Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Compagnies aériennes
Le secteur de la publicité et du marketing [1] est composée d’entreprises qui créent des campagnes publicitaires pour les médias, à des fins d’affichage ou via de la publicité en ligne , et qui proposent desservices connexes, tels que des études de marché. Les entreprises du secteur de la publicité et du marketing s’occupent de promouvoir majoritairement des produits de consommation, de divertissement, de services financiers, de produits technologiques et de services de télécommunication. Les grandes entreprises du secteur de la publicité et du marketinh publicité sont structurées comme des sociétés de portefeuille, possédant de multiples agences à travers le monde qui fournissent un large éventail de services tels que l’édition personnalisée, le conseil de marque, le marketing digital , et les relations publiques. Pour toute campagne de publicité, la même entreprise peut être engagée dans tous les aspects, des arts graphiques à la création de contenu en passant par l’analyse de données, la recherche marketing, la planification et l’achat des médias. L’entreprise peut aussi être responsable de seulement certains aspects -
Produits domestiques et personnels
Le secteur des produits domestiques et personnels comprend les entreprises qui fabriquent une large gamme de produits pour la consommation personnelle et commerciale, y compris les cosmétiques, les produits de nettoyage ménagers et industriels, les savons et les détergents, les produits hygiéniques en papier, les batteries domestiques, les rasoirs, et les ustensiles de cuisine. Les entreprises de produits domestiques et personnels exercent leurs activités à l’échelle mondiale et vendent généralement leurs produits à des commerçants de masse, des épiceries, des clubs de membres, des pharmacies, des magasins à haute fréquence, des distributeurs et des détaillants en ligne. Certaines entreprises vendent leurs produits par l’entremise de représentants indépendants plutôt que par l’intermédiaire d’établissements tiers de vente au détail.
Questions pertinentes pour les deux Industries (8 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3). - Qualité de l’air
- Gestion de l’énergie
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques. - Gestion des déchets et des matières dangereuses
- Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
- Sécurité des données
- Accès et caractère abordable
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. - Bien-être des clients
- Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Capital humain
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Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association. - Santé et sécurité des employés
- Engagement des employés, diversité et inclusion
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Modèle économique et innovation
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories. - Résilience du modèle économique
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte. - Approvisionnement en matériaux et efficacité
- Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
- Éthique des affaires
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Comportement concurrentiel
La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI). - Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
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Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient. - Gestion des risques systémiques
Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).-
Émissions de gaz à effet de serre
En raison de sa forte dépendance aux hydrocarbures, le secteur des compagnies aériennes génère une quantité importante d’émissions, dont plus de 99 % sont sous forme de dioxyde de carbone (CO[1}2{2]). L’industrie est donc soumise aux coûts de conformité et aux risques associés aux politiques d’atténuation du changement climatique. Les principales sources d’émissions de gaz à effet de serre (GES) pour les compagnies aériennes sont l’utilisation et les émissions de carburant des aéronefs, l’équipement au sol et l’électricité des installations. La consommation de carburant des aéronefs est la plus importante source d’émissions totales du secteur, et la gestion du carburant est un élément essentiel de la réduction des émissions. La gestion des répercussions environnementales de la consommation de carburant comprend l’augmentation du rendement énergétique par l’amélioration de la flotte, la modernisation et l’optimisation de la vitesse de vol et de la conception des itinéraires, ainsi que l’intégration de carburants de remplacement et durables. Ces initiatives nécessitent des dépenses en immobilisations, mais à long terme, elles peuvent réduire les coûts du carburant et l’exposition d’une entreprise aux risques liés aux programmes et aux règlements sur les émissions de GES.
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Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.None -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.None -
Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.-
Pratiques de travail
De nombreux travailleurs du secteur des compagnies aériennes sont couverts par des conventions collectives qui garantissent des salaires équitables, des conditions de travail sûres et la liberté d’association, qui font partie des droits fondamentaux des travailleurs. La syndicalisation du personnel clé peut entraîner une hausse des coûts de main-d’œuvre par l’augmentation des salaires ou des avantages sociaux. En même temps, les pratiques de travail peuvent avoir un impact sur la rentabilité à long terme de l’entreprise. Une gestion efficace des problèmes tels que la rémunération des travailleurs et les conditions de travail, ainsi que la communication qui s’y rattache, peuvent prévenir des conflits avec les travailleurs qui pourraient entraîner de longues périodes de grève, ralentir ou arrêter les opérations et nuire à la réputation d’une entreprise, réduire potentiellement les revenus et la part de marché.
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.None -
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.None -
Comportement concurrentiel
La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).-
Comportement concurrentiel
Le secteur des compagnies aériennes est caractérisée par des marges concurrentielles en raison des coûts élevés de capital fixe et de main-d’œuvre et de la concurrence avec les transporteurs subventionnés par le gouvernement dans certains marchés. Cela pousse les compagnies aériennes à trouver des économies d’échelle par le biais d’alliances ou de consolidation, conduisant à la concentration du marché. L’industrie se caractérise également par des barrières élevées à l’entrée en raison des droits d’atterrissage limités et de la congestion croissante des aéroports. Ensemble, ces caractéristiques peuvent amener les entreprises à adopter des pratiques anticoncurrentielles qui font augmenter les prix pour les consommateurs. Par conséquent, les autorités antitrust ont examiné de près certaines pratiques de l’industrie du transport aérien, comme la gestion des créneaux dans les aéroports, les prix d’éviction, les alliances et les fusions. Cela crée un risque important pour les investisseurs découlant des frais juridiques, du risque de réputation, des coûts associés à un report d’une opération de fusion ou d’acquisition et des limites à la croissance par acquisition ou fusion.
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Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.-
Gestion des accidents et de la sécurité
Étant donné la nature des accidents du transport aérien potentiels, la sécurité des passagers est primordiale dans le secteur des compagnies aériennes. Bien que le transport aérien soit l’un des modes de transport les plus sûrs, les compagnies aériennes sont tenues de respecter des normes de sécurité très élevées et les consommateurs s’attendent à ce que leurs vols soient exempts d’accidents. De plus, comme les produits transportés par avion ont tendance à être des marchandises de grande valeur ou périssables, leur livraison en toute sécurité et en temps opportun est une priorité pour tout transporteur. Les accidents d’avion peuvent entraîner d’importantes externalités environnementales et sociales et obliger les entreprises à payer pour la réparation et l’indemnisation des victimes. Les incidents liés à la sûreté ou les infractions à la réglementation en matière de sécurité peuvent avoir une incidence chronique sur la réputation d’une entreprise, ce qui accroît son profil de risque et son coût du capital et entraîne une baisse de la demande des passagers et des expéditeurs de fret, ce qui nuit aux revenus. Les accidents de plus grande envergure, même s’ils se produisent rarement, peuvent avoir des répercussions importantes et à long terme sur la réputation et la croissance du chiffre d’affaires. Pour assurer la sécurité, il est essentiel d’offrir une formation adéquate en matière de sécurité et d’assurer la santé et le bien-être des membres d’équipage. L’entretien opportun et adéquat des aéronefs est tout aussi important, ce qui peut aider les entreprises à réduire au minimum les risques de défaillance technique et à éviter des sanctions réglementaires sévères en cas de non-conformité.
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Access Standard
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Émissions de GES
La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).None -
Gestion de l’eau et des eaux usées
La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.-
Gestion de l’eau
L’eau est vitale pour l’industrie des produits domestiques et personnels, à la fois comme réfrigérant dans les processus de fabrication et comme intrant principal pour de nombreux produits de l’industrie. L’eau devient une ressource plus rare dans le monde en raison de l’augmentation de la consommation en raison de la croissance démographique, de l’urbanisation rapide et de la diminution des approvisionnements en raison de la sécheresse et du changement climatique. De nombreuses entreprises de cette industrie ont des activités dans des régions du monde qui sont confrontées à la pénurie d’eau. Sans une planification minutieuse, les entreprises pourraient faire face à des coûts accrus ou, pire, perdre l’accès à l’eau dans ces régions, ce qui présenterait un risque pour la production. La mise en place de contrôles rigoureux pour assurer un approvisionnement régulier en eau à toutes les usines, ainsi que l’investissement dans la technologie pour accroître l’efficacité de l’utilisation de l’eau, aideront les entreprises de cette industrie à maintenir un profil de risque plus bas à mesure que la rareté de l’eau devient un problème mondial plus pressant.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Performance du produit en matière d’environnement, de santé et de sécurité
L’industrie des produits domestiques et personnels fait face à des pressions croissantes des consommateurs et de la réglementation sur l’utilisation de produits chimiques préoccupants, lesquelles ont été liées à des externalités environnementales négatives et à des répercussions sur la santé humaine. Certaines de ces substances comprennent des substances persistantes, bioaccumulables et toxiques (PBT) et des substances cancérogènes, mutagènes ou tératogènes, qui font l’objet d’un examen réglementaire accru. Il est difficile d’isoler et de déterminer les voies causales des effets négatifs sur la santé et l’environnement ce qui signifie qu’il y a souvent un décalage important entre l’introduction d’un produit sur le marché et le moment où la réglementation et/ou l’opinion publique amènent les entreprises de l’industrie à reformuler. Les directives de l’UE et les lois des États-Unis imposent des restrictions ou proposent des solutions de rechange à l’utilisation de substances chimiques dangereuses dans l’industrie. Par ailleurs, la U.S. Food and Drug Administration (FDA, ou Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) pourrait obtenir un plus grand pouvoir réglementaire sur les produits chimiques utilisés par l’industrie des cosmétiques, ce qui entraînerait très probablement des coûts plus élevés pour l’industrie des produits domestiques et personnels. Les grands détaillants ont mis en œuvre des programmes pour interdire les produits chimiques préoccupants dans les produits qu’ils vendent, ce qui exerce une pression accrue sur l’industrie. Les entreprises qui sont en mesure d’anticiper l’évolution du paysage réglementaire et de mettre en œuvre des processus et des tests plus stricts sont plus susceptibles d’obtenir un avantage concurrentiel. Les premiers utilisateurs des innovations en chimie verte et la réduction des produits chimiques préoccupants peuvent améliorer la rentabilité en étant mieux en mesure de saisir l’évolution de la demande des clients et d’éviter les fardeaux réglementaires.
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Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.None -
Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Gestion du cycle de vie de l’emballage
L’industrie des produits domestiques et personnels utilise une grande quantité de matériaux pour l’emballage des produits, ce qui représente souvent une part importante des dépenses des entreprises. De plus, la conception de l’emballage, en particulier le poids de l’emballage, a un impact direct sur les frais de transport, qui peuvent être importants. En même temps, l’industrie est soumise à la pression des consommateurs et des grands détaillants pour qu’ils tiennent compte des caractéristiques environnementales de ses emballages, car l’extraction des matériaux et les déchets contribuent aux externalités environnementales. Le rendement en matière de durabilité des emballages dépend en grande partie du type, de l’utilisation et de l’élimination finale des matériaux. Toutefois, les entreprises qui gèrent efficacement les caractéristiques de durabilité de leurs emballages de produits, y compris la pondération légère des matériaux, l’utilisation de matériaux recyclés et de matériaux recyclables, et l’utilisation de matériaux d’origine durable, peuvent être mieux placées pour saisir l’évolution de la demande des consommateurs et éviter (ou atténuer les répercussions de) la réglementation liée à la responsabilité élargie des producteurs. En gérant la durabilité de l’emballage des produits, les entreprises peuvent aussi potentiellement réduire les coûts d’intrants et de transport.
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement
La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.-
Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement en huile de palme
L’huile de palme a rapidement gagné en popularité en tant qu’intrant bon marché pour un large éventail de biens dans l’industrie des produits domestiques et personnels, y compris les produits de nettoyage, les bougies et les cosmétiques. La récolte d’huile de palme dans certaines régions du monde peut contribuer à la déforestation, aux émissions de GES et à d’autres problèmes environnementaux et sociaux. Si elle n’est pas obtenue de façon responsable, l’huile de palme contribue à des externalités environnementales et sociales qui peuvent présenter des risques pour la réputation et la réglementation des entreprises. De plus, les entreprises de cette industrie sont exposées au risque de perturbations de la chaîne d’approvisionnement, d’augmentation du prix des intrants et d’atteinte à la réputation associés aux externalités environnementales et sociales découlant de l’approvisionnement en huile de palme. Ainsi, les entreprises font face à la pression de suivre et de s’approvisionner de manière responsable en huile de palme. En outre, ils font face à la pression pour assurer des normes minimales pour les conditions de travail dans la chaîne d’approvisionnement, car la production d’huile de palme est souvent associée à des problèmes de main-d’œuvre. La mise en œuvre de normes d’approvisionnement peut contribuer à réduire les risques, tout comme les innovations à la phase de conception du produit pour réduire la dépendance à l’égard de matériaux controversés comme l’huile de palme.
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Comportement concurrentiel
La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).None -
Gestion des risques d’incidents critiques
La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.None
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Catégorie des problématiques générales
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Compagnies aériennes
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Produits domestiques et personnels
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Émissions de GES
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Émissions de gaz à effet de serre
En raison de sa forte dépendance aux hydrocarbures, le secteur des compagnies aériennes génère une quantité importante d’émissions, dont plus de 99 % sont sous forme de dioxyde de carbone (CO[1}2{2]). L’industrie est donc soumise aux coûts de conformité et aux risques associés aux politiques d’atténuation du changement climatique. Les principales sources d’émissions de gaz à effet de serre (GES) pour les compagnies aériennes sont l’utilisation et les émissions de carburant des aéronefs, l’équipement au sol et l’électricité des installations. La consommation de carburant des aéronefs est la plus importante source d’émissions totales du secteur, et la gestion du carburant est un élément essentiel de la réduction des émissions. La gestion des répercussions environnementales de la consommation de carburant comprend l’augmentation du rendement énergétique par l’amélioration de la flotte, la modernisation et l’optimisation de la vitesse de vol et de la conception des itinéraires, ainsi que l’intégration de carburants de remplacement et durables. Ces initiatives nécessitent des dépenses en immobilisations, mais à long terme, elles peuvent réduire les coûts du carburant et l’exposition d’une entreprise aux risques liés aux programmes et aux règlements sur les émissions de GES.
Gestion de l’eau et des eaux usées
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Gestion de l’eau
L’eau est vitale pour l’industrie des produits domestiques et personnels, à la fois comme réfrigérant dans les processus de fabrication et comme intrant principal pour de nombreux produits de l’industrie. L’eau devient une ressource plus rare dans le monde en raison de l’augmentation de la consommation en raison de la croissance démographique, de l’urbanisation rapide et de la diminution des approvisionnements en raison de la sécheresse et du changement climatique. De nombreuses entreprises de cette industrie ont des activités dans des régions du monde qui sont confrontées à la pénurie d’eau. Sans une planification minutieuse, les entreprises pourraient faire face à des coûts accrus ou, pire, perdre l’accès à l’eau dans ces régions, ce qui présenterait un risque pour la production. La mise en place de contrôles rigoureux pour assurer un approvisionnement régulier en eau à toutes les usines, ainsi que l’investissement dans la technologie pour accroître l’efficacité de l’utilisation de l’eau, aideront les entreprises de cette industrie à maintenir un profil de risque plus bas à mesure que la rareté de l’eau devient un problème mondial plus pressant.
Qualité et sécurité des produits
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Performance du produit en matière d’environnement, de santé et de sécurité
L’industrie des produits domestiques et personnels fait face à des pressions croissantes des consommateurs et de la réglementation sur l’utilisation de produits chimiques préoccupants, lesquelles ont été liées à des externalités environnementales négatives et à des répercussions sur la santé humaine. Certaines de ces substances comprennent des substances persistantes, bioaccumulables et toxiques (PBT) et des substances cancérogènes, mutagènes ou tératogènes, qui font l’objet d’un examen réglementaire accru. Il est difficile d’isoler et de déterminer les voies causales des effets négatifs sur la santé et l’environnement ce qui signifie qu’il y a souvent un décalage important entre l’introduction d’un produit sur le marché et le moment où la réglementation et/ou l’opinion publique amènent les entreprises de l’industrie à reformuler. Les directives de l’UE et les lois des États-Unis imposent des restrictions ou proposent des solutions de rechange à l’utilisation de substances chimiques dangereuses dans l’industrie. Par ailleurs, la U.S. Food and Drug Administration (FDA, ou Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) pourrait obtenir un plus grand pouvoir réglementaire sur les produits chimiques utilisés par l’industrie des cosmétiques, ce qui entraînerait très probablement des coûts plus élevés pour l’industrie des produits domestiques et personnels. Les grands détaillants ont mis en œuvre des programmes pour interdire les produits chimiques préoccupants dans les produits qu’ils vendent, ce qui exerce une pression accrue sur l’industrie. Les entreprises qui sont en mesure d’anticiper l’évolution du paysage réglementaire et de mettre en œuvre des processus et des tests plus stricts sont plus susceptibles d’obtenir un avantage concurrentiel. Les premiers utilisateurs des innovations en chimie verte et la réduction des produits chimiques préoccupants peuvent améliorer la rentabilité en étant mieux en mesure de saisir l’évolution de la demande des clients et d’éviter les fardeaux réglementaires.
Pratiques de travail
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Pratiques de travail
De nombreux travailleurs du secteur des compagnies aériennes sont couverts par des conventions collectives qui garantissent des salaires équitables, des conditions de travail sûres et la liberté d’association, qui font partie des droits fondamentaux des travailleurs. La syndicalisation du personnel clé peut entraîner une hausse des coûts de main-d’œuvre par l’augmentation des salaires ou des avantages sociaux. En même temps, les pratiques de travail peuvent avoir un impact sur la rentabilité à long terme de l’entreprise. Une gestion efficace des problèmes tels que la rémunération des travailleurs et les conditions de travail, ainsi que la communication qui s’y rattache, peuvent prévenir des conflits avec les travailleurs qui pourraient entraîner de longues périodes de grève, ralentir ou arrêter les opérations et nuire à la réputation d’une entreprise, réduire potentiellement les revenus et la part de marché.
Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Gestion du cycle de vie de l’emballage
L’industrie des produits domestiques et personnels utilise une grande quantité de matériaux pour l’emballage des produits, ce qui représente souvent une part importante des dépenses des entreprises. De plus, la conception de l’emballage, en particulier le poids de l’emballage, a un impact direct sur les frais de transport, qui peuvent être importants. En même temps, l’industrie est soumise à la pression des consommateurs et des grands détaillants pour qu’ils tiennent compte des caractéristiques environnementales de ses emballages, car l’extraction des matériaux et les déchets contribuent aux externalités environnementales. Le rendement en matière de durabilité des emballages dépend en grande partie du type, de l’utilisation et de l’élimination finale des matériaux. Toutefois, les entreprises qui gèrent efficacement les caractéristiques de durabilité de leurs emballages de produits, y compris la pondération légère des matériaux, l’utilisation de matériaux recyclés et de matériaux recyclables, et l’utilisation de matériaux d’origine durable, peuvent être mieux placées pour saisir l’évolution de la demande des consommateurs et éviter (ou atténuer les répercussions de) la réglementation liée à la responsabilité élargie des producteurs. En gérant la durabilité de l’emballage des produits, les entreprises peuvent aussi potentiellement réduire les coûts d’intrants et de transport.
Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement en huile de palme
L’huile de palme a rapidement gagné en popularité en tant qu’intrant bon marché pour un large éventail de biens dans l’industrie des produits domestiques et personnels, y compris les produits de nettoyage, les bougies et les cosmétiques. La récolte d’huile de palme dans certaines régions du monde peut contribuer à la déforestation, aux émissions de GES et à d’autres problèmes environnementaux et sociaux. Si elle n’est pas obtenue de façon responsable, l’huile de palme contribue à des externalités environnementales et sociales qui peuvent présenter des risques pour la réputation et la réglementation des entreprises. De plus, les entreprises de cette industrie sont exposées au risque de perturbations de la chaîne d’approvisionnement, d’augmentation du prix des intrants et d’atteinte à la réputation associés aux externalités environnementales et sociales découlant de l’approvisionnement en huile de palme. Ainsi, les entreprises font face à la pression de suivre et de s’approvisionner de manière responsable en huile de palme. En outre, ils font face à la pression pour assurer des normes minimales pour les conditions de travail dans la chaîne d’approvisionnement, car la production d’huile de palme est souvent associée à des problèmes de main-d’œuvre. La mise en œuvre de normes d’approvisionnement peut contribuer à réduire les risques, tout comme les innovations à la phase de conception du produit pour réduire la dépendance à l’égard de matériaux controversés comme l’huile de palme.
Comportement concurrentiel
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Comportement concurrentiel
Le secteur des compagnies aériennes est caractérisée par des marges concurrentielles en raison des coûts élevés de capital fixe et de main-d’œuvre et de la concurrence avec les transporteurs subventionnés par le gouvernement dans certains marchés. Cela pousse les compagnies aériennes à trouver des économies d’échelle par le biais d’alliances ou de consolidation, conduisant à la concentration du marché. L’industrie se caractérise également par des barrières élevées à l’entrée en raison des droits d’atterrissage limités et de la congestion croissante des aéroports. Ensemble, ces caractéristiques peuvent amener les entreprises à adopter des pratiques anticoncurrentielles qui font augmenter les prix pour les consommateurs. Par conséquent, les autorités antitrust ont examiné de près certaines pratiques de l’industrie du transport aérien, comme la gestion des créneaux dans les aéroports, les prix d’éviction, les alliances et les fusions. Cela crée un risque important pour les investisseurs découlant des frais juridiques, du risque de réputation, des coûts associés à un report d’une opération de fusion ou d’acquisition et des limites à la croissance par acquisition ou fusion.
Gestion des risques d’incidents critiques
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Gestion des accidents et de la sécurité
Étant donné la nature des accidents du transport aérien potentiels, la sécurité des passagers est primordiale dans le secteur des compagnies aériennes. Bien que le transport aérien soit l’un des modes de transport les plus sûrs, les compagnies aériennes sont tenues de respecter des normes de sécurité très élevées et les consommateurs s’attendent à ce que leurs vols soient exempts d’accidents. De plus, comme les produits transportés par avion ont tendance à être des marchandises de grande valeur ou périssables, leur livraison en toute sécurité et en temps opportun est une priorité pour tout transporteur. Les accidents d’avion peuvent entraîner d’importantes externalités environnementales et sociales et obliger les entreprises à payer pour la réparation et l’indemnisation des victimes. Les incidents liés à la sûreté ou les infractions à la réglementation en matière de sécurité peuvent avoir une incidence chronique sur la réputation d’une entreprise, ce qui accroît son profil de risque et son coût du capital et entraîne une baisse de la demande des passagers et des expéditeurs de fret, ce qui nuit aux revenus. Les accidents de plus grande envergure, même s’ils se produisent rarement, peuvent avoir des répercussions importantes et à long terme sur la réputation et la croissance du chiffre d’affaires. Pour assurer la sécurité, il est essentiel d’offrir une formation adéquate en matière de sécurité et d’assurer la santé et le bien-être des membres d’équipage. L’entretien opportun et adéquat des aéronefs est tout aussi important, ce qui peut aider les entreprises à réduire au minimum les risques de défaillance technique et à éviter des sanctions réglementaires sévères en cas de non-conformité.