Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Pièces automobiles Les entreprises de l’industrie des pièces automobiles fournissent des pièces et des accessoires automobiles aux équipementiers (OEM). Les entreprises de pièces automobiles se spécialisent généralement dans la fabrication et l’assemblage de certaines pièces ou accessoires, tels que les systèmes d’échappement du moteur, les transmissions alternatives, les systèmes hybrides, les convertisseurs catalytiques, les roues en aluminium (jantes), les pneus, les rétroviseurs, et les équipements électriques et électroniques embarqués. Même si l’industrie automobile comprend plusieurs niveaux de fournisseurs qui fournissent des pièces et des matières premières utilisées pour assembler des véhicules automobiles, l’industrie des pièces automobiles de la SASB ne comprend que les fournisseurs de niveau 1 qui fournissent des pièces directement aux équipementiers. La portée de l’industrie exclut les fournisseurs captifs, comme les moteurs et les installations d’estampage, qui sont détenus et exploités par les équipementiers. De même, elle exclut les fournisseurs de niveau 2, qui fournissent des intrants pour l’industrie des pièces automobiles.
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  • Produits agricoles L’industrie des produits agricoles participe au traitement, au commerce et à la distribution de fruits et légumes, et à la production et à la mouture de produits agricoles comme le grain, le sucre, les huiles consommables, le maïs, le soja et les aliments pour animaux. Les produits agricoles sont directement vendus aux consommateurs et aux entreprises pour être utilisés dans des produits de consommation et industriels. Les entreprises de l’industrie achètent généralement des produits agricoles à des entités qui cultivent ces produits (directement ou indirectement) puis exercent des activités créatrices de valeur ajoutée (par ex., transformation, commerce, distribution et mouture). Les entreprises de produits agricoles sont également impliquées dans le commerce de gros et la distribution. Les entreprises de l’industrie peuvent acheter une partie significative de produits agricoles à des producteurs tiers dans divers pays. Par conséquent, la gestion des risques de durabilité au sein de la chaîne d’approvisionnement est essentielle pour garantir l’approvisionnement fiable de matières premières et pour réduire le risque d’augmentation et de volatilité des prix sur le long terme.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (10 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Pièces automobiles Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie La plus grande partie de l’énergie consommée dans le processus de fabrication automobile se trouve dans la chaîne d’approvisionnement. L’utilisation d’électricité et de combustibles fossiles par les fabricants de pièces automobiles dans leurs processus de production entraîne des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre (GES). L’électricité achetée représente une part importante de l’énergie utilisée dans l’industrie des pièces d’automobile. Les initiatives en matière de durabilité, comme les incitations à l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, rendent les sources d’énergie alternative plus concurrentielles sur le plan des coûts. Les organismes de réglementation et les consommateurs exercent également des pressions sur l’industrie pour qu’elle réduise ses émissions de GES. Par conséquent, il devient de plus en plus important pour les entreprises des industries à forte intensité énergétique de gérer les risques liés aux coûts et à la fiabilité associés à leur efficacité énergétique globale, à leur dépendance à différents types d’énergie et à leur accès à des sources d’énergie de remplacement.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
      • Gestion des déchets La fabrication de pièces d’automobile implique l’utilisation de quantités importantes de matériaux (y compris l’acier, le fer, l’aluminium et les plastiques, entre autres). Les types de déchets générés par l’industrie comprennent les lubrifiants et les liquides de refroidissement des machines, les systèmes de nettoyage aqueux et solvants, la peinture et les déchets métalliques et plastiques. Une part importante des revenus des fabricants de pièces automobiles est consacrée au coût des matériaux. Par conséquent, les entreprises qui sont en mesure de gérer leurs matières premières de fabrication grâce à la réduction et au recyclage des déchets seront probablement mieux protégées contre la volatilité des prix et le risque de perturbations de l’approvisionnement. De plus, les fabricants de pièces automobiles peuvent réaliser des économies et améliorer l’efficacité opérationnelle en augmentant la quantité de déchets recyclés. En même temps, les fabricants de pièces automobiles qui ont des répercussions négatives sur l’environnement en raison de leurs pratiques de gestion des déchets sont susceptibles de faire l’objet d’une surveillance réglementaire. La violation de la réglementation environnementale entraînera probablement des frais juridiques ainsi que des dépenses en immobilisations pour les installations de contrôle de la pollution et les projets de santé et de sécurité au travail.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité des produits La conduite est une activité à risque, car la distraction au volant, les excès de vitesse, la conduite en état d’ivresse et les conditions météorologiques dangereuses, entre autres facteurs, peuvent entraîner des accidents qui exposent les conducteurs, les passagers et les passants à des blessures et à des décès. Les accidents peuvent également être causés par des pièces défectueuses dans les véhicules, et le défaut de détecter les défauts avant la vente des véhicules peut avoir des répercussions financières importantes pour les fabricants d’automobiles et de pièces automobiles. Assurer la sécurité des véhicules et intervenir en temps opportun lorsque des défauts sont décelés peut protéger les fabricants de pièces automobiles contre les mesures réglementaires ou les poursuites judiciaires, qui pourraient autrement entraîner des coûts importants. Il peut également les aider à conserver leurs relations avec les équipementiers (OEM), qui choisissent souvent des fournisseurs de niveau 1 en fonction de leur rendement en matière de sécurité et de leur fiabilité. À mesure que les voitures intègrent des appareils électroniques et d’autres technologies plus perfectionnés, les risques liés aux rappels peuvent augmenter. Grâce à une gestion efficace de la sécurité des produits, les fabricants de pièces automobiles peuvent améliorer leur réputation et augmenter leurs ventes à long terme.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Conception pour le rendement énergétique Les fabricants automobiles exigent de plus en plus des pièces et des composants automobiles qui peuvent aider à réduire la consommation de carburant des véhicules qu’ils vendent. Les composants et les pièces écoénergétiques jouent un rôle essentiel dans la réduction des émissions d’échappement des automobiles grâce à des gains d’efficacité énergétique et à des contributions à la réduction du poids, entre autres facteurs. Les fabricants de pièces automobiles qui peuvent concevoir et fabriquer de telles pièces seront mieux placés pour augmenter les ventes des fabricants automobiles qui sont de plus en plus confrontés à des réglementations environnementales plus strictes et aux préférences des clients pour des voitures plus respectueuses de l’environnement.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en matériaux Les entreprises de l’industrie des pièces d’automobile comptent généralement sur les métaux des terres rares et d’autres matériaux critiques comme matières premières clés pour les produits finis. Bon nombre de ces matières premières ont peu ou pas de substituts disponibles et proviennent souvent de gisements concentrés dans quelques pays, dont beaucoup sont sujets à l’incertitude géopolitique. D’autres répercussions sur la durabilité liées au changement climatique, à l’utilisation des sols, à la pénurie des ressources et aux conflits dans les régions où la chaîne d’approvisionnement de l’industrie fonctionne façonnent également de plus en plus la capacité de l’industrie à se procurer des matériaux. De plus, la concurrence accrue pour ces matériaux en raison de la demande mondiale croissante d’autres secteurs peut entraîner des augmentations de prix et des risques pour l’offre. Ces matériaux jouent un rôle crucial dans les technologies d’énergie propre, comme les véhicules électriques et hybrides. Alors que les organismes de réglementation cherchent à réduire les émissions de gaz à effet de serre et que la demande des consommateurs augmente pour des véhicules plus éconergétiques, la part des véhicules hybrides et des véhicules zéro émission (VZE) produits par l’industrie automobile devrait continuer d’augmenter à l’avenir. Les entreprises qui sont en mesure de limiter l’utilisation de matériaux critiques, de sécuriser leur approvisionnement et de mettre au point des solutions de rechange se protégeront contre les perturbations de l’offre et la volatilité des prix des matières premières, ce qui pourrait avoir une incidence sur leurs marges, leur profil de risque et leur coût du capital.
      • Efficacité des matériaux Des millions de véhicules dans le monde atteignent la fin de leur vie utile chaque année. Dans le même temps, le taux de propriété des véhicules augmente à l’échelle mondiale, ce qui se traduit par un plus grand nombre de véhicules en fin de vie utile. Pour réduire l’impact du cycle de vie des véhicules, les fabricants de pièces automobiles peuvent concevoir leurs pièces pour qu’elles soient facilement recyclables et réutilisables et peuvent appliquer des principes de modularité à la conception de produit. Ils peuvent également créer des programmes de reprise pour assurer l’élimination et la réutilisation sécuritaires des produits. Compte tenu de la volatilité des prix des matières premières et des contraintes en matière de ressources, les fabricants de pièces automobiles qui gèrent l’efficacité des matériaux sont susceptibles d’améliorer leur efficacité opérationnelle à long terme et de renforcer leur profil de risque. De plus, les entreprises peuvent potentiellement réduire leurs coûts de fabrication en utilisant moins de matériaux et/ou en recyclant les matériaux, ce qui améliorera les marges.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
      • Comportement concurrentiel Les pratiques commerciales concurrentielles constituent un enjeu de gouvernance important pour les entreprises de l’industrie des pièces d’automobile. Bien que la concentration de l’industrie soit faible, il existe un large éventail de pièces automobiles, et la concurrence pour les entreprises au sein de chaque catégorie de pièces peut ne pas être robuste. Ainsi, les principaux producteurs de toute pièce spécifique de l’automobile peuvent exercer un pouvoir de marché substantiel sur ce segment, ce qui crée des problèmes de concurrence. La collusion et l’entente sur les prix par les fabricants de pièces automobiles finissent par répercuter les coûts sur les consommateurs en augmentant le prix des véhicules. Si la participation à de telles activités est découverte, les sanctions imposées et l’atteinte à la réputation peuvent avoir une incidence grave sur l’évaluation et le bilan d’une société.
  • Produits agricoles Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre Les entreprises de l’industrie des produits agricoles génèrent des émissions de gaz à effet de serre (GES) directes découlant du traitement et du transport de marchandises à l’occasion des opérations de fret terrestres et marines. Les réglementations sur les émissions peuvent augmenter le coût du capital, les coûts opérationnels et toucher l’efficacité opérationnelle des entreprises qui ne disposent pas de stratégies permettant de gérer les émissions de GES. L’emploi de technologies innovantes qui utilisent des carburants et entrants énergétiques alternatifs (notamment les déchets de la biomasse générés par les procédés internes) et l’amélioration du rendement énergétique permettent aux entreprises de limiter l’exposition à l’instabilité des prix du carburant, à des perturbations de l’approvisionnement, à des coûts réglementaires futurs et à d’autres conséquences éventuelles des émissions de GES.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie Le traitement et la mouture de produits agricoles nécessitent un apport énergétique important. Certaines entreprises de produits agricoles génèrent de l’énergie sur site à l’aide de la combustion directe de combustibles fossiles et/ou de biomasse, mais la majorité de l’énergie provient du réseau électrique. La consommation d’énergie contribue aux répercussions énergétiques, notamment le changement climatique et la pollution. La gestion de l’énergie affecte les coûts actuels et futurs des opérations. La réglementation sur le climat et d’autres facteurs de durabilité pourraient entraîner la hausse et/ou une volatilité accrue des prix de l’électricité et du carburant, et l’augmentation des coûts opérationnels pour les entreprises de produits agricoles. Par conséquent, le rendement énergétique obtenu à l’aide de l’amélioration des procédés peut réduire les coûts opérationnels. Le compromis entre l’électricité sur site et en provenance du réseau ainsi que l’utilisation d’énergie alternative peuvent jouer un rôle important sur l’influence des coûts à long terme, la fiabilité de l’approvisionnement en énergie d’une entreprise et la mesure de l’impact réglementaire des émissions directes et indirectes.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau L’industrie des produits agricoles a recours à l’eau pour les activités de traitement et les entreprises de l’industrie génèrent en général des eaux usées ou des effluents. En raison de la disponibilité physique et/ou de l’accès réglementaire, la disponibilité de l’eau touche directement la capacité de l’industrie à gérer efficacement les installations de traitement. Les entreprises de l’industrie sont de plus en plus exposées aux risques et réglementations liés à l’eau, ce qui peut augmenter les coûts de dépenses en capital, les coûts opérationnels, les coûts de remédiation et/ou les potentielles amendes. Les entreprises peuvent gérer les risques et les occasions liés à l’eau et réduire les coûts à long terme par le biais d’investissements de capital et d’une évaluation de la localisation des installations en rapport avec les risques de pénurie en eau, les améliorations de l’efficacité opérationnelle et les partenariats avec les organismes de réglementation et les communautés sur des questions comme l’accès à l’eau ou aux effluents. Les risques liés à la production de cultures entraînés par la disponibilité de l’eau et son accès sont traités dans un résumé distinct axé sur la chaîne d’approvisionnement, Approvisionnement en composants.
    • Gestion des déchets et des matières dangereuses La catégorie aborde les enjeux environnementaux associés aux déchets dangereux et non dangereux produits par les entreprises. Elle aborde la gestion des déchets solides produits par la fabrication, l’agriculture et les autres processus industriels d’une entreprise. Elle traite de la conformité en matière de traitement, de gestion, de stockage, d’élimination et de réglementations. La catégorie ne traite pas des émissions atmosphériques ou d’eaux usées, ou des déchets provenant de produits en fin de vie. Ces sujets sont abordés dans des catégories distinctes.
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    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité alimentaire Les produits agricoles sont soit vendus directement aux consommateurs sous forme brute, soit transformés davantage avant de parvenir aux consommateurs. Le maintien de la qualité et de la sécurité des produits est essentiel, car la contamination par des pathogènes, des produits chimiques, ou des déchets présente de graves risques pour la santé humaine et animale. La contamination peut découler de mauvaises pratiques en matière d’agriculture, de stockage ou de manipulation. Les questions de qualité et de sécurité alimentaires peuvent entraîner des modifications des demandes des consommateurs et des actions réglementaires. Les rappels de produits peuvent nuire à la réputation d’une marque, réduire les revenus et entraîner des amendes élevées. Obtenir des certificats de sécurité alimentaire ou s’assurer du respect par les fournisseurs des directives de sécurité alimentaire pourrait aider les entreprises dans l’industrie à protéger contre les risques pour la sécurité des produits et à communiquer la qualité de leurs produits aux acheteurs.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des collaborateurs Les procédés industriels utilisés dans l’industrie de produits agricoles constituent des dangers professionnels importants. Les employés exercent de nombreuses activités à forte intensité de main-d’œuvre. Les dangers courants comprennent des chutes, des accidents de transport, des accidents liés à l’équipement, et des maladies ou des blessures liées à la chaleur, entre autres. Les violations de normes de santé et de sécurité pourraient entraîner des sanctions monétaires et des frais pour les mesures correctives. Les taux de blessure élevés, notamment les taux de mortalité, peuvent être le signe d’une structure de gouvernance fragile et d’une faible culture de sécurité sur le lieu de travail, et entraîner une atteinte importante à la réputation. Les bons résultats de la gestion de la santé et de la sécurité des collaborateurs peuvent aider à construire une image de marque tout en promouvant la moralité des collaborateurs, ce qui peut entraîner une productivité accrue, un faible roulement des collaborateurs et des relations communautaires renforcées.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement des composants Les entreprises de produits agricoles acquièrent les entrants agricoles auprès d’un grand nombre de fournisseurs. La façon dont les entreprises de l’industrie examinent et contrôlent les fournisseurs, et nouent le dialogue avec eux, sur des sujets environnementaux et sociaux peut influer sur la demande des consommateurs, les risques pour la réputation et la capacité des entreprises à gérer efficacement leur approvisionnement en culture et à répondre à la fluctuation des prix. Les questions de la gestion de la chaîne d’approvisionnement liées au travail, aux pratiques environnementales, à l’éthique ou à la corruption peuvent entraîner des sanctions réglementaires et/ou des frais opérationnels accrus à long terme pour les entreprises. De même, les entreprises de produits agricoles peuvent être confrontées à une atteinte à la réputation si les résultats de leurs fournisseurs quant aux questions environnementales et sociales sont mauvais. Les entreprises peuvent atténuer ces risques et augmenter éventuellement la demande des consommateurs ou obtenir de nouveaux débouchés commerciaux en nouant le dialogue avec les fournisseurs clés afin de mettre en œuvre les pratiques agricoles durables ou de s’approvisionner auprès de fournisseurs certifiés.
      • Gestion des OGM Les produits agricoles développés à l’aide de la technologie des organismes génétiquement modifiés (OGM) ont de plus en plus suscité l’intérêt des consommateurs. La technologie OGM a, dans de nombreux cas, permis des améliorations en matière de rendement des cultures par le développement de traits résistants aux maladies ou à la sécheresse chez les plantes, mais les consommateurs s’inquiètent plus en plus des impacts perçus sur la santé, l’environnement et/ou sociaux liés à la culture et à la consommation d’OGM. Certains pays et certaines régions géographiques ont adopté des réglementations qui interdisent l’utilisation ou la culture d’OGM. Les entreprises d’aliments et de boissons de la chaîne d’approvisionnement d’aliments, y compris les entreprises de cette industrie, sont à la recherche de moyens efficaces d’analyser les risques et occasions liés aux OGM, et communiquent à ce sujet avec les consommateurs. Les entreprises de produits agricoles en mesure de répondre aux tendances des consommateurs en constante évolution et aux modifications réglementaires par leur portefeuille de produits ou des communications effectives peuvent réduire les risques pour la réputation, la perte de revenue et saisir des occasions d’obtenir de nouvelles parts de marché.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en composants Les entreprises de produits agricoles acquièrent une série de marchandises et d’ingrédients auprès d’agriculteurs et/ou de distributeurs intermédiaires. La capacité de l’industrie à s’approvisionner de manière fiable en ingrédients au niveau de prix souhaité fluctue avec le rendement des cultures. Elle peut être affectée par le changement climatique, la pénurie en eau, la gestion des terres et toute autre considération de pénurie des ressources. Les entreprises qui acquièrent des cultures plus productives et qui consomment moins de ressources, ou celles qui collaborent étroitement avec les fournisseurs pour accroître leur flexibilité face au changement climatique et aux autres risques de pénurie des ressources seront mieux protégées d’une potentielle volatilité des prix et des perturbations de l’approvisionnement en cultures. En outre, les entreprises peuvent améliorer la réputation de leur marque et développer de nouveaux débouchés commerciaux. La mauvaise gestion des risques d’approvisionnement peut conduire à une augmentation des coûts du capital, à une réduction des marges et à une croissance restreinte du chiffre d’affaires.
    • Comportement concurrentiel La catégorie traite des enjeux sociaux associés à l’existence de monopoles, qui peuvent inclure, mais sans s’y limiter, les prix excessifs, la mauvaise qualité du service, et le manque d’efficacité. Elle aborde la gestion d’une entreprise concernant les attentes juridiques et sociales autour des pratiques monopolistes et anti-concurrentielles, y compris les problèmes liés au pouvoir de négociation, à la collusion, à la fixation ou à la manipulation des prix, et à la protection des brevets et de la propriété intellectuelle (PI).
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