Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Croisiéristes L’industrie des croisiéristes se compose d’entreprises qui assurent le transport de passagers et des activités de divertissement, notamment des croisières en pleine mer et fluviales. L’industrie est dominée par quelques grandes entreprises. L’objectif des croisières est de faire vivre l’expérience d’un établissement de luxe à des milliers de passagers à la fois. L’industrie des croisiéristes a souvent été le segment de l’industrie du voyage qui s’est développé le plus rapidement, mais de manière très cyclique.
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  • Hôtels et hébergement Le secteur des hôtels et des hébergements est composé d’entreprises qui fournissent des logements pour la nuit, y compris les hôtels, les motels et les auberges. Il s’agit d’un secteur compétitif qui comporte principalement d’importantes chaînes d’hôtels, et dont les décisions d’achats des consommateurs sont basées sur une grande variété de facteurs, dont la qualité et l’uniformité de la prestation des services, la disponibilité des lieux, le prix et les offres de programme de fidélité. La structure des entreprises correspond souvent à l’une ou plusieurs des possibilités suivantes : des revenus directs à partir des services d’hôtellerie, en ce compris la location de chambre et la vente de nourriture et de boissons ; des services de gestion et de franchise, avec des recettes provenant de la gestion des biens, et la propriété de résidences de vacances, avec des revenus provenant de la vente d’unités résidentielles.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (10 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Croisiéristes Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre Les entreprises croisiéristes produisent principalement des émissions provenant de la combustion de diesel dans les moteurs de navires. La dépendance de l’industrie au fioul lourd (« combustible de soute ») est préoccupante en raison de la hausse des coûts du carburant et de l’intensification de la réglementation sur les gaz à effet de serre (GES). Les règlements environnementaux en constante évolution favorisent l’adoption de moteurs plus écoénergétiques, la modernisation des moteurs et l’utilisation de carburants plus propres. Le carburant représente une dépense importante pour les acteurs de l’industrie, offrant une incitation supplémentaire pour investir dans des mises à niveau ou des rénovations pour améliorer le rendement énergétique. En outre, la violation des réglementations sur les GES peut entraîner des sanctions et des coûts de conformité.
    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Qualité de l’air L’utilisation de carburant par les croisiéristes génère des polluants atmosphériques comme l’oxyde de soufre (SOx), l’oxyde d’azote (NOx) et des particules en suspension (PM10). Ces polluants ont tendance à avoir des effets localisés sur l’environnement et la santé et sont particulièrement préoccupants dans les villes portuaires et les autres zones restreintes où les entreprises peuvent être sanctionnées lorsqu’elles dépassent les limites d’émissions. Les entreprises gèrent ces risques en commandant davantage de navires écoénergétiques, en modernisant les flottes existantes et en utilisant l’énergie onshore lorsqu’elle est disponible dans les ports.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
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    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Gestion des rejets et répercussions écologiques Les croisières proposent un accès unique à l’eau pure des océans et des destinations où les écosystèmes sont délicats. Ces écosystèmes fragiles peuvent être menacés par la taille des bateaux, l’afflux de touristes, l’ampleur des ressources consommées et les déchets générés à bord. Les bateaux de croisière rejettent de nombreux types d’eaux usées traitées et non traitées dans la mer, et des déchets solides non dégradables sur la terre. La gestion consciencieuse des rejets du bateau et l’atténuation des répercussions écologiques des activités de croisière assureront l’accès ininterrompu aux ports principaux et aideront à préserver la beauté naturelle que les visiteurs souhaitent connaître, essentiels pour que l’entreprise conserve ses parts de marché et attire de nouveaux clients.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Santé et sécurité des clients Les croisiéristes offrent de nombreuses expériences et activités de luxe à leurs clients, notamment des spectacles perfectionnés, des casinos, des repas gastronomiques, du parachutisme intérieur, des cures thermales, de la natation et des installations de mise en forme. Chaque activité comporte ses responsabilités et ses défis de sécurité et de risque pour la santé que les entreprises de croisière doivent gérer. Les attentes des consommateurs en matière de sécurité et de confort sont élevées, il est alors particulièrement important d’éviter les problèmes relatifs aux risques pour la santé pour la sécurité physique. Les crimes, blessures et maladies très médiatisés sur des bateaux de croisière peuvent avoir des répercussions graves sur la valeur de la marque et la vente de tickets. Des coûts élevés peuvent également être liés à des plaintes de clients. Les taux de crime sont faibles par rapport aux statistiques sur la criminalité de la plupart des pays développés, mais l’application de la loi est plus délicate et les affaires ne sont pas si simples à résoudre. En effet, les bateaux amènent couramment les passagers dans les eaux internationales et battent pavillon étranger. Cela crée de l’incertitude à propos des juridictions compétentes en matière d’application de la loi. Les entreprises peuvent protéger la santé et la sécurité des clients en appliquant un système de gestion de la sécurité solide.
    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
      • Pratiques de travail Les croisiéristes emploient des milliers de travailleurs sur chaque navire. La plupart des navires sont immatriculés dans des pays où le droit du travail autorise une certaine souplesse dans de nombreux domaines, notamment en matière de rémunération, d'horaires, de traitement équitable et de licenciement. L’équipage des navires est multinational et est engagé sur une base contractuelle. Les travailleurs effectuent de longues heures de travail d’affilée et séjournent dans des logements partagés, ce qui peut rendre la récupération difficile. Certaines entreprises proposent une structure salariale basée sur les pourboires pour réduire les coûts des salaires. En raison des barrières de la langue et de la complexité du droit des États du pavillon et du droit des pays des travailleurs, il peut être difficile pour les travailleurs de déposer plainte au titre de la violation du droit du travail. Un moral bas peut affecter la capacité des travailleurs à répondre aux attentes du service client, réduire les revenus de l’entreprise et les parts de marché.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des employés Les entreprises de croisière exploitent un service transitoire unique qui exige qu’elles contrôlent la sécurité d’une petite ville, notamment la réponse à tous les besoins médicaux et de sécurité. La volonté de fournir d’un environnement propre et sain à bord est importante pour la protection de la santé de l’équipage pouvant affecter la santé des clients, et donc la réputation et les parts de marché d’une entreprise. En outre, il peut exister plusieurs organes directeurs, notamment l’État pavillon, l’État du port et le pays d’un membre de l’équipage, impliqués dans la fourniture et l’application de réglementations sur la sécurité pour l’industrie. Ces réglementations peuvent être source de confusion en ce qui concerne les protections accordées aux membres de l’équipage. Les entreprises qui ne parviennent pas à protéger la santé et la sécurité des équipages peuvent également être confrontées à un taux de rotation du personnel plus élevé et à des difficultés de recrutement et de fidélisation des employés.
    • Impacts physiques du changement climatique La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
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    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Gestion des accidents Bien que, statistiquement, les croisières soient une des formes de déplacement les plus sûres pour les vacances, l’industrie fait face à la concurrence en matière d’expérience et de satisfaction des clients et donne la priorité à la gestion de la sécurité. Étant donné la dimension des navires de croisière et la vulnérabilité des passagers en mer, un seul accident mal géré peut ébranler la confiance des consommateurs dans une entreprise. Si les accidents importants sont rares, ils sont susceptibles d’affecter non seulement les revenus et la réputation d’une entreprise, mais également ceux de l’industrie des croisiéristes dans son ensemble. La gestion correcte de l’équipement, la formation des employés et l’utilisation des dernières technologies et pratiques de sécurité dans l’ensemble de la flotte peuvent protéger le bilan de sécurité d’une entreprise et garantir une satisfaction élevée des clients tout en réduisant son profil de risque et son coût du capital.
  • Hôtels et hébergement Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie L’exploitation des bâtiments hôteliers requiert une quantité importante de ressources énergétiques, ce qui représente une portion significative des dépenses d’exploitation de l’hôtel. La consommation électrique du secteur est principalement achetée. Cette électricité achetée conduit indirectement aux émissions de gaz à effet de serre (GES) contribuant massivement au changement climatique. Les entreprises du secteur mettent en place des pratiques de gestion de l’énergie responsables afin de réduire les dépenses d’exploitation et les répercussions environnementales, avec pour objectif d’améliorer leur image auprès de leurs clients, de plus en plus sensibles à la durabilité de l’environnement.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau L’exploitation des bâtiments hôteliers requiert une grande quantité d’eau. Bien que la consommation d’eau ne représente pas l’une des plus importantes dépenses de l’industrie, la diminution des ressources d’eau disponibles eau ou des hausses de prix conséquentes pourraient avoir une influence sur les résultats financiers. Il pourrait s’agir d’un impact particulièrement grave dans les régions de stress hydrique à cause des contraintes d’approvisionnement. Les entreprises du secteur mettent en place des pratiques de gestion de l’eau responsables afin de réduire les dépenses d’exploitation et les répercussions environnementales, avec pour objectif d’améliorer leur image auprès de leurs clients, de plus en plus sensibles à la durabilité de l’environnement.
    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Répercussions écologiques Les performances économiques et financières des communautés et entreprises locales sont liées à la santé des écosystèmes. L’afflux de touristes et les déchets produits par les hôtels peuvent représenter des risques pour les écosystèmes sensibles, tels que les récifs coralliens et les réserves naturelles. De mauvaises pratiques de protection de l’environnement peuvent empêcher les hôtels d’obtenir de nouvelles licences de construction dans ces zones sensibles et pourraient, à long terme, réduire les attractions touristiques naturelles contribuant aux recettes des communautés et des hôtels. En revanche, la protection de l’environnement peut rendre certaines destinations encore plus attractives et augmenter la demande de réservation de chambres.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
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    • Pratiques de travail La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à faire respecter les normes de travail communément admises sur le lieu de travail, y compris la conformité avec le droit du travail et les normes internationalement reconnues. Cela comprend, mais sans s’y limiter, l’assurance des droits de l’homme de base liés au travail des enfants, au travail forcé ou servile, à l’exploitation, à l’équité des salaires et à la rémunération des heures supplémentaires, ainsi qu’à d’autres droits des travailleurs. Cela comprend également les politiques relatives au salaire minimum et à l’octroi d’avantages, qui peuvent influencer la mesure dans laquelle une main-d’œuvre est recrutée, conservée et motivée. La catégorie aborde également la relation d’une entreprise avec les syndicats et la liberté d’association.
      • Pratiques de travail Le secteur des Hôtels et de l’hébergement est très dépendant de la main-d’œuvre pour faire fonctionner ses grands établissements. Des collaborateurs spécialisés dans le service, capables d’offrir aux clients un agréable séjour sont un facteur clé de succès pour les entreprises hôtelières. Cette situation, combinée aux mouvements de la main d’œuvre, peuvent conduire à une baisse de la satisfaction au travail qui se traduit par un important taux de rotation du personnel et de potentielles actions en justice, contribuant à une augmentation des dépenses pour les opérateurs hôteliers. Les hôtels qui s’efforcent d’empêcher les pratiques discriminatoires et de garantir des salaires équitables peuvent améliorer la satisfaction des employés et réduire le roulement du personnel.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Impacts physiques du changement climatique La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à gérer les opportunités et les risques associés à l’exposition directe des ressources qu’elle possède ou contrôle et des activités aux impacts physiques réels ou potentiels du changement climatique. Elle englobe les problèmes environnementaux et sociaux qui peuvent découler de perturbations opérationnelles attribuables aux impacts physiques du changement climatique. Elle englobe également les problèmes socio-économiques résultant de l’incapacité des entreprises à intégrer les considérations liées au changement climatique dans les produits et services qu’elles vendent, comme les politiques d’assurance et les hypothèques. La catégorie se rapporte à la capacité de l’entreprise à s’adapter à la fréquence et à la gravité accrues des phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques, aux risques liés au niveau de la mer, et aux autres impacts physiques attendus du changement climatique. Cette gestion peut impliquer l’amélioration de la résilience des ressources physiques et/ou de l’infrastructure environnante, ainsi que l’intégration de considérations liées au changement climatique dans les activités économiques clés (comme la souscription d’hypothèques et d’assurances, la planification et le développement de projets immobiliers).
      • Adaptation au changement climatique Les exploitations hôtelières situées dans des zones exposées au changement climatique sont confrontées à des risques climatiques à manifestation physique, notamment des conditions météorologiques défavorables et des inondations. De mauvaises conditions météorologiques peuvent endommager les biens et perturber les activités, réduisant de ce fait la valeur des biens et les revenus. De plus, les hôtels peuvent être sujets à des primes d’assurance plus élevées pour les bâtiments qui se trouvent sur des zones côtières, ou peuvent se trouver dans l’impossibilité d’assurer leurs propriétés. Afin de conserver leurs propriétés génératrices de revenus exposées aux aléas du climat, les opérateurs hôteliers devront probablement s’adapter aux changements de régime climatique, tels que l’élévation du niveau de la mer, les ouragans et les inondations.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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