Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Transport maritime L’industrie du transport maritime est composée d’entreprises qui fournissent des services de transport de marchandises en haute mer, sur la côte et/ou sur les rivières. Il revêt une importance stratégique pour le commerce international et ses revenus sont liés aux cycles macroéconomiques. Les principales activités comprennent le transport de marchandises conteneurisées et de marchandises en vrac, y compris de biens de consommation et une vaste gamme de marchandises, ainsi que le transport de produits chimiques et de produits pétroliers dans des pétroliers. En raison de la portée mondiale de l’industrie, les entreprises opèrent dans de nombreux pays et sous divers cadres juridiques et réglementaires.
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  • Services immobiliers L’industrie des services immobiliers se compose d’entreprises qui fournissent une gamme de services à des propriétaires, locataires, investisseurs et promoteurs immobiliers. Les services principaux incluent des services de gestion de la propriété, de courtage, d’estimation et d’informations pour les propriétaires immobiliers. Les services de gestion de la propriété peuvent inclure la location, la relation avec les locataires, l’entretien du bâtiment et la sécurité du bâtiment. De nombreuses entreprises proposent également des services de courtage, afin de faciliter les transactions de vente et de location. Les estimations et autres services de consultation et d’informations représentent d’autres services spécialisés qui sont couramment fournis aux clients. Les entreprises de l’industrie jouent un rôle important dans la chaîne de valeur de l’immobilier, qui représente une partie importante de l’économie mondiale.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (7 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre Les entreprises de transport maritime produisent principalement des émissions provenant de la combustion de diesel dans les moteurs de navires. La dépendance de l’industrie au fioul lourd (« combustible de soute ») est préoccupante en raison de la hausse des coûts du carburant et de l’intensification de la réglementation sur les gaz à effet de serre (GES). L’industrie est l’un des principaux modes de transport qui consomme le moins de carburant par tonne expédiée. Toutefois, en raison de la taille de l’industrie, sa contribution à l’inventaire mondial des GES demeure importante. Les règlements environnementaux récents favorisent l’adoption de moteurs plus écoénergétiques et l’utilisation de carburants plus propres. Le carburant représente une dépense importante pour les acteurs de l’industrie, offrant une incitation supplémentaire pour investir dans des mises à niveau ou des rénovations pour améliorer le rendement énergétique.
    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Qualité de l’air Les polluants atmosphériques comme les oxydes de soufre (SOx), les oxydes d’azote (NOx) et les particules en suspension (PM10) sont des externalités environnementales importantes découlant de l’utilisation de carburant par les sociétés de transport maritime. Ces polluants ont tendance à avoir des effets localisés sur l’environnement et la santé et sont particulièrement préoccupants dans les villes portuaires. Les règlements sur la pollution atmosphérique favorisent l’adoption de moteurs plus écoénergétiques et l’utilisation de carburants plus propres, alors que les entreprises cherchent à réduire l’exposition aux amendes et aux coûts d’assainissement de l’environnement. Une autre incitation pour le rendement énergétique est que le carburant constitue une dépense importante pour les acteurs de l’industrie, de sorte que les dépenses en immobilisations pour moderniser les navires peuvent être compensées à long terme par des économies de carburant.
    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
      • Répercussions écologiques Les opérations et les pratiques d’élimination des déchets des entreprises de transport maritime peuvent créer des externalités environnementales importantes, comme la pollution de l’eau et les dommages à la vie marine. Les navires de mer déversent régulièrement des eaux de ballast, de l’eau de cale et des eaux usées non traitées. La conformité aux règlements internationaux visant à gérer les répercussions écologiques de l’exploitation peut exiger des dépenses en immobilisations importantes pour la mise à niveau ou l’installation de systèmes de gestion des déchets. Le déversement illégal d’eau de cale et d’autres rejets non réglementés peut entraîner de lourdes amendes, ce qui a une incidence négative sur le profil de risque d’une entreprise. Le fait de travailler dans des zones de conservation protégées, comme les zones de contrôle des émissions (ZCE) et les zones marines particulièrement sensibles (PSSA), peut accroître le risque d’impact écologique ainsi que le risque d’enfreindre la réglementation environnementale.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Santé et sécurité des employés Les travailleurs du transport maritime sont exposés à des dangers comme les conditions météorologiques dangereuses et l’exposition à de grandes machines et à des cargaisons lourdes. Les plus grands risques pour la santé et la sécurité proviennent du chargement et du déchargement de marchandises dans les ports. Les navires doivent être chargés et déchargés rapidement et dans les délais prévus, ce qui augmente le risque de blessures, la fatigue et le stress. La santé et le bien-être des travailleurs de l’industrie sont également inextricablement liés aux performances de sécurité de l’entreprise, car un équipage en bonne santé est nécessaire pour des voyages en toute sécurité. Les entreprises dont les systèmes de gestion de la sécurité sont inadéquats et qui n’assurent pas la santé et la sécurité des travailleurs peuvent faire face à un roulement de personnel plus élevé et à des dépenses plus élevées liées aux travailleurs, y compris des frais médicaux comme les primes d’assurance et les indemnités versées aux travailleurs.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Éthique des affaires Les paiements de facilitation dans les ports sont considérés comme une pratique commerciale courante dans certains pays pour l’obtention de permis, le dédouanement des marchandises et les postes d’amarrage portuaires. Toutefois, les lois anticorruption exercent des pressions sur les entreprises de transport maritime pour qu’elles modifient cette pratique. L’application de ces lois pourrait entraîner des coûts ponctuels importants, des coûts de conformité permanents plus élevés ou avoir une incidence sur le permis social d’exploitation d’une entreprise, ce qui aurait une incidence sur le coût du capital. Les entreprises subissent de plus en plus de pressions pour s’assurer que leurs structures et pratiques de gouvernance peuvent s’attaquer à la corruption et à la participation, intentionnelle ou non, à des paiements illégaux ou contraires à l’éthique ou à l’exercice d’une influence injuste. Le fait d’opérer dans des pays sujets à la corruption peut exacerber ces risques.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Gestion des accidents et de la sécurité Les accidents ou les fuites impliquant de gros navires peuvent entraîner des coûts importants pour la vie, les biens et l’environnement. L’attention négative des médias et les coûts de nettoyage massifs peuvent nuire gravement aux finances d’une entreprise. Afin de réduire le risque d’accident, les entreprises ont mis en place des mesures de sécurité importantes, comme des programmes de formation des employés, des périodes d’entretien périodiques en cale sèche et des enquêtes annuelles sur le renouvellement des classes menées par les sociétés de classification. La dépendance du marché mondial à l’égard de l’industrie du transport maritime signifie que les voyages doivent être effectués dans des délais précis, ce qui incite davantage à prévenir les accidents.
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
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    • Répercussions écologiques La catégorie aborde la gestion des impacts de l’entreprise sur les écosystèmes et la biodiversité dans le cadre de ses activités qui comprennent, sans s’y limiter, l’exploitation du sol pour la prospection, l’extraction et la culture de ressources naturelles, ainsi que le développement, la construction et le choix du site pour un projet. Les impacts comprennent, mais sans s’y limiter, la perte de biodiversité, la destruction de l’habitat, ainsi que la déforestation à tous les stades : planification, acquisition des terres, l’obtention de permis, le développement, les activités, et la remise en état du site. La catégorie ne traite pas des impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Services de durabilité Dans l’industrie des services immobiliers, les bâtiments détenus et occupés par des clients ont généralement des répercussions importantes sur la durabilité. Les bâtiments, et les activités qui ont lieu en leur sein, induisent une consommation énergétique, des émissions de gaz à effet de serre (GES) directes ou indirectes, une consommation en eau, une production de déchets et des préoccupations associées à la qualité environnementale en intérieur qui peuvent affecter la santé des occupants. Les entreprises de l’industrie ont l’occasion de limiter les répercussions sur la durabilité des bâtiments et de leurs activités par le biais de services liés à la durabilité. Ces services peuvent inclure la gestion des données de service, l’approvisionnement énergétique, l’étalonnage de l’eau et de l’énergie, l’amélioration de l’efficacité des ressources, les activités liées aux certifications de durabilité, et les consultations et formations sur la durabilité. Les entreprises de l’industrie peuvent avoir encore plus de répercussions sur la durabilité des bâtiments en mettant en place des locations qui invitent les propriétaires comme les locataires à renforcer la performance de durabilité, tout en présentant des avantages financiers pour les deux parties. La prestation de ces services peut engendrer une nouvelle croissance du chiffre d’affaires et augmenter la conservation des clients ; des services de durabilité efficaces peuvent apporter des avantages aux propriétaires et/ou locataires par le biais de l’amélioration des valeurs d’actif, de l’augmentation de la demande des locataires, de la diminution des coûts d’exploitation et de l’amélioration de l’expérience des locataires.
    • Éthique des affaires La catégorie aborde l’approche de l’entreprise concernant la gestion des opportunités et des risques autour de la conduite éthique des affaires, y compris la fraude, la corruption, les pots-de-vin et les paiements de facilitation, les responsabilités fiduciaires, et d’autres comportements qui peuvent avoir un élément éthique. Cela comprend la sensibilité aux normes et règles commerciales au fil de leur évolution, à la juridiction et à la culture. Elle aborde la capacité de l’entreprise à fournir des services qui satisfont les normes professionnelles et éthiques les plus exigeantes de l’industrie, ce qui signifie éviter les conflits d’intérêts, les fausses déclarations, les préjugés, et la négligence à travers la formation adéquate des employés et la mise en œuvre de politiques et de procédures pour s’assurer que les employés fournissent des services sans préjugés et sans erreurs.
      • Informations transparentes et gestion des conflits d’intérêts Le modèle commercial des entreprises de services immobiliers dépend de la confiance et de la loyauté du client. Pour garantir des relations mutuellement avantageuses à long terme, les entreprises doivent fournir des services qui satisfont les meilleures normes professionnelles et éthiques de l’industrie. L’intégrité professionnelle est une importante question de gouvernance, comme la gamme de services et le nombre de professionnels au sein d’une même organisation peuvent rendre la gestion des conflits d’intérêts encore plus difficile. Les services de courtage et d’estimation peuvent engendrer des risques particulièrement élevés de conflits d’intérêts et de négligence. Afin de gérer et de prévenir ces risques, les entreprises de l’industrie peuvent mettre en place une gamme de mesures de gouvernance, y compris la formation des employés, la supervision, et des politiques, procédures et systèmes de renforcement centrés sur la transparence et les divulgations appropriées. La gestion efficace de ces risques peut entraîner une hausse de la confiance des clients et une meilleure valeur de la marque sur le marché, en plus d’une croissance du chiffre d’affaires à long terme. Une gestion inadéquate des risques peut entraîner des amendes et sanctions réglementaires, ainsi qu’une diminution de la confiance des clients et une perte de revenus.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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