Comparaison de l’industrie

Vous voyez des renseignements sur les industries suivantes:

  • Transport routier Le secteur du transport routier inclut les entreprises qui fournissent des services de transport de marchandises par camion sur des distances courtes et longues. Les activités clés relèvent de l’expédition de marchandises, en conteneur ou en vrac, de biens de consommation et d’une grande variété de produits. Le secteur est généralement divisé en deux catégories : les charges complètes (véhicules qui transportent les marchandises d’un seul client) et les charges partielles (véhicules qui transportent les marchandises de plusieurs clients). Les propriétaires exploitants constituent la grande majorité du secteur en raison de la facilité relative d’entrer, alors que quelques gros exploitants conservent la part de marché par le biais de contrats avec les expéditeurs majeurs. Les grandes entreprises sous-traitent souvent des propriétaires exploitants pour compléter leur propre flotte.
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  • Aliments transformés L’industrie des aliments transformés comprend les entreprises qui traitent et emballent les aliments comme le pain, les aliments congelés, les collations, les aliments pour animaux domestiques et les condiments pour la consommation des consommateurs de détail. De manière générale, ces produits sont prêts à consommer, commercialisés pour les consommateurs de détail et se trouvent sur les étagères des détaillants de produits alimentaires. L’industrie est caractérisée par des chaînes d’approvisionnement des ingrédients larges et complexes, car de nombreuses entreprises se fournissent en ingrédients dans le monde entier. Les grandes entreprises fonctionnent mondialement et ce sont les opportunités à l’étranger qui guident leur croissance.
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Questions pertinentes pour les deux Industries (12 de 26)

Pourquoi certaines questions sont-elles grisées ? Les normes SASB varient selon l’industrie en fonction des différents risques et possibilités en matière de durabilité au sein d’une industrie. Les problèmes en gris n’ont pas été identifiés au cours du processus d’établissement des normes comme étant les plus susceptibles d’avoir une incidence sur la valeur de l’entreprise, de sorte qu’ils ne sont pas inclus dans la norme. Au fil du temps, comme l’Office des normes SASB continue de recevoir des commentaires du marché, certains problèmes pourraient être ajoutés ou retirés de la norme. Chaque entreprise détermine elle-même si un problème de durabilité peut avoir une incidence sur sa capacité de créer de la valeur pour l’entreprise. La norme est conçue pour l’entreprise type d’une industrie, mais les entreprises individuelles peuvent choisir de faire rapport sur différentes questions de durabilité en fonction de leur modèle opérationnel unique.

Sujets de divulgation

Quelle est la relation entre la catégorie de problématique générale et les sujets de divulgation ? La catégorie des problématiques générales est une version sans lien avec l’industrie des sujets de divulgation qui figurent dans chaque norme SASB. Les sujets de divulgation représentent les répercussions propres à l’industrie des catégories de problématiques générales. Les sujets de divulgation propres à l’industrie permettent de s’assurer que chaque norme SASB est adaptée à l’industrie, tandis que les catégories de problématiques générales permettent la comparabilité entre les industries. Par exemple, la santé et la nutrition sont un sujet de divulgation dans l’industrie des boissons non alcoolisées, représentant une mesure propre à l’industrie de la question générale du bien-être des clients. La question du bien-être des clients se manifeste toutefois comme le sujet de la divulgation des médicaments contrefaits dans l’industrie de la biotechnologie et des produits pharmaceutiques.
  • Transport routier Remove
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
      • Émissions de gaz à effet de serre Le secteur du transport routier génère des émissions, notamment par le biais de la combustion de diesel et autres carburants dans les moteurs des camions. Les gaz à effet de serre (GES), dont le dioxyde de carbone (CO2) sont particulièrement importants pour les régulateurs gouvernementaux qui se préoccupent du changement climatique et pour les clients qui exigent des solutions de transport avec une teneur en carbone faible ou neutre. Comme les émissions de GES provenant des camions constituent une part importante des émissions liées au transport, l’industrie est un point de référence pour les réglementations permettant de limiter les émissions de GES. Les modifications apportées aux activités qui augmentent le rendement énergétique offrent une manière efficace pour les entreprises de réduire les coûts en carburant tout en limitant également l’exposition aux prix volatils du carburant, aux coûts réglementaires et toute autre conséquence des émissions de GES. Alors que les camions les plus récents sont plus écologiques, des mesures peuvent être prises pour améliorer l’efficacité et réduire les émissions des flottes existantes.
    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
      • Qualité de l’air En comparaison avec d’autres modes de transport, le fret routier a plus d’effets négatifs localisés sur la qualité de l’air en raison de ses émissions d’oxyde de soufre (SOx), d’oxyde d’azote (NOx) et de particules en suspension (PM). La forte dépendance au carburant diesel est particulièrement préoccupante ; bien que les moteurs au diesel consomment moins d’essence que les moteurs à essence, ils génèrent plus de polluants atmosphériques nocifs. L’utilisation de carburants de substitution et le filtrage des émissions avant leur rejet peut aider les entreprises à respecter les réglementations sur la qualité de l’air et éviter de contribuer aux brouillards polluants dans les villes et centres démographiquement denses, qui pourraient porter préjudice à leurs permis d’exploitation sociaux.
    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
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    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
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    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
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    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
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    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
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    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
      • Conditions de travail du conducteur L’industrie du transport routier est confrontée à des défis liés au recrutement et à la rétention des conducteurs. Une pénurie de main-d’œuvre grandissante, en partie en raison des conditions de travail difficiles inhérentes au secteur, mais aussi des réglementations qui limitent les heures de travail, peut faire augmenter les coûts de main-d’œuvre et baisser les revenus du secteur . Les livraisons urgentes sont contraignantes pour les conducteurs, qui peuvent subir de longues heures souvent irrégulières au volant, de longs séjours loin de chez eux, un manque de sommeil et un sentiment d’isolement. Ces facteurs, combinés avec les taux élevés de blessures et de maladies, largement dus aux accidents, rend difficile la tâche de recrutement de nouveaux conducteurs et la conservation du personnel existant. Les entreprises qui offrent de meilleures conditions de travail pour les conducteurs peuvent bénéficier de taux de roulement plus faibles, d’une productivité plus élevée et de la capacité à recruter du personnel pour étendre leurs activités et augmenter leurs revenus.
    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
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    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
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    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
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    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
      • Gestion des accidents et de la sécurité Le transport routier implique des dangers inhérents au secteur, y compris des accidents à la suite d’une défaillance mécanique ou d’une erreur humaine. Les entreprises du secteur prennent des mesures pour former les conducteurs et le personnel d’entretien afin de minimiser les accidents. Les preuves des taux de blessures et de mortalité, les coûts associés et les investissements dans des technologies de sécurité montrent l’importance de la question pour le secteur. Les entreprises qui ont une gestion de la sécurité efficace peuvent améliorer l’efficacité des activités, avoir une meilleure rétention des conducteurs, réduire les délais et éviter les coûts liés aux accidents graves. En revanche, les entreprises qui connaissent une mauvaise gestion de la sécurité peuvent subir des sanctions réglementaires, des prix d’assurance plus élevés et des interruptions du service qui réduisent les revenus et la valeur de la marque
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    • Émissions de GES La catégorie aborde les émissions de gaz à effet de serre (GES) directes (scope 1) qu’une entreprise génère dans le cadre de ses activités. Cela comprend les émissions de GES provenant de sources fixes (comme les usines, les centrales électriques) et de sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), résultant de la combustion de carburant ou d’émissions directes sans combustion lors d’activités comme l’extraction de ressources naturelles, la production d’énergie, l’exploitation du sol, ou les processus biogènes. La catégorie comprend également la gestion des risques réglementaires, de la conformité environnementale, ainsi que des risques et opportunités de réputation, car ils sont liés aux émissions de GES directes. Les sept GES visés par le protocole de Kyoto sont compris dans la catégorie : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones (HFC), les perfluorocarbones (PFC), l’hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d’azote (NF3).
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    • Qualité de l’air La catégorie aborde la gestion des impacts des sources fixes (comme les usines, les centrales électriques), des sources mobiles (comme les camions, les véhicules de livraison, les avions), ainsi que des émissions industrielles sur la qualité de l’air. Les polluants atmosphériques comprennent, sans s’y limiter, les oxydes d’azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx), les composés organiques volatils (COV), les métaux lourds, les particules en suspension (PM) et les chlorofluorocarbones. La catégorie ne comprend pas les émissions de GES, qui sont abordées dans une catégorie distincte.
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    • Gestion de l’énergie La catégorie aborde les impacts environnementaux associés à la consommation d’énergie. Elle aborde la gestion de l’entreprise concernant l’énergie dans le cadre de la fabrication et/ou de la fourniture de produits et de services dérivés de fournisseurs de services publics (énergie du réseau) non détenus ou contrôlés par l’entreprise. En particulier, elle comprend la gestion de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie, du bouquet énergétique, ainsi que de la dépendance du réseau. L’usage d’énergie en amont (par exemple celui des fournisseurs) et en aval (par exemple celui lié à l’utilisation de produits) n’est pas compris dans le champ d’application.
      • Gestion de l’énergie L’industrie des aliments transformés dépend largement de l’énergie et du carburant comme intrants primaires pour la création de valeur dans la fabrication des produits alimentaires. L’énergie est nécessaire pour faire fonctionner les grandes installations de fabrication pour la cuisson, la réfrigération et l’emballage. La production et la consommation d’énergie contribuent aux répercussions environnementales significatives, y compris le changement climatique et la pollution, qui ont le potentiel d’impacter indirectement, mais de manière significative, les résultats des activités des entreprises d’aliments transformés. L’efficacité énergétique dans la production et la distribution peuvent réduire l’exposition à des coûts énergétiques volatiles et limiter la contribution d’une entreprise aux émissions de gaz à effet de serre (GES) directes et indirectes. Les producteurs peuvent réduire davantage le risque posé par les coûts énergétiques volatiles des combustibles fossiles, en particulier le gaz naturel, très utilisé dans l’industrie, en diversifiant leurs portefeuilles énergétiques par un éventail de sources. Les décisions relatives à l’utilisation de carburants de substitution, d’énergie renouvelable et d’électricité produite sur site par rapport à l’achat d’énergie de réseau, peuvent jouer un rôle important en influençant à la fois les coûts et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique.
    • Gestion de l’eau et des eaux usées La catégorie aborde l’utilisation de l’eau, la consommation d’eau, la production d’eaux usées, ainsi que les autres impacts des activités sur les ressources en eau d’une entreprise, qui peuvent être influencés par des différences régionales en matière de disponibilité et de qualité, ainsi que de concurrence pour les ressources en eau. En particulier, elle aborde les stratégies de gestion, y compris, mais sans s’y limiter, l’utilisation rationnelle, la consommation et le recyclage de l’eau. Enfin, la catégorie aborde également la gestion du traitement et de l’évacuation des eaux usées, y compris la pollution des eaux souterraines et des nappes phréatiques.
      • Gestion de l’eau Les entreprises d’aliments transformés dépendent d’un approvisionnement conséquent en eau pour la cuisson, le traitement et le nettoyage des produits finis. En outre, les sociétés de l’industrie produisent et doivent gérer le rejet de leurs eaux usées provenant des activités de traitement. La rareté de l’eau devenant une question d’importance grandissante, les entreprises d’aliments transformés (en particulier celles fonctionnant dans des régions à stress hydrique) peuvent faire face à des risques opérationnels croissants. Les entreprises de l’industrie sont susceptibles de faire face à une augmentation des coûts opérationnels à travers les investissements de capital et l’évaluation de l’emplacement des installations en fonction des risques de pénurie d’eau, des améliorations de l’efficacité opérationnelle et des partenariats avec les organismes de réglementation et des communautés sur des questions relatives à l’accès à l’eau et à l’effluent.
    • Qualité et sécurité des produits La catégorie aborde les problèmes qui impliquent des caractéristiques non intentionnelles de produits vendus ou de services fournis, qui peuvent créer des risques pour la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux. Elle aborde la capacité d’une entreprise à proposer des produits manufacturés et/ou des services qui répondent aux attentes des clients par rapport à leurs caractéristiques sanitaires et sécuritaires. Cela comprend, mais sans s’y limiter, les problèmes impliquant la responsabilité, la gestion des rappels et des retraits du marché, les tests de produits, ainsi que la gestion des produits chimiques / du contenu / des ingrédients des produits.
      • Sécurité alimentaire La sécurité alimentaire, qui concerne la qualité de la production, le gaspillage, la contamination, la traçabilité de la chaîne d’approvisionnement et l’étiquetage allergène, peut affecter de manière importante les entreprises d’aliments formés. Les rappels de sécurité alimentaire peuvent survenir pour de nombreuses raisons, y compris des emballages défectueux, une contamination des aliments, du gaspillage et un mauvais étiquetage. Les questions de sécurité alimentaire soulevées au sein de la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise résultent généralement de rappels de produits finaux et peuvent également influencer la réputation de la marque, les activités et les recettes des entreprises d’aliments transformés. La traçabilité de la chaîne d’approvisionnement est une grande préoccupation pour les entreprises de l’industrie, en particulier vis-à-vis des nouvelles réglementations. Une mauvaise gestion de la qualité et de la sécurité alimentaires peut nuire à la valeur de la marque, causer une diminution des revenus et une augmentation des coûts associés aux rappels, aux amendes, à une perte d’inventaire et/ou aux litiges. Obtenir les certifications de sécurité alimentaire ou s’assurer que les fournisseurs respectent les directives de sécurité alimentaire peut aider les entreprises de l’industrie à protéger la sécurité des produits et à communiquer la qualité de leurs produits aux détaillants et aux consommateurs.
    • Bien-être des clients La catégorie aborde les préoccupations relatives au bien-être des clients par rapport à des problèmes qui comprennent, mais sans s’y limiter, les caractéristiques sanitaires et nutritionnelles des produits alimentaires et des boissons, l’usage d’antibiotiques dans le cadre de la production animale, ainsi que la gestion des substances réglementées. La catégorie aborde la capacité de l’entreprise à proposer aux consommateurs des produits manufacturés et des services en alignement avec les attentes de la société. Elle ne comprend pas les problèmes directement liés aux dysfonctionnements en matière de qualité et de sécurité des produits manufacturés et des services, mais elle aborde plutôt les qualités inhérentes à la conception et à la livraison des produits et services là où le bien-être des clients peut être en cause. Le champ d’application de la catégorie englobe également la capacité des entreprises à prévenir les produits contrefaits.
      • Santé et nutrition Les principales préoccupations relatives à la nutrition et la santé telles que l’obésité, la sécurité des ingrédients et la valeur nutritionnelle déterminent le paysage concurrentiel de l’industrie des aliments transformés. Les caractéristiques de nutrition et de santé des produits et ingrédients de l’industrie suscitent une inquiétude croissante chez les consommateurs et les organismes de réglementation, rendant possible l’impact de ces questions sur la réputation d’une entreprise d’aliments transformés et son permis d’exploitation. De nouvelles réglementations, comme des taxes imposées sur les aliments transformés, peuvent avoir des conséquences sur la rentabilité de l’industrie et poser des risques à long terme sous la forme d’une diminution de la demande pour les produits de l’industrie. Les entreprises qui s’adaptent à l’évolution des préférences des consommateurs pour promouvoir des offres plus saines et plus nutritives peuvent être mieux positionnées pour obtenir des parts de marché dans un segment en croissance, tout en évitant les risques associés à la possible réglementation et aux changements de la demande.
    • Méthodes de vente et étiquetage des produits La catégorie aborde les enjeux sociaux qui peuvent découler d’une incapacité à gérer la transparence, l’exactitude et la clarté des communiqués commerciaux, de la publicité, et de l’étiquetage des produits et services. Elle comprend, mais sans s’y limiter, les normes et réglementations en matière de publicité, les pratiques de vente éthiques et responsables, l’étiquetage trompeur ou mensonger, ainsi que les pratiques de vente et de prêt discriminatoires ou prédatrices. Cela peut inclure les pratiques de vente mensongères ou agressives pour lesquelles des structures incitatives pour les employés peuvent encourager la vente de produits ou de services qui ne sont pas dans l’intérêt des clients.
      • Étiquetage des produits et commercialisation La communication avec les consommateurs par le biais du marketing et de l’étiquetage des produits est un aspect important des entreprises d’aliments transformés. La précision et la richesse des informations présentées sur l’étiquetage des aliments revêtent de l’importance pour les consommateurs comme pour les organismes de réglementation. Les réglementations d’étiquetage requièrent des informations de produit précises et détaillées pour assurer la sécurité alimentaire et informer les consommateurs sur la valeur nutritionnelle. En outre, pour éclairer leurs décisions d’achat, les clients sont de plus en plus intéressés par les informations supplémentaires sur les ingrédients utilisés dans les produits transformés, comme la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM) et les méthodes de production utilisées. Les pratiques de marketing des entreprises d’aliments transformés constituent un autre sujet de préoccupation publique, en particulier celles ciblant les enfants ou les allégations concernant la valeur nutritive, ainsi que la possibilité qu’elles présentent des informations fausses ou trompeuses. Les questions de marketing et d’étiquetage des produits peuvent influencer l’environnement concurrentiel de l’industrie, car les entreprises peuvent faire l’objet de litiges ou de critiques pour des déclarations trompeuses ou si elles ne s’adaptent pas aux demandes des consommateurs pour plus de transparence et d’étiquetage. Par ailleurs, les réglementations sur le marketing et l’étiquetage des produits introduisent les coûts à court terme pour adhérer et présenter le risque de sanctions ou de litiges. Tous ces facteurs peuvent avoir un impact sur la valeur de la marque d’une entreprise, ses coûts d’exploitation et la croissance du chiffre d’affaires.
    • Santé et sécurité des employés La catégorie aborde la capacité d’une entreprise à créer et à maintenir un milieu de travail sûr et sain, libre de blessures, d’accidents mortels et de maladies (chroniques et aiguës). Cela est traditionnellement réalisé par le biais de la mise en œuvre de plans de gestion de la sécurité, du développement d’exigences en matière de formation pour les employés et les entrepreneurs, et de la conduite d’audits réguliers de leurs propres pratiques, ainsi que de celles de leurs sous-traitants. La catégorie englobe également la façon dont les entreprises assurent la santé physique et mentale de la main-d’œuvre par le biais de la technologie, de la formation, de la culture d’entreprise, de la conformité réglementaire, de la surveillance et des tests, ainsi que de l’équipement de protection individuelle.
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    • Conception de produit et gestion du cycle de vie La catégorie aborde l’intégration de considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les caractéristiques des produits et services fournis ou vendus par l’entreprise. Elle comprend, mais sans s’y limiter, la gestion des impacts liés au cycle de vie des produits et services, comme ceux liés à l’emballage, à la distribution, à la consommation des ressources durant la phase d’utilisation, ainsi qu’à d’autres externalités environnementales et sociales qui peuvent surgir lors de leur phase d’utilisation ou à la fin de vie. La catégorie englobe la capacité d’une entreprise à traiter la demande des clients et de la société pour des produits et services plus durables, ainsi qu’à respecter les réglementations environnementales et sociales en évolution. Elle n’aborde pas les impacts environnementaux et sociaux directs des activités de l’entreprise, ou les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs liés à l’utilisation des produits, qui sont traités dans d’autres catégories.
      • Gestion du cycle de vie de l’emballage Les matériaux d’emballage représentent un coût commercial majeur et contribuent à l’empreinte environnementale des entreprises d’aliments transformés. Chaque étape du cycle de vie d’un emballage, y compris la conception, le transport et l’élimination, présente ses propres défis et occasions environnementaux uniques. Les entreprises peuvent être impactées par les réglementations sur les matériaux d’emballage autorisé ou sur la gestion de la fin de vie des emballages. Les entreprises d’aliments transformés peuvent travailler avec les fabricants d’emballages sur la conception des emballages pour réaliser des économies sur les coûts, améliorer la réputation de la marque et réduire leur impact environnemental. Les innovations telles que les matériaux légers peuvent également engendrer des avantages financiers dans le transport de biens. D’autres innovations peuvent améliorer la gestion de la fin de vie des produits, comme l’utilisation de matériaux recyclables ou compostables, pouvant ainsi réduire les risques possibles liés aux coûts et à la conformité.
    • Gestion de la chaîne d’approvisionnement La catégorie aborde la gestion des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise. Elle aborde les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par les fournisseurs par le biais de leurs activités opérationnelles. Ces problèmes comprennent, mais sans s’y limiter, la responsabilité environnementale, les droits de l’homme, les pratiques de travail, ainsi que l’éthique et la corruption. La gestion peut impliquer le tri, la sélection, la surveillance et l’engagement avec les fournisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux. La catégorie n’aborde pas les impacts des facteurs externes (comme le changement climatique et d’autres facteurs environnementaux et sociaux) sur les activités des fournisseurs et/ou sur la disponibilité et la tarification des ressources clés. Tout cela est traité dans une catégorie distincte.
      • Impacts environnementaux et sociaux de la chaîne d’approvisionnement des composants Les entreprises de l’industrie des aliments transformés gèrent des chaînes d’approvisionnement mondiales pour acquérir une large gamme d’ingrédients. La manière dont les entreprises présentent, suivent et s’engagent avec les fournisseurs sur les sujets sociaux et environnementaux affecte la capacité des entreprises à maintenir un approvisionnement constant et à gérer les fluctuations de prix. Les problèmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement associés aux pratiques de travail et environnementales, à l’éthique ou à la corruption peuvent également entraîner des amendes réglementaires et/ou une augmentation des coûts opérationnels à long terme pour les entreprises. La nature grand public de l’industrie augmente les risques d’atteinte à la réputation associés à la performance des fournisseurs. Les entreprises peuvent s’engager avec les fournisseurs importants pour gérer les risques environnementaux et sociaux afin d’améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement, de limiter les risques d’atteinte à la réputation et d’augmenter potentiellement la demande des consommateurs ou de saisir de nouvelles occasions sur le marché.
    • Approvisionnement en matériaux et efficacité La catégorie aborde les problèmes liés à la résilience des chaînes d’approvisionnement en matériaux aux impacts du changement climatique et d’autres facteurs externes environnementaux et sociaux. Elle englobe les impacts de ces facteurs externes sur l’activité opérationnelle des fournisseurs, qui peuvent également affecter la disponibilité et la tarification des ressources clés. Elle aborde la capacité d’une entreprise à gérer ces risques par le biais de la conception, de la fabrication et de la gestion de la fin de vie des produits, par exemple en utilisant des matériaux recyclés ou renouvelables, en réduisant l’utilisation de matériaux clés (dématérialisation), en optimisant l’utilisation efficace des ressources lors de la fabrication, et en investissant dans la recherche et le développement de matériaux de substitution. De plus, les entreprises peuvent gérer ces problèmes par le biais du tri, de la sélection, de la surveillance et de l’engagement avec les fournisseurs, pour s’assurer de leur résilience aux risques externes. Elle n’aborde pas les problèmes associés aux externalités environnementales et sociales créées par l’activité opérationnelle de fournisseurs individuels, qui sont traités dans une catégorie distincte.
      • Approvisionnement en composants Les entreprises de l’industrie des aliments transformés acquièrent une large gamme d’ingrédients, notamment des intrants agricoles, en provenance de fournisseurs internationaux. La capacité de l’industrie à s’approvisionner en ingrédients et à un certain niveau de prix fluctue selon la disponibilité d’approvisionnement, qui peut être affectée par le changement climatique, la rareté de l’eau, la gestion des terres et d’autres risques de pénurie de ressources. Cette exposition peut entraîner la volatilité des prix, ce qui peut affecter la rentabilité de l’entreprise. Le changement climatique, la rareté de l’eau et les restrictions d’utilisation des terres présentent des risques sur la capacité à long terme d’une entreprise à s’approvisionner en matériaux et ingrédients importants. Les entreprises qui s’approvisionnent en ingrédients moins productifs et moins exigeants en ressources, ou qui collaborent étroitement avec les fournisseurs pour augmenter leur adaptabilité au changement climatique et pour gérer l’exposition à d’autres risques de pénurie des ressources seront mieux protégées contre la volatilité des prix et/ou les ruptures d’approvisionnement.
    • Gestion des risques d’incidents critiques La catégorie aborde l’usage que fait l’entreprise des systèmes de gestion et de la planification des scénarios pour identifier, comprendre et éviter ou minimiser l’occurrence d’accidents et d’urgences à fort impact et à faible probabilité, qui impliquent des externalités environnementales et sociales potentielles importantes. Elle porte sur la culture de sécurité dans une entreprise ; sur ses systèmes de gestion de la sécurité et ses contrôles technologiques pertinents ; sur les implications humaines, environnementales et sociales potentielles de l’occurrence de tels événements ; ainsi que sur les effets sur le long terme sur une organisation, ses employés, et la société si ces événements se réalisaient.
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