantes et à long terme sur la réputation et la croissance du chiffre d’affaires. Pour assurer la sécurité, il est essentiel d’offrir une formation adéquate en matière de sécurité et d’assurer la santé et le bien-être des membres d’équipage. L’entretien opportun et adéquat des aéronefs est tout aussi important, ce qui peut aider les entreprises à réduire au minimum les risques de défaillance technique et à éviter des sanctions réglementaires sévères en cas de non-conformité.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie dans la fabrication L’industrie des matériaux de construction et de l’ameublement crée de la valeur grâce à des processus de fabrication à haute intensité énergétique. L’électricité achetée représente la plus grande part de la consommation d’énergie dans tout ce secteur, et les entreprises peuvent également utiliser l’énergie de combustible fossile sur site. Les prix de l’électricité de réseau conventionnelle et la volatilité des prix des combustibles fossiles pourraient augmenter en raison de l'évolution des réglementations relatives au changement climatique et des nouvelles mesures d'incitation en faveur de l'efficacité énergétique, et des énergies renouvelables, entre autres facteurs, tandis que les sources d'énergie alternatives deviendraient plus compétitives sur le plan des coûts. Les décisions concernant la source et le type d'énergie, ainsi que l'utilisation d'énergies alternatives, peuvent créer des compromis sur les coûts d’approvisionnement en énergie et la fiabilité des opérations. Alors que le secteur opère avec des marges serrées, les réductions en consommation d’énergie pourraient avoir une influence importante sur la performance financière. La manière avec laquelle une entreprise gère son efficacité énergétique, sa dépendance à l’égard de différents types d’énergie et les risques durabilité qui y sont associés, ainsi que sa capacité à accéder à des sources d’énergie alternatives sont susceptible d’avoir un impact sur la performance financière.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Gestion des substances chimiques contenues dans les produits Les produits de l’industrie des matériaux de construction et d’ameublement peuvent contenir des substances potentiellement nocives pour la santé de l’homme, dont des composés organiques volatils et des toxines à potentiel reproducteur, des substances cancérigènes et des perturbateurs endocriniens. En général, ces substances se trouvent dans les produits à faible concentration, et ne posent donc pas, le cas échéant d’inquiétude pour la santé. Néanmoins, le secteur est exposé à un risque réglementaire et réputationnel potentiellement important en raison de son utilisation de substances préoccupantes. Les risques réels ou présumés pour la santé humaine créent la possibilité de futures réglementations sur la teneur en substances chimiques des produits, et d’éventuelles répercussions sur la réputation des entreprises, ce qui peut grandement affecter la demande de produits. La hausse des préoccupations des consommateurs concernant l’utilisation de produits chimiques est à l’origine des efforts volontaires du secteur pour éliminer ces substances chimiques des produits et les substituer par des matériaux alternatifs. L’adoption continue de normes de certifications des bâtiments telles que la norme LEED fait grimper la demande de produits à teneur réduite en composés chimiques. Les entreprises qui parviennent à gérer efficacement les substances chimiques dangereuses contenues dans leurs produits peuvent profiter d’un avantage concurrentiel sur le long terme grâce à une demande accrue, des risques réglementaires moindres et une meilleure valeur de la marque.
    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Impacts environnementaux du cycle de vie des produits Selon le produit de construction ou le mobilier spécifique, des répercussions environnementales importantes peuvent survenir pendant l’approvisionnement en matière première, le transport, la fabrication, la phase d’utilisation ou la fin de vie. La préférence croissante des consommateurs et des organismes de réglementation pour des produits moins impactant a permis le développement des produits plus durables, généralement appelés les « matériaux de construction verts ». En outre, la certification du cycle de vie des produits est devenue un outil pour les entreprises et leurs clients, afin d’évaluer et d’améliorer l’impact du cycle de vie d’un produit. Les programmes de certification portent généralement sur les caractéristiques spécifiques à la durabilité d’une catégorie de produits et incluent l’utilisation de matériaux en circuit fermé, qui contribue à minimiser les répercussions environnementales d’un produit en fin de vie et à réduire la nécessité d’extraire ou de produire des matériaux vierges. Par le biais de l’innovation et d’une conception de produit facilitant la récupération d’un produit en fin de vie et l’utilisation de matériaux moins impactants, de l’adoption des programmes de certification des produits, et de partenariats avec les clients, les fabricants de produits de construction peuvent obtenir des améliorations dans les impacts du cycle de vie, réduire les risques réglementaires, répondre à la demande croissante des clients et économiser sur les coûts.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Gestion de la chaîne d’approvisionnement en bois L’industrie des matériaux de construction et d’ameublement utilise de grandes quantités de bois en provenance de forêts du monde entier. La production et la récolte non durables du bois d’oeuvre peuvent causer des répercussions sociales et environnementales défavorables, y compris la perte de la biodiversité et des préjudices portés aux moyens de subsistance des communautés qui dépendent des forêts. Les entreprises sont susceptibles de s’approvisionner par inadvertance en bois provenant de régions qui sont sujettes à des pratiques forestières non durables. Des signalements d’exploitation forestière illégale, de pollution environnementale et de conséquences néfastes sur les communautés peuvent causer des répercussions sur la réputation, pouvant nuire à la valeur de la marque de l’entreprise et affecter la demande pour ses produits. En outre, les réglementations concernant l’importation de bois produit illégalement peuvent engendrer des pénalités et d’autres dommages sur la valeur de la marque. Pour limiter ces risques, les entreprises adoptent de plus en plus des certifications par un tiers, qui attestent que le bois est produit et récolté de manière durable. L’obtention de ces certifications d’approvisionnement en bois peut également offrir aux entreprises des opportunités de croissance, car elles peuvent satisfaire la demande des clients pour des produits certifiés.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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