Comparaison de l’industrie
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Current language: Français (2018)
Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:
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Pièces automobiles
Les entreprises de l’industrie des pièces automobiles fournissent des pièces et des accessoires automobiles aux équipementiers (OEM). Les entreprises de pièces automobiles se spécialisent généralement dans la fabrication et l’assemblage de certaines pièces ou accessoires, tels que les systèmes d’échappement du moteur, les transmissions alternatives, les systèmes hybrides, les convertisseurs catalytiques, les roues en aluminium (jantes), les pneus, les rétroviseurs, et les équipements électriques et électroniques embarqués. Même si l’industrie automobile comprend plusieurs niveaux de fournisseurs qui fournissent des pièces et des matières premières utilisées pour assembler des véhicules automobiles, l’industrie des pièces automobiles de la SASB ne comprend que les fournisseurs de niveau 1 qui fournissent des pièces directement aux équipementiers. La portée de l’industrie exclut les fournisseurs captifs, comme les moteurs et les installations d’estampage, qui sont détenus et exploités par les équipementiers. De même, elle exclut les fournisseurs de niveau 2, qui fournissent des intrants pour l’industrie des pièces automobiles. -
Détaillants et distributeurs de produits multilignes et spécialisés
L’industrie des détaillants et distributeurs de produits multilignes et spécialisés concerne une variété de catégories de vente au détail comme les grands magasins, les commerçants de masse, les magasins de produits pour la maison et les magasins généraux ainsi qu’un segment plus petit de distributeurs comme les grossistes d’électronique et les grossistes automobiles. Le point commun à ces entreprises (excepté pour le segment de distribution), c’est qu’elles gèrent des chaînes d’approvisionnement mondiales pour anticiper les demandes des clients, garder des coûts bas et avoir des produits en stock dans leurs vitrines de magasins physiques. Il s’agit d’une industrie très compétitive, dans laquelle chaque catégorie d’entreprises possède généralement un petit nombre d’acteurs clés, caractérisée par des marges généralement basses. La nature relativement remplaçable de la vente au détail expose particulièrement les entreprises de cette industrie aux risques d’atteinte à la réputation.
Questions pertinentes pour les deux Industries (9 de 26)
Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ?
Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.-
Environnement
- Émissions de GES
- Qualité de l’air
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application. - Gestion de l’eau et des eaux usées
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes. - Répercussions écologiques
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Capital social
- Droits de l’homme et relations communautaires
- Vie privée des clients
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Sécurité des données
La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur. - Accès et caractère abordable
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits. - Bien-être des clients
- Méthodes de vente et étiquetage des produits
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Capital humain
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Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association. - Santé et sécurité des employés
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Engagement des employés, diversité et inclusion
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.
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Modèle économique et innovation
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories. - Résilience du modèle économique
- Gestion de la chaîne d’approvisionnement
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte. - Impacts physiques du changement climatique
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Direction et gouvernance
- Éthique des affaires
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Comportement concurrentiel
La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI). - Gestion de l’environnement juridique et réglementaire
- Gestion des risques d’incidents critiques
- Gestion des risques systémiques
Sujets de divulgation
Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ?
La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.-
Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie
La plus grande partie de l’énergie consommée dans le processus de fabrication automobile se trouve dans la chaîne d’approvisionnement. L’utilisation d’électricité et de combustibles fossiles par les fabricants de pièces automobiles dans leurs processus de production entraîne des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre (GES). L’électricité achetée représente une part importante de l’énergie utilisée dans l’industrie des pièces d’automobile. Les initiatives en matière de durabilité, comme les incitations à l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, rendent les sources d’énergie alternative plus concurrentielles sur le plan des coûts. Les organismes de réglementation et les consommateurs exercent également des pressions sur l’industrie pour qu’elle réduise ses émissions de GES. Par conséquent, il devient de plus en plus important pour les entreprises des industries à forte intensité énergétique de gérer les risques liés aux coûts et à la fiabilité associés à leur efficacité énergétique globale, à leur dépendance à différents types d’énergie et à leur accès à des sources d’énergie de remplacement.
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.-
Gestion des déchets
La fabrication de pièces d’automobile implique l’utilisation de quantités importantes de matériaux (y compris l’acier, le fer, l’aluminium et les plastiques, entre autres). Les types de déchets générés par l’industrie comprennent les lubrifiants et les liquides de refroidissement des machines, les systèmes de nettoyage aqueux et solvants, la peinture et les déchets métalliques et plastiques. Une part importante des revenus des fabricants de pièces automobiles est consacrée au coût des matériaux. Par conséquent, les entreprises qui sont en mesure de gérer leurs matières premières de fabrication grâce à la réduction et au recyclage des déchets seront probablement mieux protégées contre la volatilité des prix et le risque de perturbations de l’approvisionnement. De plus, les fabricants de pièces automobiles peuvent réaliser des économies et améliorer l’efficacité opérationnelle en augmentant la quantité de déchets recyclés. En même temps, les fabricants de pièces automobiles qui ont des répercussions négatives sur l’environnement en raison de leurs pratiques de gestion des déchets sont susceptibles de faire l’objet d’une surveillance réglementaire. La violation de la réglementation environnementale entraînera probablement des frais juridiques ainsi que des dépenses en immobilisations pour les installations de contrôle de la pollution et les projets de santé et de sécurité au travail.
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Sécurité des données
La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.None -
Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.-
Sécurité des produits
La conduite est une activité à risque, car la distraction au volant, les excès de vitesse, la conduite en état d’ivresse et les conditions météorologiques dangereuses, entre autres facteurs, peuvent entraîner des accidents qui exposent les conducteurs, les passagers et les passants à des blessures et à des décès. Les accidents peuvent également être causés par des pièces défectueuses dans les véhicules, et le défaut de détecter les défauts avant la vente des véhicules peut avoir des répercussions financières importantes pour les fabricants d’automobiles et de pièces automobiles. Assurer la sécurité des véhicules et intervenir en temps opportun lorsque des défauts sont décelés peut protéger les fabricants de pièces automobiles contre les mesures réglementaires ou les poursuites judiciaires, qui pourraient autrement entraîner des coûts importants. Il peut également les aider à conserver leurs relations avec les équipementiers (OEM), qui choisissent souvent des fournisseurs de niveau 1 en fonction de leur rendement en matière de sécurité et de leur fiabilité. À mesure que les voitures intègrent des appareils électroniques et d’autres technologies plus perfectionnés, les risques liés aux rappels peuvent augmenter. Grâce à une gestion efficace de la sécurité des produits, les fabricants de pièces automobiles peuvent améliorer leur réputation et augmenter leurs ventes à long terme.
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Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.None -
Engagement des employés, diversité et inclusion
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.None -
Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Conception pour le rendement énergétique
Les fabricants automobiles exigent de plus en plus des pièces et des composants automobiles qui peuvent aider à réduire la consommation de carburant des véhicules qu’ils vendent. Les composants et les pièces écoénergétiques jouent un rôle essentiel dans la réduction des émissions d’échappement des automobiles grâce à des gains d’efficacité énergétique et à des contributions à la réduction du poids, entre autres facteurs. Les fabricants de pièces automobiles qui peuvent concevoir et fabriquer de telles pièces seront mieux placés pour augmenter les ventes des fabricants automobiles qui sont de plus en plus confrontés à des réglementations environnementales plus strictes et aux préférences des clients pour des voitures plus respectueuses de l’environnement.
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.-
Approvisionnement en matériaux
Les entreprises de l’industrie des pièces d’automobile comptent généralement sur les métaux des terres rares et d’autres matériaux critiques comme matières premières clés pour les produits finis. Bon nombre de ces matières premières ont peu ou pas de substituts disponibles et proviennent souvent de gisements concentrés dans quelques pays, dont beaucoup sont sujets à l’incertitude géopolitique. D’autres répercussions sur la durabilité liées au changement climatique, à l’utilisation des sols, à la pénurie des ressources et aux conflits dans les régions où la chaîne d’approvisionnement de l’industrie fonctionne façonnent également de plus en plus la capacité de l’industrie à se procurer des matériaux. De plus, la concurrence accrue pour ces matériaux en raison de la demande mondiale croissante d’autres secteurs peut entraîner des augmentations de prix et des risques pour l’offre. Ces matériaux jouent un rôle crucial dans les technologies d’énergie propre, comme les véhicules électriques et hybrides. Alors que les organismes de réglementation cherchent à réduire les émissions de gaz à effet de serre et que la demande des consommateurs augmente pour des véhicules plus éconergétiques, la part des véhicules hybrides et des véhicules zéro émission (VZE) produits par l’industrie automobile devrait continuer d’augmenter à l’avenir. Les entreprises qui sont en mesure de limiter l’utilisation de matériaux critiques, de sécuriser leur approvisionnement et de mettre au point des solutions de rechange se protégeront contre les perturbations de l’offre et la volatilité des prix des matières premières, ce qui pourrait avoir une incidence sur leurs marges, leur profil de risque et leur coût du capital. -
Efficacité des matériaux
Des millions de véhicules dans le monde atteignent la fin de leur vie utile chaque année. Dans le même temps, le taux de propriété des véhicules augmente à l’échelle mondiale, ce qui se traduit par un plus grand nombre de véhicules en fin de vie utile. Pour réduire l’impact du cycle de vie des véhicules, les fabricants de pièces automobiles peuvent concevoir leurs pièces pour qu’elles soient facilement recyclables et réutilisables et peuvent appliquer des principes de modularité à la conception de produit. Ils peuvent également créer des programmes de reprise pour assurer l’élimination et la réutilisation sécuritaires des produits. Compte tenu de la volatilité des prix des matières premières et des contraintes en matière de ressources, les fabricants de pièces automobiles qui gèrent l’efficacité des matériaux sont susceptibles d’améliorer leur efficacité opérationnelle à long terme et de renforcer leur profil de risque. De plus, les entreprises peuvent potentiellement réduire leurs coûts de fabrication en utilisant moins de matériaux et/ou en recyclant les matériaux, ce qui améliorera les marges.
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Comportement concurrentiel
La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).-
Comportement concurrentiel
Les pratiques commerciales concurrentielles constituent un enjeu de gouvernance important pour les entreprises de l’industrie des pièces d’automobile. Bien que la concentration de l’industrie soit faible, il existe un large éventail de pièces automobiles, et la concurrence pour les entreprises au sein de chaque catégorie de pièces peut ne pas être robuste. Ainsi, les principaux producteurs de toute pièce spécifique de l’automobile peuvent exercer un pouvoir de marché substantiel sur ce segment, ce qui crée des problèmes de concurrence. La collusion et l’entente sur les prix par les fabricants de pièces automobiles finissent par répercuter les coûts sur les consommateurs en augmentant le prix des véhicules. Si la participation à de telles activités est découverte, les sanctions imposées et l’atteinte à la réputation peuvent avoir une incidence grave sur l’évaluation et le bilan d’une société.
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Access Standard
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Gestion de l’énergie
La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.-
Gestion de l’énergie dans la vente au détail et la distribution
Les entreprises de cette industrie ont besoin de quantités importantes d’énergie pour leurs lieux de vente au détail et leurs entrepôts. Les facteurs de durabilité, comme le nombre croissant de réglementations en matière d’émissions de GES, d’incitations pour le rendement énergétique et l’énergie renouvelable, entraînent des augmentations de prix dans les sources d’électricité conventionnelles tout en rendant les sources alternatives plus compétitives en matière de coûts. La génération et la consommation d’énergie à base de combustible fossile contribuent à des répercussions environnementales, y compris le changement climatique et la pollution. Les décisions concernant l’approvisionnement en énergie et le type d’énergie, ainsi que l’utilisation d’énergie alternative, peuvent créer des compromis associés aux coûts d’approvisionnement en énergie et à la fiabilité des opérations. Il est devenu de plus en plus important pour les entreprises de gérer leur rendement énergétique global et leur accès aux sources d’énergie alternatives. L’efficacité dans ce domaine peut présenter des implications financières par le biais d’économies des coûts directs, qui sont particulièrement bénéfiques dans cette industrie à marge basse.
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Gestion des déchets et des matières dangereuses
La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.None -
Sécurité des données
La catégorie aborde la gestion des risques liés à la collecte, à la conservation et à l’utilisation de données client ou utilisateur sensibles, confidentielles, et/ou exclusives. Cela comprend les enjeux sociaux pouvant découler d’incidents comme les violations de données dans le cadre desquelles des informations personnellement identifiables (PII) et d’autres données utilisateur ou client peuvent être exposées. Elle aborde la stratégie, les politiques, ainsi que les pratiques d’une entreprise liées à l’infrastructure informatique, à la formation du personnel, à la tenue des registres, à la coopération avec les forces de l’ordre, ainsi que d’autres mécanismes utilisés pour assurer la sécurité des données client ou utilisateur.-
Sécurité des données
Les consommateurs font confiance aux entreprises de vente au détail pour leurs données financières et personnelles chaque fois qu’elles font une transaction électronique. Les cartes de crédit et les cartes de débit n’ont cessé de faire de l’ombre aux espèces et aux chèques comme modes de paiement préférés des consommateurs. Dans ces transactions électroniques, les détaillants construisent une relation de confiance avec les consommateurs, les assurant de la sécurité de leurs informations personnelles. Des violations de données peuvent se produire par le biais des violations de la technologie de paiement physique, appelées « violations des points de vente », ainsi que par le biais des cyberattaques. Étant donné que les consommateurs sont plus informés des menaces de cybercriminalité, en particulier à la suite des attaques à haut profil continues, avoir une réputation d’entreprise sécurisée est de plus en plus important pour conserver ou gagner une part de marché. Les détaillants empêchant les violations de données majeures peuvent également éviter de nuire à la valeur de la marque et réduire les dettes.
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Qualité et sécurité des produits
La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.None -
Pratiques de travail
La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.-
Pratiques de travail
L’importance de la vente au détail pour l’économie américaine comme employeur principal signifie qu’elle est au centre des discussions publiques de pratiques de travail. Cela peut avoir des implications en termes de réputation pour les entreprises de l’industrie dont les performances sur les relations de travail sont mauvaises. Les salaires moyens bas de l’industrie, qui aident les entreprises à conserver des prix bas sur les produits, peuvent augmenter ces risques liés au travail. Étant donné que les clients interagissent directement et régulièrement avec les employés, les entreprises peuvent faire face à une diminution de la part de marché et des revenus découlant du ressenti négatif des consommateurs en raison de désaccord public entre les entreprises et leurs employés. Les entreprises peuvent améliorer la productivité au travail et l’engagement des employés en adoptant une approche à long terme pour gérer les employés dans des domaines comme la rémunération et les droits des employés. En plus de limiter les risques, l’amélioration de la productivité au travail peut aider à renforcer la réputation d’une entreprise et à réduire son coût du capital.
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Engagement des employés, diversité et inclusion
La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à s’assurer que sa culture ainsi que ses pratiques de recrutement et de promotion adhèrent au développement d’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive qui reflète la composition des réserves de talents locales et de sa clientèle. Elle aborde les problèmes de pratiques discriminatoires sur les bases de la race, du genre, de l’ethnie, de la religion, de l’orientation sexuelle, et d’autres facteurs.-
Diversité et inclusion des collaborateurs
L’industrie des détaillants et distributeurs de produits multilignes et spécialisés est grand public et se fie à la capacité à communiquer efficacement avec les clients pendant le processus de vente et à s’adapter au changement dans les demandes des consommateurs pour des produits. Étant donné que les populations de nombreux marchés développés subissent un changement démographique massif, y compris une augmentation des populations issues de minorités, les entreprises de cette industrie peuvent avoir intérêt à s’assurer que leur culture d’entreprise et les pratiques de recrutement et de promotion contribuent à la construction d’un effectif diversifié aux postes de cadres et juniors. Les détaillants qui répondent à ce changement démographique et emploient du personnel qui sera capable de reconnaître les besoins des différentes populations peuvent mieux être capables de capter la demande des segments qui ont traditionnellement été oubliés, ce qui peut donner aux entreprises un avantage compétitif. En outre, lesdites entreprises peuvent profiter de risque juridiques et réglementaires réduits ainsi que d’une meilleure valeur réputationnelle.
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Conception de produit et gestion du cycle de vie
La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.-
Approvisionnement, emballage et commercialisation des produits
Les entreprises de l’industrie des détaillants et distributeurs de produits multilignes et spécialisés vendent une large variété de produits, y compris de l’électronique, vêtements, meubles et cosmétiques, qui ont tous des répercussions environnementales et sociales variées tout au long de leur cycle de vie. La taille et le pouvoir d’achat en résultant de nombreuses entreprises de cette industrie leur permettent de travailler avec leurs fournisseurs pour acheter des produits et des emballages ayant des répercussions environnementales et sociales moindres au cours du cycle de vie. Les entreprises qui ont de bonnes performances à cet égard peuvent profiter d’une augmentation des demandes des clients et de meilleures marges. Adopter une approche proactive envers des fournisseurs engageants, à l’aide de normes de certification, et réduire les répercussions environnementales de l’emballage sont des stratégies couramment employées par les entreprises de l’industrie.
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Approvisionnement en matériaux et efficacité
La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.None -
Comportement concurrentiel
La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).None
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Catégorie des problématiques générales
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Pièces automobiles
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Détaillants et distributeurs de produits multilignes et spécialisés
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Gestion de l’énergie
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Gestion de l’énergie
La plus grande partie de l’énergie consommée dans le processus de fabrication automobile se trouve dans la chaîne d’approvisionnement. L’utilisation d’électricité et de combustibles fossiles par les fabricants de pièces automobiles dans leurs processus de production entraîne des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre (GES). L’électricité achetée représente une part importante de l’énergie utilisée dans l’industrie des pièces d’automobile. Les initiatives en matière de durabilité, comme les incitations à l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, rendent les sources d’énergie alternative plus concurrentielles sur le plan des coûts. Les organismes de réglementation et les consommateurs exercent également des pressions sur l’industrie pour qu’elle réduise ses émissions de GES. Par conséquent, il devient de plus en plus important pour les entreprises des industries à forte intensité énergétique de gérer les risques liés aux coûts et à la fiabilité associés à leur efficacité énergétique globale, à leur dépendance à différents types d’énergie et à leur accès à des sources d’énergie de remplacement.
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Gestion de l’énergie dans la vente au détail et la distribution
Les entreprises de cette industrie ont besoin de quantités importantes d’énergie pour leurs lieux de vente au détail et leurs entrepôts. Les facteurs de durabilité, comme le nombre croissant de réglementations en matière d’émissions de GES, d’incitations pour le rendement énergétique et l’énergie renouvelable, entraînent des augmentations de prix dans les sources d’électricité conventionnelles tout en rendant les sources alternatives plus compétitives en matière de coûts. La génération et la consommation d’énergie à base de combustible fossile contribuent à des répercussions environnementales, y compris le changement climatique et la pollution. Les décisions concernant l’approvisionnement en énergie et le type d’énergie, ainsi que l’utilisation d’énergie alternative, peuvent créer des compromis associés aux coûts d’approvisionnement en énergie et à la fiabilité des opérations. Il est devenu de plus en plus important pour les entreprises de gérer leur rendement énergétique global et leur accès aux sources d’énergie alternatives. L’efficacité dans ce domaine peut présenter des implications financières par le biais d’économies des coûts directs, qui sont particulièrement bénéfiques dans cette industrie à marge basse.
Gestion des déchets et des matières dangereuses
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Gestion des déchets
La fabrication de pièces d’automobile implique l’utilisation de quantités importantes de matériaux (y compris l’acier, le fer, l’aluminium et les plastiques, entre autres). Les types de déchets générés par l’industrie comprennent les lubrifiants et les liquides de refroidissement des machines, les systèmes de nettoyage aqueux et solvants, la peinture et les déchets métalliques et plastiques. Une part importante des revenus des fabricants de pièces automobiles est consacrée au coût des matériaux. Par conséquent, les entreprises qui sont en mesure de gérer leurs matières premières de fabrication grâce à la réduction et au recyclage des déchets seront probablement mieux protégées contre la volatilité des prix et le risque de perturbations de l’approvisionnement. De plus, les fabricants de pièces automobiles peuvent réaliser des économies et améliorer l’efficacité opérationnelle en augmentant la quantité de déchets recyclés. En même temps, les fabricants de pièces automobiles qui ont des répercussions négatives sur l’environnement en raison de leurs pratiques de gestion des déchets sont susceptibles de faire l’objet d’une surveillance réglementaire. La violation de la réglementation environnementale entraînera probablement des frais juridiques ainsi que des dépenses en immobilisations pour les installations de contrôle de la pollution et les projets de santé et de sécurité au travail.
Sécurité des données
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Sécurité des données
Les consommateurs font confiance aux entreprises de vente au détail pour leurs données financières et personnelles chaque fois qu’elles font une transaction électronique. Les cartes de crédit et les cartes de débit n’ont cessé de faire de l’ombre aux espèces et aux chèques comme modes de paiement préférés des consommateurs. Dans ces transactions électroniques, les détaillants construisent une relation de confiance avec les consommateurs, les assurant de la sécurité de leurs informations personnelles. Des violations de données peuvent se produire par le biais des violations de la technologie de paiement physique, appelées « violations des points de vente », ainsi que par le biais des cyberattaques. Étant donné que les consommateurs sont plus informés des menaces de cybercriminalité, en particulier à la suite des attaques à haut profil continues, avoir une réputation d’entreprise sécurisée est de plus en plus important pour conserver ou gagner une part de marché. Les détaillants empêchant les violations de données majeures peuvent également éviter de nuire à la valeur de la marque et réduire les dettes.
Qualité et sécurité des produits
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Sécurité des produits
La conduite est une activité à risque, car la distraction au volant, les excès de vitesse, la conduite en état d’ivresse et les conditions météorologiques dangereuses, entre autres facteurs, peuvent entraîner des accidents qui exposent les conducteurs, les passagers et les passants à des blessures et à des décès. Les accidents peuvent également être causés par des pièces défectueuses dans les véhicules, et le défaut de détecter les défauts avant la vente des véhicules peut avoir des répercussions financières importantes pour les fabricants d’automobiles et de pièces automobiles. Assurer la sécurité des véhicules et intervenir en temps opportun lorsque des défauts sont décelés peut protéger les fabricants de pièces automobiles contre les mesures réglementaires ou les poursuites judiciaires, qui pourraient autrement entraîner des coûts importants. Il peut également les aider à conserver leurs relations avec les équipementiers (OEM), qui choisissent souvent des fournisseurs de niveau 1 en fonction de leur rendement en matière de sécurité et de leur fiabilité. À mesure que les voitures intègrent des appareils électroniques et d’autres technologies plus perfectionnés, les risques liés aux rappels peuvent augmenter. Grâce à une gestion efficace de la sécurité des produits, les fabricants de pièces automobiles peuvent améliorer leur réputation et augmenter leurs ventes à long terme.
Pratiques de travail
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Pratiques de travail
L’importance de la vente au détail pour l’économie américaine comme employeur principal signifie qu’elle est au centre des discussions publiques de pratiques de travail. Cela peut avoir des implications en termes de réputation pour les entreprises de l’industrie dont les performances sur les relations de travail sont mauvaises. Les salaires moyens bas de l’industrie, qui aident les entreprises à conserver des prix bas sur les produits, peuvent augmenter ces risques liés au travail. Étant donné que les clients interagissent directement et régulièrement avec les employés, les entreprises peuvent faire face à une diminution de la part de marché et des revenus découlant du ressenti négatif des consommateurs en raison de désaccord public entre les entreprises et leurs employés. Les entreprises peuvent améliorer la productivité au travail et l’engagement des employés en adoptant une approche à long terme pour gérer les employés dans des domaines comme la rémunération et les droits des employés. En plus de limiter les risques, l’amélioration de la productivité au travail peut aider à renforcer la réputation d’une entreprise et à réduire son coût du capital.
Engagement des employés, diversité et inclusion
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Diversité et inclusion des collaborateurs
L’industrie des détaillants et distributeurs de produits multilignes et spécialisés est grand public et se fie à la capacité à communiquer efficacement avec les clients pendant le processus de vente et à s’adapter au changement dans les demandes des consommateurs pour des produits. Étant donné que les populations de nombreux marchés développés subissent un changement démographique massif, y compris une augmentation des populations issues de minorités, les entreprises de cette industrie peuvent avoir intérêt à s’assurer que leur culture d’entreprise et les pratiques de recrutement et de promotion contribuent à la construction d’un effectif diversifié aux postes de cadres et juniors. Les détaillants qui répondent à ce changement démographique et emploient du personnel qui sera capable de reconnaître les besoins des différentes populations peuvent mieux être capables de capter la demande des segments qui ont traditionnellement été oubliés, ce qui peut donner aux entreprises un avantage compétitif. En outre, lesdites entreprises peuvent profiter de risque juridiques et réglementaires réduits ainsi que d’une meilleure valeur réputationnelle.
Conception de produit et gestion du cycle de vie
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Conception pour le rendement énergétique
Les fabricants automobiles exigent de plus en plus des pièces et des composants automobiles qui peuvent aider à réduire la consommation de carburant des véhicules qu’ils vendent. Les composants et les pièces écoénergétiques jouent un rôle essentiel dans la réduction des émissions d’échappement des automobiles grâce à des gains d’efficacité énergétique et à des contributions à la réduction du poids, entre autres facteurs. Les fabricants de pièces automobiles qui peuvent concevoir et fabriquer de telles pièces seront mieux placés pour augmenter les ventes des fabricants automobiles qui sont de plus en plus confrontés à des réglementations environnementales plus strictes et aux préférences des clients pour des voitures plus respectueuses de l’environnement.
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Approvisionnement, emballage et commercialisation des produits
Les entreprises de l’industrie des détaillants et distributeurs de produits multilignes et spécialisés vendent une large variété de produits, y compris de l’électronique, vêtements, meubles et cosmétiques, qui ont tous des répercussions environnementales et sociales variées tout au long de leur cycle de vie. La taille et le pouvoir d’achat en résultant de nombreuses entreprises de cette industrie leur permettent de travailler avec leurs fournisseurs pour acheter des produits et des emballages ayant des répercussions environnementales et sociales moindres au cours du cycle de vie. Les entreprises qui ont de bonnes performances à cet égard peuvent profiter d’une augmentation des demandes des clients et de meilleures marges. Adopter une approche proactive envers des fournisseurs engageants, à l’aide de normes de certification, et réduire les répercussions environnementales de l’emballage sont des stratégies couramment employées par les entreprises de l’industrie.
Approvisionnement en matériaux et efficacité
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Approvisionnement en matériaux
Les entreprises de l’industrie des pièces d’automobile comptent généralement sur les métaux des terres rares et d’autres matériaux critiques comme matières premières clés pour les produits finis. Bon nombre de ces matières premières ont peu ou pas de substituts disponibles et proviennent souvent de gisements concentrés dans quelques pays, dont beaucoup sont sujets à l’incertitude géopolitique. D’autres répercussions sur la durabilité liées au changement climatique, à l’utilisation des sols, à la pénurie des ressources et aux conflits dans les régions où la chaîne d’approvisionnement de l’industrie fonctionne façonnent également de plus en plus la capacité de l’industrie à se procurer des matériaux. De plus, la concurrence accrue pour ces matériaux en raison de la demande mondiale croissante d’autres secteurs peut entraîner des augmentations de prix et des risques pour l’offre. Ces matériaux jouent un rôle crucial dans les technologies d’énergie propre, comme les véhicules électriques et hybrides. Alors que les organismes de réglementation cherchent à réduire les émissions de gaz à effet de serre et que la demande des consommateurs augmente pour des véhicules plus éconergétiques, la part des véhicules hybrides et des véhicules zéro émission (VZE) produits par l’industrie automobile devrait continuer d’augmenter à l’avenir. Les entreprises qui sont en mesure de limiter l’utilisation de matériaux critiques, de sécuriser leur approvisionnement et de mettre au point des solutions de rechange se protégeront contre les perturbations de l’offre et la volatilité des prix des matières premières, ce qui pourrait avoir une incidence sur leurs marges, leur profil de risque et leur coût du capital. -
Efficacité des matériaux
Des millions de véhicules dans le monde atteignent la fin de leur vie utile chaque année. Dans le même temps, le taux de propriété des véhicules augmente à l’échelle mondiale, ce qui se traduit par un plus grand nombre de véhicules en fin de vie utile. Pour réduire l’impact du cycle de vie des véhicules, les fabricants de pièces automobiles peuvent concevoir leurs pièces pour qu’elles soient facilement recyclables et réutilisables et peuvent appliquer des principes de modularité à la conception de produit. Ils peuvent également créer des programmes de reprise pour assurer l’élimination et la réutilisation sécuritaires des produits. Compte tenu de la volatilité des prix des matières premières et des contraintes en matière de ressources, les fabricants de pièces automobiles qui gèrent l’efficacité des matériaux sont susceptibles d’améliorer leur efficacité opérationnelle à long terme et de renforcer leur profil de risque. De plus, les entreprises peuvent potentiellement réduire leurs coûts de fabrication en utilisant moins de matériaux et/ou en recyclant les matériaux, ce qui améliorera les marges.
Comportement concurrentiel
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Comportement concurrentiel
Les pratiques commerciales concurrentielles constituent un enjeu de gouvernance important pour les entreprises de l’industrie des pièces d’automobile. Bien que la concentration de l’industrie soit faible, il existe un large éventail de pièces automobiles, et la concurrence pour les entreprises au sein de chaque catégorie de pièces peut ne pas être robuste. Ainsi, les principaux producteurs de toute pièce spécifique de l’automobile peuvent exercer un pouvoir de marché substantiel sur ce segment, ce qui crée des problèmes de concurrence. La collusion et l’entente sur les prix par les fabricants de pièces automobiles finissent par répercuter les coûts sur les consommateurs en augmentant le prix des véhicules. Si la participation à de telles activités est découverte, les sanctions imposées et l’atteinte à la réputation peuvent avoir une incidence grave sur l’évaluation et le bilan d’une société.