Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Compagnies aériennes Le secteur de la publicité et du marketing [1] est composée d’entreprises qui créent des campagnes publicitaires pour les médias, à des fins d’affichage ou via de la publicité en ligne , et qui proposent desservices connexes, tels que des études de marché. Les entreprises du secteur de la publicité et du marketing s’occupent de promouvoir majoritairement des produits de consommation, de divertissement, de services financiers, de produits technologiques et de services de télécommunication. Les grandes entreprises du secteur de la publicité et du marketinh publicité sont structurées comme des sociétés de portefeuille, possédant de multiples agences à travers le monde qui fournissent un large éventail de services tels que l’édition personnalisée, le conseil de marque, le marketing digital , et les relations publiques. Pour toute campagne de publicité, la même entreprise peut être engagée dans tous les aspects, des arts graphiques à la création de contenu en passant par l’analyse de données, la recherche marketing, la planification et l’achat des médias. L’entreprise peut aussi être responsable de seulement certains aspects
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  • Biotechnologie et produits pharmaceutiques Le secteur de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques développe, fabrique et commercialise une gamme de médicaments générique et de marque. Les grands enjeux du secteur portent sur la recherche et développement, le risque élevé d’échec des produits lors des essais cliniques et la nécessité d’obtenir les autorisations réglementaires. Les préoccupations au sujet des pratiques de tarification et de la consolidation au sein du secteur ont exercé une pression à la baisse des prix. La demande pour les produits pharmaceutiques est largement influencée par les données démographiques, les taux de couverture d’assurance, les profils des maladies et les conditions économiques sur le marché
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Questions pertinentes pour les deux Industries (12 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Compagnies aériennes Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre En raison de sa forte dépendance aux hydrocarbures, le secteur des compagnies aériennes génère une quantité importante d’émissions, dont plus de 99 % sont sous forme de dioxyde de carbone (CO[1}2{2]). L’industrie est donc soumise aux coûts de conformité et aux risques associés aux politiques d’atténuation du changement climatique. Les principales sources d’émissions de gaz à effet de serre (GES) pour les compagnies aériennes sont l’utilisation et les émissions de carburant des aéronefs, l’équipement au sol et l’électricité des installations. La consommation de carburant des aéronefs est la plus importante source d’émissions totales du secteur, et la gestion du carburant est un élément essentiel de la réduction des émissions. La gestion des répercussions environnementales de la consommation de carburant comprend l’augmentation du rendement énergétique par l’amélioration de la flotte, la modernisation et l’optimisation de la vitesse de vol et de la conception des itinéraires, ainsi que l’intégration de carburants de remplacement et durables. Ces initiatives nécessitent des dépenses en immobilisations, mais à long terme, elles peuvent réduire les coûts du carburant et l’exposition d’une entreprise aux risques liés aux programmes et aux règlements sur les émissions de GES.
    • Droits de l’homme et relations communautaires La catégorie aborde la gestion de la relation entre les entreprises et les communautés dans lesquelles elles exercent leur activité, y compris, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts directs et indirects sur les droits de l’homme fondamentaux ainsi que le traitement des peuples indigènes. En particulier, cette gestion peut traiter des impacts socio-économiques sur la communauté, de l’engagement de la communauté, de la justice environnementale, de la formation des mains-d’œuvre locales, de l’impact sur les entreprises locales, du permis d’exploitation, ainsi que des évaluations de l’impact environnemental/social. La catégorie ne comprend pas les impacts environnementaux tels que la pollution atmosphérique ou les déchets qui, même s’ils peuvent avoir un impact sur la santé et la sécurité des membres de la communauté locale, sont abordés dans des catégories distinctes.
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    • Accès et caractère abordable La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications.
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    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
      • Pratiques de travail De nombreux travailleurs du secteur des compagnies aériennes sont couverts par des conventions collectives qui garantissent des salaires équitables, des conditions de travail sûres et la liberté d’association, qui font partie des droits fondamentaux des travailleurs. La syndicalisation du personnel clé peut entraîner une hausse des coûts de main-d’œuvre par l’augmentation des salaires ou des avantages sociaux. En même temps, les pratiques de travail peuvent avoir un impact sur la rentabilité à long terme de l’entreprise. Une gestion efficace des problèmes tels que la rémunération des travailleurs et les conditions de travail, ainsi que la communication qui s’y rattache, peuvent prévenir des conflits avec les travailleurs qui pourraient entraîner de longues périodes de grève, ralentir ou arrêter les opérations et nuire à la réputation d’une entreprise, réduire potentiellement les revenus et la part de marché.
    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
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    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Comportement concurrentiel Le secteur des compagnies aériennes est caractérisée par des marges concurrentielles en raison des coûts élevés de capital fixe et de main-d’œuvre et de la concurrence avec les transporteurs subventionnés par le gouvernement dans certains marchés. Cela pousse les compagnies aériennes à trouver des économies d’échelle par le biais d’alliances ou de consolidation, conduisant à la concentration du marché. L’industrie se caractérise également par des barrières élevées à l’entrée en raison des droits d’atterrissage limités et de la congestion croissante des aéroports. Ensemble, ces caractéristiques peuvent amener les entreprises à adopter des pratiques anticoncurrentielles qui font augmenter les prix pour les consommateurs. Par conséquent, les autorités antitrust ont examiné de près certaines pratiques de l’industrie du transport aérien, comme la gestion des créneaux dans les aéroports, les prix d’éviction, les alliances et les fusions. Cela crée un risque important pour les investisseurs découlant des frais juridiques, du risque de réputation, des coûts associés à un report d’une opération de fusion ou d’acquisition et des limites à la croissance par acquisition ou fusion.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Gestion des accidents et de la sécurité Étant donné la nature des accidents du transport aérien potentiels, la sécurité des passagers est primordiale dans le secteur des compagnies aériennes. Bien que le transport aérien soit l’un des modes de transport les plus sûrs, les compagnies aériennes sont tenues de respecter des normes de sécurité très élevées et les consommateurs s’attendent à ce que leurs vols soient exempts d’accidents. De plus, comme les produits transportés par avion ont tendance à être des marchandises de grande valeur ou périssables, leur livraison en toute sécurité et en temps opportun est une priorité pour tout transporteur. Les accidents d’avion peuvent entraîner d’importantes externalités environnementales et sociales et obliger les entreprises à payer pour la réparation et l’indemnisation des victimes. Les incidents liés à la sûreté ou les infractions à la réglementation en matière de sécurité peuvent avoir une incidence chronique sur la réputation d’une entreprise, ce qui accroît son profil de risque et son coût du capital et entraîne une baisse de la demande des passagers et des expéditeurs de fret, ce qui nuit aux revenus. Les accidents de plus grande envergure, même s’ils se produisent rarement, peuvent avoir des répercussions importantes et à long terme sur la réputation et la croissance du chiffre d’affaires. Pour assurer la sécurité, il est essentiel d’offrir une formation adéquate en matière de sécurité et d’assurer la santé et le bien-être des membres d’équipage. L’entretien opportun et adéquat des aéronefs est tout aussi important, ce qui peut aider les entreprises à réduire au minimum les risques de défaillance technique et à éviter des sanctions réglementaires sévères en cas de non-conformité.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Droits de l’homme et relations communautaires La catégorie aborde la gestion de la relation entre les entreprises et les communautés dans lesquelles elles exercent leur activité, y compris, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts directs et indirects sur les droits de l’homme fondamentaux ainsi que le traitement des peuples indigènes. En particulier, cette gestion peut traiter des impacts socio-économiques sur la communauté, de l’engagement de la communauté, de la justice environnementale, de la formation des mains-d’œuvre locales, de l’impact sur les entreprises locales, du permis d’exploitation, ainsi que des évaluations de l’impact environnemental/social. La catégorie ne comprend pas les impacts environnementaux tels que la pollution atmosphérique ou les déchets qui, même s’ils peuvent avoir un impact sur la santé et la sécurité des membres de la communauté locale, sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Sécurité des participants à l’essai clinique Les essais cliniques constituent un élément essentiel du processus d’autorisation des produits pharmaceutiques et biopharmaceutiques. La sécurité des participants aux essais cliniques est primordiale pour qu’une entreprise puisse commercialiser un produit avec succès. La supervision de ces essais est un facteur important pour le secteur en raison du nombre d’essais cliniques réalisés par des organismes de recherche sous contrat tiers et dans des marchés émergents. Les entreprises de l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques qui gèrent efficacement les essais cliniques peuvent bénéficier d’un positionnement qui leur permet de renforcer la valeur actionnariale à travers les revenus associés aux nouveaux produits.
    • Accès et caractère abordable La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à assurer un accès étendu à ses produits et services, spécifiquement dans le contexte des marchés et/ou des groupes de population mal desservis. Elle comprend la gestion de problèmes liés aux besoins universels, comme l’accessibilité et le caractère abordable des services de santé, des services financiers, des services publics, de l’éducation, ainsi que des télécommunications.
      • Accès aux médicaments Les entreprises de l’industrie pharmaceutique et de la biotechnologie jouent un rôle important en matière d’accès aux produits pharmaceutiques et biopharmaceutiques à l’échelle mondiale. Les entreprises peuvent élaborer des cadres de tarification qui tiennent compte des différents niveaux de développement économique et des besoins en matière de soins de santé dans divers pays. De plus, l’industrie peut cibler les maladies prioritaires évoluant dans les pays en développement. Les approches stratégiques relatives à l’accès aux médicaments peuvent créer des opportunités de croissance, d’innovation et de partenariats uniques, créant un potentiel d’augmentation de la valeur actionnariale.
      • Accessibilité et tarification Il est probable que le fait que les parties prenantes mettent l’accent sur la limitation des coûts liés aux soins de santé et sur l’amélioration de l’accès aux soins continuera d’exercer une pression à la baisse sur les prix de l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques. Par conséquent, les entreprises qui s’appuyaient jusqu’alors sur l’augmentation des prix des médicaments, les avantages contractuels et les paiements rétroactifs afin de protéger les bénéfices sont susceptibles d’être mises au défi d’augmenter la valeur de leurs produits en s’efforçant de réduire les coûts. Les entreprises qui empêchent les parties prenantes d’examiner leurs pratiques de tarification peuvent limiter leur exposition à des problèmes tels que des mesures réglementaires ou des répercussions négatives sur leur image.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité des médicaments Les informations relatives à la sécurité des produits peuvent émerger à la suite de contrôles d’essais cliniques et d’une autorisation réglementaire. Les entreprises sont ensuite exposées à des répercussions financières dues aux rappels de produits et à d’autres évènements indésirables. Les préoccupations relatives à la sécurité des produits, aux défauts de fabrication ou à une mauvaise communication des risques liés aux produits peuvent conduire à des revendications concernant les déclarations autour du produit. Les entreprises de biotechnologie et de produits pharmaceutiques qui limitent les conséquences des rappels de produits, des préoccupations liées à la sécurité des produits et des actions coercitives portant sur la fabrication peuvent bénéficier d’un meilleur positionnement afin de protéger la valeur actionnariale créée. De plus, la question des abus ou de la revente de certains médicaments a conduit à la création de programmes de reprise mandatés. Les entreprises capables de s’impliquer avec succès dans ces programmes peuvent limiter les passifs futurs.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Médicaments contrefaits L’Organisation mondiale de la santé estime que les médicaments contrefaits représentent plus de 10 pour cent de la chaîne d’approvisionnement au sein des pays à revenu faible et à revenu intermédiaire. La question des médicaments de contrefaçon, ou de qualité inférieure, représente également un risque important dans les pays développés. Les entreprises de biotechnologie et de produits pharmaceutiques peuvent être confrontées à des coûts supplémentaires au regard des nombreuses réglementations relatives à la chaîne d’approvisionnement promues par les gouvernements et les agences nationales compétentes , dans le but d’empêcher les médicaments contrefaits, de qualité inférieure ou mal étiquetés de pénétrer le système de distribution pharmaceutique. Les entreprises qui ne parviennent pas à gérer cette problématique de façon efficace peuvent s’exposer à des risques importants associés à la potentielle perte de confiance du marché et à une diminution du chiffre d’affaires.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Marketing éthique Les entreprises de l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques font face à des défis liés à la commercialisation de produits spécifiques. La publicité directe aux consommateurs pour les médicaments sur ordonnance offre des occasions d’accroître la part de marché. Toutefois, une vigilance important doit être apportées aux utilisations du produit décrites sur son étiquette , au risque de devoir s’acquitter s d’amendes ou de redressements financiers importants. La déclaration des amendes légales et réglementaires et des codes d’éthique qui régissent les activités de marketing des entreprises permettent aux actionnaires de mieux comprendre l’origine de la performance dans ce domaine.
    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
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    • Engagement des employés, diversité et inclusion La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
      • Recrutement, développement et fidélisation des employés Les entreprises de l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques sont confrontées à une forte concurrence en matière de recrutement. L’industrie s’appuie sur des employés hautement qualifiés pour créer de nouveaux produits, conduire des essais cliniques, gérer les réglementations gouvernementales et commercialiser de nouveaux produits. Les entreprises capables d’attirer et de conserver des employés pour former une équipe de talents limitée peuvent bénéficier d’un meilleur positionnement pour protéger et augmenter la valeur actionnariale.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Gestion de la chaîne d’approvisionnement Au sein de l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques, la qualité de la chaîne d’approvisionnement est essentielle à la protection de la santé des consommateurs et de la valeur des entreprises. Les entreprises de biotechnologie et de produits pharmaceutiques qui e garantissement pas la qualité de leurs chaînes d’approvisionnement sont susceptibles de subir des pertes de revenus, des perturbations d’approvisionnement et des atteintes à leur réputation. La déclaration des programmes d’audit de la chaîne d’approvisionnement peut permettre aux actionnaires de mieux comprendre comment les entreprises de cette industrie protègent la valeur actionnariale.
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Éthique des affaires Les entreprises de biotechnologie et de produits pharmaceutiques sont assujetties à diverses lois internationales, nationales et étatiques relatives à la fraude et à l’abus en matière de soins de santé. Par exemple, aux États-Unis, les lois anti-pots-de-vin et la Foreign Corrupt Practices Act (loi sur les pratiques de corruption étrangères) interdisent généralement aux entreprises d’effectuer des paiements dans le but d’obtenir ou de conserver des parts de marché. La capacité des entreprises à être en conformité sur l’ensemble de leur empreinte opérationnelle mondiale et nationale peut avoir des répercussions importantes sur sa valeur. La déclaration par la société des amendes légales et réglementaires et des codes d’éthique qui régissent les interactions avec les professionnels de santé peut permettre aux actionnaires de mieux suivre les capacités de rendement sur ce secteur.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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